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Trans-la-ForĂȘt

Trans-la-ForĂȘt est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 606 habitants[Note 1].

Trans-la-ForĂȘt
Trans-la-ForĂȘt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Dol et de la baie du Mont-Saint-Michel
Maire
Mandat
Jeannine Lejanvre
2020-2026
Code postal 35610
Code commune 35339
DĂ©mographie
Population
municipale
606 hab. (2020 en augmentation de 9,58 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 41 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 29â€Č 48″ nord, 1° 35â€Č 19″ ouest
Altitude Min. 33 m
Max. 117 m
Superficie 14,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Dol-de-Bretagne
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Trans-la-ForĂȘt
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Trans-la-ForĂȘt
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Trans-la-ForĂȘt

    GĂ©ographie

    Trans-la-ForĂȘt se situe au sud de l'ancien canton de Pleine-FougĂšres, qui lui-mĂȘme borde la baie du mont Saint-Michel (les polders de Saint-Georges-de-GrĂ©haigne, Saint-Broladre et Roz-sur-Couesnon ont Ă©tĂ© gagnĂ©s au XIXe siĂšcle sur la dite baie). La commune de Trans-la-ForĂȘt doit son nom aux bois qui occupent sa partie mĂ©ridionale et qui constituent une partie de la forĂȘt de Villecartier.

    La commune est Ă  dominante rurale avec une population de 590 habitants, oĂč l'agriculture occupe une place importante. Elle est traversĂ©e par deux ruisseaux, le Petit Hermitage qui vient de l'Ă©tang de Ville-Cartier et qui coupe la RD 155 sur la route de Saint-Malo Ă  FougĂšres, et le ruisseau du Chesnelais qui prend sa source au lieu-dit la Chesnelais sur la route vers Combourg ; ces deux ruisseaux se rejoignent ensuite sur le banc de Pleine-FougĂšres (prĂšs de BeaurepĂ©re) au marais du Mesnil. S'ajoute Ă  eux le ruisseau du Pas-GĂ©rault venant de Sains, lĂ  le cours d'eau part rejoindre le Couesnon au Pont des Barres sur la route de Pontorson Ă  SougĂ©al. À l'ouest de la commune, le Guyoult fait fonction de limite avec la commune de La Boussac.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 915 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pontorson », sur la commune de Pontorson, mise en service en 1997[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 838,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dinard », sur la commune de Pleurtuit, mise en service en 1950 et Ă  36 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  11,6 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Trans-la-ForĂȘt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (88,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (52,8 %), prairies (22,4 %), terres arables (13 %), forĂȘts (9,4 %), zones urbanisĂ©es (2,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Traan en 1455, parochia de Trano au XVe siÚcle, ecclesia de Traneio en 1516.

    La rĂ©fĂ©rence Ă  "la ForĂȘt" est rajoutĂ©e le [21].

    Voir Trans (Mayenne)

    Histoire

    Lors de la bataille de Trans, en 939, les Bretons de Juhel BĂ©ranger et d'Alain Barbetorte sont victorieux contre les Vikings, alors que Guillaume Longue-ÉpĂ©e occupa cette partie de la Bretagne de 932 Ă  940[22]. Cette date du 1er aoĂ»t est cĂ©lĂ©brĂ©e longtemps aprĂšs en Bretagne.

    Aujourd'hui, on peut encore observer les traces des deux camps fortifiĂ©s aux environs de l'Ă©tang de Ruffien[23]. Des fossĂ©s entourent deux espaces qui devaient ĂȘtre entourĂ©s d'une palissade[24].

    En 1235, la famille de Villeneuve dont les de La Villarmois sont les descendants, est citée dans les archives de la noblesse[25].

    Entre le XVIe et le XVIIIe siÚcle rÚgne sur la ville de Trans la seigneurie du Bois Baudry. Francois du Bois Baudry épousa en 1505, à Rennes, Isabeau de Sevigné. Leur fils Christophe du Bois Baudry épousa en 1540 Olive Brunel, ils donnÚrent naissance à Pierre du Bois Baudry qui épousa en premiÚre noces Massée Bouttier puis en seconde noces (1580) Renée Levoyer. Leur fils Claude du Bois Baudry (1582-1626) seigneur de Trans marié en 1608 à Catherine Dugouray donna naissance à Olivier du Bois Baudry (1609-1659). Ce dernier épousa Juliette De Rommiley en premiÚres noces (1643) puis Denise Delaporte (1647). De leurs enfants, naquit Francois Du Bois Baudry (1651) seigneur de Trans marié à Renée Lepape noble et haute dame du Bois Baudry[26].

    La population de la commune est favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant l’anniversaire de l'exĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e d’un serment de haine Ă  la royautĂ© et Ă  l’anarchie, fĂȘtĂ©e Ă  partir de 1795 ; on cĂ©lĂ©brait aussi Ă  cette Ă©poque rĂ©volutionnaire la fondation de la Ire RĂ©publique (21 septembre) et la fĂȘte de la Jeunesse (printemps)[27].

    Le , la commune est libérée par le Combat Command A, de la 6th Armored Division.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 1977 mars 1983 Jean Joubert
    mars 1983 juin 1995 Georges Sauvée Ingénieur SNCF retraité
    juin 1995[28] mars 2014 Jean-Louis Helleux PS Enseignant, maire honoraire
    mars 2014[29] En cours Jeannine Lejanvre SE Retraitée
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[31].

    En 2020, la commune comptait 606 habitants[Note 7], en augmentation de 9,58 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1181 1311 1521 1311 2461 2661 3341 4101 504
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5501 5881 5611 5071 5621 5861 4761 4201 336
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3051 2691 2191 0241 0541 008955874889
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    810747670637594583564539586
    2020 - - - - - - - -
    606--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee Ă  partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Au XXe siÚcle, des ouvriers étaient ramassés en car pour se rendre dans l'usine Citroën de Rennes à La Janais.

    Lieux et monuments

    L’église Saint-Pierre.

    La commune de Trans-la-ForĂȘt possĂšde de nombreux petits monuments, certains aussi anciens que le menhir de Ville-Pican, d'autres plus rĂ©cents comme ces croix qui jalonnent les chemins. Mais ce qui donne son charme au bourg, c'est son Ă©glise, une des plus anciennes du secteur, dont certaines parties remontent au XVe siĂšcle[34].

    Personnalités liées à la commune

    Alain RĂ©mond, ex-journaliste Ă  TĂ©lĂ©rama, a vĂ©cu Ă  Trans dans les annĂ©es 1950. Il en a tirĂ© un livre, Chaque jour est un adieu, oĂč il raconte son enfance. Il a Ă©galement travaillĂ© pour Marianne oĂč il avait sa rubrique Faut Voir en fin du magazine.

    HĂ©raldique

    Blason Ă  dessiner Blason
    ÉcartelĂ©: aux 1er et 4e d'or au chĂȘne de gueules feuillĂ© de sinople, aux 2e et 3e de sinople Ă  la hache d'armes d'argent passĂ©e en sautoir avec une Ă©pĂ©e basse du mĂȘme[35].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Pontorson - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Trans-la-ForĂȘt et Pontorson », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    9. « Station Météo-France Pontorson - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Trans-la-ForĂȘt et Pleurtuit », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    11. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Dinard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Décret no 96-706 du 7 août 1996 (NOR: INTA9600176D) publié au Journal officiel no 186 du 10 août 1996.
    22. AndrĂ© Davy, Les barons du Cotentin, CondĂ©-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll. « InĂ©dits et introuvables du patrimoine Normand », , 319 p. (ISBN 978-2-91454-196-1), p. 79.
    23. LoĂŻc LangouĂ«t, « Le retranchement normand insulaire : Gardaine Ă  Saint-Suliac », Bulletin de l'A.M.A.R.A.I. UniversitĂ© de Rennes I, Laboratoire d'Antropologie,‎ , p. 55-63 (ISSN 1140-4663).
    24. « Article sur la forĂȘt de Villecartier »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?).
    25. QUID 2004.
    26. ModĂšle {{Lien web}} : paramĂštre « titre » manquant. https://archives-en-ligne.ille-et-vilaine.fr/thot_internet/FrmSommaireFrame.asp, sur archives-en-ligne.ille-et-vilaine.fr (consultĂ© le )
    27. Louis Dubreuil, « FĂȘtes rĂ©volutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399, 401 et 405.
    28. « Derniers vƓux, en tant qu'Ă©lu, pour Jean-Louis Helleux », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consultĂ© le ).
    29. « Janine Lejanvre a été élue maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA00130789, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture.
    35. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Liens externes

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