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Sandouville

Sandouville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Sandouville
Sandouville
La mairie.
Blason de Sandouville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Arrondissement du Havre
Intercommunalité CU Le Havre Seine Métropole
Maire
Mandat
Jacques Dellerie
2020-2026
Code postal 76430
Code commune 76660
DĂ©mographie
Gentilé Sandouvillais, Sandouvillaises
Population
municipale
795 hab. (2020 en diminution de 0,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 54 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 29â€Č 52″ nord, 0° 19â€Č 12″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 108 m
Superficie 14,8 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Le Havre
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Romain-de-Colbosc
LĂ©gislatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Sandouville
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Sandouville
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Sandouville
Liens
Site web http://www.sandouville.fr/

    Le village est connu pour l'implantation d'une usine Renault, dans la zone industrialo-portuaire.

    GĂ©ographie

    Description

    C'est tout au bord de la falaise, entre les vallĂ©es d'Oudalle et de Mortemer que l'on trouvera le village de Sandouville. Le village et ses habitants, mais pas toute la commune, car, sur les 705 hectares qu'elle couvre, une large partie est occupĂ©e par les prairies estuariennes aujourd'hui industrialisĂ©es.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 0,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 888 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Octeville », sur la commune d'Octeville-sur-Mer, mise en service en 1994[7] et qui se trouve Ă  16 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 796 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  65 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sandouville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Havre, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (38,7 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (21,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (32,9 %), prairies (15,4 %), terres arables (15,1 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (10,2 %), forĂȘts (8,8 %), eaux continentales[Note 8] (6 %), zones humides cĂŽtiĂšres (5,5 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (3,5 %), zones urbanisĂ©es (1,9 %), mines, dĂ©charges et chantiers (0,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,2 %), eaux maritimes (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Sandovilla en 1180 (Stapelton 61) et vers 1210 (Feoda de Mortui Maris), Sanduvilla à la fin du XIIIe siÚcle (Archives de Seine-Maritime 18 H.), Sandouville dÚs 1319 (Archives de Seine-Maritime G 3267)[24].

    Il s'agit d'une formation toponymique mĂ©diĂ©vale en -ville au sens ancien de « domaine rural Â». Le premier Ă©lĂ©ment Sandou- reprĂ©sente un anthroponyme conformĂ©ment au cas gĂ©nĂ©ral pour ce type de formation toponymique[25]. François de Beaurepaire propose un nom de personne germanique Sandolf[25] un peu diffĂ©rent de celui suggĂ©rĂ© par Albert Dauzat qui y voit un Sandolt[26]. Selon le premier, Sandaucourt contiendrait le mĂȘme nom de personne, alors que les formes anciennes sont du type Senlardis villa, Senla curte et contiendrait selon Dauzat, le nom de personne germanique Senelhard[26].

    Sandouville est situé dans l'aire de diffusion de la toponymie scandinave. Il existe un nom der personne vieux norrois SandulfR / Sandulfr[27]. Il se perpétue comme prénom en NorvÚge sous la forme Sando[l]v. Apparemment il s'agit d'un prénom plus spécifiquement norvégien[27], cependant on le trouve également comme patronyme en SuÚde, écrit Sandolf ou Sandolph[27]. On note ce nom de personne dans le toponyme Seat Sandal en Cumbria, Grande-Bretagne.

    Remarque : il existe aussi un saint d'origine wisigothique, martyr à Cordoue, nommé Sandila, mais parfois aussi Sandulf, mais Sandouville n'est pas situé dans l'aire de diffusion de la toponymie gotique.

    Histoire

    Au temps oĂč la Seine coulait au pied de la falaise, le plateau Ă©tait dĂ©jĂ  bien occupĂ©, si l'on en juge par les nombreux vestiges nĂ©olithiques retrouvĂ©s.

    Entre les vallons d’Oudalle et de Mortemer, des fouilles archĂ©ologiques ont exhumĂ© un oppidum occupĂ© Ă  l'Ă©poque du nĂ©olithique, mais qui s'est dĂ©veloppĂ© Ă  l'Ă©poque gauloise[28]. Il s'Ă©tend sur plus de 144 hectares, ce qui en fait un des plus grands de la Gaule. La tribu gauloise des CalĂštes aurait, selon les rĂ©cits de la Guerre des Gaules de CĂ©sar, envoyĂ© plus de 20 000 hommes Ă  AlĂ©sia, pour secourir VercingĂ©torix. Les CalĂštes sont Ă  l'origine du nom du pays de Caux.
    Comme c'est le cas la plupart du temps, l'endroit appelé Camp de César (voir Camp de César) ou Camp romain de maniÚre moderne (fin du XVIIIe siÚcle) renvoie à une partie de l'oppidum gaulois et non pas à quelque camp du Haut Empire dont la découverte en Gaule est exceptionnelle[29].

    Une Ă©glise et un chĂąteau, aujourd'hui dĂ©molis, furent construits au Xe siĂšcle. Les Sandouvillais qui n'Ă©taient que 65 en 1275 mirent longtemps avant que l'on dĂ©nombre 300 habitants en 1738. S'ils travaillaient la terre du plateau, leurs regards se tournaient vers la vallĂ©e oĂč la Seine et les marais leur offraient de nombreuses ressources : salines, pĂȘche, fenaison et pĂąturages au grĂ© des mouvements de l'eau, commerce avec l'autre rive. Cette derniĂšre activitĂ© n'Ă©tait pas sans danger. Et dans l'Ă©glise dĂ©diĂ©e Ă  saint Aubin reconstruite au XVIe, puis au XVIIIe siĂšcle, graffitis et ex-voto tĂ©moignent des drames qui ont eu lieu.

    Le petit village, de 440 ha Ă  l'Ă©poque, qui n'a ni itinĂ©raire ni Ă©cole en 1823, faillit ĂȘtre rattachĂ© aux villages voisins. GrĂące Ă  la location des terrains gagnĂ©s sur l'eau, en 1846 la commune put acheter un logis servant de presbytĂšre, une maison d'Ă©cole qui Ă©tait remplacĂ©e en 1865 par une mairie-Ă©cole et qui devint, avec une Ă©cole de filles inaugurĂ©e en 1882, le centre du village. Aujourd'hui 780 Sandouvillais vivent pour la plupart sur le plateau, dans de coquets pavillons fleuris dont certains jouissent d'une vue sur l'estuaire, le cours de la Seine et le pont de Normandie situĂ© sur le territoire de la commune.

    GrĂące aux apports financiers gĂ©nĂ©rĂ©s par l'arrivĂ©e d'importantes industries sur la plaine alluviale, Goodyear en 1963, puis la RĂ©gie Renault et bien d'autres... les diffĂ©rentes municipalitĂ©s ont pu offrir Ă  la population les Ă©quipements nĂ©cessaires au XXe siĂšcle, salle de sports, salle des fĂȘtes, Foyer pour Tous, salle de rĂ©unions avec bibliothĂšque, rĂ©novation de l'Ă©cole et transformation en groupe scolaire avec classes maternelles, nouvelle mairie. De petits lotissements judicieusement rĂ©partis dans la commune lui conservent un aspect rural inattendu si prĂšs d'une telle zone industrielle. Lien entre le passĂ© et le prĂ©sent, le blason de la commune signe l'identitĂ© d'un village qui a voulu vivre par la volontĂ© de ses habitants.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[30]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1892 1919 Pierre France
    1919 1921 Prosper Toutain
    1921 1936 Marcel Savalle
    1936 1944 André Duboc
    1944 1969 André Tessier
    1969 1976 Fernand Duboc
    1976 1977 Maurice Hebourg
    1977 mars 2001 Michel Castagnet PS
    mars 2001 Jacques Dellerie Ancien chargé de communication pour la raffinerie Total de Gonfreville-l'Orcher
    DĂ©putĂ© de la Seine-Maritime (2016[31] → )
    Vice-prĂ©sident de la CC Caux Estuaire (2014 → 2018)
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[32]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[34].

    En 2020, la commune comptait 795 habitants[Note 9], en diminution de 0,13 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    314300346322358342316350343
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    375392416382409418446456419
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    419407335334346340334465445
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    400460566645703754780777761
    2015 2020 - - - - - - -
    792795-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'Ă©glise.

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise dĂ©diĂ©e Ă  saint Aubin, construite en brique, pierre et silex.
    • Le camp de CĂ©sar [37].

    HĂ©raldique

    Armes de Sandouville

    Les armes de la commune de Sandouville se blasonnent ainsi :

    De gueules Ă  la roue dentĂ©e d’or, au chef d’argent chargĂ© de trois merlettes de sable.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Octeville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Sandouville et Octeville-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Octeville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Sandouville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Havre », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative Ă  l’amĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Charles de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984, p. 944 (lire en ligne)
    25. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 149
    26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 642a
    27. Site de Nordic Names : nom de personne SandulfR
    28. Oppida celtique (lire en ligne)
    29. Fouilles archéologiques
    30. « Sandouville », Les communes seinomarines, sur https://seine76.fr (consulté le ).
    31. Valentine Godquin, « Remaniement. Estelle Grelier au gouvernement, le maire de Sandouville devient dĂ©putĂ© de Seine-Maritime : Jacques Dellerie, maire de Sandouville, est le nouveau dĂ©putĂ© de la 9e circonscription de Seine-Maritime. Il succĂšde Ă  Estelle Grelier, nommĂ©e secrĂ©taire d'État, le 11 fĂ©vrier 2016 », 76 actu,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « Élu conseiller municipal en 1995, et maire depuis 2001, Jacques Dellerie fera ses premiers pas au Palais Bourbon dans les prochains jours, pour y dĂ©couvrir ses nouvelles missions ».
    32. « Liste des maires » [PDF], Listes des élus, Préfecture de la Seine-Maritime, (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Camp de César de Sandouville », notice no IA00066835, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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