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Saint-Quirin

Saint-Quirin est une commune française située dans le département de la Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Saint-Quirin
Saint-Quirin
Église Saint-Quirin.
Blason de Saint-Quirin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Grand Est
DĂ©partement Moselle
Arrondissement Sarrebourg-Château-Salins
Intercommunalité Communauté de communes Sarrebourg Moselle Sud
Maire
Mandat
Karine Collingro
2020-2026
Code postal 57560
Code commune 57623
DĂ©mographie
Population
municipale
705 hab. (2020 en diminution de 6,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 13 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 36′ 39″ nord, 7° 03′ 55″ est
Altitude Min. 282 m
Max. 897 m
Superficie 53,34 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Sarrebourg
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Phalsbourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Saint-Quirin
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Saint-Quirin
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Saint-Quirin
GĂ©olocalisation sur la carte : Grand Est
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Saint-Quirin
Liens
Site web http://saintquirin.fr

    Le village de Saint-Quirin, dont le nom dérive du nom latin Quirinus, appartenant à un tribun et saint martyr romain du IIe siècle, Quirin de Neuss, est cité pour la première fois dans un document en 966, bien que le site ait été occupé bien antérieurement, des vestiges gallo-romains (nécropole et divers objets) ayant en effet été mis au jour sur le territoire de la commune. Le village, qui fut pendant longtemps un important centre de pèlerinage, s’est développé autour d’un prieuré qu’y possédait l’abbaye de Marmoutier, lequel prieuré fut détruit lors de la guerre de Trente Ans, mais en partie reconstruit au XVIIIe siècle.

    Ancien lieu de pèlerinage, le village est certifié par « Les Plus Beaux Villages de France ».

    GĂ©ographie

    Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du pays de Sarrebourg.

    Vue générale sur le village.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Sarre, la Sarre Rouge, le ruisseau de Saint-Quirin, le ruisseau Basse du Haut, le ruisseau Basse du Loup, le ruisseau Basse Langschiess, le ruisseau d'Abreschviller, le ruisseau de l'Engenthal et le ruisseau la Vieille Sarre[Carte 1].

    La Sarre, d'une longueur totale de 129,2 km, est un affluent de la Moselle et donc un sous-affluent du Rhin, qui coule en Lorraine, en Alsace bossue et dans les Länder allemands de la Sarre (Saarland) et de RhĂ©nanie-Palatinat (Rheinland-Pfalz)[1].

    La Sarre rouge, d'une longueur totale de 26,8 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Sarre en limite de Hermelange et de Lorquin, après avoir traversĂ© sept communes[2].

    Le ruisseau de Saint-Quirin, d'une longueur totale de 12,1 km, prend sa source dans la commune et se jette dans la Sarre rouge Ă  Vasperviller, après avoir traversĂ© trois communes[3].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Saint-Quirin.

    La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment de la Sarre, de la Sarre Rouge et du ruisseau de Saint-Quirin, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Quirin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [4] - [5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarrebourg, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 87 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,8 %), prairies (2,4 %), zones urbanisées (1 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    • Saint-Quirin : Godelsadis (966), S. Quirtnus et sanctus Quirinus (1120), Quirini (1179), Saint-Kurin et Saint-Quurin (1476), Saint-Curien (1483), Saint-Curin (1620), CĹ“urs-Francs/VĂ©ritĂ© (noms rĂ©volutionnaires), Saint Quirin (1793). Sint-Quouryin en lorrain roman[11].
    • Lettenbach : Letteboch en francique lorrain.

    Histoire

    Le site est mentionné pour la première fois en 966, il est vrai sous le nom de Godelsadis, nom d’un ermitage qui s’y trouvait alors. C’est cette année-là en effet que le comte Louis de Dagsburg (Dabo) fit don à l'abbaye de Marmoutier des terres sises entre les deux Sarres, au nord du Donon. En 1049, Gepa de Dagsburg, fille d'Hugues VIII, comte en Nordgau et d'Eguisheim et de sa femme Heilwig de Dagsburg, abbesse de Neuss, se vit offrir par son frère, le pape Léon IX, les reliques de saint Quirin, tribun militaire et martyr romain ; lorsqu’elle les rapporta ensuite de Rome pour les déposer dans la ville de Neuss, la mule qui transportait les reliques se serait arrêtée à l’emplacement de l’actuelle Chapelle-Haute, ce qui conduisit à changer la toponymie du lieu, auquel fut donné le nom du saint. L’on fonda un prieuré à proximité, et, sous le mandat du premier prieur de Saint-Quirin, Wolfram, nommé en 1122, l’église priorale fut consacrée en 1123 par l'évêque de Metz. Saint-Quirin devint rapidement par la suite un important lieu de pèlerinage.

    La gare de Vasperviller - Saint-Quirin était située sur l'ancienne ligne de Sarrebourg à Abreschviller. La ligne, aujourd’hui déclassée et dont la voie a été déposée, a été réaménagée en piste cyclable.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1995 2007 René Gelly
    2007 2014 Robert Laval
    2014 En cours Karine Collingro Infirmière
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[13].

    En 2020, la commune comptait 705 habitants[Note 3], en diminution de 6,13 % par rapport Ă  2014 (Moselle : +0,38 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0971 3301 5721 4851 6591 9871 9771 8251 806
    1856 1861 1871 1875 1880 1885 1890 1895 1900
    1 5101 5001 3491 1931 1821 0651 0031 0711 060
    1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    1 019992896817854899881958919
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
    847903912904873826821783735
    2020 - - - - - - - -
    705--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee Ă  partir de 2006[15]. |recens-prem=2005.)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    On trouve dans la commune et dans celles avoisinantes les dénommées « Sept Roses », édifices religieux d'une beauté certaine, dont deux à Saint-Quirin : l'église baroque Saint-Quirin et la Chapelle-Haute, construite sur une colline en contrehaut du village.

    • Alt-Teufelsloch, scieries disparues.

    Site archéologique de la Croix-Guillaume

    Ce site archéologique gallo-romain comporte des carrières et une nécropole[16].

    Église et prieuré Saint-Quirin

    Le prieuré de Saint-Quirin a été fondé en 966 par le comte de Dabo Louis de Dagsbourg[17]. L’église prieurale Saint-Quirin fut consacrée en 1123. Celui-ci ayant été détruit durant la Guerre de Trente Ans, et menaçant ruine au début du XVIIIe siècle, le chanoine Edmond Herb, constatant lors de sa visite canonique de 1714 l’état de délabrement avancé des bâtiments, décide de les faire reconstruire à neuf. Achevée en 1722, grâce en particulier aux contributions financières du prieur Herb lui-même, personnage nanti, la nouvelle église fut consacrée en , et son ameublement fut installé entre 1744 et 1746. En 1769, une lettre patente royale ordonna la suppression du prieuré, qui fut uni à l'abbaye royale et chapitre noble Saint-Louis de Metz[18] et à la Révolution, ce fut le tour à la paroisse d’être abrogée. La deuxième moitié du XIXe siècle voit l’église subir quelques remaniements intérieurs (entre autres le démontage des vitraux) et se faire adjoindre une chapelle funéraire contre le flanc Sud-Est du chœur. Enfin, une campagne de restauration fut menée de 1969 à 1973.

    L’église Saint-Quirin, devenue entre-temps église paroissiale, est construite en grès rouge des Vosges, et se trouve, à l’exception de la façade occidentale, recouverte d’un crépi jaune pâle. Elle possède trois clochers à bulbe : d’une part deux tours carrées à l’ouest, à trois niveaux chacune, surmontées de trois bulbes superposés, et reliées entre elles par une passerelle, et d’autre part un clocheton (avec cloche de 1762), coiffé de deux bulbes, et incorporé dans la toiture du chœur. Dans l’espace entre les deux tours s’inscrit, au rez-de-chaussée de la façade occidentale, un portail dorique avec porte d'entrée en plein-cintre, encadré de deux colonnes engagées supportant un entablement à ressauts. Ce portail est surmonté par une autre travée dorique, comprise entre deux colonnes dégagées, laquelle renferme une niche avec voûte en coquille hébergeant une statue de saint Quirin de Neuss, et couronnée par un fronton triangulaire. La nef est à vaisseau unique et voûte plate, et se termine par un chevet à cinq pans. L’ensemble du mobilier, ainsi que les vitraux et l’orgue Silbermann (restauré en 1969), sont baroques et datent de la première moitié du XVIIIe siècle. Les baies sont toutes en plein-cintre. Le prieuré attenant[19], qui comporte un oriel d’angle et deux frontons sculptés, est adossé, par son aile orientale, à la dernière travée de la nef.

    • Église Saint-Quirin.
      Église Saint-Quirin.
    • Vue du prieurĂ©, avec son oriel d'angle.
      Vue du prieuré, avec son oriel d'angle.
    • Portail de l'Ă©glise Saint-Quirin, avec ses deux travĂ©es doriques superposĂ©es.
      Portail de l'église Saint-Quirin, avec ses deux travées doriques superposées.
    • Saint-Quirin : Ă©glise prieurale avec Ă  l'arrière-plan la Chapelle-Haute.
      Saint-Quirin : église prieurale avec à l'arrière-plan la Chapelle-Haute.

    Chapelle-Haute

    Selon la lĂ©gende, cette chapelle[20], situĂ©e sur un relief dominant le village de Saint-Quirin Ă  l'ouest, aurait Ă©tĂ© construite Ă  l'emplacement oĂą aurait fait halte la mule qui, en l’an 1049, transportait les reliques de saint Quirin vers Neuss. Il se pourrait donc qu’une chapelle ait Ă©tĂ© construite lĂ  dès le XIe siècle. Souvent et profondĂ©ment remaniĂ©e au fil des siècles, elle apparaĂ®t aujourd’hui très composite, le chĹ“ur et le clocher ayant seuls gardĂ© quelque homogĂ©nĂ©itĂ©. Cependant il subsiste dans l’édifice certains Ă©lĂ©ments remontant au XIIIe siècle. Les dernières restaurations datent de 1901 (millĂ©sime figurant d’ailleurs sur le pignon occidental) et dans les annĂ©es 1960. Le bâtiment, tel qu’il se prĂ©sente aujourd’hui, est une chapelle rectangulaire d’environ 15 mètres de long sur 5,6 mètres de large, en grès rose des Vosges, comprenant une nef unique couverte d’un plafond en bois datant de 1965 et dotĂ©e de six baies en plein-cintre, vraisemblablement pratiquĂ©es au dĂ©but du XVIIIe siècle. La nef se prolonge Ă  l’est par un chevet plat recouvert d’une voĂ»te d’ogives et percĂ© d’étroites fenĂŞtres en lancette, et en est sĂ©parĂ© par un arc triomphal de forme ogivale. Le clocher carrĂ©, un peu en hors-Ĺ“uvre du chevet, s’achève par un comble pyramidal en pierre couronnĂ© d’une croix latine. La chapelle fut pendant de longs siècles un important but de pèlerinage.

    • Raidillon conduisant Ă  la Chapelle-Haute.
      Raidillon conduisant Ă  la Chapelle-Haute.
    • Chapelle-Haute. Le chĹ“ur se trouve du cĂ´tĂ© du clocher.
      Chapelle-Haute. Le chœur se trouve du côté du clocher.
    • IntĂ©rieur : nef et chĹ“ur. Entre les deux baies du fond, soubassement du clocher.
      Intérieur : nef et chœur. Entre les deux baies du fond, soubassement du clocher.
    • Chapelle de l'ancienne verrerie Ă  (Lettenbach).
    • Chapelle Sainte-Claire.
    • Chapelle des Verriers Ă  Lettenbach.
      Chapelle des Verriers Ă  Lettenbach.
    • Chapelle Sainte-Claire.
      Chapelle Sainte-Claire.

    Ancienne verrerie de Saint-Quirin Ă  Lettenbach

    L’ancienne verrerie[21], sise dans le hameau de Lettenbach (lequel, bien que situé dans un vallon clos débouchant dans la vallée de la Sarre rouge, où se trouve le village d’Abreschviller, appartient néanmoins à la commune de Saint-Quirin), fut fondée au XVe siècle par l'abbaye de Marmoutier et resta en activité jusqu’à la fin du XIXe siècle. Y furent notamment fabriquées les glaces qui ornent le palais des ducs de Lorraine à Nancy. Élevée au statut de manufacture royale par Louis XV, elle culmina au XVIIIe siècle.

    C’est au demeurant de cette même époque que datent les bâtiments parvenus jusqu’à nous, que sont les magasins (bâtiment à murs en pans de bois sur soubassement en grès), les bâtiments administratifs, des logements d’ouvriers, des galeries souterraines, et la chapelle dite des Verriers. Celle-ci est érigée sur les plans d'Antoine Marie Guaita, le copropriétaire de la verrerie, à l’usage du personnel à proximité de la manufacture, en 1756 (ainsi qu'en atteste une date au fronton du portail d’entrée). Elle comporte une nef unique à voûte plate et un chevet en cul-de-four ; la façade occidentale (en réalité orientée nord-est) présente une porte en plein-cintre inscrite dans une travée dorique en grès rose portant un fronton cintré surmonté d'une croix latine, et un pignon percé d'un oculus au sommet et de quatre fenêtres rondes, qui s’achève par un petit clocher à bulbe. Les vitraux proviennent de la manufacture elle-même.

    Autres

    • La fontaine miraculeuse serait, selon la croyance populaire, capable d'aider Ă  soigner diverses afflictions, en particulier de la peau.
    • La fontaine Saint-Jean.

    Plusieurs dizaines de maisons et de fermes, de différentes époques, sont protégées au titre des monuments historiques.

    • La fontaine miraculeuse.
      La fontaine miraculeuse.
    • La fontaine Saint-Jean.
      La fontaine Saint-Jean.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Quirin Blason
    D'azur à neuf besants d'or, posés 3, 3, 2 et 1
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Saint-Quirin » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".

    Références

    1. Sandre, « la Sarre »
    2. Sandre, « la Sarre Rouge »
    3. Sandre, « le ruisseau de Saint-Quirin »
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Sarrebourg », sur insee.fr (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. LĂ©on ZĂ©liqzon - Dictionnaire des patois romans de la Moselle.
    12. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    13. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    14. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    15. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    16. Notice no PA57000027, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    17. HIMLY, Les sources de l'histoire d'Alsace conservées dans les archives lorraines XIIe-XVIIIe siècles., Strasbourg, .
    18. Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, série H.303-313, chartes, baux et procès (1123-1790)
    19. Notice no PA00106991, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    20. Notice no PA00106990, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. Notice no PA00106992, base Mérimée, ministère français de la Culture.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Karine Bouchet, Dominique Heckenbenner, Nicolas Meyer, et al., Le site gallo-romain de la Croix-Guillaume Ă  Saint-Quirin, Moselle, Sarrebourg, Association pour la recherche archĂ©ologique au pays de Sarrebourg, 2008, 44 p. (ISBN 978-2-9532946-0-6).
    • François Clad, Lettenbach, commune de Saint-Quirin : des origines Ă  nos jours, Sarrebourg, Imp. sarrebourgeoise, 1997, 141 p.
    • Dagobert Fischer, Le prieurĂ© de Saint-Quirin, Nancy, impr. de G. CrĂ©pin-Leblond, 1875, 51 p. (extrait des MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'archĂ©ologie lorraine).
    • (de) « Lettenbach bei Metz, das Genesungsheim des 16. Armeekorps », Illustriertes Sonntagsblatt, no 12, 1900.
    • Edmond Moppert, Lettenbach-St. Quirin : histoire mouvementĂ©e d'une verrerie, s. l., 1975, 22 p.
    • Jean-Marie Schmitt, Le prieurĂ© de Saint Quirin, Sarrebourg, Éd. du MusĂ©e rĂ©gional de Sarrebourg, 1970, 10 p.

    Articles connexes

    Liens externes

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