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Sarrigné

Sarrigné est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Sarrigné
Sarrigné
Le centre-bourg de Sarrigné.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
SĂ©bastien Bodusseau
2020-2026
Code postal 49800
Code commune 49326
DĂ©mographie
Gentilé Sarrignéen, Sarrignéenne
Population
municipale
829 hab. (2020 en augmentation de 2,22 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 276 hab./km2
Population
agglomération
26 047 hab. (2020)
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 30â€Č 09″ nord, 0° 23â€Č 02″ ouest
Altitude 56 m
Min. 22 m
Max. 57 m
Superficie km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Loire-Authion
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Angers-7
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Sarrigné
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Sarrigné
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Sarrigné
Liens
Site web http://www.sarrigne.fr/

    GĂ©ographie

    Localisation

    SarrignĂ© est situĂ© en limite du Baugeois (25,8 km de BaugĂ©-en-Anjou), Ă  l'est du centre d'Angers (19 km, Ă  20 minutes en voiture), et Ă  km du Plessis-Grammoire (ouest), Ă  5,3 km de CornĂ© (sud-est), Ă  7,4 km de Pellouailles-les-Vignes (nord-ouest), Ă  5,3 km de BaunĂ© (est) et Ă  9,4 km d'Andard (sud).

    Lieux-dits

    En dépendent, les lieux-dits : les BaugÚres, la BédaudiÚre, Beuzin (ou Bezain), le Bois-Jarry, le Bourg, la Brosse, le Buron, les Cures, les DubliÚres, l'Etang, la Gagnerie, le Grand-Clos, les Grandes-Derries, la MonpasiÚre, le Moulin-Neuf, les Noues, les Oulas, la Paillette, la PerchaudiÚre, le Petit-Bois, les RenardiÚres, le Tertre, la TuffiÚre, la Varenne, le Pré, la PerchaudiÚre-Sud, les Patissambons, les Plantes, le Mortier des Argoyaux, Pré de l'Epinay, le Bois Bougrand, Grand Champ, la Metairie de Mussee.

    Relief et géologie

    La superficie de la commune est de prĂšs de km2 (297 hectares), dont 22 hectares en prĂ©s, 12 hectares en jardins et 37 hectares en bois et son altitude varie de 22 Ă  57 mĂštres.

    Sarrigné se situe sur l'unité paysagÚre du Plateau du Baugeois[1]. Le terrain crétacé et le grÚs se montrent à l'est de la commune.

    Hydrographie

    Le ruisseau de l’Étang.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 637 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « MarcĂ© », sur la commune de MarcĂ©, mise en service en 1999[8] et qui se trouve Ă  10 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 703,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le dĂ©partement de la Sarthe, mise en service en 1944 et Ă  71 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,6 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,5 °C pour 1991-2020[14].

    Voies de communication

    La D 116 (Plessis-Grammoire / Bauné) traverse la commune dans sa partie centrale et le bourg d'ouest en est. Le bourg de Sarrigné s'est développé le long des principales voies de communication.

    L’autoroute A11 dite l'OcĂ©ane traverse la partie nord du territoire de SarrignĂ©.

    Les diffĂ©rentes voies de la commune sont : rue des Caves, allĂ©e des Cerisiers, allĂ©e de la Fontaine, rue Gaudin, allĂ©e Jouan, rue des Moulins, rue de la Paillette, allĂ©e du Peyrelleur, rue Saint-Jean (rue principale), rue du Tertre, chemin de la TuffiĂšre, rue de la VallĂ©e. À ces voies se rajoutent des hameaux et des lotissements privĂ©s comme le Village du chĂąteau construit en 1982 et comprenant quinze maisons.

    Transports

    La commune est desservie par les bus, par la ligne suburbaine n°30, et par des circuits scolaires (Venaiserie 1, direction collĂšge La Venaiserie ; Mounier 2, direction collĂšge Jean-Lurçat, lycĂ©e Mounier et lycĂ©e Saint-Aubin-La-Salle). Il existe Ă©galement un circuit avec les communes voisines : IRIGOTaxi 3, avec des liaisons possibles entre Briollay, Soucelles, VillevĂȘque, Pellouailles-les-Vignes, SarrignĂ©, Le Plessis-Grammoire et Saint-Sylvain-d'Anjou.

    Urbanisme

    Typologie

    SarrignĂ© est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Loire-Authion, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 5 communes[18] et 2 020 en augmentation de 2,22 % par rapport Ă  2 014 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (65,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (73 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (41 %), zones urbanisĂ©es (20,2 %), forĂȘts (14 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12,8 %), prairies (11,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Formes anciennes du nom : Sarrigneium en 1200, Capella de Sarrigneio en 1320[25], Sarigné en 1793, et Sarrigné en 1801[26] - [Note 7].

    Histoire

    Préhistoire

    Le Dr Gruet indique la découverte d'une hache en pierre polie.

    Un terrassement effectuĂ© Ă  l'emplacement de la salle des fĂȘtes a permis de retrouver un souterrain amĂ©nagĂ© mĂ©diĂ©val ; la fouille a aussi conduit Ă  la mise Ă  jour de tombes gallo-romaines en pleine terre.

    Moyen Âge

    La terre, appartient primitivement aux Aménard, seigneurs de Daon, advint par le mariage de Jeanne A. à René de Fontaines, son fils, dont la fille Louise l'apporta, avec Bouillé-Ménard, Chivré et la Roche à Jacques de Bueil, 1468.

    Ancien RĂ©gime

    En est seigneur RenĂ© de Montortier, 1525, sieur de la Verrine, avocat Ă  Angers, Ă©poux d'Antoinette Fleuriot, Ă©chevin d'Angers 1529 ; RenĂ© de la RoussiĂšre, 1539-1553 ; Françoise de Montallais, veuve de Jean de Bueil, 157 1; Anne de Bueil, femme de Jean d'AcignĂ©, 1587-1618, veuve en 1621 ; Honorat d'AcignĂ© 1626, comte de Grandbois dont l'Ă©pouse, Jeanne Jacqueline de Laval meurt le ; Gaspard de Daillon du Lude, baron de Briançon, Ă©vĂȘque d'Albi, 1688 ; et les seigneurs de Briançon jusqu'Ă  la RĂ©volution ; le dernier seigneur de SarrignĂ© fut Charles-François Lefebvre, marquis de l'AubriĂšre.

    Le manoir, avec maison forte et pont-levis, joignait l'église et le chemin de Corné. Bail est consenti pour sept ans, le , de "la maison nommée le Chùteau", par le marquis de LaubriÚre à Jean Daburon, closier. Cette maison dite le Chùteau, avec jardin, cour, fossés, 147 boisselées de terre et 6 quartiers de vigne sera lors de la Révolution mise sous séquestre national sur Charles Lefebvre, comte de Méral, fils du marquis de LaubriÚre.

    La mesure seigneuriale comptait le double de celle des Ponts-de-CĂ©.

    La paroisse dĂ©pendait de l'ArchidiaconĂ© d'Angers, de l'archiprĂȘtrĂ© d'Andard, de l’élection, des aides, du grenier Ă  sel et du district d'Angers, en 1787.

    La RĂ©volution

    L'assemblĂ©e Ă©lectorale pour les États GĂ©nĂ©raux se tint le devant Louis Thuau, syndic municipal. Le cahier de dolĂ©ances est publiĂ© par Le Moy.

    Le curĂ©, Alexandre Beaufils, ne voulant pas avoir Ă  prĂȘter serment Ă  la Constitution civile du clergĂ©, dĂ©missionne et se retire Ă  La FlĂšche. Son vicaire, Louis-Marie Bascher, refuse le serment ; il sera guillotinĂ© Ă  Angers le .

    Le temporel de la cure est vendu le Ă  Ant. Chouteau et Jacq.-RenĂ© BougĂšre d'Angers et la cure elle-mĂȘme le 12 messidor an IV Ă  Alexandre Beaufils, de La FlĂšche. Le presbytĂšre fut acquis par l'ancien curĂ©, Alexandre Beaufils, et revendu par lui Ă  la commune le .

    Le culte constitutionnel fut exercĂ© par Jacques-Étienne-François PĂ©teul du Boulay, installĂ© le , qui abdiqua toute fonction ecclĂ©siastique le 21 ventĂŽse an II mais reprit son poste et fut maintenu au Concordat.

    Époque contemporaine

    Un diffĂ©rend opposa pendant une grande partie de l'annĂ©e 1822 Bernard de Courtigis, maire de la commune, des membres de son conseil d'une part, Ă  M. Houdet, curĂ© de la paroisse et des habitants, d'autre part. Cette querelle de personnes divisa la population de SarrignĂ©, et motiva la visite de l'Ă©vĂȘque d'Angers qui trancha en faveur du desservant, et obtint la suspension, puis la rĂ©vocation du maire par arrĂȘtĂ© du ministre de l'IntĂ©rieur en date du .

    Électrification de la commune en 1925.

    Adduction d'eau potable en 1977.

    Combat de certains habitants à travers une pétition pour obtenir l'ADSL, qui arrivera finalement le dans la commune.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1790 1792,germinal an II Louis Thuau Syndic de la municipalité,1788-1789
    1792,germinal an II an IV,an VI Pierre Danjou
    an IV,an VI an VI,an VIII Pierre Busson Agent municipal
    an VI,an VIII 10 messidor an VIII Pierre Hamelin Agent municipal
    10 messidor an VIII 15 avril 1820 Pierre Busson
    15 avril 1820 13 novembre 1831 Charles Alex. BĂ©nard de Courtigis RĂ©voquĂ© de ses fonctions par arrĂȘtĂ© du ministre de l'IntĂ©rieur en date du 17 septembre 1822
    13 novembre 1831 septembre 1843 Sulpice Caillault
    septembre 1843 14 février 1856 René Mahon
    14 février 1856 1868 Pierre Guépin
    1868 15 mai 1892 Pierre Colas
    15 mai 1892 19 mai 1912 Joseph Bescher
    19 mai 1912 25 mai 1925 Florent Dibon
    25 mai 1925 1935 Pierre Gautreau
    1935 1945 Georges Potier
    1945 1947 Gustave Logerais
    1947 1953 Ernest Saillant
    1953 1959 Georges Manceau
    1959 1965 Marcel Colin
    1965 1983 Marcel Grosbois
    1983 1997 Joël Travais
    1997 2008 Michel Huet
    mars 2008 avril 2014 Catherine Pinon Sans Ă©tiquette PremiĂšre femme maire
    avril 2014 En cours
    (au 24 mai 2020)
    SĂ©bastien Bodusseau[27] - [28] Sans Ă©tiquette

    Intercommunalité

    La commune est intĂ©grĂ©e Ă  la communautĂ© d'agglomĂ©ration d'Angers Loire MĂ©tropole[29], elle-mĂȘme membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[30].

    Le P.L.U.I. est géré par la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole, dont Sarrigné fait partie.

    La commune adhĂšre Ă©galement au S.I.V.M. de Brain-sur-l'Authion.

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Sarrigné fait partie du canton d'Angers-Trélazé et de l'arrondissement d'Angers[31]. Ce canton compte alors quatre communes et une fraction d'Angers. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton d'Angers-7, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[32].

    Population et société

    Population sous l'Ancien RĂ©gime

    Sous l'Ancien Régime la population était exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants il faut appliquer un coefficient multiplicateur d'environ 5.

    Évolution dĂ©mographique
    1688 1700 1713 1720 1725 1732 1764 1789
    60 feux63 feux71 feux104 feux52 feux69 feux72 feux68 feux
    (Source : CĂ©lestin Port[33])

    Population depuis 1793

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 829 habitants[Note 8], en augmentation de 2,22 % par rapport Ă  2014 (Maine-et-Loire : +1,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    851250281310323352352305330
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    292300293301292262269263279
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    260246239208192181197182205
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    229232213481635743802817819
    2018 2020 - - - - - - -
    818829-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Vie locale

    Plusieurs sections sportives existent concernant le tennis de table, la boule de fort (cercle créé en 1901) et la gymnastique. La commune compte des terrains de sports, notamment pour le football (stade Marcel-Lesourd).

    Il y a aussi deux sections thĂ©Ăątrales, une adulte et une enfant, et une bibliothĂšque communale. La bibliothĂšque est desservie par la bibliothĂšque dĂ©partementale de prĂȘt. La commune possĂšde Ă©galement une salle commune de loisirs, "salle Michel-Berger", inaugurĂ©e le .

    Plusieurs manifestations ont lieu dans l'année comme "Les Foulées de Sarrigné", course à pied de 10 km créée en 2005, qui attire un nombre croissant de participants de la région (851 coureurs adultes et 117 enfants en 2015).

    La fĂȘte communale avait lieu lors de la Saint-Jean.

    Sur la place principale du village on trouve une aire de pique-nique avec des tables, un terrain de pétanque, une fontaine et une cabine téléphonique.

    La présence d'une station d'épuration par lagunage est à noter. On trouve également deux équipements pour le tri des ordures ménagÚres (TOM).

    Enseignement

    En 1819, une institutrice apprend Ă  lire et Ă  Ă©crire aux jeunes filles. En 1821, la commune a une Ă©cole et la jeune femme qui est Ă  sa tĂȘte est interdite, pour cause d'immoralitĂ© et d'incapacitĂ©, d'enseignement sans autorisation de l'AcadĂ©mie. En 1857, les sƓurs de Sainte-Marie-la-ForĂȘt ouvrent une Ă©cole de filles.

    Une maison avec dépendances, sise au bourg de Sarrigné, avait été acquise par les époux Normand-Busson pour servir à la tenue d'une école primaire de garçons et au logement de l'instituteur ().

    L'ancien bĂątiment menaçant ruines, une Ă©cole communale de garçons fut amĂ©nagĂ©s dans le mĂȘme bĂątiment que la mairie. Les travaux de construction furent adjugĂ©s le (architecte Beignet).

    En 1952, la commune possédait une école publique mixte à une classe. AprÚs accord des autorités diocésaines, la municipalité décida d'aménager une seconde classe dans un local vacant de la cure (adjudication des travaux le ). Aux deux classes primaires existantes en 1975, on y adjoignit une troisiÚme classe en 1981. L'école maternelle avec garderie date de 1980.

    Aujourd'hui l'école publique se nomme "Le CÚdre Bleu". 124 élÚves y sont scolarisés dans 5 classes. Les locaux de l'école ont été totalement rénovés en 2000 et 2001. En 2010 en raison d'un manque d'élÚves une classe va devoir fermer. En 2015, 90 élÚves sont répartis en 4 classes.

    Sports

    Les Foulées de Sarrigné, une course à pied de 10 km créée en 2005, qui attire un nombre croissant de participants de la région (851 coureurs adultes et 117 enfants en 2015). Différents niveaux de course sont au programme : 10 km à partir de 15 ans, 5 km, 1 600 m pour les moins de 13 ans et 800 m pour les moins de 10 ans. Les 10 kilomÚtres de Sarrigné sont reconnus en Maine-et-Loire et chaque année les 10 kilomÚtres mobilisent de nombreux coureurs.

    Cultes

    Administration religieuse

    Liste des curés successifs (1521-1917)
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1521 12 décembre 1544 Pierre Fradin inhumé le 12 décembre 1544 dans l'église des Augustins d'Angers
    12 décembre 1544 1567 Bruneau de Tartifume donne son épitaphe
    1567 1572 Jacques de Montortier bachelier en droit canon
    1572 1627 Guillaume Fradin
    1627 1629 René Chasteau
    1629 1630 Jean Esperon
    1630 1667 Jean Collebault
    1667 1685 Toussaint Dreux
    1685 1692 René Bouerre (ou Bohaire) guéri de paralysie par l'intervention de Notre-Dame de la Réaie
    1692 14 mai 1709 Jean DesmaziĂšres
    14 mai 1709 12 juillet 1730 André Marchand meurt ùgé de 52 ans
    7 août 1730 1777 Urbain Delamotte
    1777 décembre 1790 Alexandre-François Beaufils
    dĂ©cembre 1790 18 dĂ©cembre 1821 Jacques-Étienne-François PĂ©teul du Boulay ancien curĂ© constitutionnel maintenu en 1802
    16 janvier 1822 28 février 1823 Jacques Houdet
    1er janvier 1826 27 mars 1830 Marie-François Mercier
    août 1830 11 novembre 1833 Pierre Chevreul
    7 janvier 1834 21 février 1847 Augustin GrandiÚre
    12 mars 1847 25 septembre 1849 Camille Dunoyer
    25 septembre 1849 6 septembre 1891 Frédéric Haudet
    6 septembre 1891 20 janvier 1895 Pierre Aubry
    20 janvier 1895 septembre 1901 Pierre Mortier
    septembre 1901 avril 1907 Gustave Bachelier
    décembre 1912 octobre 1915 Joseph Bellanger
    octobre 1915 juin 1917 Joseph Blouin
    Les données manquantes sont à compléter.

    Depuis cette date, la paroisse est desservie par le curé du Plessis-Grammoire.

    Les registres paroissiaux commencent en 1621, Ă  la mairie, et 1669 aux Archives DĂ©partementales de Maine-et-Loire.

    Il existait une école de charité.

    Économie

    Généralités

    À trois lieues d'Angers, terres maigres et sablonneuses, pays de tuffes, mauvais fonds, 1/3 en terres Ă  seigle, avoine et blĂ© noir ; quelques froment, orge, lin et chanvre; 1/3 en vignes de peu de valeur ; il y a des arbres fruitiers surtout des noyers ; ni prĂ©s ni pĂątures ; 1/3 en bois et landes et terres incultes ; vendent Ă  Angers fruits et denrĂ©es.

    Une commune rurale dépourvue d'industrie dont les actifs vont travailler, dans leur trÚs grande majorité, à l'extérieur de la commune, notamment à Angers et dans la Z.I. de Saint-Barthélémy-d'Anjou.

    Professions représentées dans le village vers 1888 : Hongreurs (2), cabaretiers (4), charron (1), cordonnier (1), épiciers et tissus (3), forgerons (2), messager (1), meuniers (2), sabotier (1), propriétaires-cultivateurs (3), fermiers (6), etc.

    En 1993, on recensait 3 exploitations qui pratiquaient la polyculture et l'élevage des bovins. Aujourd'hui, au niveau de l'agriculture, on compte à Sarrigné, un exploitant, mais de taille importante.

    Un commerce, Le Relais de Sarrigné, fait fonction de supérette, tabac, poste, boulangerie, bar et presse (Courrier de l'Ouest et Ouest-France). Il diffuse aussi, des événements sportifs sur grand écran.

    Tissu Ă©conomique

    Sur 26 établissements présents sur la commune à fin 2010, 15 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), aucun du secteur de l'industrie, 4 % du secteur de la construction, 65 % de celui du commerce et des services et 15 % du secteur de l'administration et de la santé[37]. Fin 2015, sur les 27 établissements actifs, 7 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 59 % de celui du commerce et des services et 19 % du secteur de l'administration et de la santé[38].

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Outre un logis seigneurial ayant servi de cure au siĂšcle dernier, le bourg comprend plusieurs maisons du XVIIIe siĂšcle.

    Les maisons anciennes sont construites avec le tuffeau qui constitue une partie du sous-sol de la commune, ainsi parcourut de nombreux souterrains et d'un ruisseau : l'Étang.

    L'ancien cimetiÚre avait été vendu aux enchÚres pour en employer le produit à l'acquisition d'un nouveau cimetiÚre (décret impérial du ).Le monument aux morts a été érigé dans le cimetiÚre communal (délibération du conseil municipal en date du ). (Guerre 1914-1918 : 14 morts).

    La mairie actuelle a été bùtie par adjudication en date du , sous la direction de l'architecte Beignet. En 1991, les façades de la mairie ont été entiÚrement rénovées. Précédemment, la mairie - avec l'école des garçons - était installée dans un immeuble des époux Normand-Busson, acquis par la commune, le , moyennant 3000 F. Cet immeuble fut aliéné le .

    Église Notre-Dame : datant du XIe siĂšcle. Reconstruite en 1350, pour les besoins de la population. Elle conserve son chƓur Ă  chevet plat du XIIe siĂšcle. La nef, de mĂȘme style, a Ă©tĂ© reconstruite, ainsi que le clocher-porche sans flĂšche, par l'architecte Beignet en 1874. Elle ne comporte pas de transept. L'Ă©glise n'Ă©tait jusqu'au XIVe siĂšcle, qu'une simple chapelle, fondĂ©e de quatre messes par semaine Ă  la prĂ©sentation alternative de l'abbĂ© de la BoissiĂšre et des curĂ©s d'Andard et de BaunĂ©. A l'entour vivaient 120 Ă©tagers, forcĂ©s, pour les offices religieux et pour les baptĂȘmes, mariages ou sĂ©pultures, de se rendre aux Ă©glises de BaunĂ© ou d'Andard. À la demande des prĂ©sentateurs et sous la rĂ©serve de leurs droits respectifs, l'Ă©vĂȘque Hugues Odart Ă©rigea la chapelle en Ă©glise paroissiale par ordonnance du .

    Le presbytÚre avait été acquis par la commune de l'abbé Beaufils, ancien curé de la paroisse (autorisation royale en date du ), le , moyennant 5 000 F. Les travaux d'appropriation furent adjugés le . Il fut aliéné aux enchÚres publiques en 1908 : l'immeuble étant vacant depuis , à la suite du départ du desservant.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • CĂ©lestin Port (rĂ©visĂ© par AndrĂ© Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, gĂ©ographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou, t. 4 (S-Z), Angers, H. Siraudeau & Cie, , 2e Ă©d. (1re Ă©d. 1878) (BNF 35857376), p. 288-289.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Nom de la municipalitĂ© en 1793 (an II), selon le recensement rĂ©alisĂ© sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « ArrĂȘtĂ©s de rĂ©duction des justices de paix » (actes publiĂ©s au Bulletin des lois) constituant la premiĂšre nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. DĂ©partement de Maine et Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine et Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Le Polygraphe Éditeur, 2003, p. 58 Ă  71 — DonnĂ©es consultables sur WikiAnjou.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Marcé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Sarrigné et Marcé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Marcé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Sarrigné et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Unité urbaine 2020 de Loire-Authion », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    25. CĂ©lestin Port 1996, p. 288.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    27. Ouest-France, SĂ©bastien Bodusseau, nouveau maire, et ses adjoints, article du 7 avril 2014.
    28. « SarrignĂ©. SĂ©bastien Bodusseau Ă©lu maire Ă  l’unanimitĂ© », sur Le Courrier de l'Ouest, (consultĂ© le ).
    29. Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 15 novembre 2012.
    30. PrĂ©fecture de Maine-et-Loire, ArrĂȘtĂ© DRCL no 879 du 13 dĂ©cembre 2011, RAA spĂ©cial du 21 dĂ©cembre 2011.
    31. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Sarrigné, consultée le 15 mars 2015.
    32. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    33. Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, 1876
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. Insee, Statistiques locales du territoire de Sarrigné (49), consultées le 26 mai 2013.
    38. « Dossier complet - Commune de Sarrigné (49326) », sur Insee, (consulté le ).
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