Accueil🇫🇷Chercher

Saison 1970-1971 du Stade rennais UC

La saison 1970-1971 du Stade rennais Université Club débute le avec la première journée du Championnat de France de Division 1, pour se terminer le avec la dernière journée de cette compétition.

Stade rennais Université Club
1970-1971
Généralités
Président Jean Rohou
Entraîneur Jean Prouff
RĂ©sultats
Championnat 11e
14V-9N-15D, 37 points
56 buts pour, 53 contre
Coupe de France Vainqueur
Olympique lyonnais 1 - 0
Meilleur buteur Championnat :
Serge Lenoir (16)
Toute la saison :
Serge Lenoir (18)

Maillots

Domicile
Extérieur

Chronologie

Le Stade rennais UC est également engagé en Coupe de France, et remporte la compétition pour la deuxième fois de son histoire.

Résumé de la saison

Après une saison 1969-1970 compliquée, le Stade rennais peut s'attendre à vivre un exercice 1970-1971 tout aussi difficile. L'effectif n'a que peu évolué à l'intersaison, le seul changement majeur étant le remplacement du défenseur central Georges Jazdzyk par le solide Zygmunt Chlosta. Côté attaque, l'international André Betta arrive, et prendra rapidement la place de Lukić. Malgré ce recrutement limité, le Stade rennais UC commence sa saison en fanfare, et reste invaincu jusqu'à octobre. Il occupe au passage la première place du classement durant quatre journées, puis s'offre quelques résultats convaincants, comme face au FC Nantes (4 - 0), bien aidé par l'émergence d'un jeune talent nommé Raymond Keruzoré, encore étudiant en physique-chimie[1] - [2].

Cependant, le Stade rennais UC souffre de l'absence d'un avant-centre[3]. Après six ans de bons et loyaux services, Daniel Rodighiero plie bagage au mois d'octobre, et ne sera remplacé qu'en janvier avec l'arrivée du Lyonnais André Guy. Alors que Victor Mosa quitte le club à son tour, le Stade rennais UC recrute un milieu de terrain argentin nommé Héctor Toublanc dont le duo avec Serge Lenoir deviendra rapidement populaire[3]. Malgré cet effort de recrutement, les résultats rennais vont peu à peu devenir décevants, peut-être comme conséquence de l'excellent parcours en Coupe de France réalisé lors de la deuxième partie de saison.

Longtemps classés parmi les quatre premiers (ce qui pouvait lui assurer une qualification pour la toute nouvelle Coupe UEFA), les « Rouge et Noir » lâchent du lest une première fois en février avec trois défaites de rang. La fin de saison est, elle, cauchemardesque, avec onze matchs sans victoire pour terminer l'exercice, dont sept matchs consécutifs sans but marqué. De troisièmes, les Rennais finissent par échouer à une décevante onzième place qui reflète mal l'excellence de leur parcours de début de saison. Heureusement, la Coupe de France viendra grandement rehausser le bilan de cet exercice 1970-1971.

Le parcours en Coupe de France

Six ans après son premier succès dans l'épreuve, le Stade rennais va de nouveau goûter au bonheur de remporter la Coupe de France. De l'épopée de 1965, les seuls rescapés sont l'entraîneur Jean Prouff, et les défenseurs Louis Cardiet et René Cédolin, ce dernier n'ayant cependant pas disputé la finale rejouée contre Sedan.

Le parcours rennais débute par deux tours facilement gagnés contre des clubs amateurs. En trente-deuxièmes de finale, l'US Quevilly est aisément sortie (4 - 1) sur terrain neutre à Paris, dans un match disputé au Stade Jean-Bouin, le Parc des Princes étant alors en pleine rénovation. En seizièmes, c'est l'Entente Bagneaux-Fontainebleau-Nemours qui se fait éliminer (2 - 0). Le Stade rennais se qualifie pour la suite de la compétition, disputée sous forme de matchs aller-retour.

En huitièmes de finale, les amateurs du CA Mantes-la-Ville, se présentent. Tombeurs du Stade quimpérois et du RCFC Besançon aux tours précédents[4] - [5], les Mantais se déplacent route de Lorient pour la rencontre aller. Lors de celle-ci, les Rennais frappent à trois reprises sur les montants[6] avant de finir par ouvrir la marque sur un penalty très controversé[6] - [7] : le gardien mantais, qui venait de s'emparer du ballon, est pris soudainement de crampes. Le jeu s'arrête, ses coéquipiers lui étirant la jambe douloureuse. L'un de ces derniers s'empare du ballon à la main. L'arbitre M. Peauger, qui n'avait pas sifflé l'arrêt du jeu, désigne contre toute attente, et sans intervention rennaise, le point de penalty[6]. Lenoir ne se fait pas prier et marque le seul but du match. Au match retour, l'ambiance est délétère[7] - [8]. Aubour, coupable selon une partie du public d'avoir brisé le péroné de l'un des ailiers mantais au match aller, se fait littéralement lyncher par quelques individus qui l'agressent physiquement[8]. Déjà visiblement déstabilisé par l'accueil qui lui avait été réservé (des « Aubour assassin ! » étant descendus des tribunes à l'entrée des deux équipes sur le terrain[8]), le portier rennais avait encaissé un but dès la première minute de jeu, sur une frappe pourtant anodine[8]. Dominateurs en première période[8], les Rennais finissent par égaliser par Lukić à quelques minutes de la pause. Le score n'évoluera plus et le Stade rennais se qualifie dans la douleur pour le tour suivant.

En quarts de finale, le Stade rennais UC retrouve l'AS Monaco, relégué en Division 2 deux saisons auparavant. Malgré l'écart hiérarchique entre les deux équipes, ce sont les Monégasques qui prennent le meilleur sur les Rennais au terme de la première manche, disputée en Principauté (0 - 2). Au retour, des Rennais déchaînés refont leur retard en l'espace d'un quart d'heure[7], puis rajoutent deux nouveaux buts pour parachever leur triomphe (4 - 0). Dans l'équipe adverse, l'ancien rennais Louis Floch reste beau joueur et souhaite à ses anciens partenaires de jouer la finale[2].

L'Olympique de Marseille se dresse face aux Rennais en demi-finale. L'obstacle est de taille : menés par leur attaquant-vedette Josip Skoblar (qui marquera 44 buts cette saison-là[9]), les Olympiens sont lancés à la conquête de leur troisième titre de champion de France, et comptent bien s'offrir leur huitième Coupe de France. Alors que l'autre demi-finale oppose Sochaux à Lyon, les pronostics avancent que le vainqueur de Rennes - Marseille remportera l'épreuve[2]. Avant la double confrontation, le hasard veut que les Rennais se déplacent une première fois au Stade Vélodrome un peu moins d'une semaine avant le match aller, pour le compte du championnat. La défaite rennaise est lourde (0 - 5, avec un quadruplé de Skoblar), mais Jean Prouff sait quelle est la priorité de la fin de saison, et remanie fortement son équipe, alignant d'entrée d'habituels remplaçants et changeant de postes quelques cadres (le défenseur Cédolin passera ainsi au milieu de terrain[10]), dans le but de tromper l'adversaire[7]. Prouff l'avoue lui-même à l'issue de la rencontre : « Jeudi, tout sera différent »[2]. Effectivement, quatre jours après la piteuse défaite en championnat, les Rennais tiennent longtemps tête aux Marseillais, et ne s'inclinent que 1 but à 0, conservant toutes leurs chances de qualification.

La demi-finale retour est explosive. Les deux Ă©quipes pĂ©nètrent dans un stade de la route de Lorient plein comme un Ĺ“uf[11] puisque pas moins de 27 194 spectateurs s'entassent dans les gradins[2], sans compter ceux qui s'installent sur les toits des tribunes, sur des pylĂ´nes ou dans les arbres environnants[7]. TĂ´t dans le match, AndrĂ© Guy manque l'occasion d'ouvrir le score Ă  la suite d'un tir de Rico dĂ©tournĂ© par un dĂ©fenseur sur le poteau[11]. Ă€ la 29e minute, Guy marque finalement, mais son but est refusĂ© pour une position de hors-jeu[11]. Dans la foulĂ©e, c'est Marseille qui rĂ©ussit Ă  ouvrir le score, sur un but de Loubet consĂ©cutif Ă  un dĂ©gagement manquĂ© par CĂ©dolin (31e). ObligĂ©s de marquer deux fois, les Rennais Ă©galisent avant la mi-temps : Ă  la suite d'un coup franc, Cosnard prolonge le ballon de la tĂŞte pour Guy qui Ă©galise au second poteau (44e)[11]. Ă€ l'heure de jeu, le Stade rennais refait totalement son retard : sur une contre-attaque, Betta est fauchĂ© dans la surface, mais l'action se poursuit et le centre parfait de KeruzorĂ© parvient Ă  Guy qui marque une nouvelle fois de la tĂŞte (61e), plongeant le stade de la route de Lorient dans un Ă©tat de transe[11]. La fin de la rencontre, puis la prolongation, ne parviennent pas Ă  dĂ©partager les deux Ă©quipes. Pour la première fois de son histoire, le Stade rennais doit disputer une sĂ©ance de tirs au but. Son gardien, Marcel Aubour y sortira le grand jeu[12] - [13]. Il voit d'abord le tir de Skoblar passer au-dessus de sa barre transversale[11], alors que de leur cĂ´tĂ©, ses coĂ©quipiers Lenoir et Guy battent Escale. Il est ensuite dĂ©cisif en arrĂŞtant magnifiquement la tentative de Kula[11] ce qui provoque l'envahissement du terrain par un public qui pensait la rencontre terminĂ©e[2]. Et si Betta manque un penalty qui aurait pu donner la victoire aux Rennais, Aubour est encore lĂ  pour dĂ©tourner celui de Hodoul[11], devenant le hĂ©ros de la qualification rennaise.

En finale, le Stade rennais UC trouve sur son chemin l'Olympique lyonnais, qui est difficilement venu à bout de Sochaux (1 - 0, 1 - 1), mais a réalisé un beau parcours en sortant notamment l'AS Saint-Étienne au prix d'une belle remontée au match retour (0 - 2, 3 - 0)[14]. Équipe qui s'est rapidement calée en milieu de classement en championnat[15], l'OL mise sur la jeunesse et l'ambition de ses joueurs[16] comme Raymond Domenech (19 ans) ou Serge Chiesa (20 ans) entourés par quelques éléments d'expérience, comme Fleury Di Nallo.

Du côté rennais, alors que Jean Prouff prépare ses joueurs au calme à Saint-Malo[17] - [18], la confiance est là, et l'on compte sur le soutien massif du public breton qui envahira le Stade olympique de Colombes[17]. Prouff estime que son équipe a « au moins autant de chances, sinon plus », que Lyon de l'emporter[18], alors qu'André Guy ancien lyonnais, ne ressent aucun sentiment de revanche à l'égard de son ancien club[17].

La veille de la rencontre, les Rennais rejoignent la capitale en train et sont accueillis à la Gare Montparnasse par des supporters bretons[1] - [19]. Le 20 juin, Rennais et Lyonnais en décousent enfin à Colombes. La première mi-temps est relativement à l'avantage des « Rouge et Noir », qui marquent un but. Celui-ci est refusé par M. Vigliani, Guy ayant bousculé le portier adverse Chauveau[19]. À la mi-temps, malgré quelques occasions lyonnaises, le score est toujours vierge, et l'on retient surtout la partie de pétanque improvisée par le facétieux Aubour avec des artichauts lancés par le public[12] - [20]. La seconde période recommence sur les mêmes bases que la première, le Stade rennais UC manquant plusieurs fois la cible, par Guy notamment[19]. Un deuxième but marqué par Betta est refusé aux Rennais (58e), cette fois pour un hors-jeu de position de Rico[21]. Une décision mal comprise par les joueurs rennais[7]. La délivrance vient peu après l'heure de jeu : sur une perte de balle lyonnaise, Naumović transmet rapidement à Guy, qui contrôle et frappe du droit. Son tir est repoussé par le poteau, mais le ballon revient sur l'attaquant rennais qui est fauché dans la surface par Valette[22]. M. Vigliani siffle un penalty qualifié de litigieux[7] - [23] qu'André Guy se charge lui-même de transformer d'un tir puissant en pleine lucarne droite[22]. Malgré plusieurs autres occasions rennaises, le score ne bougera plus. Le Stade rennais s'impose 1 but à 0 et remporte sa deuxième coupe de France. Le capitaine rennais Louis Cardiet peut alors soulever la coupe, reçue des mains du Premier ministre Jacques Chaban-Delmas[24].

Dès la fin du match, les rues de Rennes se remplissent d'un concert de klaxon[21], et la ville fera la fête jusqu'au soir[19]. Au retour des joueurs, comme en 1965, c'est un public massif et enthousiaste qui accompagne les vainqueurs, de la gare jusqu'à l'hôtel de ville[21]. Les joueurs mettent deux à trois heures pour faire le trajet[25] - [26], se frayant difficilement un chemin dans des rues noires de monde[7]. Trois jours après la finale, le Stade rennais retrouvera l'OL, cette fois en championnat, route de Lorient. Fair-play, les Lyonnais saluent leurs vainqueurs en leur faisant une haie d'honneur à leur entrée sur le terrain[27]. Dans le jeu, les Rhodaniens prendront leur revanche, s'imposant 3 buts à 2.

Transferts en 1970-1971

L'effectif de la saison

Équipe-type

Il s'agit de la formation la plus courante rencontrée en championnat.

Les rencontres de la saison

Liste

Match Date Compétition Tour Adversaire Lieu ¹ Score Class. Buteurs pour le Stade rennais
112 août Division 11 Reims D 0-010
219 août Division 12 Bastia E 2–212 Mosa But inscrit Lenoir But inscrit
322 août Division 13 Metz D 0-013
426 août Division 14 Nîmes D 2–06 Cardiet But inscrit Rico But inscrit
529 août Division 15 Nice E 1–02 Betta But inscrit
69 septembre Division 16 Bordeaux D 3-01 Lenoir But inscrit Betta But inscrit But inscrit
720 septembre Division 17 Red Star E 5-11 Garcia But inscrit Lenoir But inscrit Rico But inscrit But inscrit But inscrit
823 septembre Division 18 Strasbourg D 2–01 Rodighiero But inscrit Rico But inscrit
93 octobre Division 19 Angers E 1–21 Cosnard But inscrit
1011 octobre Division 110 Saint-Étienne D 0–34
1118 octobre Division 111 Angoulême E 0–15
1224 octobre Division 112 Nancy D 5-14 Lenoir But inscrit Lukić But inscrit But inscrit But inscrit Rico But inscrit
131er novembre Division 113 Sedan E 1-03 Betta But inscrit
1418 novembre Division 114 Nantes D 4–03 Garcia But inscrit But inscrit Lenoir But inscrit But inscrit
1522 novembre Division 115 Ajaccio E 0-33
1629 novembre Division 116 Marseille D 2-23 Cosnard But inscrit Lenoir But inscrit
176 décembre Division 117 Valenciennes FC E 0-03
1813 décembre Division 118 Sochaux D 4–03 Garcia But inscrit Lenoir But inscrit But inscrit Lukić But inscrit
1920 décembre Division 119 Lyon E 2–33 Lenoir But inscrit Rico But inscrit
2031 janvier Division 120 Bastia D 3–23 Lenoir But inscrit But inscrit Betta But inscrit
216 février Coupe de France1/32 finale Quevilly N[31] 4-1 Lenoir But inscrit Guy But inscrit Rico But inscrit But inscrit
2214 février Division 121 Metz E 1-24 Guy But inscrit
2321 février Division 122 Nîmes E 2–35 Guy But inscrit But inscrit
2427 février Coupe de France1/16 finale Fontainebleau N[32] 2-0 Guy But inscrit Rico But inscrit
257 mars Division 123 Nice D 1–35 Lenoir But inscrit
2610 mars Division 124 Bordeaux E 1-05 Rico But inscrit
2721 mars Division 125 Red Star D 3-05 Garcia But inscrit Betta But inscrit Rico But inscrit
2824 mars Division 126 Strasbourg E 4–34 Simian But inscrit Lenoir But inscrit Guy But inscrit Rico But inscrit
2928 mars Coupe de France1/8 finale aller Mantes-la-Ville D 1-0 Lenoir But inscrit
303 avril Division 127 Angers D 1-03 Keruzoré But inscrit
3111 avril Coupe de France1/8 finale retour Mantes-la-Ville E 1-1 Lukić But inscrit
3214 avril Division 128 Saint-Étienne E 0–14
3317 avril Division 129 AngoulĂŞme D 0-04
3428 avril Division 130 Sedan D 0–04
352 mai Coupe de France1/4 finale aller Monaco E 0-2
365 mai Coupe de France1/4 finale retour Monaco D 4-0 Guy But inscrit Betta But inscrit Guermeur But inscrit Piumi Inscrit contre son camp (csc)
378 mai Division 131 Nancy E 0-54
3815 mai Division 132 Nantes E 0–14
3918 mai Division 133 Ajaccio D 0–15
4023 mai Division 134 Marseille E 0–58
4127 mai Coupe de France1/2 finale aller Marseille E 0-1
421er juin Coupe de France1/2 finale retour Marseille D 2-1 a.p.² Guy But inscrit But inscrit
435 juin Division 135 Valenciennes FC D 1–18 Lenoir But inscrit
4412 juin Division 136 Sochaux E 2–49 Betta But inscrit Rico But inscrit
4520 juin Coupe de FranceFinale Lyon N[33] 1-0 Guy But inscrit
4623 juin Division 137 Lyon D 2–311 Guy But inscrit Rico But inscrit
4726 juin Division 138 Reims E 1–111 Lenoir But inscrit
  • 1 N : terrain neutre ; D : Ă  domicile ; E : Ă  l'extĂ©rieur ; drapeau : pays du lieu du match international
  • 2 3 - 2 aux tirs au but
Aller
Retour

Coupe de France

Bilan des compétitions

Compétition Vainqueur final Débute au tour Place ou tour final Première rencontre Dernière rencontre Nombre
Division 1Olympique de Marseille1re journée11e38
Coupe de FranceStade rennais UC1/32 de finaleVainqueur9

Classement

Classement
Rang Équipe Pts J G N P Bp Bc Diff
8 Metz 40 38 13 14 11 46 56-10
9 Reims 39 38 14 11 13 54 44+10
10 Sochaux 38 38 14 10 14 58 55+3
11 Rennes 37 38 14 9 15 56 53+3
12 Angers 35 38 15 5 18 61 66-5
13 Nancy 35 38 12 11 15 45 56-11
14 Nice 34 38 12 10 16 48 55-7

RĂ©sultats

TotalDomicileExtérieur
MatchsPointsVNDBPBCDiff.VNDBPBCDiff.VNDBPBCDiff.
38 37 14 9 15 56 53 +3 9 6 4 33 16 +17 5 3 11 23 37 -14


Résultats par journée

Journée0102030405060708091011121314151617181920212223242526272829303132333435363738
Terrain D E D D E D E DEDEDEDEDEDEDEEDEDEDEDDEEDEDEDE
RĂ©sultats N N N V V V V VDDDVVVDNNVDVDDDVVVVDNNDDDDNDDN
Points 1 2 3 5 7 9 11 13131313151719192021232325252525272931333334353535353536363637
Place 10 12 13 6 2 1 1 114543333333345555434444458891111

Source : Liste des rencontres
Terrain : D = Domicile ; E = Extérieur. Résultat: D = Défaite ; N = Nul ; V = Victoire.

Références

  1. Nicolas Carnec, « Raymond Keruzoré, monsieur 100 % foot », Ouest-France, 3 mai 2009
  2. Claude Loire, Le Stade rennais, fleuron du football breton 1901-1991, Éditions Apogée, 1994, p. 351
  3. Claude Loire, op. cit., p. 349
  4. Résultats des trente-deuxièmes de finale de la Coupe de France, FFF.fr
  5. Résultats des seizièmes de finale de la Coupe de France, FFF.fr
  6. Robert Vergne, « Lenoir et les Bretons souffriront à Mantes-la-Ville ! », France Football, 30 mars 1971
  7. « La victoire en Coupe de France en 1971 : Témoignage d'Alain Cosnard », Stade rennais online
  8. Daniel Watrin, « Mantes étonnant et... décevant », Rétro du CA Mantes-la-Ville
  9. Fiche et statistiques de Josip Skoblar, om1899.net
  10. Claude Loire, op. cit., p. 350
  11. Gilbert Bousquet, « Football » : résumé de la demi-finale retour de la Coupe de France 1970-1971 Rennes - Marseille, Bretagne actualités, INA.fr
  12. Nicolas Sabatier, « Marcel Aubour, des gants de légende », Var-Matin, 20 avril 2008
  13. Feuilles de matchs des demi-finales de la Coupe de France 1970-1971, FFF.fr
  14. Résultats des huitièmes de finale de la Coupe de France, FFF.fr
  15. RĂ©sultats et Ă©volution du classement de l'Olympique lyonnais en Division 1 1970-1971, LFP.fr
  16. Paul Laporte, « Football : Interview des joueurs et de l'entraîneur de Lyon avant leur match contre Rennes », Rhône-Alpes actualités, 19 juin 1971, INA.fr
  17. « Rennes avant la Finale de la Coupe de France », Journal télévisé de 13h, 19 juin 1971, INA.fr
  18. « Stade rennais » : la préparation rennaise pour la finale de la Coupe de France, Bretagne actualités, 17 juin 1971, INA.fr
  19. « Football, Stade rennais, la coupe », Bretagne actualité, 21 juin 1971, INA.fr
  20. Antoine Blin, « Rennes-rétro 1971 : Aubour et Guy font le show », Le Télégramme, 7 mai 2009
  21. Charles Gérard, Michel Drucker, « Rennes vainqueur de la coupe », Les coulisses de l'exploit, 27 juin 1971, INA.fr
  22. Michel Drucker, « But rennais marqué sur penalty par André Guy », Télé dimanche, 20 juin 1971, INA.fr
  23. Feuille de match de la finale de la Coupe de France, FFF.fr
  24. Michel Drucker, « Les joueurs de Rennes reçoivent la Coupe de France de football », Télé dimanche, 20 juin 1971, INA.fr
  25. « Serge, ancien vainqueur de la Coupe de France », Ouest-France, 8 mai 2009
  26. A.B., « Marcel Aubour : "La folie contre l'OM" », Ouest-France, 7 mai 2009
  27. Claude Loire, op. cit., p. 352
  28. Les transferts d'André Guy et d'Héctor Toublanc au Stade rennais ne sont effectifs qu'en janvier
  29. Le transfert de Victor Mosa Ă  Bastia n'est effectif qu'en janvier
  30. Le transfert de Daniel Rodighiero Ă  Valenciennes n'est effectif qu'en octobre
  31. Match disputé à Paris, au Stade Jean-Bouin. Le Parc des Princes, situé à côté, est alors en rénovation et n'abrite aucune compétition de juin 1970 à mai 1972
  32. Match disputé à Châteauroux
  33. Match disputé à Colombes, au Stade olympique Yves-du-Manoir

Bibliographie

Claude Loire, Le Stade rennais, fleuron du football breton 1901-1991, Éditions Apogée, 1994

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.