AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Saint-LĂ©ger-les-Vignes

Saint-Léger-les-Vignes est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Saint-LĂ©ger-les-Vignes
Saint-LĂ©ger-les-Vignes
L'Ă©glise Saint-LĂ©ger.
Blason de Saint-LĂ©ger-les-Vignes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Nantes Métropole
Maire
Mandat
Patrick Grolier
2020-2026
Code postal 44710
Code commune 44171
DĂ©mographie
Gentilé Légérien
Population
municipale
1 999 hab. (2020 en augmentation de 21,89 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 308 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 08â€Č 13″ nord, 1° 43â€Č 52″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 29 m
Superficie 6,49 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Port-Saint-PÚre
(banlieue)
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rezé-1
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-LĂ©ger-les-Vignes
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-LĂ©ger-les-Vignes
GĂ©olocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Voir sur la carte topographique de la Loire-Atlantique
Saint-LĂ©ger-les-Vignes
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Saint-LĂ©ger-les-Vignes
Liens
Site web mairie-saintlegerlesvignes.fr

    Ses habitants s'appellent les Légériens et les Légériennes.

    GĂ©ographie

    Situation de la commune de Saint-Léger-les-Vignes dans le département de la Loire-Atlantique

    Situation

    La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du Pays de Retz et dans le pays historique du Pays Nantais.

    Saint-LĂ©ger-les-Vignes est situĂ©e entre le lac de Grand-Lieu et l'estuaire de la Loire, sur le cours de l'Acheneau, riviĂšre qui relie le lac Ă  la Loire, Ă  15 km au sud-ouest de Nantes et km Ă  l'ouest de Bouaye.

    Communes limitrophes de Saint-LĂ©ger-les-Vignes
    Brains
    Port-Saint-PĂšre Saint-LĂ©ger-les-Vignes Bouaye
    Saint-Mars-de-Coutais Saint-Philbert-de-Grand-Lieu

    GĂ©ographie humaine

    Comme son nom l'indique, elle est entourée de vignobles (production de vins de pays et de Muscadet « CÎtes de Grand-Lieu »), ce qui en fait sa principale activité économique.

    Transports

    Saint-Léger-les-Vignes est desservie par la ligne 98 du réseau TAN[1], et par la ligne 303 du réseau régional Aléop[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 2] : 783 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945[9] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[10] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-LĂ©ger-les-Vignes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Port-Saint-PĂšre, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[17] et 4 980 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (78,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : cultures permanentes (31,8 %), prairies (23,3 %), zones urbanisĂ©es (12,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,6 %), forĂȘts (8,8 %), terres arables (7,7 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (5,3 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la commune est attesté sous la forme Sanctus Leodegarius en 1180[24].

    Le nom de Saint-LĂ©ger-les-Vignes viendrait de Saint LĂ©ger d’Autun.

    C’est en 1923 que les mots « les Vignes » furent ajoutĂ©s Ă  Saint-LĂ©ger, Ă  la suite d'une dĂ©cision municipale de 1918, pour se diffĂ©rencier de ses homonymes.

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Sant-Lezer-ar-Gwiniegi[24].

    Histoire

    Au XIIe siÚcle, l'église de Saint-Léger et les dßmes de la paroisse furent confiés à la protection de l'abbaye de Saint-Florent d'Angers.

    La commune s'appelait Saint-LĂ©ger jusqu'au dĂ©cret du oĂč elle a pris son nom actuel.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1871 1888 Michel du ChĂątelier
    1888 1924 Arthur Gazet du ChĂątelier[25] Viticulteur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 avril 1950
    (décÚs)
    Guy Gazet du ChĂątelier
    1950 mars 1959 Alice du ChĂątelier
    mars 1959 mars 1977 Michel Jallot
    mars 1977 mars 2001 Gilbert Gobin
    mars 2001 mai 2020 Jacques Gillaizeau[Note 6] PS Ingénieur de la navigation aérienne retraité
    Conseiller rĂ©gional des Pays de la Loire (2004 → 2010)
    mai 2020[26] En cours Patrick Grolier Agent SNCF, ancien 1er adjoint

    Population et société

    DĂ©mographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Léger-les-Vignes fait partie de l'aire urbaine, de l'unité urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Nantes[27]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « intermédiaire » : 85 % des habitants résidaient dans des zones « intermédiaires », 14 % dans des zones « peu denses » et 1 % dans des zones « trÚs peu denses »[28].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[30].

    En 2020, la commune comptait 1 999 habitants[Note 7], en augmentation de 21,89 % par rapport Ă  2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    523344505600559576638562600
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    619600613621605535578541548
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    581585516469448427393437462
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    4514514847219461 1581 3751 4061 540
    2017 2020 - - - - - - -
    1 8441 999-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  38,8 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 17,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 948 hommes pour 954 femmes, soit un taux de 50,16 % de femmes, légÚrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,1
    90 ou +
    0,0
    4,2
    75-89 ans
    4,3
    13,2
    60-74 ans
    12,4
    21,6
    45-59 ans
    23,6
    21,9
    30-44 ans
    21,2
    16,6
    15-29 ans
    17,1
    22,3
    0-14 ans
    21,5
    Pyramide des ùges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Enseignement

    Une école maternelle et élémentaire publique.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La Villa du ChĂątelier, ancienne seigneurie restaurĂ©e en 1830 et 1834 par Louis-Joseph Chaigneau, inscrit aux monuments historiques depuis 1997.
    • L'Ă©glise de Saint-LĂ©ger-les-Vignes date du XIXe siĂšcle. Sa particularitĂ© est sa charpente aux poutres apparentes.
    • Vignoble oblige, il reste sur la commune de nombreux vieux pressoirs encore en service au XIXe siĂšcle.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules à la crosse d'or posée en bande, chargée d'une épée versée d'argent garnie d'or posée en barre, croisés en sautoir, surmontant une grappe de raisin d'or, à la bordure également d'or.
    Commentaires : La crosse symbolise Saint Léger d'Autun, et la grappe de raisin l'activité viticole de la commune. Blason conçu par l'abbé Thibaud en 1943 ; réduction par l'héraldiste Michel Pressensé en 1970 (délibération municipale du ), enregistré le .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. RĂ©Ă©lu en mars 2008 et mars 2014.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Carte interactive du réseau TAN
    2. Carte interactive du réseau Aléop
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station météofrance Nantes-Bouguenais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Saint-Léger-les-Vignes et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Port-Saint-PÚre », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    25. Fiche généalogique Arthur Gazet du Chùtelier, sur Geneanet
    26. « Saint-LĂ©ger-les-Vignes. Patrick Grolier est Ă©lu maire de Saint-LĂ©ger-les-Vignes », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
    27. « Commune de Saint-Léger-les-Vignes (44171) », Insee (consulté le ).
    28. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-LĂ©ger-les-Vignes (44171) », (consultĂ© le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Loire-Atlantique (44) », (consultĂ© le ).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.