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Saint-Malo-de-Guersac

Saint-Malo-de-Guersac est une commune de la Loire-Atlantique située à 15 km de Saint-Nazaire en pleine Brière.

Saint-Malo-de-Guersac
Saint-Malo-de-Guersac
Maison de l'éclusier
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Région Nazairienne et de l'Estuaire
Maire
Mandat
Jean-Michel Crand
2020-2026
Code postal 44550
Code commune 44176
Démographie
Gentilé Malouins
Population
municipale
3 206 hab. (2020 en augmentation de 0,31 % par rapport à 2014)
Densité 219 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 21′ 06″ nord, 2° 10′ 42″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 13 m
Superficie 14,62 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Nazaire
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Nazaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Nazaire-2
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Saint-Malo-de-Guersac
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Saint-Malo-de-Guersac
Liens
Site web saintmalodeguersac.fr

    La référence à Saint-Malo dans le nom de la commune viendrait de l'événement mythique suivant : Malo né au Pays de Galles, évêque d'Aleth sur l’estuaire de la Rance, retournait à Aleth après un premier séjour à Saintes. Selon la légende : "Lors de sa traversée de l’île de Guersac, son cheval trébucha sur un rocher qui a conservé la trace de son sabot". Ce rocher est dénommé depuis le Pas de Saint Malo.

    Malo s'était retiré à Saintes à la suite de persécutions en Domnonée armoricaine. En rentrant, il accédait ainsi à la demande des bretons d'Aleth qui réclamaient son retour (cf. le lien externe concernant la vie de Saint Malo en bas de page).

    Selon les biographies, Saint Malo a vécu au VIe ou au VIIe siècle. Son possible passage par l'île de Guersac est en tout cas antérieur à la découverte, vers l'an 800, du tombeau dit de l'apôtre Jacques par l'ermite Pelagius en Galice et donc antérieur au Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Le bourg et l'église

    Géographie

    Situation

    Selon le découpage de la Bretagne fait par Erwan Vallerie, Saint-Malo-de-Guersac fait partie du pays traditionnel de la Brière et du pays historique du Pays Nantais.

    Communes limitrophes

    Rose des vents Saint-Joachim Crossac Rose des vents
    N Donges
    O Saint-Malo-de-Guersac E
    S
    Trignac Montoir-de-Bretagne

    Quartiers

    • le Bourg
    • Le Pin
    • La Ganache
    • L'Isle
    • Rozé
    • Île d'Errand
    • la Grée
    • La Paquelais
    • La Petite Brière
    • Crosmain
    • La Gravelle
    • La Bosse

    Ressources et productions

    Situation de la commune de Saint-Malo-de-Guersac dans le département de la Loire-Atlantique

    Il s'agit essentiellement de cultures fourragères.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 695 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,3 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Malo-de-Guersac est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Nazaire, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[15] et 184 837 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 17,1 % 263
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 68,8 % 1057
    Marais intérieurs 14,1 % 216
    Source : Corine Land Cover[20]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Guersac en 1401, Sant-Malo vers 1850[21].

    Guersac/Gwersac'h est le nom de la principale île qui constitue le territoire communal de Saint-Malo-de-Guersac (Sant-Maloù-Gwersac'h en breton[21], la localité est fondée au Ve siècle par des émigrants bretons).
    Saint Malo est l'un des sept saints fondateurs de la Bretagne, que l'on retrouve dans d'autres noms de lieux comportant le même éponyme, dont celui de la fameuse cité corsaire Saint-Malo/Sant-Maloù.
    Guersac se compose de la forme réduite du breton Gwern (ce mot désigne une zone marécageuse et son association à Sac'h est naturelle) qui est extrêmement fréquent en toponymie bretonne et la chute du "n" à la césure devant un second composant commençant par une consonne est assez fréquente et de Sac'h (sac) au sens d'un « endroit où il y a des eaux stagnantes ». Le mot se retrouve régulièrement en toponymie bretonne, comme dans le célèbre Sac'h de Quéven dans le Morbihan (Sac'h Kewenn en breton).

    Histoire

    La présence humaine est attestée dès la Préhistoire par la découverte de nombreux objets datant de l'époque moustérienne, et l'érection du menhir de la Pierre Blanche, situé dans la partie orientale de la commune.

    Au Ve siècle un village est fondé par des émigrants bretons (venus de la Bretagne insulaire) ; puis Saint-Malo-de-Guersac (Sant Maloù Gwersac'h en breton, de gwern (marais) et sac’h (stagnant)) s'étendra principalement sur les deux îles : l'île de Guersac qui est l'île la plus grande et la plus haute des îles de Brière, et l'île d'Errand.

    Au Moyen Âge, Saint-Malo-de-Guersac dépend de la vicomté de Donges assujettie au duché de Bretagne et partageait les droits collectifs du territoire indivis du marais avec les habitants des 14 paroisses de la « Brière » conformément au privilège donné aux briérons par François II duc de Bretagne, le , par lettre patente (voir Saint-Joachim). La duchesse Anne ratifie la lettre patente de son père François II. Ce privilège a été confirmé plusieurs fois au cours des siècles suivants.

    Avant la Révolution française, le territoire de la commune actuelle faisait partie de la paroisse de Montoir-de-Bretagne. Son histoire est donc étroitement liée à cette dernière. La paroisse Saint-Malo-de-Guersac est fondée en 1845. En 1848, le bourg n'est constitué que de quelques maisons groupées autour d'une vieille chapelle.

    La construction d'une nouvelle église commence en 1858 avec la pose de la première pierre le . L’église est inaugurée en . Le clocher est érigé en 1878 et les cloches sont installées en 1889. Édifiée sur le point le plus haut de l'île de Guersac (13 m), et de par ses formes, ses dimensions et son clocher qui culmine à 37 m au-dessus du marais, cette église a été surnommée "le petit Mont Saint-Michel de Brière".

    La commune, distraite de Montoir-de-Bretagne, est créée par la loi du .

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[22]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 Eugène Jallais
    1945 François Lebert
    Jules Guitton DVD
    Geneviève Grattier[Note 6] - [23] PS
    Pierre Rambaud PS Ouvrier
    Marcelle Baucher-Guérant PS
    Roger David[Note 7] PCF Monteur spécialisé retraité
    Conseiller général de Montoir-de-Bretagne (2008-2015)
    Alain Bentaha PS Directeur territorial
    Conseiller régional des Pays de la Loire (2004-2010)
    Vice-président de la CARENE (2008-2014)
    [24] Alain Michelot[Note 8] PS Retraité de la construction navale
    Vice-président de la CARENE (2014-2020)
    [25] En cours
    (au 1er mars 2022)
    Jean-Michel Crand DVG Retraité MAN Diesel, ancien adjoint
    Vice-président de la CARENE (depuis 2020)

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Malo-de-Guersac fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Saint-Nazaire et de l'unité urbaine de Saint-Joachim - Saint-Malo-de-Guersac[26]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « intermédiaire » : 85 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires », 9 % dans des zones « peu denses » et 6 % dans des zones « très peu denses »[27].

    Évolution démographique

    La commune est créée en 1925 après démembrement partiel de Montoir-de-Bretagne.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1926. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2020, la commune comptait 3 206 habitants[Note 9], en augmentation de 0,31 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    2 0492 0001 9602 0462 1022 2072 2472 4613 286
    1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 - -
    3 2943 1263 0853 1123 2123 1813 206--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 565 hommes pour 1 616 femmes, soit un taux de 50,8 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1
    90 ou +
    0,4
    6,9
    75-89 ans
    8,6
    18,7
    60-74 ans
    20,8
    21,4
    45-59 ans
    20,7
    19,9
    30-44 ans
    19,1
    12,3
    15-29 ans
    12,5
    20,6
    0-14 ans
    17,9
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Consanguinité

    L'isolement géographique de la commune a longtemps été une source de consanguinité (ce qui est vrai pour toute la Brière, mais encore plus pour Saint-Malo de Guersac et Saint-Joachim). Ce problème tend à disparaître depuis le premier quart du XXe siècle, et le désenclavement de la Brière. Ceci a également entraîné une faible diversité des patronymes : les Halgand, Aoustin, Moyon, Mahé, Chedotal, Guihéneuf et Legof constituant toujours la majorité des noms de famille, principalement dans les îles, où les habitants sont surnommés les « canards » (les habitants de la bordure du marais étant eux surnommés les « naquets »). D'ailleurs, le roman de Alphonse de Châteaubriant, La Brière, traite de ce problème, où un père de famille « canard » refuse que sa fille épouse un « naquet » de Crossac. L'exogamie, même avec des communautés géographiquement et culturellement proches, était peu pratiquée.

    Vie locale

    • Pêche, chasse, promenades en chaland.
    • Vitrine du marais (faune et flore).
    • Sentier de découverte du marais.
    • Parc animalier de Rozé (faune de Brière).
    • Orchestre de Batterie fanfare de Saint Malo de Guersac : classée en supérieur, la batterie fanfare se produit dans la commune mais aussi un peu partout en France. Elle possède désormais une fanfare de rue : la bande d'Eolas.

    Monuments et lieux remarquables

    • le belvédère de 128 marches, haut de 24 m, situé au port de Rozé et ouvert depuis octobre 2020, il permet de découvrir l’étendue de la richesse paysagère de la Brière sur 360°.
    • l'église (1858-1878) dont la première pierre est posée le . Elle est inaugurée en avril 1862. Le clocher est édifié en 1878 et les cloches sont installées en 1889
    • la croix de la Ganache, située rue de la Ganache
    • le calvaire, situé au carrefour des rues de l'Isle et Aristide Briand
    • le château (1908), situé rue Émile Zola
    • les haras nationaux (1980), situés au no 40 route de la Ganache. Les haras dépendaient jadis et jusqu'en 1980 de la commune de Montoir-de-Bretagne
    • l'école Saint-Joseph (XIXe – XXe siècle), située rue Aristide Briand. L'école est construite en 1863 sur l'initiative du curé, Julien Malary
    • l'ancienne cure (1866), située rue Aristide Briand et édifiée par l'abbé Lanoë
    • la maison de l'éclusier
      Maison de l'éclusier en hiver
      , située sur la route de Saint-Joachim et restaurée en 1975. Elle héberge aujourd'hui un musée
    • les écluses et la maison de l'éclusier (début du XIXe siècle), située au Port de Rozé (une seule écluse a gardé ses portes)
    • le site de la réserve Pierre Constant (Réserve Naturelle Régionale Marais de Brière), près de la maison de l'éclusier
    • la statue de la Vierge à l'Enfant (1947)
    • le blockhaus (1939-1945), situé sur la butte du Pin. Cet édifice hébergeait jadis une batterie de défense aérienne chargée de protéger Saint-Nazaire où la Kriegsmarine avait placé une base de sous-marins
    • le rocher dit "Pas de Saint-Malo" qui est visible à proximité du centre ville, près de l'allée de la Garenne sur le circuit de randonnées no 1.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Réélue en 1977.
    7. Réélu en 2001.
    8. Réélu en 2014.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Saint-Nazaire-Montoir - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Malo-de-Guersac et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Unité urbaine 2020 de Saint-Nazaire », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    16. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
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    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Données statistiques sur les communes de métropole commune : répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur Corine Land Cover, (consulté le ).
    21. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    22. Historique des maires de Saint-Malo-de-Guersac, sur saintmalodeguersac.fr
    23. « Saint-Malo-de-Guersac. Décès de l’ancienne maire Geneviève Grattier », Ouest-France, (lire en ligne).
    24. « Alain Michelot, nouveau maire de Saint-Malo-de-Guersac », Ouest-France, (lire en ligne).
    25. « Saint-Malo-de-Guersac. Jean-Michel Crand est le 10e maire de la commune », Presse-Océan, (lire en ligne).
    26. « Commune de Saint-Malo-de-Guersac (44176) », Insee (consulté le ).
    27. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Malo-de-Guersac (44176) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
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