Tiranges
Tiranges est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Tiranges | |||||
Centre du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | Haute-Loire | ||||
Arrondissement | Yssingeaux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron | ||||
Maire Mandat |
Christian Collange 2020-2026 |
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Code postal | 43530 | ||||
Code commune | 43246 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
457 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 18′ 18″ nord, 3° 59′ 20″ est | ||||
Altitude | Min. 489 m Max. 921 m |
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Superficie | 26,83 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Bas-en-Basset | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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GĂ©ographie
La commune se situe au cœur du Velay, aux portes de l'Auvergne, entre Retournac, Bas-en-Basset et Saint-Pal-de-Chalencon, à l'extrémité d'un plateau de 875 à 900 mètres d'altitude, entre les vallées de l'Ance à l'ouest et de l'Andrable à l'est.
Localisation
La commune de Tiranges se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].
Elle se situe à 50 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 28 km d'Yssingeaux[2], sous-préfecture, et à 17 km de Bas-en-Basset[3], bureau centralisateur du canton de Bas-en-Basset dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Boisset (2,2 km), Saint-André-de-Chalencon (3,8 km), Valprivas (4,4 km), Solignac-sous-Roche (5,8 km), Saint-Julien-d'Ance (5,9 km), Saint-Pal-de-Chalencon (6,3 km), Saint-Georges-Lagricol (8,0 km), Merle-Leignec (8,2 km).
Urbanisme
Typologie
Tiranges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [5] - [I 2] - [6]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,9 %), zones agricoles hétérogènes (34,9 %), prairies (10,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,7 %), zones urbanisées (1 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux
La commune compte de nombreux hameaux : le Bec, Chales, Pravel, les Arnauds, Gaillard, Boissière, la Grange du Fieu, le Gally, les Rois, Cerces...
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 415, alors qu'il Ă©tait de 404 en 2013 et de 412 en 2008[I 5].
Parmi ces logements, 53,8 % étaient des résidences principales, 35 % des résidences secondaires et 11,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,7 % des appartements[I 6].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tiranges en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (35 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,2 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].
Histoire
La commune est mentionnée la première fois au XIIe siècle. En 1789, elle faisait partie de la province du Forez puis, à la suite du découpage de la province en deux départements, elle fait partie de la Haute-Loire à partir du .
On peut signaler un passé de faux saunier assez important. En effet, en raison de la proximité des limites de provinces, des habitants vendaient ce précieux sel sans payer la gabelle.
Les seigneurs des lieux
Le village Ă©tait autrefois l'apanage de la famille de Gayardon.
Ceci est la liste des derniers seigneurs :
- Raymond de Gayardon de Grézolles(1635-1687), capitaine au régiment lyonnais.
- Laurent de Gayardon de Grézolles(1670-1728), capitaine au régiment lyonnais.
- Laurent-Charles de Gayardon, marquis de Fenoyl (1696-1783), capitaine au régiment de Tallard.
- Laurent-François de Gayardon, marquis de Fenoyl (1730-1785), maréchal de camp des gardes françaises, chevalier de Saint-Louis.
- Laurent-Charles-Marie de Gayardon, marquis de Fenoyl (1764-1803), officier des gardes françaises, puis capitaine de la Garde nationale. Instigateur d'un réseau royaliste pendant la Révolution, il utilisa ses nombreuses amitiés dans les milieux révolutionnaires pour placer Gomin comme gardien du dauphin dans la prison du Temple.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Tiranges est membre de la communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Monistrol-sur-Loire. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[8].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement d'Yssingeaux, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Bas-en-Basset pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la première circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[9].
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[12].
En 2020, la commune comptait 457 habitants[Note 4], en diminution de 2,35 % par rapport Ă 2014 (Haute-Loire : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 39,3 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 245 hommes pour 227 femmes, soit un taux de 51,91 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
Une vogue anime le village l'avant dernier week-end de juillet. Un défilé de chars fleuris est organisé le dimanche après-midi, mettant en compétition le bourg et les hameaux. De plus, le téléthon est l'occasion pour chacun de montrer ses performances et ses talents. L'ultra Trail organisé le premier week-end de mai permet aux champions de se préparer pour le tour du Mont Blanc sur un parcours exceptionnel en dénivelé.
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 1 354 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 2 977 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 050 €[I 13] (20 800 € dans le département[I 14]). 39 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (42,8 % dans le département).
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 15] | 6 % | 7,3 % | 8,1 % |
DĂ©partement[I 16] | 6,3 % | 7,7 % | 7,7 % |
France entière[I 17] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 801 personnes, parmi lesquelles on compte 75,8 % d'actifs (67,6 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 24,2 % d'inactifs[Note 7] - [I 15]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 2] - [I 18]. Elle compte 1 224 emplois en 2018, contre 1 134 en 2013 et 1 195 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 237, soit un indicateur de concentration d'emploi de 99 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53 %[I 19].
Sur ces 1 237 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 687 travaillent dans la commune, soit 56 % des habitants[I 20]. Pour se rendre au travail, 81,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,1 % les transports en commun, 9,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 21].
Commerces, structures
Outre ses monuments historiques (pont du diable, cour du château, croix en pierre du XVIe siècle posée à l'entrée est du village), Tiranges compte quelques commerces (boulangerie, fromagerie du Gaec lou becou...). Le monument aux morts se trouve sur la place de la Mairie, sur laquelle donne également une église reconstruite vers 1930 (mais avec des éléments antérieurs à la Révolution). Tiranges possède aussi une école, une bibliothèque et une salle des fêtes, et dispose d'un terrain de football (Jean-Ollier) sur la route de Bas, et de jeux de boules (Jean-Bargeon) immédiatement à côté du terrain de tennis sur la route de Retournac.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Un menhir préhistorique se trouve dans le hameau des Arnauds, et fut christianisé. On trouve plusieurs chapelles dans les hameaux : à Pravel, à Boissière, ainsi que les chapelles Saint-Martin et Saint-Jean-François Régis. Le remarquable pont du diable (voir ci-dessous la légende) est jeté depuis le XIIe siècle au-dessus de la vallée de l'Ance pour rejoindre le château de Chalencon. Environ 700 m en amont se trouve un second pont d'une seule arche datant du XVe siècle.
La légende du pont du Diable
Le château visitable de Chalencon, dans la commune voisine de Saint-André-de-Chalencon, date du Xe siècle et fut le siège de la noblesse locale (voir la rubrique les Seigneurs des lieux). On y accède par le pont du Diable qui, selon la légende, était ruiné par les crues incessantes de l'Ance. Le seigneur signe donc un pacte avec le Diable pour empêcher une nouvelle destruction de l'édifice. Satan déclare que la première personne qui passera le pont fera don par ce biais de son âme. Le seigneur souhaite se sacrifier mais quand il s'avance, son chien le précède et sauve ainsi son maître. Le Diable, dit-on, furieux, jette une énorme pierre au pied du pont que l'on voit encore aujourd'hui.
Personnalités liées à la commune
- Laurent-Charles Marie de Gayardon, marquis de Fenoyl, dernier seigneur de Tiranges. Officier aux gardes françaises, il passa dans la garde nationale à la Révolution. De nombreux historiens, dont Beauchesne, attestent sa participation active à un réseau d'agents secrets royalistes. Il se désintéresse des événements parisiens et se retire sur ses terres en 1795, à la mort du dauphin. Il participa encore à la campagne d'Italie, comme inspecteur puis comme secrétaire d'état-major de son ami le général de La Poype. Il meurt prématurément en 1803, au château de Fenoyl (Rhône).
HĂ©raldique
Blason | Parti : au 1er écartelé d'or et de gueules, à la bordure d'azur chargée de dix fleurs de lys d'or, au 2d coupé au I de gueules plain au chef échiqueté d'argent et d'azur de deux tires, au II d'azur à un lion d'or, armé, lampassé et couronné de gueules, accompagné de trois besants d'or ; sur le tout, d'argent à une lettre T d'or* brochant sur une crosse abbatiale du même*[15]. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Tiranges » (consulté le ).
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Tiranges » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Tiranges - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Tiranges - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Tiranges » (consulté le ).
- « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tiranges (43246) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Tence » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Tence » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Tence » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
- Stephan Georg, « Distance entre Tiranges et Le Puy-en-Velay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Tiranges et Yssingeaux », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Tiranges et Bas-en-Basset », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Tiranges », sur www.villorama.com (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron - fiche descriptive au », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
- « Découpage électoral de la Haute-Loire (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Liste des maires de la Haute-Loire sur le site de la préfecture (consulté le 27 août 2014).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « 43246 Tiranges (Haute-Loire) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Sources
- André Pauze, Entre Ance et Andrable