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Saint-Christophe-sur-le-Nais

Saint-Christophe-sur-le-Nais est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Saint-Christophe-sur-le-Nais
Saint-Christophe-sur-le-Nais
Le chapelle Saint-Gilles.
Blason de Saint-Christophe-sur-le-Nais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes de Gâtine et Choisilles - Pays de Racan
Maire
Mandat
Catherine Lemaire
2020-2026
Code postal 37370
Code commune 37213
DĂ©mographie
Gentilé Christophoriens
Population
municipale
1 092 hab. (2020 en diminution de 1,71 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 60 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 37′ 01″ nord, 0° 28′ 36″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 127 m
Superficie 18,27 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Paterne-Racan
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Château-Renault
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Saint-Christophe-sur-le-Nais
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Saint-Christophe-sur-le-Nais
Liens
Site web site de la commune

    Ses habitants sont appelés les Christophoriens.

    GĂ©ographie

    Localisation et caractéristiques

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
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    Carte topographique
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    Avec les communes environnantes
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    1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    La commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais est située à l'extrême nord du département d'Indre-et-Loire, à une trentaine de kilomètres de Tours, en limite avec celui de la Sarthe.

    La voie ferrée Caen-Le Mans-Tours assure un trafic de marchandises régulier et quelques trains de voyageurs font une halte à la gare de Saint-Paterne-Racan, commune voisine, située à deux kilomètres au sud-est. Pour les voyageurs, un réseau de cars réguliers (TER et Fil Vert) assurent des transports quotidiens vers Tours.

    La commune s'Ă©tend sur 1 827 ha. On trouve 133 ha de prĂ©s, 1 600 ha de terres agricoles utilisĂ©es dont 1 409 ha de terres labourables et 70 ha de vergers.

    Hydrographie

    RĂ©seau hydrographique de Saint-Christophe-sur-le-Nais.

    Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 12,03 km, comprend un cours d'eau notable, l'Escotais (4,94 km), et quatre petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].

    L'Escotais, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune de NeuillĂ©-Pont-Pierre et se jette dans le Loir Ă  Dissay-sous-Courcillon (Sarthe) après avoir traversĂ© 4 communes[3]. La station hydromĂ©trique de Saint-Paterne-Racan permet de caractĂ©riser les paramètres hydromĂ©triques de l'Escotais. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 51 ans pour cette station) varie de 0,09 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă  0,63 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 18 m3/s le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 1,93 m ce mĂŞme jour[4] - [5]. Ce cours d'eau est classĂ© dans la liste 2[Note 1] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, tout ouvrage doit ĂŞtre gĂ©rĂ©, entretenu et Ă©quipĂ© selon des règles dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative, en concertation avec le propriĂ©taire ou, Ă  dĂ©faut, l'exploitant[6]. Sur le plan piscicole, l'Escotais est classĂ© en première catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de salmonidĂ©s (truite, omble chevalier, ombre commun, huchon)[7].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Christophe-sur-le-Nais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Saint-Paterne-Racan, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[11] et 2 792 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12] - [13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[14] - [15].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,2 %), zones agricoles hétérogènes (19,3 %), prairies (6,9 %), forêts (6,6 %), cultures permanentes (6 %), zones urbanisées (4,9 %)[16]. La commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais fait partie du terroir viticole de l'appellation d'origine contrôlée Coteau-du-Loir, reconnue par décret en 1948[17] - [18] - [19]. La flore de la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais est référencée par le Conservatoire Botanique du Bassin Parisien, un service scientifique du Muséum National d'Histoire Naturelle[20]. Les données naturalistes sur la faune et la flore de la commune sont enregistrées par la Société d'Etudes, de Protection et d'Aménagement de la Nature en Touraine (SEPANT) et sont consultables sur la plateforme collaborative Obs'37[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Christophe-sur-le-Nais est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Christophe-sur-le-Nais.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[25]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 99,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 528 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 526 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991 et 1992 et par des mouvements de terrain en 1995 et 1999[23].

    Histoire

    Origines

    Même si des indices archéologiques témoignent d'une présence humaine ancienne (ateliers lithiques et habitats de la fin du Paléolithique et du Néolithique, activités métallurgiques de l'époque gallo-romaine), le village de Saint-Christophe n'apparaît véritablement dans l'histoire qu'autour de l'an mil, au moment où les seigneurs d'Alluye(s) en Perche-Gouët, alliés des comtes d'Anjou, établissent au-dessus de la vallée de l'Escotais une place forte autour de laquelle ils constituent peu à peu une châtellenie[28] - [29] - [30] - [31].

    Moyen Ă‚ge

    De cette forteresse, sans doute sommaire, bâtie à l'origine en bois sur une motte féodale entourée de douves, dépendait une petite église dédiée à saint Christophe[32]. C'est cette église primitive, confiée, à partir de 1069, à l'abbaye de Saint-Florent de Saumur, qui est à l'origine du nom de la commune. Malgré l'adjonction d'un donjon en pierre (au cours du XIe ou au début du XIIe siècle), la place forte de Saint-Christophe perd rapidement son intérêt stratégique. Très tôt déserté par les d'Alluye(s), le château ne subit pas d'extensions nouvelles et tombe même peu à peu en ruine (il retrouve seulement un rôle militaire pendant la guerre de Cent Ans aux mains des Anglais qui finiront de le détruire). Éloignés de leur terre, les seigneurs de Saint-Christophe (qui sont aussi barons de Chasteaux-en-Anjou = Château-la-Vallière, avec Vaujours) laissent la gestion du domaine à des officiers seigneuriaux et à des fermiers, même par la suite, à l'époque des Bueil et des La Baume Le Blanc de La Vallière[29] - [30] - [31].
    Au cours des XIe-XIIIe siècles, la paroisse se met en place et le bourg s'agrandit sous la double protection du pouvoir seigneurial et des moines de Saint-Florent. Grâce à d'importants défrichements une grande partie du terroir est mise en valeur (dès cette époque la vigne et les pommiers sont plantés). C'est également à cette date qu'apparaît une importante foire aux chevaux organisée chaque année à proximité de la chapelle Saint Gilles (construite au début du XIIe siècle), où se rencontrent dès marchands venus de tout le royaume et même d'Espagne et d'Italie[30] - [29] - [31] - [33].

    Au XIIIe siècle, Saint-Christophe devient la "première baronnie de Touraine" (ce titre est disputé par Preuilly), ce qui permet aux seigneurs de faire clore le bourg. Celui-ci est désormais protégé par des murs et des fossés percés par trois portes. De nombreux aménagements souterrains complètent ce système défensif[29] - [30] - [31].

    XVIIe et XVIIIe siècles

    En 1667, la baronnie de Saint-Christophe est unie à celle de Château-la-Vallière pour constituer le duché-pairie de La Vallière érigé par Louis XIV en faveur de sa favorite, Louise de La Vallière, dame de Vaujours et de Chasteaux[30] - [31]. À cette date, Saint-Christophe est présenté comme une "petite ville fermée de murailles et dans une belle situation où il y a de très belles maisons". Celles-ci témoignent bien de la prospérité de Saint-Christophe au cours de l'Ancien Régime, d'ailleurs confirmée par d'autres éléments. Très tôt, le clocher de l'église est orné d'une horloge. La population, qui compte en moyenne à cette époque 1500 habitants, comprend un nombre important de marchands, d'artisans et de notables (nobles, sieurs, bourgeois, officiers royaux et seigneuriaux). Le bourg accueille autour de ses halles un marché hebdomadaire (le mardi) et plusieurs foires annuelles (l'une d'elles se tient toujours à Saint-Gilles). Non loin des halles, un "palais" constitue le siège du tribunal seigneurial (Saint-Christophe est le chef-lieu d'une justice qui s'étend en tout ou partie sur une dizaine de paroisses). L'activité des habitants n'est pas exclusivement agricole. Une part importante de la population participe à l'activité textile. Celle-ci est plus particulièrement spécialisée dans la fabrication de draps, de droguets et d'étamines (ces dernières étant, pour partie, exportées vers l'Espagne, le Portugal et l'Italie pour les soutanes des prêtres). La ville abrite également des tanneries et une manufacture de faïence[29] - [30] - [31].

    Carte de Cassini, XVIIIe siècle.

    Période révolutionnaire

    Cette prospérité perdure malgré la Révolution. Pendant une courte période, Saint-Christophe se nomme Valriant et se trouve placé à la tête d'un canton composé de cinq communes. Une justice de paix remplace le tribunal seigneurial pendant quelques années. La croissance démographique se poursuit (la commune compte plus de 1700 habitants en 1804), l'artisanat textile (la commune produit désormais des étoffes de laine, de coton et de toile destinées en grande partie à la marine), le travail du cuir et les grandes foires se maintiennent un temps[29] - [30] - [31].

    Arrivée du chemin de fer

    Si des difficultés apparaissent dès la première moitié du XIXe siècle, le déclin s'amorce véritablement autour des années 1850 avec l'accélération de la révolution industrielle. Après l'ouverture de la ligne de chemin de fer Tours-Le Mans en 1858, la municipalité, malgré des démarches répétées, ne parvient pas à obtenir la construction d'une "halte" dans la commune, mesure qui aurait pu favoriser le maintien de l'activité économique. Entre la fin du XIXe et le début du XXe siècle, les foires s'éteignent une à une (les deux dernières disparaissent en 1914) et le marché du mardi est supprimé. Beaucoup d'artisans et petits commerçants ferment boutiques et l'activité textile disparaît complètement. Seul le travail du cuir se maintient encore quelques années (la dernière tannerie ferme ses portes en 1960)[29] - [30] - [31].

    Époque moderne

    À la suite d'une délibération municipale du , la commune prend officiellement le nom de Saint-Christophe-sur-le-Nais. La population se stabilise autour de 950 habitants jusqu'en 1980 pour atteindre le millier à l'aube du XXIe siècle, grâce à de nombreuses constructions. La seconde moitié du XXe siècle est marquée par de profondes mutations dans l'agriculture. La vigne et l'élevage laissent la place à la céréaliculture intensive et à l'arboriculture, très présente dans la commune. Une foire-exposition fruitière est instaurée en 1946 et une coopérative fruitière est créée en 1968. À la même époque, une usine de trieuses-calibreuses s'installe dans la commune[34], s'ajoutant aux deux entreprises textiles. Mais la crise de la fin du XXe s. amène certaines d'entre elles à cesser leurs activités[29] - [30] - [31].

    À l'heure actuelle, les principales sources d'emplois communales sont la coopérative fruitière et la maison de retraite. Dans le contexte de mondialisation et de forte concurrence étrangère, le secteur arboricole connaît de profondes difficultés[29] - [30] - [31].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[35]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1965 Georges Girard
    1965 octobre 1970 Gaston Boulesteix
    novembre 1970 mars 2001 Jean Poussin DVD Conseiller général du Canton de Neuvy-le-Roi (1973-1992)
    mars 2001 mars 2008 Monique Royer PS
    mars 2008 mars 2014 Jean Poussin DVD
    mars 2014 En cours Catherine Lemaire SE Salariée du secteur médical

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2020, la commune comptait 1 092 habitants[Note 4], en diminution de 1,71 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 6071 7341 5601 3911 5221 5151 5041 5221 392
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2321 2341 1271 0791 1201 1081 1111 1411 103
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0541 0911 065933910907891912916
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    9711 0229328779259651 0671 0891 087
    2015 2020 - - - - - - -
    1 1271 092-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Les lieux-dits de Saint-Christophe qui n'existent plus ou qui ne sont plus habités ont été étudiés : la Peuleverie, la Plissonière, la Forêt ou les Forêts, la basse Grisardière, le Moisi, le Parc, la Beauce, la Folleterie, les Bodins, la Noiraie, les Costières, la Gachetière, la Glaudière, la Cuinière, le moulin Bouleau[40].

    Certains monuments du village sont référencés dans la plateforme ouverte du patrimoine (POP) du Ministère de la Culture.

    Quelques monuments remarquables :

    • motte fĂ©odale et ruine du donjon des d'Alluye(s)[41] - [42]. La motte est bâtie Ă  la pointe sud-est du coteau qui domine le village. Le donjon de pierre, qui succède vraisemblablement Ă  un donjon en bois, et qui mesure 8,60 Ă— 6,60 mètres Ă  l'intĂ©rieur, a Ă©tĂ© construit vers 1025 au pied de la motte. En 1061, au sud-est de la basse-cour a Ă©tĂ© bâtie une Ă©glise. Une seconde basse-cour, passant le long de la façade sud de l'Ă©glise a probablement Ă©tĂ© amĂ©nagĂ©e entre 1030 et 1060. Un rĂ©seau de caves et de galeries sous le coteau a recoupĂ© deux silos de forme ovoĂŻde. Les galeries desservent un souterrain-refuge partiellement comblĂ© mais dont on voit encore les galeries de dĂ©part et les feuillures de fermeture. Les silos et le souterrain-refuge sont considĂ©rĂ©s comme contemporain de la motte ou du donjon car placĂ©s Ă  leur pied dans la première basse-cour [41] - [43] ;
    • chapelle Saint-Gilles, fondĂ©e en 1122 par Geoffroy d'Alluye[31] - [44] - [33] ;
    • cave habitĂ©e du XIVe siècle, inscrit au titre des monuments historiques en 2022[45] ;
    • les Ă©glises priorale et paroissiale Saint-Christophe[32] - [46]. Les deux Ă©difices sont accolĂ©s et communiquent entre eux par une ouverture pratiquĂ©e en 1700. Le prieurĂ© bĂ©nĂ©dictin date du XIe siècle et a Ă©tĂ© remaniĂ© au XIVe siècle[31]. L'Ă©glise date du XVIe siècle. L'ensemble est protĂ©gĂ© depuis 1942 par un classement au titre des monuments historiques[47] ;
    • fuie de la ForĂŞt, fuie seigneuriale en tuffeau dĂ©pendant du fief de Racan, 687 boulins[48] - [49]
    • manoir de VaudĂ©sir (deuxième moitiĂ© du XVIe siècle), inscrit au titre des monuments historiques en 2022 [50] ;
    • château de GĂŞnes, XVIIe siècle[31] - [51] ;
    • demeure, dite la Perrine (6 Place Jehan d'Alluye). PĂ©riodes de construction XIVe, XVIIIe et XIXe siècles[52] ;
    • manoir du Bas Sion, XVIIIe et XIXe siècles[53] - [30] ;
    • maison de bourg, dite du Dauphin, car y pendait une enseigne en forme de Dauphin (12 rue des Potiers). Demeure attribuĂ©e Ă  Pierre Epron, fondateur de la manufacture de faĂŻence de Saint-Christophe (premier quart du XVIIIe siècle)[54] - [55] ;
    • maison de bourg (11 rue Chaude), lieu de naissance des mĂ©decins Antoine Mançais et RaphaĂ«l Blanchard (XIXe siècle)[56]
    • La place principale en 1900.
      La place principale en 1900.
    • La rue de l'Ă©glise en 1900.
      La rue de l'Ă©glise en 1900.
    • L'intĂ©rieur de l'Ă©glise en 1900.
      L'intérieur de l'église en 1900.

    Personnalités liées à la commune

    • Hughes II d'Alluye (v. 980-après 1025), seigneur de Saint-Christophe, fit vraisemblablement Ă©difier le donjon de Saint-Christophe[31] - [57].
    • Hughes III d'Alluye (vivant en 1065 et en 1082), seigneur de Saint-Christophe, fonda l'Ă©glise priorale de Saint-Christophe[31] - [57].
    • Geoffroy d'Alluye, seigneur de Saint-Christophe, fonda en 1122 la chapelles Saint-Gilles Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[31] - [57].
    • Jean II d'Alluye (v. 1180-1248), croisĂ© en Terre Sainte, seigneur de Saint-Christophe[30] - [31] - [58].
    • MoĂŻse Firmin Balzac (1863-1956), architecte, nĂ© et dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[59].
    • Adrienne-Emilie-FĂ©licitĂ© de la Baume Le Blanc (1740-1812), duchesse de Châtillon, dernier seigneur de Saint-Christophe[30]
    • Jean VII de Beuil (v. 1563-1638), donateur reprĂ©sentĂ© sur le tableau du retable de la RĂ©surrection du Christ de l'Ă©glise de Saint-Christophe[46].
    • RenĂ© de Beuil (1626-1640), donateur reprĂ©sentĂ© sur le tableau du retable de la RĂ©surrection du Christ de l'Ă©glise de Saint-Christophe[46].
    • Raymond Bigot (1872-1953), sculpteur français, auteur des bustes en bronze de Fulgence Raymond et de RaphaĂ«l Blanchard : fondus sous le rĂ©gime de Vichy[60] - [61] - [62].
    • RaphaĂ«l Blanchard (1857-1919), mĂ©decin et zoologiste français, nĂ© Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[30] - [63] - [64]
    • MĂ©dĂ©ric Bruno (1887-1958), sculpteur tourangeau, rĂ©alisa la statue du monument aux morts de Saint-Christophe-sur-le-Nais[65].
    • Antoine Charpentier (v. 1615-1671), sculpteur, auteur du Retable de La DĂ©livrance de Saint-Pierre de l'Ă©glise de Saint-Christophe-sur-le-Nais[46] - [66]
    • Georges DelpĂ©rier (1865-1936), sculpteur français, rĂ©alisa le buste en bronze d'Eugène Hilarion fondu en 1942 sous le rĂ©gime de Vichy[67].
    • FĂ©lix Desmousseaux de GivrĂ© (1882-1915), avocat, Ă©crivain, habita Saint-Christophe-sur-le nais aux alentours de 1906, mort pour la France [68] - [69] - [70].
    • Isabelle DestrichĂ© (1823-1910), Ă©crivain rĂ©gionaliste, nĂ©e Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[71] - [72] - [73].
    • Gilles DoutĂ© (1750-1813), premier vĂ©tĂ©rinaire de Touraine, nĂ© Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[74] - [75] - [76].
    • Jules Egal (1851-1910), compositeur, instituteur Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais de 1882 Ă  1910[77] - [78] - [79]
    • Pierre Epron l'aisnĂ© (1688-1761), fonda la première faĂŻencerie de Touraine Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[30] - [31] - [55]
    • Jean-Prosper Florence, verrier Ă  Tours, auteur de deux vitraux (1900 et 1902) de l'Ă©glise de Saint-Christophe-sur-le-Nais[80] - [81]
    • Yves Gauffreteau (1905-1999), popotier de la croisière jaune, se retira au Bas Sion Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais en 1962[30] - [82].
    • Eugène Hillarion (1841-1919), peintre amateur, bienfaiteur de la commune, nĂ© Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais oĂą il crĂ©a une manufacture de boutons[64] - [83].
    • Pierre Janvier (1817-1888), auteur, prĂŞtre du diocèse de Tours, chanoine titulaire et doyen du Chapitre cathĂ©dral, nĂ© Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[84].
    • Édouard LabbĂ© (1827-1894), mĂ©decin des HĂ´pitaux de Paris, nĂ© Ă  Saint-Christophe-sur-le Nais[85].
    • Étienne Lobin, verrier, auteur de trois vitraux (1911) de l'Ă©glise de Saint-Christophe-sur-le-Nais[86] - [87] - [88] - [89].
    • Elisabeth Le Port (1919-1943), rĂ©sistante, institutrice Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais de 1939 Ă  1942[30].
    • Antoine Emile Mançais (1833-1868), chirurgien-major de la marine pendant la guerre de CrimĂ©e, nĂ© et dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[56].
    • DaphnĂ© du Maurier (1907-1989), Ă©crivain, dans les annĂ©es 1950-1960 sĂ©journa Ă  l'hĂ´tel des Glycines de Saint-Christophe Ă  la recherche de ses ancĂŞtres souffleurs de verre[30] - [90].
    • Jules Pierre Rambur (1801-1870), mĂ©decin et entomologiste français, habita Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais aux alentours de 1851.
    • Fulgence Raymond (1844-1910), neurologue français, nĂ© Ă  Saint-Christophe-sur-le-Nais[30] - [64] - [91] - [92].
    • Sante Vallar (1893-1951), mosaĂŻste Art DĂ©co, rĂ©alisa le socle du buste en bronze d'Eugène Hillarion : fondu sous le rĂ©gime de Vichy[67] - [93].
    • Louise de la Vallière (1644-1710), favorite de [[Louis XIV]|Louis XIV]]] : il Ă©rigea en sa faveur les baronnies de Chasteaux en Anjou (Château-la-Vallière) et de Saint-Christophe en duchĂ©-pairie[30] - [31].

    HĂ©raldique

    Blason de Saint-Christophe-sur-le-Nais

    Les armes de Saint-Christophe-sur-le-Nais se blasonnent ainsi :

    d'azur Ă  Saint Christophe d'or[94].

    Enseignement

    Saint-Christophe-sur-le-Nais se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Cyr-sur-Loire.

    L'école primaire accueille les élèves de la commune.

    Notes et références

    Notes

    1. Le classement en liste 2 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

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    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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