Tillac (Gers)
Tillac est une commune française située dans le sud du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois trÚs vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.
Tillac | |
Rue principale du village et l'Ă©glise Saint-Jacques-le-Majeur | |
Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gers |
Arrondissement | Mirande |
Intercommunalité | Communauté de communes Bastides et Vallons du Gers |
Maire Mandat |
Alain Audirac 2020-2026 |
Code postal | 32170 |
Code commune | 32446 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
283 hab. (2020 ) |
Densité | 23 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 28âČ 34âł nord, 0° 16âČ 35âł est |
Altitude | Min. 170 m Max. 264 m |
Superficie | 12,47 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Pardiac-RiviĂšre-Basse |
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le BouÚs, le ruisseau de Cassagnau et par divers autres petits cours d'eau.
Tillac est une commune rurale qui compte 283 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 838 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Tillacais ou Tillacaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : la Tour de l'Horloge, inscrite en 1925, les remparts, inscrits en 1925, la maison de la bastide, inscrite en 1926, et l'église Saint-Jacques-le-Majeur, inscrite en 2014.
GĂ©ographie
Localisation
à l'ouest d'une barre boisée, la vallée du BouÚs s'ouvre sur une grande plaine étalée vers Marciac. Le petit village de Tillac, anciennement fortifié et situé à 39 km au sud-ouest d'Auch, commande un grand territoire agricole demeuré trÚs actif.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Aux-Aussat, Laas, Miélan, Monlezun, Monpardiac, Pallanne et Troncens.
GĂ©ologie et relief
Tillac se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le BouÚs, le ruisseau de Cassagnau, l'Esclotte, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[4] - [Carte 1].
Le BouÚs, d'une longueur totale de 62,5 km, prend sa source dans la commune de Burg et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arros à Beaumarchés, aprÚs avoir traversé 32 communes[5].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mirande », sur la commune de Mirande, mise en service en 1971[11] et qui se trouve Ă 11 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 791,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et Ă 31 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] Ă 13,5 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17] - [18] - [19].
Urbanisme
Typologie
Tillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [20] - [I 1] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (86,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (92,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (54,5 %), terres arables (20,5 %), prairies (11,8 %), forĂȘts (7,9 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (5,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Tillac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le BouĂšs. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[25]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2009[26] - [23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 168 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 168 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993 et 2002 et par des mouvements de terrain en 1999[23].
Toponymie
Albert Dauzat[29] et Ernest NĂšgre[30] ne mentionnent pas de formes anciennes pour Tillac.
L'un comme l'autre l'expliquent cependant. Pour le premier, l'Ă©lĂ©ment -ac est le suffixe -acum, prĂ©cĂ©dĂ© du nom d'homme latin Tilius. Pour le second, il s'agit du mĂȘme suffixe, composĂ© avec le nom d'homme romain Tillius (OTL).
L'origine du suffixe -acum a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©e par les linguistes et les toponymistes[31]. Il est d'origine gauloise *-Äko / *-(i)Äko- et sert Ă localiser des dieux oĂč des personnes Ă l'origine, avant de devenir un suffixe marquant la propriĂ©tĂ© Ă l'Ă©poque gallo-romaine[32]. Il a donnĂ© -ac dans le Sud de la France (et parfois en Bretagne) et -(a)y / -(e)y /-Ă©, etc. dans le Nord.
Tillac doit remonter au gallo-roman *TILIACU ou *TILLIACU comme certains Tilly du nord de la France, ainsi Tilly-sur-Meuse, riche en formes anciennes : Tilliacus fiscus IXe siÚcle ; Tiliacum (952, 962, 973, 1011, 1015, 1047, 1049, 1060, 1061). Un rapport avec le nom du tilleul (occitan telh) est plus problématique.
Homonymie avec plusieurs autres Tillac, notamment Grand- et Petit-Tillac sur la commune de Rorthais (Deux-SĂšvres).
Le nom commun tillac « pont supérieur d'un navire » a une tout autre origine. Il s'agit d'un mot normand attesté pour la premiÚre fois dans un rapport du Clos des galées de Rouen en 1369[33].
Histoire
La crĂ©ation de Tillac sâĂ©tend entre le XIe et XIVe siĂšcles. Le village, dotĂ© de fortifications Ă©levĂ©es par Bernard VII, comte d'Armagnac, se prĂ©sente Ă lâĂ©poque sous la forme dâun quadrilatĂšre fortifiĂ©, dont chaque angle est orientĂ© vers un des points cardinaux, Ă©tabli autour dâun chĂąteau. Celui-ci, appartenant aux comtes de Pardiac, nâexiste plus aujourdâhui, mais ses vestiges sont toujours visibles dans lâangle nord-est du village.
Le systĂšme dĂ©fensif de Tillac comporte deux tours : la tour de Mirande Ă lâest, et la tour de Rabastens Ă lâouest, soulignant lâimportance du castelnau dâalors. La tour de Rabastens prĂ©sente une particularitĂ© rare dans la rĂ©gion, celle de possĂ©der seulement deux murs et pas de toit. Il sâagit dâune tour ouverte Ă la gorge, conçue pour empĂȘcher les ennemis de sây installer si elle venait Ă ĂȘtre prise.
Le village est traversĂ© d'une ruelle encadrĂ©e de deux galeries couvertes, dont les encorbellements, reposant sur de gros piliers de bois, sont rehaussĂ©s de briques ou de torchis. Les maisons actuelles du village datent de la fin du XVIIe siĂšcle, et lâon retrouve sur des piliers du presbytĂšre une mesure Ă grain en pierre, scellĂ©e pour rĂ©pondre Ă une ordonnance royale de 1613. Elle oblige en effet les Tillacois à « tenir mesure dâairain ou de pierre pour que le public y mesure ses grains ».
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[36]. En 2020, la commune comptait 283 habitants[Note 5], en augmentation de 5,6 % par rapport Ă 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Ăconomie, commerces et artisans
- 1 gĂźte rural : CAP de BOUEOU (bouĂ©ou = bĆuf en gascon) - Location de vacances dans une ferme du XVIIIe siĂšcle - 5 km de Tillac.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La tour de Mirande, située à l'entrée Est de Tillac.
- La tour de Rabastens, située à l'entrée Ouest de Tillac.
- LâĂ©glise Saint-Jacques-le-Majeur est un Ă©difice gothique du XVe siĂšcle. Son retable du XVIIIe siĂšcle est classĂ© monument historique. En 1855-1856, la nef est refaite et de nouvelles ouvertures sont alors percĂ©es pour Ă©clairer chaque cĂŽtĂ©. Alors quâen 1840, lâĂ©glise ne comporte aucune statue, elle compte aujourdâhui quelques Ćuvres parmi lesquelles une vierge pĂšlerine, un saint Jacques en bois sculptĂ©, inspirĂ© dâune statue du portail principal de la cathĂ©drale de Saint-Jacques-de-Compostelle. On y trouve encore des trĂ©sors liturgiques : antiphonaires, ciboires, vĂȘtements liturgiques et banniĂšres de procession. L'Ă©glise est inscrite Ă l'inventaire des monuments historiques depuis 2014[39]. Plusieurs objets (cloche, tableau) sont rĂ©fĂ©rencer dans la base Palissy (voir les notices liĂ©es)[39].
- Le chùteau de Pallanne, à la sortie de Tillac, est l'un des plus beaux chùteaux du XVIIIe siÚcle de la région. Il a été construit pour Audirac, médecin à la mode à la cour de Louis XVI.
Galerie de photos
- Tour de Rabastens.
- Ăglise Saint-Jacques-le-Majeur.
- Rue principale de Tillac.
- Tour de Mirande.
Voir aussi
Bibliographie
- Georges CourtÚs (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)
- Alfred Gardey de Soos, Tillac-en-Pardiac Ă travers les Ăąges, Carcassonne, Bonnafous-Thomas, [1905], 106 p.
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Tillac » sur Géoportail (consulté le 13 décembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de Tillac », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « le BouÚs »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Mirande - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Tillac et Mirande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Mirande - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tillac et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Tillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Tillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Tillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Tillac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Tillac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p. 678.
- Toponymie générale de la France, Volume 1. Librairie Droz 1991. p. 480.
- Pierre-Yves Lambert, La langue Gauloise, Ă©dition errance 1994. p. 39
- P-Y Lambert, Op. cité.
- Site du cnrtl : Ă©tymologie de Tillac
- Site de la préfecture - Fiche de Tillac
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise Saint-Jacques-le-Majeur, située au village », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).