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Sillé-le-Guillaume

SillĂ©-le-Guillaume (prononcĂ© [sije lə ÉĄijom]) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Sarthe en rĂ©gion Pays de la Loire, peuplĂ©e de 2 195 habitants[Note 1].

Sillé-le-Guillaume
Sillé-le-Guillaume
la mairie
Blason de Sillé-le-Guillaume
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Sarthe
Arrondissement Mamers
Intercommunalité Communauté de communes de la Champagne Conlinoise et du Pays de Sillé
Maire
Mandat
GĂ©rard Galpin
2020-2026
Code postal 72140
Code commune 72334
DĂ©mographie
Gentilé Silléens
Population
municipale
2 195 hab. (2020 en diminution de 6,12 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 170 hab./km2
Population
agglomération
2 586 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 11â€Č 00″ nord, 0° 07â€Č 45″ ouest
Altitude Min. 115 m
Max. 260 m
Superficie 12,90 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Sillé-le-Guillaume
(ville-centre)
Aire d'attraction Sillé-le-Guillaume
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Sillé-le-Guillaume
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Sillé-le-Guillaume
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Sillé-le-Guillaume
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Sillé-le-Guillaume
Liens
Site web www.sille-le-guillaume.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1].

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    SillĂ©-le-Guillaume est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de SillĂ©-le-Guillaume, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[5] et 2 586 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de SillĂ©-le-Guillaume, dont elle est la commune-centre[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (50,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (54,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : prairies (36,2 %), forĂȘts (32 %), terres arables (14,5 %), zones urbanisĂ©es (10,3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (4,2 %), eaux continentales[Note 4] (2,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,2 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[11].

    Toponymie

    Il s'agit d'un type toponymique gaulois ou gallo-roman en -(i)acum, suffixe d'origine gauloise marquant la localisation ou la propriĂ©tĂ©. -(i)acum a gĂ©nĂ©ralement donnĂ© le terminaison -Ă© dans l'ouest. Le premier Ă©lĂ©ment est l'anthroponyme gaulois ou gallo-roman Silius / Silus. Ce nom de personne est basĂ© sur le gaulois silo- « semence > descendance, postĂ©ritĂ©  »[12].

    Homonymie avec les nombreux Scilly, Silly, Silhac, etc.

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Sillé-la-Montagne[13].

    Le gentilé est Silléen.

    Histoire

    Moyen-Âge

    Guillaume de SillĂ©, le constructeur de la premiĂšre forteresse sur le point stratĂ©gique, est le fondateur de la noble maison fĂ©odale « de SillĂ© » au service du comte du Maine, contre les assauts des Bretons puis des Normands. En forĂȘt, au bord du lac, subsistent les ruines silencieuses d’une seconde forteresse, l’oppidum carolingien, qui conserve tout son mystĂšre. D’ailleurs un mythe raconte que « si une personne se balade dans l’oppidum un soir de pleine lune et qu’elle prononce trois fois j’y suis, le lac bouillonnera et le Diable apparaĂźtra ».

    Gilles de Rais, compagnon de Jeanne d'Arc et cousin des SillĂ©, vint guerroyer contre l'Anglais dans la rĂ©gion[14]. La terre de SillĂ©, siĂšge d’une baronnie vaste et puissante, se transmet par alliance, jusqu’à la RĂ©volution, Ă©poque Ă  laquelle le chĂąteau est attribuĂ© Ă  la ville pour l’établissement de son collĂšge.

    Le XIXe siĂšcle

    À la fin du XIXe siĂšcle, SillĂ©-le Guillaume est un carrefour agricole, les foires y sont frĂ©quentes. La population dans les environs s'Ă©levait alors entre 6 000 et 7 000 habitants. Aujourd'hui, subsiste de cette Ă©poque la place du MarchĂ©-aux-Bestiaux.

    Guerre de 1870

    Pendant quatre jours en 1871, la mairie devient la préfecture du département devant l'avancée des troupes allemandes[15].

    La PremiĂšre Guerre mondiale

    Un camp de Polonais a été créé à Sillé-le-Guillaume en 1917 afin de former une armée polonaise[16]. Aujourd'hui, il n'en reste plus de traces visibles.

    L'Entre-deux-guerres

    La forĂȘt de SillĂ© est vendue dĂ©finitivement par la famille d’Uzes Ă  l’État en 1925. Cette acquisition, ainsi que les bois de PezĂ© et Bernays, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e grĂące aux ressources d’une taxe sur le produit des jeux. Elle devient ainsi une nouvelle forĂȘt domaniale de 3 350 hectares[17].

    La catastrophe ferroviaire de Sillé-le-Guillaume survenue le , provoquée par la collision entre un train militaire français et un train militaire américain, fit en tout six morts parmi les soldats français et quinze parmi les militaires américains et de nombreux blessés[18].

    La Seconde Guerre mondiale

    Plaque commémorant le massacre de quatorze soldats sénégalais tués par les Allemands le 19 juin 1940, derriÚre la gare de Sillé-le-Guillaume.

    Le , Ă  la fin de la campagne de France, des soldats allemands assassinĂšrent quatorze prisonniers noirs appartenant au 208e rĂ©giment d’artillerie lĂ©gĂšre coloniale[19].

    Entre 1941 et 1944, la forĂȘt de SillĂ© a Ă©galement Ă©tĂ© occupĂ©e par des troupes allemandes dans des baraquements. De plus, les troupes allemandes ont construit un casino Ă  SillĂ©-plage[20]

    Politique et administration

    Élections municipales et communautaires

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1871 mars 1888 François Touchard Médecin
    1888 Victor Dumond
    1968 nov. 1975
    (décÚs)
    Ernest Chevreuil DVD Agriculteur, conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de SillĂ©-le-Guillaume (1970 → 1976)
    nov. 1985 mars 2001 Jackie Charrié DVD
    MĂ©decin
    mars 2001[21] mars 2008 Michel Bottier DVD Professeur de mathématiques retraité
    mars 2008[22] mars 2014 Jean-Marie Hoguet DVD RetraitĂ© de l’enseignement, prĂ©sident de la CC du Pays de SillĂ© (2008 → 2014)
    mars 2014[23] En cours GĂ©rard Galpin[24] LR-DVD Cadre France TĂ©lĂ©visions, conseiller dĂ©partemental du canton de SillĂ©-le-Guillaume (2015 → ), prĂ©sident de la CC du Pays de SillĂ© (2014 → 2016), 1er vice-prĂ©sident de la CC de la Champagne Conlinoise et du Pays de SillĂ© (2017 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[26].

    En 2020, la commune comptait 2 195 habitants[Note 5], en diminution de 6,12 % par rapport Ă  2014 (Sarthe : −0,31 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0042 1212 2102 3562 6963 0083 0393 0683 183
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 1703 3093 5373 5313 4743 4773 2853 2523 152
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 0142 9642 9472 7922 7702 6032 5702 8222 645
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    2 6082 5282 7772 8632 5832 5852 3862 3602 364
    2015 2020 - - - - - - -
    2 3182 195-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • La fĂȘte du Lac au mois de mai.
    • La fĂȘte de la musique en juin.
    • Feu d’artifice tirĂ© du chĂąteau le 13 juillet.
    • La Gamelle Trophy en septembre.
    • La brocante au mois d’octobre.
    • La fĂȘte de la forĂȘt.

    Économie

    Deux zones industrielles Le champ d’Esse et Le Bois des Cours sont situĂ©es sur le territoire de la commune de SillĂ©-le-Guillaume. Elles relĂšvent de la compĂ©tence Ă©conomique de la communautĂ© de communes de la Champagne Conlinoise et du Pays de SillĂ© crĂ©Ă©e le .

    • Legrand Inovac SAS.
    • Les Transports Montaville, et la filiale Transports Montaville Containers reprise des Transports ChrĂ©tien en fĂ©vrier 2013[28].
    • Carea sanitaire.
    • La MĂ©tallerie du Maine (fermĂ©e en dĂ©cembre 2012).
    • L’agro-alimentaire Guyomarch.

    et toutes les autres entreprises implantées avant cette date, dépendent uniquement de la ville de Sillé-le-Guillaume.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le chĂąteau.
    CollĂ©giale Notre-Dame-de-l’Assomption.
    L’église Notre-Dame est une ancienne collĂ©giale castrale qui jouxtait autrefois le chĂąteau de SillĂ©. Il s’agit de l’ancienne chapelle seigneuriale des barons de SillĂ©, jadis siĂšge d’une collĂ©giale. De style roman, l'Ă©difice est modifiĂ© Ă  la suite des adjonctions apportĂ©es jusqu'au XIXe siĂšcle.
    L’entrĂ©e solennelle de la collĂ©giale des chanoines de la baronnie se fait par le grand portail occidental, au trumeau duquel s’adosse une Vierge Ă  l'Enfant JĂ©sus. Dans la voussure, les douze apĂŽtres sont identifiables par leurs attributs respectifs. Le tympan reprĂ©sente une scĂšne du Jugement dernier. En sa partie supĂ©rieure, figure le Christ souffrant, qui expose son flanc droit. Les mains, aujourd’hui brisĂ©es, devaient autrefois ĂȘtre ouvertes, leurs paumes tournĂ©es vers l’extĂ©rieur pour montrer les plaies de la crucifixion. Deux anges tiennent la couronne d’épines, la croix, la lance et un clou, qui sont les instruments de la Passion. Cette premiĂšre scĂšne est soulignĂ©e d’une inscription du XVIe siĂšcle : ad judicandum Christo Sedente Omnes resurgemus. En sa partie infĂ©rieure, une scĂšne figure la RĂ©surrection des morts. Le linteau laisse longtemps deviner l’inscription Janua Coeli : « Porte du ciel »[29]
    • Le chĂąteau de SillĂ©-le-Guillaume est classĂ© au titre des monuments historiques par arrĂȘtĂ© du 18 avril 1914, reprenant une liste antĂ©rieure de 1889. L’existence du chĂąteau de SillĂ©-le-Guillaume est mentionnĂ©e pour la premiĂšre fois en 1070. SituĂ© aux confins du Maine, il aide Ă  la dĂ©fense contre les Bretons et les Normands. Pris et repris par les Français et les Anglais pendant la guerre de Cent Ans, il est en partie ruinĂ©. Le sire de Beauvau, baron de SillĂ© en 1463, dĂ©cide de la construction d’un fort et d’un puissant donjon, mais la tactique guerriĂšre Ă©voluant, le donjon ne servira jamais. De nouvelle ailes construites aux XVIe et XVIIe siĂšcles lui donnĂšrent un aspect plus rĂ©sidentiel et plus pacifique. L’évolution de l’art militaire et des fonctions des chĂąteaux est lisible dans l’architecture du chĂąteau forteresse de SillĂ©, classĂ© monument historique dĂšs 1889. La ville propriĂ©taire depuis 1804, par des restaurations successives et la multiplication des manifestations culturelles, tend Ă  redonner sa splendeur au vieil Ă©difice[30]
    • La forĂȘt domaniale de SillĂ©, qui s'Ă©tend sur 3 350 hectares. Elle entoure le lac de SillĂ© (autrefois appelĂ© Ă©tang du DĂ©fais), plan d'eau de 35 hectares sur les rives duquel se trouve la base de loisirs nautiques appelĂ©e aujourd'hui « SillĂ©-Plage » mais connue depuis des gĂ©nĂ©rations dans toute la rĂ©gion sous le nom de « Coco-Plage ». Se trouve non loin une ancienne carriĂšre envahie par les eaux, surnommĂ©e le « Lagon bleu ». Ce site est privĂ© et l'accĂšs y est formellement interdit et dangereux[31].
    • Chapelle de la Croix Lamare. La croix de bois dotĂ©e d'une statuette de la Vierge aurait Ă©tĂ© plantĂ©e aprĂšs la RĂ©volution par un certain Lamare, pĂ©cheur repentant. InaugurĂ©e le , la chapelle se situe Ă  la limite de la Sarthe et de la Mayenne (cĂŽtĂ© Sarthe), en lisiĂšre de la forĂȘt domaniale de SillĂ©-le-Guillaume, direction la Grande Ligne[32].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Sillé-le-Guillaume Blason
    De gueules à six lionceaux d'or ordonnés 3, 2 et 1.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Maurice Termeau, Une petite ville du Haut-Maine au XVIIIe siĂšcle, SillĂ©-le-Guillaume (1700-1789), essai d'histoire sociale, thĂšse pour le doctorat d'universitĂ©, UniversitĂ© de Paris, FacultĂ© des lettres, Gournay-en-Bray, imprimerie de A. LetrĂ©sor, 1928, in-8°, XVIII-244 p.
    • Maurice Termeau, Le Domaine de la baronnie de SillĂ©-le-Guillaume Ă  la fin de l'Ancien RĂ©gime, Le Mans, SociĂ©tĂ© d'agriculture, sciences et arts de la Sarthe, 1942, 51 p. (extrait du Bulletin de la SociĂ©tĂ© d'agriculture, sciences et arts de la Sarthe).
    • Maurice Termeau, Gilles de Raiz dit Ă  tort Barbebleue et la Maison de SillĂ© (1404-1440), Laval, Imprimerie-librairie Goupil, , 77 p. (TirĂ© Ă  part de la revue La Province du Maine.)
    • Maurice Termeau, Le Vieux SillĂ© : Ă©tudes historiques sur SillĂ©-le-Guillaume (Sarthe), Le Mans, SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du Maine, 1958, 170 p.
    • Christophe FrĂ©nelle, StĂ©phane Gasser, Pierre Darlot, et al. (rĂ©d.), Le Patrimoine des communes de la Sarthe, Paris, Flohic, collection Le patrimoine des communes de France, 2 vol., 2000, 1667 p., (ISBN 2-84234-106-6)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 3, , p. 150
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Sillé-le-Guillaume », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sillé-le-Guillaume », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    12. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Ă©ditions Errance, Paris, 2003, p. 272.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    14. Termeau 1945.
    15. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/sille-le-guillaume-72140/pays-de-sille-guerre-de-1870-un-cahier-detaille-en-vente-au-public-e3d4d9a2-541b-11eb-9564-73b3db77bd6b
    16. « Qui se souvient du camp polonais de Sillé ? », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    17. AmĂ©nagement de la forĂȘt domaniale de SillĂ© 2011-2030 ; Office national des forĂȘts ; p. 6.
    18. Journal Ouest-Éclair no 7198 du 19 avril 1919, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k645790t.r=Landudal.langFR
    19. Raffael Scheck (trad. de l'anglais), Une saison noire : les massacres des tirailleurs sénégalais, mai-juin 1940, Paris, Tallandier, , 287 p. (ISBN 978-2-84734-376-2), p. 55-6..
    20. Travail de recherche de Néo Goussé, Mai 2021
    21. « Annick Courtecuisse brigue le poste de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    22. « Six adjoints autour du nouveau maire, Jean-Marie Hoguet », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    23. « De nouveaux maires et adjoints élus dÚs ce vendredi soir », Le Maine libre, (consulté le ).
    24. Réélection 2020 : « Municipales. Sillé-le-Guillaume : Gérard Galpin va poursuivre sa mission », Le Maine libre, (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. « Reprise des transports Chrétien », sur montaville.fr (consulté le ).
    29. Source tirée du livre le patrimoine des communes de la Sarthe aux éditions Flohic.
    30. Source tirée du site officiel de Sillé-le Guillaume.
    31. Source tirée du journal local.
    32. « page-les-2-chapelles », sur www.evroncyclisme.fr (consulté le ).
    33. « Culture en Sarthe - Les Sarthois célÚbres » (consulté le ).
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