Saint-Romain-au-Mont-d'Or
Saint-Romain-au-Mont-d'Or est une commune française située dans la métropole de Lyon, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Saint-Romain-au-Mont-d'Or | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
Département | Circonscription départementale du Rhône | ||||
MĂ©tropole | MĂ©tropole de Lyon | ||||
Arrondissement | Lyon | ||||
Maire Mandat |
Guillaume Malot 2022-2026 |
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Code postal | 69270 | ||||
Code commune | 69233 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saromagnots[1]. | ||||
Population municipale |
1 235 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 471 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 50′ 19″ nord, 4° 49′ 25″ est | ||||
Altitude | Min. 165 m Max. 492 m |
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Superficie | 2,62 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lyon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lyon (commune de la couronne) |
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Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
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Liens | |||||
Site web | www.saintromainaumontdor.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation
Cette commune est située sur la rive droite de la Saône à environ 10 km au nord de Lyon, en bordure des Monts d'Or. Le site de Saint-Romain est contraint, en cuvette à la confluence des ruisseaux débouchant des deux vallons. Le village historique se situe à 700 m de la rivière, entre 195 et 220 m d'altitude, soit 30 à 50 m au-dessus de son niveau. Il est coupé de la Saône par la ligne SNCF qui comporte sur ce tronçon quatre voies. Une halte et un passage à niveau existaient jusque dans les années 1950.
Lieux-dits et quartiers
L'habitat est groupé à part les deux hameaux isolés du Nid et du Mont Thou.
Communes limitrophes
Couzon-au-Mont-d'Or | Rochetaillée-sur-Saône | |||
N | ||||
O Saint-Romain-au-Mont-d'Or E | ||||
S | ||||
Saint-Cyr-au-Mont-d'Or | Collonges-au-Mont-d'Or |
Relief
L'altitude s'élève sur les pentes du mont Cindre (470 m) et du mont Thou (609 m.). Le point culminant de la commune est à 492 m, au lieu-dit Pelocet. On note la présence de falaises qui dominent le village et qui sont en fait les fronts de tailles des anciennes carrières. Hauts de 20 m en moyenne, ils dominent des glacis d'éboulis constitués des pierres dépourvues de valeur commerciale pour les carriers.
Hydrographie
Le village est coupé de la Saône par la voie ferrée et la route, mais deux pans inclinés donnent accès à la rivière. Les eaux de ruissellement dévalent en pente raide en direction de la Saône par les vallons d'Arche et du Pinay, qui abritent des ruisseaux permanents. La source de l'Arche soutenait le débit de l'aqueduc des Monts d'Or et donne naissance au ruisseau d'Arche, celle du Pinay à celui du Pinay, qui alimentent la fontaine de la Coquille. Après leur confluence, ces deux ruisseaux sont souterrains dans la traversée du village, et alimentent le lac du parc de l'institution du Prado ainsi qu'une cascade artificielle qui se déverse rue des eaux vives. D'autres sources pérennes existent : une au chemin de l'Éperon, dont l'écoulement passe sous les voies SNCF (cours visible rue du Vieux Moulin). une dans le bois de Charézieux, qui s'écoule par un passage sous les voies de chemin de fer une qui existait à la ferme de la Bessée et qui a longtemps permis la culture du cresson. Le village a compté jusqu'à récemment un lavoir de plus à la place de l’actuelle caserne des Pompiers. Dans le vieux village, l'eau est à entre trois et dix mètres sous le niveau du sol (profondeur moyenne des puits) : elle est de bonne qualité, avec la présence d'invertébrés caractéristiques d'un faible niveau de pollution (constat fait sur une parcelle près de la rue du Charroi).
Desserte routière
La desserte routière est assurée par la départementale 51 qui longe la Saône, et par la départementale 89 (route de Collonges). La départementale 51 est pourvue de bandes cyclables rétrécies par un îlot central, rendant le dépassement des cyclistes impossible sur plusieurs centaines de mètres. Il n'y a pas de doubles sens cyclables sur la commune alors que le plan de circulation et le gabarit de certaines rues le permettrait.
Transports en commun routiers
La ligne de bus 43 des transports en commun lyonnais (TCL) dessert le village, avec sept passages par jour au centre bourg (rue du Lavoir), et un toutes les demi-heures en heure creuse sur le quai de SaĂ´ne Ă 700 m du vieux bourg, de 5 h Ă 22h.
Desserte ferroviaire
Les gares SNCF les plus proches sont Couzon-au-Mont-d'Or (Ă 1,5 km) et Collonges-Fontaines (Ă 2,5 km), desservies par les TER Villefranche-Lyon-Vienne.
Urbanisme
Typologie
Saint-Romain-au-Mont-d'Or est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[5] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (41,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (41,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,8 %), prairies (32,8 %), zones urbanisées (22,3 %), eaux continentales[Note 3] (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
En 1866, A. Falsan rapporte la découverte du site de la profonde grotte de la Luée, cachée dans les replis de la falaise, au-dessus d'une source. Il estime qu'elle constitue bon abri et point d'observation. On y découvre des débris de silex et de foyers. Il mentionne aussi trois haches en jadéite et serpentine, trouvées à Tupoly et Chanelette, outils de pionniers du Néolithique, partis à la conquête de terres nouvelles. Ces derniers pratiquent des activités agro-pastorales, de chasse et de pêche, d'ailleurs conservées par les populations de la fin de l'âge du bronze dont on a exhumé des traces en fondant l'extension du bourg.
À l'époque romaine, une villa semble avoir existé sur les pentes du Mont Thou. Par ailleurs, l'aqueduc des monts d'Or contourne la combe et coupe la route du mont Thoux à la cote 300. La source du vallon de l'Arche contribuait à son alimentation.
Moyen Ă‚ge
Jusqu'au XVIIe siècle, on parle de « Saint-Romain de Couzon » car le village, tout en étant possession des archevêques de Lyon, dépend du château de Couzon. Refusant de contribuer à l'entretien et à la garde de ce dernier, les habitants obtiennent le droit en 1403, de se réfugier au cœur du bourg, dans la tour des dîmes, dont la base est toujours debout. À cette époque, les chanoines du chapitre de Saint-Paul font déjà cultiver un fructueux vignoble dont le produit de 5 120 ânées, charges d'un âne correspondant chacune à 93 litres) est conduit dans des tonneaux au port de Saône. De là , le vin est embarqué sur les longues « sapines » jusqu'au port Saint-Paul à Lyon, jouxtant les caves de l'église.
Renaissance
En 1584, l'archevêque Pierre IV d'Épinac, en échange d'un hôtel à Paris, cède sa seigneurie à la famille Croppet, originaire de Cologne, détenant le privilège de faire sonner la grosse cloche de la cathédrale Saint-Jean, à Lyon, à l'occasion du décès d'un de ses membres. C'est ainsi que le village, libéré de la tutelle de l'Église, sert de refuge en 1630 à un temple protestant transféré d'Oullins et maintenant détruit. Enfin, au terme d'un long procès entre le châtelain de Couzon et le seigneur de Saint-Romain, le Parlement de Paris établit en 1661 une séparation définitive des juridictions et des territoires. De cette époque datent plans et croquis fixant l'image d'une bourgade d'une soixantaine de constructions. Au milieu, serpente le ruisseau de l'Arche, actionnant trois moulins qui se font concurrence. Plus bas, au-dessus de la Saône, on note un four à chaux, proche d'une tuilerie, ouverte en 1649 et dont une rue a conservé le nom.
Le long du grand chemin de Couzon à Lyon, actuellement chemin de l'Éperon, André Merlat obtient en 1651, le permis de clore son domaine de la Fréta. C'est la naissance d'un lieu où, un siècle plus tard le naturaliste Pierre Poivre, à la suite de son long périple jusqu'en Chine, vient finir ses jours. Il fait alors appel à l'architecte en vogue Soufflot, pour dessiner un jardin extraordinaire. À cette même époque, au côté du premier moulin en amont s'élève un grand château occupé par la famille de Murard.
XVIIIe siècle
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Romain-Libre[13].
XIXe siècle
Au XIXe siècle, l'âge d'or des campagnes, les Saromagnots, au nombre de 268 en 1880, vivent toujours au rythme de leurs moulins, de l'exploitation de la pierre, de la production de fourrage, de céréales et de fromages de chèvre. Le vignoble, touché par le phylloxéra à la fin du siècle, cède place aux arbres fruitiers qui font du vallon un verger. On relève enfin l'exploitation éphémère d'une mine de fer au Chavant, dont le minerai était livré à Givors par la Saône, ainsi qu'une fabrique de cordes et une blanchisserie de lin, chanvre et lin étant autrefois cultivés en alternance. L'abondance des lavoirs, quatre dans le centre, maintient les blanchisseuses en activité jusqu'au XXe siècle. Le chansonnier d'origine lyonnaise Pierre Dupont (1821-1870) qui a passé son enfance à Rochetaillée de l'autre côte de la Saône venait souvent à Saint-Romain. Il fut amoureux d'une jeune fille du village, et a laissé deux chansons évoquant la beauté du village et de son site.
XXe siècle
Jusqu'aux années 1960, Saint-Romain-au-Mont-d’Or est un village des monts d'Or lyonnais, vivant encore au rythme des saisons et replié sur lui-même malgré la proximité de Lyon, à 10 km. Les anciens disaient entendre le bourdon de la basilique de Fourvière, brisé en 1919, les jours de grande fête religieuse et par vent du midi, mais les communications avec la grande ville étaient moins fréquentes, et la commune n’était pas une commune urbaine selon l’INSEE (2/3 des actifs se dirigeant vers la ville centre pour travailler). Saint-Romain fonctionnait davantage avec le val de Saône qu’aujourd’hui, et conservait cinq fermes en activité, tout en restant une villégiature de bourgeois lyonnais attirés par le calme et la fraîcheur l’été si près de Lyon.
L'histoire de ce petit bourg, immobilisé « tel un décor de pastorale » selon Josse, mais revendiquant son indépendance et son identité, se place aujourd'hui sous le signe de la résistance. Une voie nouvelle détourne la circulation et dessert une salle polyvalente intégrée à un quartier d'habitation qui prolonge les cheminements du village. Depuis l'an 2000, la vigne disparue en 1988 regagne les anciennes friches. Le fond de la cuvette mesure à peine 150 m de large, et tout de suite, les versants s’élèvent en pentes fortes en direction des crêtes qui commandent le vallon d’une hauteur pouvant atteindre 200 m. Les parties les moins pentues ont été peu à peu urbanisées, tout d’abord par des pavillons dans les années 1970-80 (les Séguines), puis dans les années 2000 à l’occasion de la ZAC du Nouveau Bourg, opération qui divisa le village en son temps. La ZAC a revitalisé le village en accueillant de nouveaux habitants, en créant une salle polyvalente, et amélioré son fonctionnement en créant une déviation de l'étroite et sinueuse rue de la République où le croisement des véhicules est difficile.
Aujourd'hui
Actuellement, il reste une seule ferme en activité à Saint-Romain, située rue du Charroi. Les commerces sont : une épicerie ouverte six jours sur sept, qui fait aussi bureau de tabac, dépôt de bouteilles de gaz, une taverne qui vend notamment des produits biologiques, un bar restaurant et un institut de beauté ouverts tous deux à l'été 2010, et sur le quai, en lien avec la route départementale, un restaurant, un carrossier, une entreprise de bâtiment, un vendeur de combustibles de chauffage. La commune abrite également le siège social d'Artprice leader mondial de l'information sur l'art et la Demeure du Chaos.
Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon. La commune quitte ainsi le département du Rhône[14].
HĂ©raldique
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Les armes de Saint-Romain-au-Mont-d'Or se blasonnent ainsi : De gueules aux deux broches passées en sautoir, à la masse renversée brochant en pal, accostées à dextre de deux têtes de chèvre l'une sur l'autre et à senestre d'un lion, accompagnées en pointe d'une source avec ruisseau, le tout d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois grappes de raisin, tigées et feuillées aussi d'or[15]. |
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Politique et administration
Administration municipale
Budget et fiscalité 2013
En 2013, le budget de la commune était constitué ainsi[16] :
- total des produits de fonctionnement : 668 000 €, soit 612 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 537 000 €, soit 491 € par habitant ;
- total des ressources d’investissement : 149 000 €, soit 136 € par habitant ;
- total des emplois d’investissement : 531 000 €, soit 486 € par habitant.
- endettement : 1 011 000 €, soit 926 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 11,80 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 17,93 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 34,86 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Intercommunalité
La commune est membre du syndicat mixte Plaines Monts d'Or[17] ainsi que du syndicat de communes SaĂ´ne Mont d'Or.
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].
En 2020, la commune comptait 1 235 habitants[Note 4], en augmentation de 7,77 % par rapport Ă 2014 (RhĂ´ne : +4,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
- Église de Saint-Romain-au-Mont-d'Or[21] - [22]
- RĂ©servoirs d'aqueduc du Vallon d'Arche (vestiges)[23]
- Maison d'enfants à caractère social Les Alizés
- Manoir de la Bessée[24]
- Au centre du village se trouve la Demeure du Chaos, une création controversée de Thierry Ehrmann, face à laquelle un voisin a créé la « Maison de l'Eden ».
- Jardin de Pierre Poivre, au lieu-dit la « Fréta ». L' inscription au titre des monuments historiques, par arrêté du [25], vise « le réseau hydraulique, le nymphée et ses éléments sculptés, le bassin circulaire, l’ancienne grotte, les vestiges du cabinet de curiosité, le mur de clôture, les murs de soutènements et les vestiges maçonnés ».
Personnalités liées à la commune
- Pierre Poivre, administrateur colonial et agronome français, fut propriétaire du Château de la Freta.
- Thierry Ehrmann, artiste et homme d'affaires français
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel de la commune
- Saint-Romain-au-Mont-d'Or sur le site de l'insee
- Saint-Romain-au-Mont-d'Or sur le site du Grand Lyon
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)
- Inventaire national du patrimoine naturel
- (fr) Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la Région Rhône-Alpes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- dans le jardin botanique Sir Seewoosagur Ramgoolam de Pamplemousses
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- MĂ©tropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
- GASO - Banque du blason - 69233 Saint-Romain-au-Mont-d'Or sur la banque du blason
- Les comptes de la commune de Saint-Romain-au-Mont-d'Or
- Syndicat mixte Plaines Monts d'Or
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Eglise », notice no PA00118054, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Saint-Romain au Mont d’Or, Horloge de l’église
- « Réservoirs d'aqueduc du Vallon d'Arche (vestiges) », notice no PA00118149, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir de la Bessée », notice no PA00118055, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA69000057, base Mérimée, ministère français de la Culture.