Accueil🇫🇷Chercher

Saint-Sauveur (Vienne)

Saint-Sauveur est une ancienne commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne (région en région Nouvelle-Aquitaine, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Senillé-Saint-Sauveur.

Saint-Sauveur
Saint-Sauveur (Vienne)
L'Ă©glise de Saint-Sauveur.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Grand Châtellerault
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
GĂ©rard PĂ©rochon
2016-2020
Code postal 86100
Code commune 86P01
DĂ©mographie
Gentilé Foucaudois, Foucaudoises
Population 1 073 hab. (2013)
DensitĂ© 33 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 48′ 33″ nord, 0° 37′ 26″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 144 m
Superficie 32,37 km2
Élections
Départementales Châtellerault-3
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Senillé-Saint-Sauveur
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Sauveur
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Sauveur
GĂ©olocalisation sur la carte : Vienne
Voir sur la carte topographique de la Vienne
Saint-Sauveur
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Sauveur

    GĂ©ographie

    Localisation

    Saint-Sauveur est située à km au sud-est de Châtellerault, la plus grande ville à proximité.

    Le bourg est entouré par Senillé, Oyré et Châtellerault.

    GĂ©ologie et relief

    La commune présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées.

    Le terroir se compose :

    • de terres fortes pour 26 % et de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, Ă  tendance siliceuse) pour 43 % sur les plateaux du seuil du Poitou ;
    • de champagnes ou aubues (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) pour 18 % sur les collines calcaires ;
    • de tuffeau jaune pour 12 % sur les collines et dĂ©pressions sableuses des bordures du Bassin parisien ;
    • de terres alluviales pour 1 % dans les vallĂ©es alluviales[1].

    Hydrographie

    La commune est traversĂ©e par 10 km de cours d'eau. Les principaux sont:

    • le ruisseau de Chaudet sur une longueur de 3,1 km,
    • le ruisseau de l'Ă©tang Berland sur une longueur de km,
    • Le Moury sur une longueur de 1,5 km,
    • Le Maury sur une longueur de 0,6 km.

    Climat

    Le climat est océanique avec des étés tempérés.

    D’une manière générale[2], le temps est assez sec et chaud pendant l’été, moyennement pluvieux en automne et en hiver avec des froids peu rigoureux.

    La température moyenne est de 11 °C. Juillet est le mois le plus chaud (maximale absolue 40,8 °C en 1947). Janvier est le mois le plus froid (minimale absolue – 17,9 °C en 1985). 9 °C à peine sépare les moyennes minimales des moyennes maximales (cette séparation est de 6 °C en hiver et de 11 °C en été). L’amplitude thermique est de 15 °C.

    Voies de communication et transports

    Les gares et les haltes ferroviaires les plus proches de Saint-Sauveur sont :

    Les aéroports et aérodromes proches de la commune sont :

    Urbanisme et habitat

    En 2011,selon l'Insee, le nombre de logements sur le territoire de la commune était de 457 dont 416 sont des résidences principales (soit 91 %) et 20 des résidences secondaires (soit 4 %).

    Histoire

    L'existence d'une dizaine de stations préhistoriques de plein air atteste l'ancienneté de l'occupation humaine.

    Les tracés encore visibles de deux chaussées gallo-romaines signent des voies antiques et l'on a retrouvé des fonds de villas gallo-romaines à Fontavilliers et aux Épinettes.

    Le prieuré Antonin de Saint-Antoine de la Foucaudière a été fondé en 1349 par Adam de Soissons et son épouse Catherine de Chavanyers. En 1366, il a été érigé en commanderie.

    La guerre de Cent Ans ravage le pays : en 1379, l'église et l'hôpital sont en ruines. La nef et le clocher sont reconstruits puis le chœur est achevé en 1493, au temps du commandeur Laurent Imbert.

    Il est incendié en 1569, durant les guerres de religion, et en 1619, le commandeur Laurent Astruc commence les travaux de réhabilitation, mais la plus grande partie de la nef reste ruinée[3].

    La commanderie de la Foucaudière est désertée en 1777. Après la Révolution, le bourg de Saint-Sauveur est reconstruit autour de l'ancienne commanderie. L'église, devenue paroissiale, est rétablie sous le double vocable de Saint-Sauveur et de Saint-Antoine.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Saint-Sauveur dépend de la sous-préfecture de la Vienne à Châtellerault.

    Depuis 2015, Saint-Sauveur est dans le canton de Châtellerault-3 (n°4) du département de la Vienne. Avant la réforme des départements, Saint-Sauveur était dans le canton n°3 de Chatellerault Nord dans la 4e circonscription.

    La commune de Senillé, qui comptait 760 habitants, a été rattaché à Saint-Sauveur depuis le pour former une nouvelle commune : Senillé-Saint-Sauveur. La commune de Saint-Sauveur devient commune déléguée au sein de Senillé-Saint-Sauveur (commune nouvelle).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981 ? Philippe Baranger
    mars 2001 décembre 2015 Gérard Pérochon[4]

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Traitement des déchets et économie circulaire

    La commune accueille l'une des cinq installations de stockage de dĂ©chets non dangereux d'une capacitĂ© de 120 000 tonnes. La capacitĂ© des cinq sites est de 474 000 tonnes en 2011[5].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă€ partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂŞte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[6]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[7] - [Note 1].

    En 2013, la commune comptait 1 073 habitants, en augmentation de 1,51 % par rapport Ă  2008 (Vienne : 1,65 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    266354346647661804832812760
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    801780789788686705735752737
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    671742746710697712668703736
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2013
    6885976498741 0069471 0461 0631 073
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee Ă  partir de 2006[9].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La densité de population de la commune est de 33 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE- 2008).

    La commune appartient à une zone de faible dynamisme démographique qui impacte une partie des membres de la communauté d’agglomération du pays châtelleraudais. L’évolution moyenne annuelle a été, de 1999 à 2006, de 0,90 % contre 1,32 % pour la communauté d’agglomération de Poitiers. Ceci s’explique par la crise économique qui touche le secteur industriel très représenté dans la communauté d’agglomération du pays châtelleraudais [10].

    Les dernières statistiques dĂ©mographiques pour la commune ont Ă©tĂ© fixĂ©es en 2009 et publiĂ©es en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 1 077. Ă€ cela il faut soustraire les rĂ©sidences secondaires (17 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 1 060 habitants.

    La répartition par sexe de la population est la suivante :

    • en 1999 : 52,2 % d'hommes et 47,8 % de femmes.
    • en 2005 : 51,5 % d'hommes et 48,5 % de femmes.
    • en 2010 : 48,4 % d'hommes pour 51,6 % de femmes.

    En 2005, selon l'Insee :

    • Le nombre de cĂ©libataires Ă©tait de 27,5 % dans la population.
    • Les couples mariĂ©s reprĂ©sentaient 62,7% de la population,
    • Les divorcĂ©s reprĂ©sentaient 4,8 % de la population,
    • Le nombre de veuves et veufs Ă©tait de 5 % Ă  Saint-Sauveur.

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son école primaire publique dépend de l'inspection académique de la Vienne. Elle peut accueillir 96 élèves.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[11], il n'y a plus que 24 exploitations agricoles en 2010 contre 33 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisĂ©es ont diminuĂ© et sont passĂ©es de 2 342 hectares en 2000 Ă  2 252 hectares en 2010. 48 % sont destinĂ©es Ă  la culture des cĂ©rĂ©ales (blĂ© tendre essentiellement mais aussi orges et maĂŻs), 17 % pour les olĂ©agineux (colza et tournesol), 1 % pour les protĂ©agineux (61 % de ces surfaces sont rĂ©servĂ©es Ă  la culture de pois), 18 % pour le fourrage et 6 % restent en herbe. En 2000, deux hectares (un en 2010) Ă©taient consacrĂ©s Ă  la vigne[11].

    Six exploitations en 2010 (contre huit en 2000) abritent un Ă©levage de bovins (817 tĂŞtes en 2010 contre 530 tĂŞtes en 2000). Trois exploitations en 2010 (contre quatre en 2000) abritent un Ă©levage d'ovins (437 tĂŞtes en 2010 contre 863 tĂŞtes en 2000). L'Ă©levage de caprins a disparu au cours de cette dĂ©cennie (849 tĂŞtes rĂ©parties sur trois fermes en 2000)[11]. Cette disparition est rĂ©vĂ©latrice de l’évolution qu’a connue, en rĂ©gion Poitou- Charente, cet Ă©levage au cours des deux dernières dĂ©cennies: division par trois du nombre d’exploitations, augmentation des effectifs moyens par Ă©levage (38 chèvres en 1988, 115 en 2000), division par dix des chèvreries de 10 Ă  50 chèvres qui reprĂ©sentaient 50 % des troupeaux en 1988, et multiplication par six des Ă©levages de plus de 200 chèvres qui regroupent, en 2000, 45 % du cheptel. Cette Ă©volution a principalement pour origine la crise de surproduction laitière de 1990-1991 qui, en parallèle des mesures incitatives, a favorisĂ© des dĂ©parts d’éleveurs en prĂ©retraite[12].

    La commune abrite trois importants Ă©levages de porcs : deux de 3 300 tĂŞtes environ et le troisième de 1 300 tĂŞtes.

    Saint-Sauveur produit des melons de Haut Poitou (IGP). Selon une Ă©tude de la direction rĂ©gionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la ForĂŞt, publiĂ©e en , la surface consacrĂ©e Ă  la culture du melon 3 810 hectares en RĂ©gion Poitou-Charentes est de loin la plus importante de l'Hexagone (Midi-PyrĂ©nĂ©es : 3 211 hectares ; Languedoc-Roussillon : 2 751 hectares ; PACA 2 525 hectares. Le melon est produit par 314 exploitations. La zone de culture du melon se situe dans le nord de la rĂ©gion, principalement sur une trentaine de communes de la Vienne dont Saint-Sauveur, et quatre communes en Deux-Sèvres. Un melon français sur quatre provient de Poitou-Charentes.

    La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

    Industries

    Une entreprise de fabrication de meubles (BATH FOURNITURES ex. Technibois).

    Commerce

    La commune possède encore trois commerces selon l'INSEE en 2012 : un salon de coiffure, un depot de pain et un ancien restaurant en cours de reaffectation

    Activité et emploi

    Le taux d'activité était de 77,2 % en 2005 et 72,5 % en 1999.

    Le taux de chĂ´mage en 2005 Ă©tait de 8,3 % et en 1999, il Ă©tait de 5,9 %.

    Les retraités et les pré-retraités représentaient 18,8 % de la population en 2005 et 15,9 % en 1999.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise Saint-Antoine date des XVe et XVe siècles surplombe le bourg de Saint-Sauveur, Logo monument historique ClassĂ© MH (1910, 1913)[13].
    Elle dépendait de la commanderie de la Foucaudière, fondée par l'ordre des Antonins en 1366.
    Elle a été dévastée au cours de la guerre de Cent Ans. Elle est reconstruite en style gothique flamboyant. Elle est incendiée, au XVIe siècle, durant les guerres de religion. Elle est, alors, de nouveau restaurée, au début du XVIIe siècle. Elle est devenue église paroissiale après la Révolution sous le double vocable de Saint Sauveur et Saint Antoine. Une campagne de restauration a été réalisée entre 1967 et 1990.
    L'entrée de l'édifice est précédée d'un porche monumental. Ce porche, soutenu par deux piliers sculptés, abrite un portail. Il est surmonté d'une accolade au-dessus de laquelle une niche à statue accueille saint Antoine tenant un livre.
    La nef est composée d'une seule travée sombre et basse mais elle s'ouvre sur le chœur, haut et lumineux. C'est un des plus beaux exemples du gothique flamboyant dans la Vienne. La grande baie du chœur est garnie d'un vitrail représentant l'adoration des mages. :Le chevet plat domine le village de Saint-Sauveur. La sacristie est aussi voutée d'ogives. Au sud une chapelle se prolonge par ce qui reste des bâtiments du prieuré utilisés comme presbytère[14]. Une porte permet d'accéder dans la partie orientale du cloître qui subsiste. La chapelle de la Vierge est construite sur une crypte. Le vitrail représente L'Annonciation.
    À l'intérieur, il est possible de voir un beau retable du XVIIe siècle.
    • L'ancienne commanderie de la Foucaudière, Logo monument historique Inscrit MH (1932, Le portail d'entrĂ©e et la tourelle d'angle)[15].

    Patrimoine civil

    • Des stations prĂ©historiques.
    • Le site perchĂ© de Hupeloup-la-Foucaudière : vestiges Ă©nigmatiques d'une enceinte dĂ©fensive antique et restes de monuments funĂ©raires. Le portail et la tourelle sont inscrits comme Monument Historique depuis 1932.
    • Des chaussĂ©es de voies romaines et des emplacements de villas.
    • Le cimetière de Saint-Sauveur est classĂ© comme monument historique depuis 1937.

    Patrimoine naturel

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[16], un arbre remarquable, un chêne rouvre, est situé dans le bois de Saint-Sauveur.

    Les forêts de la Guerche et de La Groie qui couvrent 7 % de la surface communale sont classés comme zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[17].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂŞte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. Chambre RĂ©gionale d'agriculture de Poitou-Charente - 2007
    2. Livret simplifié de la carte des pédopaysages de la Vienne – novembre 2012, édité par la Chambre d’Agriculture de Poitou-Charentes
    3. Poitou gothique, Yves Blomme, Ă©ditions Picard, 1993, (ISBN 2-7084-0439-3)
    4. [PDF]Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    5. Rapport de l’AREC – La gestion des déchets ménagers en Vienne – Recueil des données – Année 2011
    6. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    7. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    8. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    9. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
    10. Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
    11. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    12. Agreste – Bulletin no 11 de décembre 2005
    13. « Eglise et son cloître », notice no PA00105710, base Mérimée, ministère français de la Culture
    14. Poitou gothique, Yves Blomme, Ă©ditions Picard, 1993, (ISBN 2-7084-0439-3)
    15. « Commanderie de la Foucaudière (ancienne) », notice no PA00105709, base Mérimée, ministère français de la Culture
    16. Poitou-Charentes Nature, 2000
    17. Secrétariat scientifique de l'inventaire des ZNIEFF, DREAL Poitou-Charentes , 2011.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.