Saint-Martin-d'Uriage
Saint-Martin-d'Uriage est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Saint-Martin-d'Uriage | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | Grenoble | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Le Grésivaudan | ||||
Maire Mandat |
GĂ©rald Giraud 2020-2026 |
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Code postal | 38410 | ||||
Code commune | 38422 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Saint-Martinois | ||||
Population municipale |
5 529 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 186 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 09′ 08″ nord, 5° 50′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 320 m Max. 2 200 m |
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Superficie | 29,69 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Vizille (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Grenoble (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de l'Oisans-Romanche | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Isère
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://www.saint-martin-uriage.com | ||||
Ses habitants sont appelés les Saint-Martinois (Saint-Martinoises).
GĂ©ographie
Situation et description
La commune est située au sud-est de l'agglomération grenobloise et elle est rattachée à la communauté de communes Le Grésivaudan, au pied du massif de Belledonne.
Communes limitrophes
Villages et hameaux
Saint-Martin d'Uriage possède un vaste territoire communal qui comprend les entités suivantes :
- Saint-Martin, le centre bourg principal, qui a donné son nom à la commune
- Saint-Nizier
- Le Pinet d'Uriage
- Villeneuve d'Uriage
- Uriage-les-Bains, établi en fond de vallée du Sonnant[1], le long de la D 524, station thermale dont les eaux étaient déjà appréciées à l'époque romaine et qui a pris son essor au XIXe siècle.
Lieux-dits et Ă©carts
- le Sonnant d'Uriage
- le Bouloud
- les Rossins (de Corps et de Saint Nizier)
- Corps d'Uriage
- le Penet
- la Ronzière
- le Belin
- les Ferrats
- la Grivolée
- les Cortières
- les Eaux
- la Croix de Pinet
- les Izards
- le Rocharey
- le Replat (de Pinet et de Bouloud)
- les Rapeaux
- les Oddoz
- le Bit
- la Planchette
- les Planches
- la Relatière
- le Replaton
- les Bonnets
- les Angères
- la Richardière
- Villeneuve
- le Chenevas
Urbanisme
Typologie
Saint-Martin-d'Uriage est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vizille, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[5] et 20 211 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6] - [7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[8] - [9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,8 %), prairies (16,8 %), zones urbanisées (10,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques sismiques
L'ensemble du territoire de la commune de Saint-Martin-d'Uriage est situé en zone de sismicité no 4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique, mais en limite de la zone no 3[11].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 4 | Sismicité moyenne | accélération = 1,6 m/s2 |
Histoire
Les premières traces d'occupation humaine remontent aux Allobroges. Le territoire est romanisé après les victoires romaines de On y implante entre les Ier et IVe siècles l’établissement thermal sans doute le plus important de Gaule : Urentes Aquae[13] - [14].
Au XIe siècle, un certain Alemanus, probablement chevalier-guerrier-mercenaire, reçoit le terroir d’Uriage de l’évêque Isarn en récompense de sa participation à la défense du diocèse, repris aux Sarrasins. Alemanus est le premier seigneur d’Uriage connu, et à l’origine de la puissante famille féodale Alleman, fidèle des Dauphins, qui essaime dans tout le Dauphiné. Il fait tout d'abord ériger une tour de bois, qui deviendra rapidement château fort[14].
La seigneurie d'Uriage, vassale du Dauphin, est érigée en baronnie en 1496. Cette faveur est accordée par Charles VIII à Soffrey Alleman[15], cousin et frère d'armes du chevalier Bayard, certainement en reconnaissance des très nombreux services rendus par la famille Alleman au pouvoir royal[14].
Saint-Martin-d'Uriage, comme les communes voisines, fut secouée par les guerres de religion entre catholiques et protestants qui ensanglantèrent la France au cours du XVIe siècle (voir la bataille de Jarrie, appelée aussi bataille d'Uriage).
Lors de la Révolution française, Nicolas-François de Langon, seigneur d'Uriage, participe en tant que député à l'assemblée de Vizille puis aux états généraux de 1789[14].
À partir de 1821, Madeleine-Françoise de Langon, marquise de Gauteron (ou Gautheron), propriétaire du château d’Uriage, fait édifier sur son domaine un premier établissement thermal à la condition que le lieu soit réservé aux soins des indigents. À sa demande, la route d’Uriage à Gières par la gorge du Sonnant est rendue carrossable. Son neveu et héritier, Louis de Saint-Ferriol (1814-1877) œuvre pour le développement de la commune[14].
Durant la Première Guerre mondiale, Uriage accueille un hôpital militaire. Il est inauguré le . Fonctionnant dans un premier temps comme une annexe de l’hôpital militaire de Grenoble, il devient l’Hôpital complémentaire no 42 le .
Durant la Seconde Guerre mondiale, le château d'Uriage a été choisi par le régime de Vichy pour abriter l'École des cadres d'Uriage, remplacée en 1943 par l'École des cadres de la Milice.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].
En 2020, la commune comptait 5 529 habitants[Note 3], en augmentation de 2,43 % par rapport à 2014 (Isère : +2,73 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Festivités
Depuis 2002 a lieu à la fin de l'été le festival gratuit Uriage en Voix[20].
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble
Sports
- La station de ski à Chamrousse est très proche.
- Randonnées.
MĂ©dias
Historiquement, le quotidien à grand tirage régional Le Dauphiné libéré consacre de façon régulière dans son édition de Grenoble et du sud-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton, de l'agglomération, quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
- Chapelle de Saint-Nizier, à Saint-Nizier d'Uriage, datant de 1675, inscrite partiellement au titre des monuments historiques par arrêté du , à protection de l'autel majeur et des décors peints[21]. Située dans le petit cimetière du hameau, elle a été restaurée dans les années 2000. Elle abrite un tableau de 1757 représentant les deux patrons, saint Nizier et saint Denis, des fresques murales à l'italienne en trompe-l'œil, un autel en stuc peint et une chaire en bois de noyer surmontée d'un dais[22] - [23].
- Chapelle Saint-Ferréol, au Pinet d'Uriage[24]. La chapelle est équipée de deux cloches installées en 1849. Plusieurs œuvres du sculpteur Pierre Szekely agrémentent la chapelle[25] : ferrures de la porte, mobilier, lustre, portrait spirituel de saint Ferréol.
- Église Saint-Martin, à Saint-Martin d'Uriage (centre-bourg), inaugurée en 1876 et bâtie en ciment Vicat[26]. Le clocher carré surmonté d’une flèche en tuf de la Balme de Casserousse (Chamrousse) abrite cinq cloches.
- Église Saint-Jean-Baptiste, dans le cimetière de Villeneuve d'Uriage. La cloche du 1618 est classée au titre des monuments historiques[27].
- Chapelle Saint-Luc, à Uriage-les-Bains[26]. Créée au milieu du XIXe siècle pour les curistes de la station d’Uriage, la chapelle a été entièrement transformée en un style contemporain en 1983 lors de son acquisition par le diocèse de Grenoble.
- Chapelle Saint-Nizier
- Chapelle Saint-Ferréol au Pinet
- Église Saint-Martin
- Église Saint-Jean-Baptiste de Villeneuve d'Uriage
- Chapelle Saint-Luc Ă Uriage-les-Bains
Patrimoine civil
- Le Château d'Uriage, du XVe et XVIe siècles, fait l'objet d'un classement et d'une inscription partielle au titre des monuments historiques : les façades et les toitures du château à l'exterieur, la grande pièce à rez-de-jardin dite l'Orangerie à l'intérieur sont classés par arrêté du ; le château, sauf les parties classées, est inscrit par arrêté du [28] (copropriété privée; ouverte à la visite durant les journées européennes du patrimoine).
- Thermes d'Uriage
- Grand HĂ´tel
- Casino
- Le lavoir
- statue Ă l'honneur du Docteur Pierre Doyon
- ancienne gare d'Uriage, de 1893[26].
- vestiges de la maison forte de Pinet, ou Bâtie d'Argenson, au Pinet d'Uriage. Elle est citée dans les documents de l'enquête de 1338[26].
- au lieu-dit Le Mas du Pinet, une ancienne bâtisse avec une tour datée de 1611[26].
Patrimoine culturel
- Office de tourisme, dans le bâtiment de l'ancienne gare d'Uriage
- Centre culturel du Belvédère : bibliothèque, salle de spectacle dite de l'Oursière (88 places), une salle de réunions (20 places), plusieurs salles d'expositions[29].
Patrimoine naturel
- Espace naturel sensible du Marais de Seiglières[30] - [31].
- Cascade de l'Oursière (site classé)
Espaces verts et fleurissement
- Le parc thermal d'Uriage les Bains[32] : aménagé sous Napoléon III (1852-1870), ce parc était situé entre les établissements thermaux et les hôtels et villas construits lors du développement de la station thermale, au XIXe siècle. Ce parc, d'une surface d'environ 200 hectares, sur 2 km de long, est encore de nos jours un espace accueillant les promeneurs et les flâneurs. Il comporte diverses espèces d'arbres (dont certains sont bicentenaires), un ruisseau, des allées de promenade entre les pelouses, un ruisseau et un petit pont au-dessus de celui-ci, un kiosque à musique et un carrousel.
- En , la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[33].
Personnalités liées à la commune
- Sami Bouajila, acteur, y a vécu de 2007 à 2019[34]
- Pierre Dunoyer de Segonzac (1906 - 1968), ancien résistant et général de brigade français
- Paul Pascalon (1838 - 1914), architecte du casino et du théâtre de l'établissement thermal d'Uriage-les-Bains
- Louis de Saint-Ferriol, bienfaiteur de la commune.
- La marquise Madeleine Françoise de Gauteron (ou Gautheron), fondatrice de l'établissement thermal d'Uriage.
- Baptiste Alexis Victor Legrand, homme politique (né en 1791 - mort à Uriage en 1848).
- Nicolas-François de Langon, seigneur d'Uriage député aux Etats Généraux de 1789.
- La famille Alleman, seigneurs d'Uriage et de Revel, éteinte au XVIe siècle
- Soffrey Alleman, dit le « Capitaine Molard » (? - Ravenne 1512), baron d'Uriage, lieutenant général du Dauphiné, capitaine général des gens de pied de l'armée du roi en Italie, compagnon d’armes de Pierre Terrail de Bayard, dit le chevalier Bayard (1476-1524)
HĂ©raldique, logotype et devise
Blason | D'argent à un écureuil contourné du même issant d'un bouquet de feuille de sinople. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Sandre, « Sonnant ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Vizille », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
- Octave Denord. Les thermes et le château d'Uriage, Prudhomme, Giroud et Cie, Grenoble. 1866.
- Le château d'Uriage : 1000 ans d'histoire. Mme Georges Murienne, Geneviève Dumolard-Murienne, Marie-France Louchet, et al. Chapõ public éd., DL 2006
- Andre Francois Joseph Borel d'Hauterive, Revue historique de la noblesse, , 456 p. (lire en ligne), p. 377.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Céline Ferrero, « Uriage en voix : Les Négresses Vertes en bouquet final ! », sur Le Dauphiné, (consulté le ).
- « Chapelle Saint-Nizier », notice no PA00117373, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « La Chapelle de St Nizier - Tourisme patrimonial - Office du Tourisme d'Uriage les Bains - Animations », sur www.uriage-les-bains.com (consulté le ).
- « Les journées du patrimoine 2010 dans le Grésivaudan », Le Dauphiné Libéré - supplément,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Chapelle Saint-Ferréol, au Pinet d'Uriage », sur Isère Tourisme (consulté le ).
- Église du Pinet d'Uriage
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 479-484.
- Chapelle Saint-Jean-Baptiste, à Villeneuve-d'Uriage sur www.isere-tourisme.com (accès le 23 avril 2016)
- « Château d'Uriage », notice no PA00117261, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Le Belvédère à St-Martin d’Uriage sur le site officiel de la Communauté de communes du Pays du Grésivaudan (consulté le 31 janvier 2015)
- Découvrez les Espaces Naturels Sensibles de l'Isère, www.isere.fr, p. 40 (consulté le 22 juillet 2014)
- L'Espace Naturel Sensible des Seiglières sur le site de la mairie (consulté le 21 mai 2018).
- « Parc Thermal d'Uriage Les Bains », sur www.isere-tourisme.com (consulté le ).
- « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
- Marianne Mairesse, « Sami Bouajila : " J'adore les femmes ! " », Marie-Claire,‎ (lire en ligne)
Voir aussi
Bibliographie
- Le château d'Uriage : 1000 ans d'histoire. Mme Georges Murienne, Geneviève Dumolard-Murienne, Marie-France Louchet, et al. Chapõ public éd., DL 2006
- Uriage et ses environs d'hier et d'aujourd'hui. Charles Paillet. Fontaine : Chapõ'com, DL 2021
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- Site du château d'Uriage, monument emblématique de la commune.