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Saint-Martin-d'Uriage

Saint-Martin-d'Uriage est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Martin-d'Uriage
Saint-Martin-d'Uriage
Blason de Saint-Martin-d'Uriage
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
GĂ©rald Giraud
2020-2026
Code postal 38410
Code commune 38422
DĂ©mographie
Gentilé Saint-Martinois
Population
municipale
5 529 hab. (2020 en augmentation de 2,43 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 186 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 09′ 08″ nord, 5° 50′ 21″ est
Altitude Min. 320 m
Max. 2 200 m
Superficie 29,69 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Vizille
(ville-centre)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de l'Oisans-Romanche
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Martin-d'Uriage
Liens
Site web http://www.saint-martin-uriage.com

    Ses habitants sont appelés les Saint-Martinois (Saint-Martinoises).

    GĂ©ographie

    Situation et description

    Les gorges du Sonnant au XIXe siècle illustrées par Victor Cassien (1808 - 1893).

    La commune est située au sud-est de l'agglomération grenobloise et elle est rattachée à la communauté de communes Le Grésivaudan, au pied du massif de Belledonne.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Martin-d'Uriage
    Gières
    Venon
    Murianette
    Domène
    (quadripoint)
    Revel
    Herbeys Saint-Martin-d'Uriage
    Vaulnaveys-le-Haut Chamrousse

    Villages et hameaux

    Saint-Martin d'Uriage possède un vaste territoire communal qui comprend les entités suivantes :

    Vue aérienne du complexe thermal et du casino d'Uriage-les-Bains.
    • Saint-Martin, le centre bourg principal, qui a donnĂ© son nom Ă  la commune
    • Saint-Nizier
    • Le Pinet d'Uriage
    • Villeneuve d'Uriage
    • Uriage-les-Bains, Ă©tabli en fond de vallĂ©e du Sonnant[1], le long de la D 524, station thermale dont les eaux Ă©taient dĂ©jĂ  apprĂ©ciĂ©es Ă  l'Ă©poque romaine et qui a pris son essor au XIXe siècle.

    Lieux-dits et Ă©carts

    • le Sonnant d'Uriage
    • le Bouloud
    • les Rossins (de Corps et de Saint Nizier)
    • Corps d'Uriage
    • le Penet
    • la Ronzière
    • le Belin
    • les Ferrats
    • la GrivolĂ©e
    • les Cortières
    • les Eaux
    • la Croix de Pinet
    • les Izards
    • le Rocharey
    • le Replat (de Pinet et de Bouloud)
    • les Rapeaux
    • les Oddoz
    • le Bit
    • la Planchette
    • les Planches
    • la Relatière
    • le Replaton
    • les Bonnets
    • les Angères
    • la Richardière
    • Villeneuve
    • le Chenevas


    Les hameaux depuis le belvédère sous le marais de Seiglières (table d'orientation).
    Panorama Vercors-Chartreuse depuis la table d'orientation des Seiglières, avec les noms et altitudes de sommets visibles.

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Martin-d'Uriage est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Vizille, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 7 communes[5] et 20 211 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,8 %), prairies (16,8 %), zones urbanisées (10,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Martin-d'Uriage est situé en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique, mais en limite de la zone no 3[11].

    Terminologie des zones sismiques[12]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 4Sismicité moyenneaccélération = 1,6 m/s2

    Histoire

    Les premières traces d'occupation humaine remontent aux Allobroges. Le territoire est romanisé après les victoires romaines de On y implante entre les Ier et IVe siècles l’établissement thermal sans doute le plus important de Gaule : Urentes Aquae[13] - [14].

    Au XIe siècle, un certain Alemanus, probablement chevalier-guerrier-mercenaire, reçoit le terroir d’Uriage de l’évêque Isarn en récompense de sa participation à la défense du diocèse, repris aux Sarrasins. Alemanus est le premier seigneur d’Uriage connu, et à l’origine de la puissante famille féodale Alleman, fidèle des Dauphins, qui essaime dans tout le Dauphiné. Il fait tout d'abord ériger une tour de bois, qui deviendra rapidement château fort[14].

    La seigneurie d'Uriage, vassale du Dauphin, est érigée en baronnie en 1496. Cette faveur est accordée par Charles VIII à Soffrey Alleman[15], cousin et frère d'armes du chevalier Bayard, certainement en reconnaissance des très nombreux services rendus par la famille Alleman au pouvoir royal[14].

    Saint-Martin-d'Uriage, comme les communes voisines, fut secouée par les guerres de religion entre catholiques et protestants qui ensanglantèrent la France au cours du XVIe siècle (voir la bataille de Jarrie, appelée aussi bataille d'Uriage).

    Lors de la Révolution française, Nicolas-François de Langon, seigneur d'Uriage, participe en tant que député à l'assemblée de Vizille puis aux états généraux de 1789[14].

    À partir de 1821, Madeleine-Françoise de Langon, marquise de Gauteron (ou Gautheron), propriétaire du château d’Uriage, fait édifier sur son domaine un premier établissement thermal à la condition que le lieu soit réservé aux soins des indigents. À sa demande, la route d’Uriage à Gières par la gorge du Sonnant est rendue carrossable. Son neveu et héritier, Louis de Saint-Ferriol (1814-1877) œuvre pour le développement de la commune[14].

    Durant la Première Guerre mondiale, Uriage accueille un hôpital militaire. Il est inauguré le . Fonctionnant dans un premier temps comme une annexe de l’hôpital militaire de Grenoble, il devient l’Hôpital complémentaire no 42 le .

    Durant la Seconde Guerre mondiale, le château d'Uriage a été choisi par le régime de Vichy pour abriter l'École des cadres d'Uriage, remplacée en 1943 par l'École des cadres de la Milice.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    juin 1995 mars 2008 Jeannine Creissels DVG
    mars 2008 mars 2014 Bruno Murienne
    mars 2014 En cours Gérald Giraud SE-ÉCO Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].

    En 2020, la commune comptait 5 529 habitants[Note 3], en augmentation de 2,43 % par rapport Ă  2014 (Isère : +2,73 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9161 8931 8962 1712 4542 3802 5912 6002 400
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 4352 2342 2522 2532 1392 1652 2112 0231 917
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7841 6611 6301 4071 3741 3141 2531 2931 659
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 3541 5111 8152 5273 6784 7945 1055 1475 424
    2014 2019 2020 - - - - - -
    5 3985 5125 529------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee Ă  partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Festivités

    Depuis 2002 a lieu à la fin de l'été le festival gratuit Uriage en Voix[20].

    Enseignement

    La commune est rattachée à l'académie de Grenoble

    Sports

    • La station de ski Ă  Chamrousse est très proche.
    • RandonnĂ©es.

    MĂ©dias

    Historiquement, le quotidien à grand tirage régional Le Dauphiné libéré consacre de façon régulière dans son édition de Grenoble et du sud-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, de l'agglomération, quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine religieux

    • Chapelle de Saint-Nizier, Ă  Saint-Nizier d'Uriage, datant de 1675, inscrite partiellement au titre des monuments historiques par arrĂŞtĂ© du , Ă  protection de l'autel majeur et des dĂ©cors peints[21]. SituĂ©e dans le petit cimetière du hameau, elle a Ă©tĂ© restaurĂ©e dans les annĂ©es 2000. Elle abrite un tableau de 1757 reprĂ©sentant les deux patrons, saint Nizier et saint Denis, des fresques murales Ă  l'italienne en trompe-l'Ĺ“il, un autel en stuc peint et une chaire en bois de noyer surmontĂ©e d'un dais[22] - [23].
    • Chapelle Saint-FerrĂ©ol, au Pinet d'Uriage[24]. La chapelle est Ă©quipĂ©e de deux cloches installĂ©es en 1849. Plusieurs Ĺ“uvres du sculpteur Pierre Szekely agrĂ©mentent la chapelle[25] : ferrures de la porte, mobilier, lustre, portrait spirituel de saint FerrĂ©ol.
    • Église Saint-Martin, Ă  Saint-Martin d'Uriage (centre-bourg), inaugurĂ©e en 1876 et bâtie en ciment Vicat[26]. Le clocher carrĂ© surmontĂ© d’une flèche en tuf de la Balme de Casserousse (Chamrousse) abrite cinq cloches.
    • Église Saint-Jean-Baptiste, dans le cimetière de Villeneuve d'Uriage. La cloche du 1618 est classĂ©e au titre des monuments historiques[27].
    • Chapelle Saint-Luc, Ă  Uriage-les-Bains[26]. CrĂ©Ă©e au milieu du XIXe siècle pour les curistes de la station d’Uriage, la chapelle a Ă©tĂ© entièrement transformĂ©e en un style contemporain en 1983 lors de son acquisition par le diocèse de Grenoble.
    • Chapelle Saint-Nizier
      Chapelle Saint-Nizier
    • Chapelle Saint-FerrĂ©ol au Pinet
      Chapelle Saint-Ferréol au Pinet
    • Église Saint-Martin
      Église Saint-Martin
    • Église Saint-Jean-Baptiste de Villeneuve d'Uriage
      Église Saint-Jean-Baptiste de Villeneuve d'Uriage
    • Chapelle Saint-Luc Ă  Uriage-les-Bains
      Chapelle Saint-Luc Ă  Uriage-les-Bains

    Patrimoine civil

    Le château d'Uriage depuis la RD 280
    • Le Château d'Uriage, du XVe et XVIe siècles, fait l'objet d'un classement et d'une inscription partielle au titre des monuments historiques : les façades et les toitures du château Ă  l'exterieur, la grande pièce Ă  rez-de-jardin dite l'Orangerie Ă  l'intĂ©rieur sont classĂ©s par arrĂŞtĂ© du ; le château, sauf les parties classĂ©es, est inscrit par arrĂŞtĂ© du [28] (copropriĂ©tĂ© privĂ©e; ouverte Ă  la visite durant les journĂ©es europĂ©ennes du patrimoine).
    • Thermes d'Uriage
    • Grand HĂ´tel
    • Casino
    • Le lavoir
    • statue Ă  l'honneur du Docteur Pierre Doyon
    • ancienne gare d'Uriage, de 1893[26].
    • vestiges de la maison forte de Pinet, ou Bâtie d'Argenson, au Pinet d'Uriage. Elle est citĂ©e dans les documents de l'enquĂŞte de 1338[26].
    • au lieu-dit Le Mas du Pinet, une ancienne bâtisse avec une tour datĂ©e de 1611[26].

    Patrimoine culturel

    L'office de tourisme à l'entrée d'Uriage-les-Bains.
    • Office de tourisme, dans le bâtiment de l'ancienne gare d'Uriage
    • Centre culturel du BelvĂ©dère : bibliothèque, salle de spectacle dite de l'Oursière (88 places), une salle de rĂ©unions (20 places), plusieurs salles d'expositions[29].

    Patrimoine naturel

    Le Marais de Seiglières.

    Espaces verts et fleurissement

    • Le parc thermal d'Uriage les Bains[32] : amĂ©nagĂ© sous NapolĂ©on III (1852-1870), ce parc Ă©tait situĂ© entre les Ă©tablissements thermaux et les hĂ´tels et villas construits lors du dĂ©veloppement de la station thermale, au XIXe siècle. Ce parc, d'une surface d'environ 200 hectares, sur km de long, est encore de nos jours un espace accueillant les promeneurs et les flâneurs. Il comporte diverses espèces d'arbres (dont certains sont bicentenaires), un ruisseau, des allĂ©es de promenade entre les pelouses, un ruisseau et un petit pont au-dessus de celui-ci, un kiosque Ă  musique et un carrousel.
    • En , la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label rĂ©compense le fleurissement de la commune au titre de l'annĂ©e 2016[33].

    Personnalités liées à la commune

    • Sami Bouajila, acteur, y a vĂ©cu de 2007 Ă  2019[34]
    • Pierre Dunoyer de Segonzac (1906 - 1968), ancien rĂ©sistant et gĂ©nĂ©ral de brigade français
    • Paul Pascalon (1838 - 1914), architecte du casino et du théâtre de l'Ă©tablissement thermal d'Uriage-les-Bains
    • Louis de Saint-Ferriol, bienfaiteur de la commune.
    • La marquise Madeleine Françoise de Gauteron (ou Gautheron), fondatrice de l'Ă©tablissement thermal d'Uriage.
    • Baptiste Alexis Victor Legrand, homme politique (nĂ© en 1791 - mort Ă  Uriage en 1848).
    • Nicolas-François de Langon, seigneur d'Uriage dĂ©putĂ© aux Etats GĂ©nĂ©raux de 1789.
    • La famille Alleman, seigneurs d'Uriage et de Revel, Ă©teinte au XVIe siècle
    • Soffrey Alleman, dit le « Capitaine Molard » (? - Ravenne 1512), baron d'Uriage, lieutenant gĂ©nĂ©ral du DauphinĂ©, capitaine gĂ©nĂ©ral des gens de pied de l'armĂ©e du roi en Italie, compagnon d’armes de Pierre Terrail de Bayard, dit le chevalier Bayard (1476-1524)

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Blason de Saint-Martin-d'Uriage Blason
    D'argent à un écureuil contourné du même issant d'un bouquet de feuille de sinople.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Sandre, « Sonnant ».
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Vizille », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
    12. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
    13. Octave Denord. Les thermes et le château d'Uriage, Prudhomme, Giroud et Cie, Grenoble. 1866.
    14. Le château d'Uriage : 1000 ans d'histoire. Mme Georges Murienne, Geneviève Dumolard-Murienne, Marie-France Louchet, et al. Chapõ public éd., DL 2006
    15. Andre Francois Joseph Borel d'Hauterive, Revue historique de la noblesse, , 456 p. (lire en ligne), p. 377.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    20. Céline Ferrero, « Uriage en voix : Les Négresses Vertes en bouquet final ! », sur Le Dauphiné, (consulté le ).
    21. « Chapelle Saint-Nizier », notice no PA00117373, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. « La Chapelle de St Nizier - Tourisme patrimonial - Office du Tourisme d'Uriage les Bains - Animations », sur www.uriage-les-bains.com (consulté le ).
    23. « Les journées du patrimoine 2010 dans le Grésivaudan », Le Dauphiné Libéré - supplément,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. « Chapelle Saint-Ferréol, au Pinet d'Uriage », sur Isère Tourisme (consulté le ).
    25. Église du Pinet d'Uriage
    26. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 479-484.
    27. Chapelle Saint-Jean-Baptiste, à Villeneuve-d'Uriage sur www.isere-tourisme.com (accès le 23 avril 2016)
    28. « Château d'Uriage », notice no PA00117261, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. Le Belvédère à St-Martin d’Uriage sur le site officiel de la Communauté de communes du Pays du Grésivaudan (consulté le 31 janvier 2015)
    30. Découvrez les Espaces Naturels Sensibles de l'Isère, www.isere.fr, p. 40 (consulté le 22 juillet 2014)
    31. L'Espace Naturel Sensible des Seiglières sur le site de la mairie (consulté le 21 mai 2018).
    32. « Parc Thermal d'Uriage Les Bains », sur www.isere-tourisme.com (consulté le ).
    33. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
    34. Marianne Mairesse, « Sami Bouajila : " J'adore les femmes ! " », Marie-Claire,‎ (lire en ligne)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le château d'Uriage : 1000 ans d'histoire. Mme Georges Murienne, Geneviève Dumolard-Murienne, Marie-France Louchet, et al. Chapõ public Ă©d., DL 2006
    • Uriage et ses environs d'hier et d'aujourd'hui. Charles Paillet. Fontaine : Chapõ'com, DL 2021

    Articles connexes

    Liens externes

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