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Terre Adélie

La terre AdĂ©lie est une rĂ©gion cĂŽtiĂšre d'Antarctique oriental dĂ©couverte en 1840 par l'explorateur français Jules Dumont d'Urville au sud de l'Australie. De la cĂŽte au pĂŽle Sud, et entre 136 et 142° de longitude est, la France revendique une aire de 352 000 km2 qui, sous le nom de Terre-AdĂ©lie, est l'un des cinq districts des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF). Cette revendication, non reconnue par certains pays – dont les États-Unis et la Russie –, s’est trouvĂ©e suspendue en 1961 par l'entrĂ©e en vigueur du TraitĂ© sur l'Antarctique. Depuis 1956, la terre AdĂ©lie abrite la base antarctique française de Dumont-d'Urville, initialement construite pour l'AnnĂ©e gĂ©ophysique internationale (1957-1958), mais occupĂ©e depuis de façon permanente. Elle est rattachĂ©e au fuseau horaire UTC+10:00.

District de la Terre-Adélie
Drapeau de District de la Terre-Adélie
Drapeau
Terre Adélie
Situation de la Terre-Adélie sur le continent.
La revendication est suspendue par le traité sur l'Antarctique
Administration
Statut District administratif des Drapeau des Terres australes et antarctiques françaises Terres australes et antarctiques françaises
Chef-lieu Dumont-d'Urville
DĂ©mographie
Population 38 hab.
Densité hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 66° 39â€Č 47″ sud, 140° 00â€Č 10″ est
Superficie 352 000 km2
Limites 136° et 142° de longitude est
Du pĂŽle Sud Ă  la cĂŽte

    GĂ©ographie

    Localisation

    AprĂšs les prises de possession faites en 1929-1931 par l'Australien Douglas Mawson lors de son expĂ©dition BANZARE tout au long de la cĂŽte antarctique, de la terre de George V Ă  la terre de Mac. Robertson, d'interminables nĂ©gociations eurent lieu avec l'Australie. À leur terme, c'est un dĂ©cret[1] du prĂ©sident Lebrun qui a fixĂ©, le , les « limites des territoires français de la rĂ©gion antarctique dite « Terre AdĂ©lie » ». Dans son article premier, « les Ăźles et territoires situĂ©s au Sud du 60e degrĂ© parallĂšle de latitude Sud et entre les 136e et 142e degrĂ©s mĂ©ridiens de longitude Est de Greenwich relĂšvent de la souverainetĂ© française ». En prenant pour sommet le pĂŽle Sud gĂ©ographique et pour base 333 km d'ocĂ©an (Ă  la limite entre l'ocĂ©an Indien et l'ocĂ©an Austral), cette portion de fuseau sphĂ©rique forme un triangle isocĂšle quasi sphĂ©rique[2] de 569 000 km2 de superficie, soit un peu plus que la surface de la France mĂ©tropolitaine (552 000 km2).

    Mais, le dĂ©cret ne revendiquant que « les Ăźles et territoires » de ce domaine, seules les terres englacĂ©es du continent antarctique et les Ăźlots cĂŽtiers sont Ă  prendre en compte : la Terre-AdĂ©lie se rĂ©duit ainsi Ă  un triangle sphĂ©rique quasi isocĂšle de sommet le pĂŽle Sud, et de base la portion de cĂŽte situĂ©e entre la pointe du Pourquoi Pas ? (en) (66° 10â€Č S, 136° 00â€Č E, frontiĂšre avec la terre de Wilkes), et la pointe Alden (66° 50â€Č S, 142° 00â€Č E, frontiĂšre avec la terre du Roi-George V). La superficie de ce triangle sphĂ©rique est de 352 000 km2[3].

    À cheval sur le cercle polaire antarctique entre la pointe du Pourquoi Pas ? et la pointe Alden, les 350 km de cĂŽtes de la terre AdĂ©lie sont baignĂ©s par la mer Dumont-d'Urville, une mer cĂŽtiĂšre de l'ocĂ©an Austral.

    PÎle Sud magnétique

    Le pĂŽle Sud magnĂ©tique, dont la position varie avec le temps, se dĂ©place au large du cercle polaire. En 2008, il Ă©tait en face de la terre AdĂ©lie 65° 00â€Č S, 138° 00â€Č E. Le premier calcul de l'inclinaison magnĂ©tique permettant ainsi de localiser ce pĂŽle Sud magnĂ©tique avait Ă©tĂ© fait le par ClĂ©ment Adrien Vincendon-Dumoulin, hydrographe de l'expĂ©dition Dumont d'Urville.

    Climat

    Le climat polaire est caractĂ©risĂ© par de trĂšs basses tempĂ©ratures et des vents violents souvent chargĂ©s de particules de glace, les blizzards. Les tempĂ©ratures Ă  Dumont d'Urville, au niveau de la mer, sont en moyenne de −1 Ă  +7 °C pendant l'Ă©tĂ© (janvier, fĂ©vrier) et de −15 Ă  −20 °C pendant l'hiver austral (juillet, aoĂ»t).

    Écosystùme

    L'Antarctique est la seule grande rĂ©gion froide du globe qui soit de nos jours dans un Ă©tat voisin de son Ă©tat d’origine, contrairement Ă  l'Arctique. En signant la Convention de Rio en 1992, la France s’est engagĂ©e Ă  « prĂ©server la diversitĂ© biologique pour satisfaire les besoins et les aspirations des gĂ©nĂ©rations futures » en prenant toutes les mesures nĂ©cessaires, dans le cadre national. En matiĂšre de protection de l'environnement, elle a surtout ratifiĂ© le protocole au « traitĂ© sur l'Antarctique relatif Ă  la protection de l'environnement en Antarctique » (dit protocole de Madrid). SignĂ© en 1991 Ă  Madrid, et entrĂ© en vigueur en 1998, ce protocole dĂ©finit notamment des zones spĂ©cialement protĂ©gĂ©es. La loi du relative Ă  la protection de l’environnement en Antarctique met en Ɠuvre le protocole de Madrid. Elle a Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©e par un dĂ©cret du . Toute activitĂ© française en Antarctique et toute activitĂ© menĂ©e en terre AdĂ©lie doivent faire l'objet d'une procĂ©dure de dĂ©claration ou d'autorisation, en fonction de leur impact sur l'environnement.

    Aucun mammifĂšre terrestre n'habite ces rĂ©gions glacĂ©es, mais les oiseaux, dont les manchots en particulier y sont abondants. Deux espĂšces sont particuliĂšrement bien reprĂ©sentĂ©es : le Manchot empereur et le Manchot AdĂ©lie qui a Ă©tĂ© observĂ© ici, pour la premiĂšre fois en 1841[4], d'oĂč son nom.

    Quelques représentants de la faune aviaire en terre Adélie :

    et de celle des mammifĂšres marins :

    Histoire

    DĂ©couverte

    Le commandant de l'expĂ©dition antarctique française, Jules Dumont d'Urville, dĂ©couvrit en 1840 cette rĂ©gion, dont il reconnut 150 milles de cĂŽte[5] - [6].

    AprĂšs avoir aperçu la cĂŽte le [7] Ă  22 h 50[8], les membres de l'expĂ©dition embarquĂšrent sur deux canots de l’Astrolabe et de la ZĂ©lĂ©e et mirent pied, le Ă  17 h 30, sur le « Rocher du DĂ©barquement »[9] - [10], le plus Ă©levĂ© et le plus nord-occidental parmi le groupe d'Ăźlots des Ăźles Dumoulin, ainsi nommĂ©es par Dumont d'Urville en l'honneur de l'hydrographe de l'expĂ©dition Vincendon-Dumoulin[11] - [12] et situĂ©es au nord-est de l'archipel de Pointe-GĂ©ologie[13], Ă  environ km du continent prĂšs du cap GĂ©odĂ©sie. Ils y prĂ©levĂšrent des Ă©chantillons de roche, d'algues et d'animaux et en prirent possession en plantant le drapeau français (66° 36â€Č 19″ S, 140° 04â€Č 00″ E)[14] - [15]. Dumont d’Urville annonça Ă  son Ă©quipage que cette terre porterait dĂ©sormais le nom de « terre AdĂ©lie », en hommage Ă  son Ă©pouse AdĂšle. Le , ils croisĂšrent la route de l'expĂ©dition amĂ©ricaine de Charles Wilkes, qui le avait aperçu vers l'ouest une « Ăźle de glace » situĂ©e Ă  plus de 175 km de la cĂŽte (Ă  l'est de 66° 22â€Č S, 153° 40â€Č E), puis, en voguant plus Ă  l'ouest, la cĂŽte elle-mĂȘme le (67° 04â€Č 37″ S, 147° 42â€Č 00″ E), soit cinq jours aprĂšs que Dumont d'Urville l'eut aperçue 9 degrĂ©s de longitude (environ 400 km) plus Ă  l'ouest, puis y eut dĂ©barquĂ© ; nĂ©anmoins les États-Unis ne reconnaissent pas la revendication française sur la Terre-AdĂ©lie.


    Des premiers hivernages aux stations permanentes

    AprĂšs la Seconde Guerre mondiale, plusieurs pays, dont la France, envisagĂšrent de crĂ©er sur ce continent des stations pour mieux asseoir leurs revendications territoriales. Les ExpĂ©ditions polaires françaises - Missions Paul-Émile Victor (E.P.F.), crĂ©Ă©es en 1947, organisĂšrent trois hivernages successifs et deux campagnes d'Ă©tĂ© entre 1948 et 1953.

    Une premiĂšre station, Port-Martin fut crĂ©Ă©e en 1949-1950 mais, Ă  la suite d'un incendie, elle fut par la suite transfĂ©rĂ©e plus Ă  l'ouest, sur l'Ăźle des PĂ©trels de l'archipel de Pointe-GĂ©ologie. La nouvelle station, baptisĂ©e base antarctique Dumont-d'Urville, est toujours en fonction et accueille une trentaine de personnes, effectif qui double pendant l'Ă©tĂ©. Cette base aurait dĂ» ĂȘtre desservie par un aĂ©rodrome, construit par nivellement des Ăźles Cuvier, de l'Ăźle du Lion, des Ăźlots Pollux et Zeus, et des Ăźles Buffon, mais la piste est abandonnĂ©e en 1994.

    Depuis 1959, annĂ©e de la signature du traitĂ© sur l'Antarctique, il y a une occupation permanente des lieux. De nombreuses Ă©tudes scientifiques mises en Ɠuvre par l’Institut polaire français (IPEV) sont rĂ©alisĂ©es en terre AdĂ©lie, soit au niveau national, soit dans le cadre de collaborations internationales.

    La station Dumont-d’Urville est reliĂ©e par convoi d'engins chenillĂ©s, le raid, Ă  la station antarctique Concordia implantĂ©e sur le plateau continental, Ă  proximitĂ© du secteur de la Terre-AdĂ©lie, et crĂ©Ă©e et gĂ©rĂ©e par l'Institut polaire français en collaboration avec l'Italie pour des Ă©tudes astronomiques (l'implantation de tĂ©lescopes et radiotĂ©lescopes), gĂ©ophysiques et climatologiques (notamment celle de la magnĂ©tosphĂšre, Ă©tude de la haute atmosphĂšre, du rĂ©chauffement climatique, et de la couche d'ozone), ou physique fondamentale (captage de particules de haute Ă©nergie).

    • DĂ©couverte de la terre AdĂ©lie par Dumont d'Urville.
      Découverte de la terre Adélie par Dumont d'Urville.
    • Roches rapportĂ©es par l'expĂ©dition de 1840 MHNT.
      Roches rapportées par l'expédition de 1840 MHNT.
    • Ancien abri pour l'observation du ciel nocturne (1957-1958).
      Ancien abri pour l'observation du ciel nocturne (1957-1958).

    Souveraineté française

    Contexte de la souveraineté

    Extrait du The American Museum journal.

    En Antarctique, la souverainetĂ© française sur la Terre-AdĂ©lie s'exerce dans le contexte du traitĂ© sur l'Antarctique signĂ© Ă  Washington en 1959, qui Ă©tablit un « gel » des prĂ©tentions territoriales et affirme la libertĂ© de la recherche scientifique sur tout le continent. Elle doit donc ĂȘtre compatible avec les exigences du traitĂ© qui a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© en 1991 par le protocole de Madrid sur la protection de l'environnement et qui fait de ce continent « une rĂ©serve naturelle consacrĂ©e Ă  la paix et Ă  la science ». La France s'intĂšgre dans ce systĂšme international en Ă©tant Ă  la fois :

    • signataire dĂšs l'origine du traitĂ© sur l'Antarctique, avec onze autres États ; reconnue par ce traitĂ© comme un État « possessionnĂ© » en raison de la revendication de la Terre-AdĂ©lie (il y a six autres États possessionnĂ©s qui sont l'Australie, la Nouvelle-ZĂ©lande, le Chili, l'Argentine, le Royaume-Uni et la NorvĂšge) ;
    • partie consultative : vingt-huit États sont parties consultatives et bĂ©nĂ©ficient Ă  ce titre d'un droit de vote lors des rĂ©unions des parties consultatives. Ce groupe comprend les signataires du traitĂ© (dont les États possessionnĂ©s) et les États qui ont acquis ce statut en dĂ©montrant l'intĂ©rĂȘt qu'ils portent Ă  l'Antarctique en y menant des activitĂ©s substantielles de recherche scientifique telles que l'Ă©tablissement d'une station ou l'envoi d'une expĂ©dition (article 9 du traitĂ© sur l'Antarctique).

    Les États-Unis[16] et la Russie ne reconnaissent aucune souverainetĂ© d'un autre État en Antarctique.

    Zones maritimes sous juridiction française

    La France n'a pas explicitement revendiqué de zone économique exclusive au titre de la Terre-Adélie ; toutefois, elle réserve ses droits quant à l'éventuelle revendication d'un plateau continental étendu (qui lui permettrait de prétendre à des droits souverains sur l'exploitation des ressources potentielles du sous-sol, comme les hydrocarbures).

    Administration

    La Terre-Adélie fait partie des Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) dont elle est un district[17]. Les TAAF sont placées sous l'autorité de l'administrateur supérieur qui exerce les fonctions de chef du territoire[18]. Il est à noter que ce dernier jouit du rang de préfet.

    Un chef de district est le reprĂ©sentant de l’administrateur supĂ©rieur[19]. Un des rĂŽles des chefs de district dans les TAAF est de diriger les bases australes et antarctique. Sur la Terre-AdĂ©lie ce rĂŽle est surtout focalisĂ© autour de la station Dumont d’Urville[20].

    De plus, la Terre-AdĂ©lie, comme les autres territoires d’outre-mer, est associĂ©e Ă  l’Union europĂ©enne, en tant que PTOM (pays et territoires d’outre-mer)[21].

    Enfin le budget du district est lié au budget général des TAAF qui représente actuellement 26 millions d'euros[21].

    Notes et références

    1. « Limites des territoires français de la rĂ©gion antarctique dite « Terre AdĂ©lie » », Journal officiel de la RĂ©publique française,‎ , p. 4098-4099 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    2. Le triangle isocĂšle ainsi dĂ©fini peut ĂȘtre qualifiĂ© de « quasi sphĂ©rique » parce que, si ses deux cĂŽtĂ©s de plus grande longueur suivent des mĂ©ridiens (qui sont des grands cercles), sa base suit le parallĂšle 60° S qui est un petit cercle. Les trois cĂŽtĂ©s d'un vĂ©ritable triangle sphĂ©rique sont des arcs de grands cercles.
    3. Petit Larousse illustré 2011, Paris, Larousse, , p. 1094.
    4. Par les naturalistes de l'expédition Dumont d'Urville Jacques Bernard Hombron et Honoré Jacquinot.
    5. Carte des explorations effectuĂ©es par les corvettes l’Astrolabe et la ZĂ©lĂ©e dans les rĂ©gions circum-polaires, 1841, site du secrĂ©tariat du traitĂ© de l'Antarctique, documents, sites historiques et monuments, planche du Voyage au pĂŽle Sud et dans l'OcĂ©anie sur les corvettes l’Astrolabe et la ZĂ©lĂ©e, agrandir pour trouver la position no 38 des vaisseaux avant le dĂ©barquement, Ă  plus de 7 milles nautiques au sud (environ 14 km), prĂšs de la langue du glacier de l'Astrolabe appelĂ© « Pointe GĂ©ologie » sur la carte.
    6. Voyage au pĂŽle Sud et dans l'OcĂ©anie sur les corvettes l'Astrolabe et la ZĂ©lĂ©e, exĂ©cutĂ© par ordre du Roi pendant les annĂ©es 1837-1838-1839-1840 sous le commandement de M. J. Dumont-d'Urville, capitaine de vaisseau, Paris, Gide Ă©diteur, 1842-1846, tome 8, p. 148-152, site Gallica : « Le canot de l'Astrolabe avait dĂ©jĂ  pris beaucoup d'avance [
] et au bout de deux heures et demie, nous atteignĂźmes le plus rapprochĂ© des Ăźlots aperçus. [
] en si peu de temps, une distance de plus de 7 milles. [
] Il Ă©tait prĂšs de neuf heures lorsque, Ă  notre grande joie, nous prĂźmes terre sur la partie ouest de l’ülot le plus occidental et le plus Ă©levĂ©. » On notera que dans sa relation de voyage Dumont d'Urville, ayant oubliĂ© de rajouter un jour en passant le mĂ©ridien 180° par l'est, antidate d'un jour les Ă©vĂšnements qui suivirent, ce qui inspira peut ĂȘtre Jules Verne dans son Tour du monde en quatre-vingts jours.
    7. Proposition de classement du rocher du débarquement dans le cadre des sites et monuments historiques, Réunion consultative du traité de l'Antarctique, 2006, note 4, qui mentionne l'erreur de date commise par Dumont d'Urville.
    8. Voyage au pÎle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée, exécuté par ordre du Roi pendant les années 1837-1838-1839-1840 sous le commandement de M. J. Dumont-d'Urville, capitaine de vaisseau, Paris, Gide éditeur, 1842-1846, tome 8, p. 138, site Gallica.
    9. Photographie du rocher du Débarquement, site du secrétariat du traité de l'Antarctique, Documents, Sites Historiques et Monuments.
    10. Proposition de classement du rocher du Débarquement dans le cadre des sites et monuments historiques, site du secrétariat du traité de l'Antarctique, Documents, Sites Historiques et Monuments, p. 2.
    11. Carte des ßles Dumoulin par Dubouzet en 1840, site du secrétariat du traité de l'Antarctique, Documents, Sites Historiques et Monuments.
    12. Carte des ßles Dumoulin et du « rocher du Débarquement » dans le Pilote de Terre Adélie, site du secrétariat du traité de l'Antarctique, Documents, Sites Historiques et Monuments.
    13. Carte IGN de l'archipel de Pointe-Géologie, site du secrétariat du traité de l'Antarctique, Documents, Sites Historiques et Monuments.
    14. Planches 168 à 171 du Voyage au pÎle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée, site LINK Tasmania, Adelie Coast (Antarctica) - Pictorial works.
    15. Prise de possession de la terre Adélie, site du secrétariat du traité de l'Antarctique, Documents, Sites Historiques et Monuments, planche 171 du Voyage au pÎle Sud et dans l'Océanie sur les corvettes l'Astrolabe et la Zélée, vue de l'ouest.
    16. (en)U.S. Department of State, Bureau of Arms Control, Verification, and Compliance, "Antarctic Region"
    17. District de Terre-Adélie sur le site officiel des Terres australes et antarctiques françaises.
    18. Préfet administrateur sur le site des Terres australes et antarctiques françaises.
    19. Blog de la Terre-Adélie.
    20. Le chef de district sur le site des TAAF.
    21. Présentation générale des TAAF.

    Annexes

    Article connexe

    Liens externes

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