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Trans (Mayenne)

Trans est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Mayenne en rĂ©gion Pays de la Loire, peuplĂ©e de 226 habitants[Note 1].

Trans
Trans (Mayenne)
L'Ă©glise.
Blason de Trans
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes des Coëvrons
Maire
Mandat
Hervé Rondeau
2020-2026
Code postal 53160
Code commune 53266
DĂ©mographie
Population
municipale
226 hab. (2020 en stagnation par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 15 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 16â€Č 27″ nord, 0° 18â€Č 30″ ouest
Altitude Min. 198 m
Max. 299 m
Superficie 15,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Évron
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Évron
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Trans
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Trans
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Trans
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Trans

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 879 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Evron », sur la commune d'Évron, mise en service en 1945[8] et qui se trouve Ă  15 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 784,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le dĂ©partement de l'Orne, mise en service en 1946 et Ă  34 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  10,9 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Trans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Évron, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (100 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (51 %), prairies (49 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Mentions anciennes

    La mention Medietas de Trende, 692; Tredentum, 832; Tridentem vocabulo, IXe s.; Treant, 989 ; Trantis, 1125 ; Trahayo XVe s.; Trantis, XVIe s. ; Trans XVIe s[22].

    Étymologie

    La graphie moderne Trans semble ĂȘtre une rĂ©fection d'aprĂšs le latin trans signifiant « au-delĂ  de, par dela » Cette Ă©tymologie ne convient pas ici, puisque d'une part les formes anciennes sont du type Tre(n)d-/ Trid- et d'autre part, le latin trans a rĂ©guliĂšrement abouti en français au prĂ©fixe trĂ©- et Ă  l'adverbe trĂšs[23] et qui ne ferait de toute façon pas sens employĂ© de maniĂšre autonome.

    Il s'agit d'un nom de lieu probablement gaulois (celtique) dont l'identification exacte pose un certain nombre de difficultés.

    Les mots gaulois tri « trois » suivi d'un Ă©lĂ©ment *dant « sommet » ont Ă©tĂ© proposĂ©s[24], c'est-Ă -dire *tridant d'oĂč le sens global de « trois sommets ». Cette explication repose les formes plus anciennes du type de Tredente en 692[24]. Ces « sommets » sont plutĂŽt de simples buttes. La mĂȘme source suggĂšre une autre explication par le gaulois tardif [?] treide « pied »[24] attestĂ© dans le glossaire de Vienne, correspondant du vieux breton treit « pieds » (breton troad « pied »). En tout cas, il est possible de reconnaĂźtre l'affixe -ent- rĂ©pandu par ailleurs et que l'on identifie dans les Nogent (type Novientum) et Drevant (Derventum en 1217) dont le premier Ă©lĂ©ment est gaulois. On note Ă©galement l'analogie des formes Trento avec le nom de la ville de Trente Ă  l'extrĂȘme nord de l'Italie, dont le nom italien est prĂ©cisĂ©ment Trento et qui est attestĂ© Ă  l'Ă©poque antique sous la forme latinisĂ©e Tridentum, ce qui renvoie directement Ă  la forme Tredente de Trans en Mayenne.

    Histoire

    À l'Ă©poque gallo-romaine, il y avait une voie antique venant de Jublains, par Trans, Ă  Saint-Thomas-de-Courceriers oĂč elle suit la vallĂ©e de la Vaudelle[25]. Il y a des vestiges gallo-romains au lieu-dit Saint-Martin (alias Vieil-Trans, 1638)[26]. Une villa et l'Ă©glise de Trans ont Ă©tĂ© Ă©tablies sur cette voie antique dĂšs le VIe siĂšcle[26]. Dans la vie de saint Domnol (559-581), un personnage, noble et puissant, conseiller du roi, se serait emparĂ© de Trans : villam Tridentem vocabulo, in condita Diablintica[26].

    En avril 1434, deux paroissiens prennent des lettres de sauvegarde des Anglais pour aller Ă  Laval et ChĂąteau-Gontier[26].

    En 1710, mort d'une centenaire, Marie Ivard, « mandianne Â»[26]. En , cinq dĂ©cĂšs par contagion[26]. Un docteur d'Angers, Bernard Charles Pavet Ă©tabli Ă  Sainte-Suzanne en 1775, vint, avec les chirurgiens Foubert et Longchamp soigner une Ă©pidĂ©mie qui sĂ©vit sur le pays de Trans, IzĂ©, Saint-Martin-de-ConnĂ©e, en 1777[27].

    Pendant la Révolution, les suspects ont été désarmés, le . Trois familles vendéennes réfugiées sont fixées à Trans, . Dans la nuit du 2 au 3 prairial an II (21 et ) les insurgés voulurent enfoncer la porte de la maison de la Haie, dépendance du prieuré, et, le surlendemain, ils mirent à contribution le nommé Martin, acquéreur national des bien du prieuré. Deux cents Chouans occupÚrent le bourg, le .

    Durant la guerre de 1870, une patrouille prussienne traversa le bourg dans la nuit du 24 au , venant de Saint-Pierre-sur-Erve[26] qui provoqua la peur dans la population[28].

    Dialectologie

    La commune est située traditionnellement dans la zone de diffusion du patois mayennais.

    La monographie communale de Trans rédigée par l'instituteur[29], en 1899, nous donne quelques prononciations de mots et quelques définitions employées dans la conversation :

    • On appuie beaucoup sur l'i. On dit : j'alli, je mangi, je monti, je couri, il mouri.
    • "Puis sur an : y marchant, y chantant, ...
    • sur e : du cafe, il a chante.

    On emploie aussi beaucoup de mots comme :

    • du fei : du feu.
    • ventiĂ©e ben : sans doute, peut-ĂȘtre.
    • de l'iau : de l'eau.
    • boĂ«tons ou pelons : sabot d'hiver.
    • la rasette : la petite coiffe.
    • la soupe Ă©bouet : la soupe bout.
    • les rilles : grand repas de famille, Ă  l'automne, oĂč on tue le cochon (rilles = rillettes).

    Superstition :

    • entendre la ferzas : entendre l'effraie (chouette) est signe de mort.
    • 13 Ă  table : Ă©galement signe de mort.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1914 Casimir Leriche Agriculteur
    1922 Letonnelier
    1983[30] mars 2001 Fernand Melot Agriculteur
    mars 2001[31] mars 2014 Christian Jugé SE Agriculteur
    mars 2014[32] En cours Hervé Rondeau Technicien de maintenance
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 226 habitants[Note 8], en stagnation par rapport à 2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8508969349949381 0121 0091 016979
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    959935945923929926909864775
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    781801801665670551568551491
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    422352318307273238247244233
    2014 2019 2020 - - - - - -
    226227226------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La chapelle Notre-Dame-de-la-Salette est située au milieu du cimetiÚre. Ornée de fresques réalisées par un curé de Trans peu aprÚs sa construction (fin XIXe), celles-ci furent restaurées dans les années 1980-1990 par un artiste peintre roumain.

    HĂ©raldique

    Blason de Trans Blason
    D’azur, Ă  trois enfants dans un baquet d’eau le tout d’or, chappĂ© d’argent, Ă  deux roses d’azur, en chef.
    DĂ©tails
    L’azur symbolise la prĂ©sence de l’eau reprĂ©sentĂ©e par les ruisseaux de la Vaudelle et du Merdereau qui traversent le territoire communal. Cette couleur indique Ă©galement que Trans se trouve dans l’ancienne province du Maine dont l’azur est la couleur principale.

    Le chappé représente par sa forme pointue le nom du village qui signifie bùti sur une hauteur.

    Les roses symbolisent la chapelle Notre-Dame de la Salette.

    Le baquet avec les trois enfants d’or est l’une des reprĂ©sentations de Nicolas, le saint patron de Trans, car il est le saint patron des enfants ; il est d’ailleurs le pĂšre NoĂ«l de l’Alsace et de la Lorraine.

    Les ornements sont deux gerbes de blĂ© d’or, mises en sautoir par la pointe et liĂ©es d’azur afin d’honorer l’agriculture communale.

    Le listel d’argent porte le nom de la commune en caractùres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien Ă  voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 3, , p. 687
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Evron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Trans et Évron », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    10. « Station Météo-France Evron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Trans et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. L'abbé Angot, Dictionnaire de la Mayenne, (1962), t. 3, p.795.
    23. Site du CNRTL : Ă©tymologie de trĂšs
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    25. André Bouton, Les voies antiques, les grands chemins médiévaux et les routes royales du Haut-Maine, départ. de la Sarthe (1947), p. 102.
    26. L'abbé Angot, Dictionnaire de la Mayenne, (1962), t. 3, p. 798.
    27. Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne (1903), p. 489.
    28. Monographie communale de Trans (1899), p. 20.
    29. Archives départementales de la Mayenne, Monographies communales, Trans, (1899), p.21.
    30. « Nécrologie : Fernand Melot, ancien maire est décédé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. « Une liste à compléter autour de Christian Jugé », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Précision : le maire élu est Hervé Rondeau », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Liens externes

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