Accueil🇫🇷Chercher

Siracourt

Siracourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Siracourt
Siracourt
La mairie et l'école.
Blason de Siracourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
André Genelle
2020-2026
Code postal 62130
Code commune 62797
Démographie
Population
municipale
278 hab. (2020 en augmentation de 5,3 % par rapport à 2014)
Densité 89 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 22′ 24″ nord, 2° 16′ 18″ est
Altitude Max. 154 m
Superficie 3,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Siracourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Siracourt
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Siracourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Siracourt

    La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Situé par la route à moins de km au sud-ouest de Saint-Pol-sur-Ternoise, le village est grandement tourné vers l'agriculture.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

    Communes limitrophes de Siracourt
    Croix-en-Ternois
    Beauvois Siracourt Ramecourt
    Å’uf-en-Ternois Croisette

    Urbanisme

    Typologie

    Siracourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Énergie

    Deux éoliennes, implantées entre Beauvois et Siracourt, ont été mises en service en 2016 par Enertrag avec le soutien de l'ancienne communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois. Elle complètent un parc éolien qui comprend 21 aérogénérateurs dans le Pays du Ternois[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Siliacurt (1161) ; Siliacourt, Ciriacourt (1205) ; Ciriacurt, Seriacourt (1212) ; Siriaucourt (1296) ; Siraucourt (1430) ; Chiracourt (1528) ; Ciraucourt (1530) ; Cyraucourt (1546)[9].

    Histoire

    Première Guerre mondiale

    Pendant la Première Guerre mondiale, après la bataille de l'Artois (mai-juin 1915), entre le et le , plusieurs communes proches de Saint-Pol-sur-Ternoise, en arrière du front, (Croisette, Wignacourt (dépend de Croisette), Guinecourt, Siracourt, ont servi de lieux de cantonnement pour les troupes (récupération, marches, exercices divers, tirs , lancers de grenade[10].

    Seconde Guerre mondiale

    Une partie de l'abri des V1.
    Sur le toit de l'abri.

    En , les Allemands décident de créer des bases fortes de lancement d’armes du type V (V1, V2, V3). Les travaux de construction d’une base V1 commencent en , la main-d’œuvre étant composée de prisonniers russes. Le bâtiment doit avoir une longueur d’environ 200 m et une largeur de 45 m et doit abriter environ 150 engins V1 amenés par voie ferrée. Une rampe, dirigée vers Londres, doit être aménagée au milieu de l'abri. La technique de construction, développée à l'époque, consiste à creuser des tranchées de m de large, à les remplir de béton, puis la voûte, qui s'appuit sur ces murs et sur le sol, est coulée. Ensuite, la terre est enlevée entre les murs.

    Les travaux sont découverts par la reconnaissance aérienne alliée en . Les premiers bombardements ont lieu le , mais au total ce sont 27 attaques qui ont lieu sur le village qui reçoit environ 5 000 tonnes de bombes. Le site est abandonné par les Allemands en .

    Après le conflit, il faut reconstruire le village. Après avoir déminé et nettoyé le territoire, les sinistrés font appel à l'archictecte urbaniste, René Hosxe, qui conçoit le plan d'aménagement de Siracourt et la conception des maisons et des fermes est confiée aux architectes Jean-Fréderic Battut et Robert Warnesson. Afin de rester dans les montants des dommages de guerre, ils utilisent des éléments de préfabrication (parpaing en béton) pour bâtir les fermes et bâtiments publics. Les fermes sont composées de travées dont le nombre varie selon l’importance de l’exploitation, la partie habitation étant incorporée dans le bâtiment. Le village est reconstruit entre 1949 et 1951[11] - [12].

    • Une ferme reconstruite après la guerre.
      Une ferme reconstruite après la guerre.
    • Une ferme reconstruite après la guerre.
      Une ferme reconstruite après la guerre.
    • L'église Saint-Germain.
      L'église Saint-Germain.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [13] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[14]. À l'initiative des intercommunalités concernées[15], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[16] ;
    - la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [17] - [18].

    La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [19].

    Circonscriptions administratives

    La commune fait partie depuis 1801 du canton de Saint-Pol-sur-Ternoise[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la composition de ce canton est modifié et regroupe désormais 88 communes, dont Siracourt.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989[21] Gaston Montigny
    1989 mai 2020 Freddy Bloquet[22] - [23] - [24]
    mai 2020 En cours
    (au 27 mai 2020)
    André Genelle Profession libérale[25]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2020, la commune comptait 278 habitants[Note 3], en augmentation de 5,3 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    150126158165165182183191184
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    186198207208208204180172151
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    167158143134140145133115143
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    143158163140223228239242261
    2018 2020 - - - - - - -
    266278-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,0 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 140 hommes pour 126 femmes, soit un taux de 52,63 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,7
    90 ou +
    1,6
    4,3
    75-89 ans
    5,6
    14,3
    60-74 ans
    15,9
    22,1
    45-59 ans
    19,8
    24,3
    30-44 ans
    26,2
    10,0
    15-29 ans
    7,9
    24,3
    0-14 ans
    23,0
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
    échiqueté d’argent et d’azur de six tires, au lambel de sable brochant en chef sur le tout.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Julien Leveque, « Les éoliennes ont été inaugurées, en grande pompe, mercredi dernier », L'Abeille de la Ternoise, nos 8587-1636,‎ , p. 21 « Épilogue après plus de dix ans de procédure - 2003 : le Saint-Polois prend la compétence « vente et production d’énergies ». Après validation du schéma éolien et l’étude faite par le Pays du Ternois, une enquête publique est menée en 2010. Un an plus tard, le permis de construire de Croisette est validé, mais pas celui de Beauvois-Siracourt. Passage par le tribunal administratif avant une obtention définitive en 2013, avant une mise en service effective en 2015. « La persévérance a gagné », soulignait Vincent Masureel, directeur général d’Enertrag France. Le conseiller départemental Claude Bachelet renchérit « Aujourd’hui, on peut se réjouir du résultat, se féliciter de la politique énergétique de l’intercommunalité, avec un produit fiscal qui profite à tous ».
    9. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 360.
    10. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 9ebrigade, : J.M.O. 16 mars 1915-27 août 1915, p. 47, lire en ligne.
    11. « Le village », notice no IA62000821, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    12. David Derieux (photogr. Matthieu Botte), « La reconstruction unique de Siracourt, rasé de la carte du Ternois en 1944 : Situé à 5 km à l’ouest de Saint-Pol-sur-Ternoise sur la route d’Hesdin, le village de Siracourt a été totalement détruit par les bombardements alliés après la découverte d’un site secret où les Allemands fabriquaient des bombes volantes V1. L’architecture particulière des bâtiments, des fermes à l’église, atteste de sa reconstruction singulière. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    13. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    14. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    15. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    16. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    17. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    18. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    19. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Claude Vasseur (Clp), « Après plus de 30 ans au secrétariat de la mairie, la retraite pour Marie-France Lune : Dimanche dernier, Freddy Bloquet a présenté ses vœux à la population. Il a naturellement mis en avant les travaux de 2016 terminés, un gros chantier qui arrive et salué sa secrétaire de mairie, partie à la retraite », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne) « Entrée aux côtés de mon prédécesseur Gaston Montigny le , Marie-France s’est occupée de tous les dossiers qui ont rythmé la vie de la municipalité ».
    22. Alexis Degroote, « Siracourt : de gros chantiers à l’église et rue D’En-Bas pour une commune reconstruite après-guerre : Il a été question de travaux de voirie et d’aménagement à l’église, durant ce mandat. Mais aussi de nouvelles constructions, dans la commune. La présence d’un site inscrit aux Monuments historiques – le blockhaus – ne semble pas être un frein au développement de Siracourt où il reste encore des terrains viabilisés qui attendent d’autres familles… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    23. « Siracourt - Freddy Bloquet et son équipe s’inscrivent dans la continuité », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. Alexis Degroote, « Siracourt – « C’est l’investissement qui va primer durant ce mandat » : Le mandat a débuté sur les chapeaux de roues pour Freddy Bloquet et son conseil, avec des travaux au niveau du carrefour de la rue de la Chapelle. Et va se poursuivre sur un rythme soutenu avec notamment la mise aux normes de la défense incendie ou encore l’aménagement de la rue de Croix. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. « Siracourt : André Genelle est le nouveau maire du village », La Voix du Nord,‎ « Lundi soir, le nouveau conseil municipal a été installé, à la salle des fêtes, à huis clos. Une séance qui s’est ouverte par l’annonce de la démission de l’ancien maire, Freddy Bloquet, et de l’ancien premier adjoint, Yannick Troquenet. Seuls élus de leur liste qui a été battue lors du scrutin du 15 mars, ils n’ont pas participé à cette séance et ne siégeront pas lors du mandat ».
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Siracourt (62797) », (consulté le ).
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    31. « L'église paroissiale Saint-Germain », notice no IA62000822, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.