Trainspotting (film)
Trainspotting ou Ferrovipathes au Québec et au Nouveau-Brunswick est un film britannique réalisé par Danny Boyle et sorti en 1996. Écrit par John Hodge, le film est adapté du roman du même nom publié en 1993 par Irvine Welsh.
Titre québécois | Ferrovipathes |
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Réalisation | Danny Boyle |
Scénario | John Hodge |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Channel Four Films Figment Films The Noel Gay Motion Picture Company PolyGram Filmed Entertainment |
Pays de production | Royaume-Uni |
Genre | comédie noire |
Durée | 93 minutes |
Sortie | 1996 |
Série Trainspotting
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Le film raconte les aventures de Mark Renton, dit « Rent Boy », interprété par Ewan McGregor, un toxicomane d'Édimbourg qui tente de se sevrer de l'héroïne et de se séparer de sa bande d'amis qu'il considère comme néfastes. Au-delà de l'addiction à la drogue, le film explore les conditions de vie déplorables de la jeunesse écossaise, dans une Écosse en pleine dépression économique dans les années 1990.
Trainspotting connaît un large succès critique et commercial. Au Royaume-Uni, pays où le film enregistre le plus d'entrées, il récolte 12 000 000 £, tandis qu'il rapporte 16 491 080 $ aux États-Unis. En outre, il a été présenté hors compétition à la quarante-neuvième édition du Festival de Cannes, où il a fait scandale[1].
Qualifié de « symbole d'une génération »[2], Trainspotting est devenu, au fil des ans, un film culte, révélant Ewan McGregor et Danny Boyle au grand public qui s'étaient déjà affirmés deux ans plus tôt par l'intermédiaire du premier long métrage de ce dernier, Petits Meurtres entre amis (Shallow Grave). Irvine Welsh connaît aussi une certaine renommée après la sortie du film, de même que Kelly Macdonald, Ewen Bremner ou encore Kevin McKidd.
Une suite, T2 Trainspotting, sort en 2017. Elle n'est pas tirée du roman Porno, suite du roman originel publiée en 2002. Comme son prédécesseur, le film obtient des critiques généralement positives, mais un succès commercial moindre.
Résumé
Édimbourg, dans les années 1990. Mark Renton, dit « Rent Boy » (Ewan McGregor), est au chômage, comme la plupart des jeunes Écossais de sa génération. Il pose un regard lucide sur sa condition de drogué. Renton traîne dans la banlieue d’Édimbourg avec ses copains : Simon David Williamson, dit « Sick Boy » (Jonny Lee Miller), un fanatique de James Bond perfide et tombeur de filles, Daniel Murphy, dit « Spud » (Ewen Bremner), un crétin sympathique et docile, Francis « Franco » Begbie (Robert Carlyle), un dangereux désaxé, accro à l'alcool et au tabac, cherchant toujours la bagarre, et Tommy (Kevin McKidd), un gars honnête, adepte de la musculation et fidèle à sa copine Lizzy (Pauline Lynch). Pour pouvoir se payer l’héroïne qu'ils prennent, sauf Begbie (qui s’en tient à l'alcool) et Tommy (qui ne touche à rien et mène une vie saine), dans l’antre du dealer Swanney, surnommé la « Mère supérieure » (Peter Mullan), ils commettent de petits délits.
Renton tente de décrocher et prend des suppositoires à l'opium, fournis par Mikey Forrester (interprété par Irvine Welsh, l'auteur du roman original), un autre trafiquant, pour commencer son sevrage en douceur. Lors d'une soirée en boîte de nuit, il constate que le fait d'arrêter l'héroïne marque le retour du désir sexuel. Il courtise Diane (Kelly Macdonald), une jeune lycéenne délurée, et s'aperçoit, après avoir passé la nuit avec elle, qu'elle n'a que quinze ans. Horrifié, Renton veut mettre un terme à leur relation, mais Diane menace de le dénoncer s'il refuse de la revoir.
Renton, Spud et Sick Boy décident de se remettre à l'héroïne, après une virée au grand air proposée par Tommy. Peu après, Lizzy quitte Tommy, en partie, à cause de Renton, car celui-ci s'est emparé d'une cassette vidéo personnelle de leurs ébats, en la remplaçant par une vidéo d'un match de football. Tommy, très déprimé, décide d'essayer à son tour l'héroïne. Même la mort du bébé d'Allison (Susan Vidler), une de leurs amies droguées, pour cause de négligence, alors qu'ils étaient tous dans un état de stupeur provoqué par la drogue, ne les convainc pas d'arrêter. Renton et Spud sont ensuite arrêtés à la suite d'un petit larcin. Spud est condamné à six mois de prison, mais Renton y échappe en entamant une cure de désintoxication. Il rechute néanmoins assez vite et est près de mourir d'une overdose. Les parents de Renton décident alors d'employer la « manière forte », en l'enfermant dans sa chambre jusqu'à ce qu'il ne soit plus accro. Renton passe par des moments très difficiles, mais finit par se guérir de son addiction.
Renton est désormais clean mais s'ennuie et ne trouve plus de sens à sa vie. Il rend visite à Tommy, qui est quant à lui devenu héroïnomane à plein temps et est séropositif. Sur le conseil de Diane, Rent Boy part pour Londres et commence à travailler dans une agence immobilière. Il apprécie sa nouvelle vie et met de l'argent de côté alors que Diane lui écrit pour lui donner des nouvelles de ses amis. Mais Begbie, recherché pour un vol à main armée, se sert de l'appartement de Mark pour se cacher. Sick Boy, venu à Londres pour des affaires louches, prend lui aussi ses quartiers chez Renton, qui est vite exaspéré d'être ainsi envahi. Tous les trois rentrent à Édimbourg pour assister aux funérailles de Tommy, mort d'une toxoplasmose.
Sick Boy, informé d'une énorme opportunité, propose à Renton, Spud et Begbie de l'aider à acheter 2 kg d'héroïne pour 4 000 £ afin de réaliser un gros bénéfice en la revendant. Mark est réticent mais se laisse convaincre. Tous les quatre vont à Londres et vendent l'héroïne à un trafiquant pour 16 000 £. Alors qu'ils fêtent l’événement, Renton propose à Spud de s'enfuir avec l'argent mais Spud est trop effrayé par Begbie. Pendant la nuit, Renton prend le sac qui contient l'argent et s'en va. Spud le voit partir mais ne prévient pas les autres. Renton laisse 4 000 £ dans un coffre, pour Spud, et décide de prendre un nouveau départ.
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
- Titre original et français : Trainspotting
- Titre québécois : Ferrovipathes
- Réalisation : Danny Boyle
- Scénario : John Hodge, d'après le roman Trainspotting de Irvine Welsh
- Direction artistique : Tracey Gallacher
- Décors : Kave Quinn
- Costumes : Rachael Fleming
- Photographie : Brian Tufano
- Son : Ray Merrin, Brian Saunders, Mark Taylor
- Montage : Masahiro Hirakubo
- Production : Andrew Macdonald
- Coproduction : Christopher Figg
- Sociétés de production[3] : Channel Four Films, Figment Films, The Noel Gay Motion Picture Company et PolyGram Filmed Entertainment
- Société de distribution[3] : PolyGram Filmed Entertainment (Royaume-Uni), PolyGram Film Distribution (France)
- Budget : 1 500 000 £[4]
- Pays de production : Royaume-Uni
- Langue originale : anglais
- Format[5] : couleur - 35 mm - 1,85:1 - son Dolby SR
- Genre : Comédie noire
- Durée : 93 minutes
- Dates de sortie[6] :
- Royaume-Uni : (sortie nationale), (Festival international du film d'Édimbourg)
- France : (Festival de Cannes 1996), (sortie nationale), (Cherbourg-Octeville Festival of Irish and British Film)
- Canada :
- Suisse :
- Classification[7] :
- Royaume-Uni : 18 - Suitable only for adults (Interdit aux moins de 18 ans)[8].
- France : Interdit aux moins de 16 ans (visa d'exploitation no 90005 délivré le )[9].
Distribution
- Ewan McGregor (VF : Damien Witecka) : Mark « Rent Boy » Renton
- Ewen Bremner (VF : Didier Brice) : Daniel « Spud » Murphy
- Jonny Lee Miller (VF : Thibault de Montalembert) : Simon « Sick Boy » David Williamson
- Robert Carlyle (VF : Franck Capillery) : Francis « Franco » Begbie
- Kevin McKidd (VF : Christophe Brault) : Thomas « Tommy » MacKenzie
- Kelly Macdonald (VF : Véronique Volta) : Diane Coulston
- Peter Mullan (VF : Pierre Baux) : Swanney, « la Mère supérieure »
- Susan Vidler : Allison
- Eileen Nicholas : Madame Renton
- James Cosmo (VF : Jo Doumerg) : Monsieur Renton
- Shirley Henderson (VF : Valérie Karsenti) : Gail Houston
- Pauline Lynch (VF : Marjorie Frantz) : Lizzy
- Stuart McQuarrie : Gav Temperley / le touriste américain
- Irvine Welsh : Mikey Forrester
- Kevin Allen : Andreas
- Keith Allen (VF : Bernard Métraux) : le dealer
- Dale Winton : l'hôte du jeu télévisé
- Lauren et Devon Lamb : Dawn, le bébé de Allison (non-crédités)
Sources et légende : version française (VF) sur Voxofilm [10]
Production
Le producteur Andrew Macdonald lit le roman Trainspotting d'Irvine Welsh dans un avion en et sent son potentiel pour en faire un film[11]. Il met sur le projet le réalisateur Danny Boyle et le scénariste John Hodge, tous deux très enthousiastes, en [12]. Boyle persuade Welsh de lui céder une option sur les droits d'adaptation du livre en lui envoyant une lettre où il écrit notamment que « Macdonald et Hodge sont les deux Écossais les plus importants depuis Kenny Dalglish et Alex Ferguson[11]. » Welsh approuve également le fait que les trois hommes ne veuillent pas faire du film un drame social et comptent le rendre accessible à un public assez large. En , Hodge, Boyle et Macdonald passent beaucoup de temps à discuter quels chapitres du livre seront transposés à l'écran, et Hodge termine le premier script en décembre[11]. Macdonald trouve un financement en concluant un accord avec Channel 4, chaîne de télévision britannique connue pour financer des films indépendants[12].
La phase de préproduction débute en , et Ewan McGregor, qui a déjà travaillé avec Boyle, Hodge et Macdonald sur Petits meurtres entre amis, leur film précédent, est tout de suite engagé pour tenir le rôle principal[11]. Pour préparer son rôle, McGregor lit des ouvrages sur l'addiction au crack et à l'héroïne et rencontre des anciens drogués, apprenant comment préparer une dose d'héroïne avec une cuillère[13]. Il se rase également le crâne et perd treize kilos. Boyle dit qu'il voulait pour le personnage de Renton un acteur qui fasse penser à « Michael Caine dans Alfie le dragueur et Malcolm McDowell dans Orange mécanique », quelqu'un de très ambigu, repoussant et charmeur à la fois[12]. Ewen Bremner, qui a joué le rôle de Renton dans l'adaptation du livre au théâtre, accepte d'interpréter le personnage de Spud, alors que Jonny Lee Miller est choisi par Boyle pour le rôle de Sick Boy en prenant l'accent de Sean Connery lors du casting. Pour le personnage de Begbie, Boyle pense tout d'abord à Christopher Eccleston avant de changer d'avis et d'engager Robert Carlyle, et le réalisateur cherche une actrice sans aucune expérience pour interpréter Diane et passe des annonces dans des boîtes de nuit et des magasins avant de réussir à trouver Kelly Macdonald (qui n'a aucun lien de parenté avec le producteur)[11]. Irvine Welsh joue un petit rôle dans le film, il s'agit du trafiquant Mikey Forrester qui donne à Renton des suppositoires à l'opium au début du film quand ce dernier essaye de « décrocher ».
Le tournage du film a lieu pendant l'été 1995 et dure sept semaines. Bien que l'action du film se situe à Édimbourg, il est tourné en grande partie à Glasgow, dans une ancienne fabrique de cigarettes pour la plupart des intérieurs, ainsi qu'à Édimbourg pour la première scène et à Londres pour les dernières[14]. En raison du budget limité et des contraintes au niveau de la durée du tournage, la plupart des scènes sont faites avec une seule prise. Lors de la scène des toilettes, où Renton perd ses suppositoires d'opium, les excréments sont en fait de la sauce au chocolat. Pour la scène où il s'enfonce dans le sol après une overdose, l'équipe de décoration construit une plate-forme au-dessus d'une trappe pour l'y faire descendre[12]. Pour l'esthétique du film, Boyle est influencé par les couleurs des peintures de Francis Bacon, qui représentent « une sorte de territoire intermédiaire entre la réalité et le fantasme[11]. »
Bande originale
Music from the Motion Picture
Sortie | février 1996 |
---|---|
Durée | 75:27 |
Genre | britpop, techno, dance, electronica, rock alternatif |
Label | EMI / Capitol |
La bande originale du film est un grand succès. L'album est classé à la 17e place du classement des meilleures bandes originales du cinéma établi en 2011 par le magazine Entertainment Weekly[15]. Elle utilise des chansons d'artistes reconnus (Lou Reed, Iggy Pop, New Order), ainsi que des morceaux de la vague britpop (Pulp, Blur, Elastica, etc). Trainspotting compte à son actif deux bandes originales, éditées chez EMI, contenant soit des musiques tirées du film (première bande originale, orange), soit un mélange entre des musiques du film et des musiques ayant inspiré le réalisateur (deuxième bande originale, verte).
1996 : Trainspotting: Music from the Motion Picture
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1997 : Trainspotting #2: Music from the Motion Picture, Vol. #2
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Accueil
Accueil critique
Il a reçu un accueil critique très positif, recueillant 89 % de critiques favorables, avec un score moyen de 8,2⁄10 et sur la base de 56 critiques collectées, sur le site Rotten Tomatoes[17]. Sur le site Metacritic, il obtient un score de 83⁄100, sur la base de 27 critiques collectées[18]. Derek Malcolm, du Guardian, évoque « une extraordinaire réussite et une découverte sensationnelle[19] ». Pour Neil Jeffries, du magazine Empire, c'est un film « dont le Royaume-Uni peut être fier », porté par « une distribution fantastique et une bande originale étourdissante[20] ». Desson Howe, Washington Post, met en avant « la verve irrévérencieuse du film, accentuée par un montage dynamique et le langage très coloré des protagonistes » et estime qu'il « s'empare des sujets les plus scabreux et les rend drôles[21] ». L'Express évoque un film sulfureux, contenant « une bonne dose d'humour à froid », salue la remarquable interprétation des acteurs principaux et le compare à un « Orange mécanique des années 90[22] ». Michel Pascal, du Point, délivre une critique négative, estimant que « le roman-culte d'Irvine Welsh méritait mieux que ce traitement mode et faussement provocateur dans sa délirante surenchère d'images-chocs » malgré une « grandiose bande originale[23] ».
Time Magazine l'a classé troisième meilleur film de 1996[24]. En 1999, le British Film Institute le classe 10e meilleur film britannique de tous les temps[25]. En 2004, il a été élu lors d'un sondage public meilleur film écossais de tous les temps[26]. En 2008, le magazine Empire le classe à la 316e place dans sa liste des 500 meilleurs films de tous les temps[27]. En 2017, le magazine Time Out le classe à la 10e place dans sa liste des 100 meilleurs films britanniques de tous les temps[28]. Il figure dans le Top 250 du classement des films de l'Internet Movie Database, basé sur les votes du public, avec une note moyenne de 8,2⁄10[29].
Box-office
Trainspotting sort dans les salles de cinéma britanniques le et rapporte 12,3 millions de £ durant toute son exploitation sur grand écran[30], soit l'équivalent de 3,5 millions d'entrées[31].
Au moment de sa sortie en Amérique du Nord, le 19 juillet 1996, le film avait rapporté plus de 18 millions de dollars en Grande-Bretagne. Il a d'abord ouvert dans huit cinémas aux États-Unis et au Canada et a rapporté 33 000 $ par écran lors de son premier week-end. Le film s'est étendu à 357 écrans et a fait 16,4 millions de dollars en Amérique du Nord[32], devenant l'un des films les plus rentables de 1996 en sortie limitée[33]. Trainspotting était le film britannique le plus rentable de 1996, et à l'époque c'était le quatrième film britannique le plus rentable de l'histoire[34]. Outre les 12 millions de livres sterling au Royaume-Uni, le long-métrage engrange 72 millions de dollars au niveau international[35]. Sur la base d'un rapport coût/rendement, Trainspotting était le film le plus rentable de l'année[36].
En France, Trainspotting sort en salles le et totalise 1 051 859 entrées en fin d'exploitation[37].
Distinctions
Entre 1996 et 2017, Trainspotting a été sélectionné 59 fois dans diverses catégories et a remporté 23 récompenses[38] - [39].
Récompenses
Année | Festivals de cinéma | Prix | Lauréat(es) |
---|---|---|---|
1996 | Awards Circuit Community Awards | ACCA du meilleur scénario adapté | John Hodge |
Boston Society of Film Critics Awards | BSFC Award du meilleur film | - | |
British Academy Film and Television Arts Awards[38] - [39] | BAFTA Film Award du meilleur scénario adapté | John Hodge | |
National Board of Review | NBR Award des dix meilleurs films | - | |
Seattle International Film Festival | Golden Space Needle Award du meilleur film | - | |
Golden Space Needle Award du meilleur réalisateur | Danny Boyle | ||
Warsaw International Film Festival | Prix du public | Danny Boyle | |
1997 | BAFTA Awards, Scotland | BAFTA Scotland Award du meilleur film | Andrew Macdonald, Danny Boyle et John Hodge |
BAFTA Scotland Award du meilleur acteur dans un film | Ewan McGregor | ||
Bodil Awards | Bodil du meilleur film non américain | Danny Boyle | |
Brit Awards | Brit de la meilleure bande son | - | |
Czech Lions | Czech Lion du meilleur film en langue étrangère | Danny Boyle | |
Empire Awards | Empire Award du meilleur film britannique | - | |
Empire Award du meilleur début | Ewen Bremner | ||
Empire Award du meilleur réalisateur britannique | Danny Boyle | ||
Empire Award du meilleur acteur britannique | Ewan McGregor | ||
Evening Standard British Film Award | Evening Standard British Film Award du meilleur scénario | John Hodge[Note 1] | |
London Critics Circle Film Awards | ALFS Award de l'acteur britannique de l'année | Ewan McGregor | |
ALFS Award du producteur britannique de l'année | Andrew Macdonald | ||
Prism Awards | Prism Award du Long métrage théâtral | - | |
2017 | 20/20 Awards | Felix du meilleur scénario adapté | John Hodge |
Felix de la meilleure chanson | (pour Lust for Life) | ||
Felix du meilleur montage | Masahiro Hirakubo |
Nominations
Année | Festivals de cinéma | Catégorie | Nommé(es) |
---|---|---|---|
1996 | Australian Film Institute | Nomination au prix du meilleur film étranger | Andrew Macdonald |
Awards Circuit Community Awards | Meilleur film | Andrew Macdonald | |
Meilleur réalisateur | Danny Boyle | ||
Meilleure photographie | Brian Tufano | ||
Meilleur montage de film | Masahiro Nishikubo | ||
Meilleur acteur dans un second rôle | Robert Carlyle | ||
Boston Society of Film Critics Awards | Meilleur scénario | John Hodge | |
British Academy Film and Television Arts Awards | Nomination au prix Alexander Korda du meilleur film britannique | Andrew Macdonald et Danny Boyle | |
Festival de Cannes[39] | Longs métrages - Hors-compétition | Danny Boyle | |
1997 | BAFTA Awards, Scotland | Meilleur scénariste | John Hodge |
Meilleur acteur dans un film | Robert Carlyle | ||
Meilleure actrice dans un film | Kelly Macdonald | ||
Chicago Film Critics Association Awards | Acteur le plus prometteur | Ewan McGregor | |
Meilleur scénario adapté | John Hodge | ||
Chlotrudis Awards | Meilleur réalisateur | Danny Boyle | |
Dallas-Fort Worth Film Critics Association Awards | Meilleur film | - | |
Film Independent Spirit Awards | Meilleur film étranger | Danny Boyle | |
Italian National Syndicate of Film Journalists | Ruban d'argent européen | Danny Boyle | |
London Critics Circle Film Awards | Film britannique de l'année | - | |
Réalisateur britannique de l'année | Danny Boyle | ||
MTV Movie Awards | Meilleure performance exceptionnelle | Ewan McGregor | |
MTV Video Music Awards | Meilleure vidéo de film | Iggy Pop (pour Lust for Life) | |
Online Film & Television Association | Meilleur film dramatique | Andrew Macdonald | |
Meilleur scénario adapté | John Hodge | ||
Oscars / Academy Awards[38] - [39] | Meilleur scénario adapté | John Hodge | |
Satellite Awards | Meilleur film dramatique | Andrew Macdonald | |
Meilleur acteur dans un second rôle dans un film dramatique | Robert Carlyle | ||
Meilleur scénario adapté | John Hodge | ||
Turkish Film Critics Association (SIYAD) Awards | Meilleur film étranger | 3ème place | |
Writers Guild of America Awards | Meilleur scénario basé sur du matériel déjà produit ou publié | John Hodge | |
2017 | 20/20 Awards | Meilleur réalisateur | Danny Boyle |
Meilleur acteur | Ewan McGregor | ||
Meilleur acteur dans un second rôle | Robert Carlyle | ||
Meilleure direction artistique | Kave Quinn | ||
Meilleure conception de costumes | Rachael Fleming | ||
Meilleur film | - |
Article annexe
Notes et références
Notes
- A égalité avec Emma Thompson pour Raison et sentiments (1995).
Références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Trainspotting (film) » (voir la liste des auteurs).
- Institut national de l'audiovisuel, « Le film "Trainspotting" fait scandale au festival de Cannes » (vidéo), F2 Le Journal 20H, sur ina.fr, (consulté le ).
- « « Trainspotting » - Lust for Film - Maze.fr », sur Maze, (consulté le ).
- (en) Trainspotting - Société de Production / Sociétés de distribution sur l’Internet Movie Database (consulté le 15 septembre 2020).
- Alexander Walker, Icons in the Fire: The Rise and Fall of Practically Everyone in the British Film Industry 1984–2000, Orion Books, 2005 p. 237.
- (en) Trainspotting - Spécifications techniques sur l’Internet Movie Database (consulté le 15 septembre 2020).
- (en) Trainspotting - Dates de sortie sur l’Internet Movie Database (consulté le 15 septembre 2020).
- (en) Trainspotting - Guide Parental sur l’Internet Movie Database (consulté le 15 septembre 2020).
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- (en) Jeff Gordinier, « Stupor Heroes », Entertainment Weekly (consulté le )
- (en) Mark Jolly, « Trainspottings Engine That Could », Interview, , p. 107
- (en) « Trainspotting Film Locations », sur movie-locations.com (consulté le )
- (en) « 100 Best Movie Soundtracks », Entertainment Weekly, (consulté le )
- Le titre est crédité Born Slippy mais la chanson présente sur l'album est Born Slippy .NUXX, issue de la face B du single Born Slippy.
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- Michel Pascal, « Trainspotting », Le Point (consulté le )
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- « Box-office/business for Trainspotting », sur IMDb, (consulté le ).
- « Trainspotting au box-office britannique et européen », sur lumiere.obs.coe.int (consulté le ).
- « Trainspotting » [archive du ], sur Box Office Mojo (consulté le )
- « Top 20 '96 Domestic Limited Releases », Variety, , p. 20
- Lash, Scott; Lury Celia (2007) Global Culture Industry: The Mediation of Things, Polity, (ISBN 978-0-7456-2482-2), p. 167.
- Duncan J Petrie, « Contemporary Scottish Fictions—Film, Television, and the Novel: Film, Television and the Novel », Edinburgh University Press, , p. 101–102
- Leonard Klady, « Pix get ratio-active », Variety, , p. 1
- « Box-office de Trainspotting », sur JP's Box-office (consulté le ).
- (en) Trainspotting - Distinctions sur l’Internet Movie Database (consulté le 14 septembre 2020).
- Trainspotting - Distinctions sur Allociné (consulté le 14 septembre 2020).
Liens externes
- (en) Site officiel
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Centre national du cinéma et de l'image animée
- Ciné-Ressources
- Cinémathèque québécoise
- (en) AllMovie
- (en) BFI National Archive
- (en) IMDb
- (en) LUMIERE
- (de) OFDb
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
- Ressource relative aux beaux-arts :
- (en) Museum of Modern Art
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- (en) Metacritic
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :