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Sévigny-Waleppe

Sévigny-Waleppe (prononcé [seviɲiwalɛp]) est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est, à la limite entre les départements des Ardennes et de l'Aisne.

Sévigny-Waleppe
Sévigny-Waleppe
Église et demeures de Sévigny-Waleppe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Ardennes
Arrondissement Rethel
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Rethélois
Maire
Mandat
Éric Guirsch
2020-2026
Code postal 08220
Code commune 08418
Démographie
Population
municipale
223 hab. (2020 en diminution de 5,91 % par rapport à 2014)
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 18″ nord, 4° 04′ 55″ est
Altitude Min. 95 m
Max. 155 m
Superficie 24,11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Château-Porcien
Législatives Première circonscription
Localisation
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Sévigny-Waleppe
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Sévigny-Waleppe

    Géographie

    Situation

    Sévigny-Waleppe se trouve à la limite ouest du département des Ardennes, dans une pointe qui pénètre dans le département de l'Aisne, au carrefour des routes départementales D 37 et D 2. Elle est distante de 17 kilomètres de Château-Porcien (Ardennes), 13 kilomètres de Montcornet (Aisne), 29 kilomètres de Rethel (Ardennes), 43 kilomètres de Reims (Marne), 40 kilomètres de Laon (Aisne) et 70 kilomètres de Charleville-Mézières (Ardennes). Le village s'étend au cœur d'un vallon, adossé à une butte boisée communément appelée par le gens du pays "La Montagne" ou "Garenne".

    Hydrographie

    Le territoire communal est traversé par un ruisseau qui coule par intermittence, appelé le ruisseau des Barres, ou ruisseau de Sévigny. Il se jette dans l'Aisne à Asfeld (Ardennes).

    Géologie et climat

    Le village est situé à la frontière de quatre régions naturelles qui sont l'Ardenne schisteux et gréseux au nord, la Lorraine jurassique à l'est, la Champagne crétacée au sud et la Picardie limoneuse, appelée Thiérache, à l'ouest. La superficie de 2411 hectares n'est donc pas homogène, puisqu'on y trouve une partie craie, une partie limon battant, une partie argile et une partie terre franche. L'altitude varie entre 95 mètres (mairie) et 155 mètres (château d'eau). La région est sous la double influence du climat continental et du climat océanique. Des étés ensoleillés succèdent à des hivers qui peuvent être rigoureux. Les vents dominants en provenance du sud-ouest apportent pluies et parfois tempêtes.

    Urbanisme

    Typologie

    Sévigny-Waleppe est une commune rurale[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2] - [3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (94,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %), zones urbanisées (1,8 %), forêts (0,1 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Sévigny-Waleppe est constituée du village principal, Sévigny, et d'un hameau, Waleppe, situé à 2,3 km plus au nord-est.

    Le nom de Sévigny est attesté sous les formes Seveigni en 1252, Savigneyo avant 1312. Ce toponyme est issu de l'anthroponyme roman Sabinus[8].

    Le nom du village subit des modifications inhérentes à l'histoire. Certains actes anciens mentionnent le nom de Sévigny en Thiérache. Jusqu'à la Révolution, seul, le nom de Sévigny apparaît. Ce n'est qu'à partir de la Révolution que le village prit le nom complet de Sévigny-Waleppe. Le rôle politique pris par Waleppe, qui était l'écart le plus peuplé, fut certainement déterminant dans l'appellation finale.

    L'orthographe de Waleppe a pris des formes différentes. Charles Samaran propose une origine germanique, signifiant ruisseau de l'étang qui, latinisée, donne Walapia[9].

    Histoire

    Antiquité et bas Moyen Âge

    La région a été occupée par le peuple des Rèmes, par les Romains (conquête de la Gaule par Jules César (51 av. J.-C.)) puis, plusieurs siècles plus tard, a fait l'objet d'invasions germaniques. Parmi les voies romaines qui l'ont sillonnée, l'une relie Reims (capitale de la Gaule belgique) à Bavay (fondation romaine dans le nord), et passe à Nizy-le-Comte, et remonte vers le Nord à quelques kilomètres à l'ouest de Sévigny . Un cimetière mérovingien est découvert à Waleppe, en 1881/1882 dont il semble qu'on ne puisse plus trouver la moindre trace maintenant. Cette nécropole contenant entre 300 et 400 squelettes des deux sexes, accompagnés d'objets et de bijoux (la plupart pnt été acquis par le musée Saint-Remi de Reims), montre qu'il ne s'agit pas des restes d'un champ de bataille, mais bien de sépultures d'une colonie d'habitants fixés dans ce lieu à l'époque mérovingienne[10] - [11]. Le pays rémois et le Soissonnais sont à maintes reprises, du fait de leur position intermédiaire, l’objet de luttes entre les différents royaumes mérovingiens des descendants de Clovis, pour la prééminence des possessions territoriales, et une des hypothèses est de situer dans le lieu-dit Le Bois du Fays des combats entre Austrasiens et Neustriens[12].

    Moyen Âge

    Ces zones boisées sont défrichées au XIIe siècle, notamment par l'action des moines cisterciens. L'Abbaye de la Valroy est édifiée à proximité du village. En 1337, Édouard III d'Angleterre prétend à la couronne de France contre l’avis des grands du royaume. C’est le début de la guerre de Cent Ans. Sévigny est le théâtre d’une bataille en 1359, relatée par plusieurs chroniqueurs dont Jean Froissart. La bataille est un carnage au bénéfice du capitaine Hennequin, commandant les Anglais, nettement supérieurs en nombre. Le comte de Roucy, qui possède également la terre de Sévigny, blessé, est emmené prisonnier dans son château de Sissonne[13]

    Époque moderne et contemporaine

    Sévigny subit au XVIe siècle les ravages de des guerres de religion. Le bourg est incendié en 1576. Le curé et quatre-vingt paroissiens, réfugiés dans l’église, périssent dans les flammes[14]. L'église est reconstruite, et son caractère défensif renforcé, avec sa tour-porche construite non pas devant la nef, mais au-dessus de cette nef, flanquée de deux poivrières en encorbellement et soutenue par des contreforts[15].

    Les conflits du XIXe et XXe siècles sont marqués par la présence de troupes étrangères sur le territoire de la commune. Dès février 1814, à la fin des guerres napoléoniennes Sévigny subit une occupation. En septembre puis en octobre 1870, Sévigny est à nouveau occupée par des unités diverses (uhlans, fantassins, lanciers, ainsi que la présence des princes du Wurtemberg et de Hohenlohe et leur état-major). En 1914, après la bataille de la Marne, le front se stabilise à 25 km environ au sud de la commune. Les Allemands installent un hôpital de campagne sur la place du village. Des soldats français, blessés et faits prisonniers y ont été soignés. Sévigny sert également de base de repos et de réserve pour les troupes allemandes. Une ligne de défense allemande, appelée « ligne Hundling » (la Hundling-Stellung, tranchées, casemates, barbelés), passait par le village de Saint-Quentin-le-Petit à 2,4 kilomètres au sud de Sévigny. Sévigny compte, durant ce conflit, quinze habitants tués comme soldats ainsi que deux victimes civiles[16].

    Le village situé à cinquante kilomètres de la Belgique est particulièrement marqué par la Seconde Guerre mondiale, tant au moment de l’invasion allemande que pendant l’occupation. Le 10 mai 1940, se déclenche la Bataille de France à travers la Belgique, la Hollande et le Luxembourg, puis vers Sedan. Le 15 mai 1940, la plupart des habitants évacuent le village et tentent de gagner la Vendée. Le 16 mai 1940, le deuxième bataillon du 486e régiment des pionniers coloniaux fait halte dans le parc du château pour y prendre un repas. Il ne reste plus au village qu’une vingtaine d’habitants lorsque vers 14 heures 30 apparaissent les premiers véhicules allemands. Un combat se déclenche Les victimes sont inhumées rapidement dans une fosse commune, puis environ dix-huit mois plus tard, en 1941 dans un cimetière militaire aménagé dans une allée de tilleuls du village. À la fin des années 1950, ce cimetière est supprimé et les corps inhumés transférés dans un cimetière national[17]. Le village a environ quarante hommes mobilisés parmi ses habitants, et plusieurs d’entre eux passent plusieurs années derrière les barbelés. Certains sont morts sur le champ de bataille ou en déportation[18].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1792 François Ninet
    1792 1809 Chantraine
    1913 1919 Eusèbe Diancourt
    1919 1938 Ernest Laurent
    1938 1944 Albert Renard
    1944 1981 Marcel Tellier
    1981 2001 Georges Desruelle
    2001 2008 Patrick Nourtier
    2008 juillet 2020 André Fréal[19]
    2020 En cours Éric Guirsch[20]
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le lieu est considéré à la limite du Rethélois et du Porcien. Cette contrée (Le Porcien) tire son nom (Portus, Portien puis Porcien) d'un port établi là où la voie romaine de Reims à Cologne franchissait l'Aisne[21].

    Sous l'Ancien Régime, Sévigny-Waleppe fait partie de la généralité de Châlons[22]. Pour l’Église, la paroisse était rattachée au diocèse de Reims (mais elle était située à la limite de ce diocèse et du diocèse de Laon), et au doyenné de Saint-Germainmont[23].

    Lors de la révolution française et de la formation des départements, la commune est rattachée au département des Ardennes, juste à la limite de ce département des Ardennes et de celui de l'Aisne (la limite entre ces deux départements ayant été reprise pour l'essentiel de l'antique limite, tracée, selon la légende, par saint Rémi, entre le diocèse de Reims et le diocèse de Laon)[24]. Elle est chef-lieu de canton de 1790 à 1800 (ce canton comprenait les villages de Sévigny, Saint-Quentin-le-Petit, Banogne, Recouvrance, Hannogne, et Seraincourt) puis est rattachée au canton de Château-Porcien en 1800.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2020, la commune comptait 223 habitants[Note 3], en diminution de 5,91 % par rapport à 2014 (Ardennes : −3,58 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    800759817809798790821832821
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    751744750738688652633603636
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    700552586556555457481437373
    1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
    334303269257268263248237224
    2020 - - - - - - - -
    223--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Sévigny-Waleppe ne dispose plus d'établissement scolaire. Des écoles maternelles se trouvent dans diverses communes, environnantes, comme Hannogne-Saint-Rémy à 4 km. Même chose pour l'école primaire. Un collège est situé notamment à Asfeld[29]. Des lycées, dont un lycée agricole, sont situés à Rethel.

    Économie

    • Des moulins à vent ont existé à Sévigny et Waleppe. Un des plus connus est l'ancien moulin banal créé en 1572, vendu comme bien national à la révolution française et acquis par la famille Yverneau. Il est exploité jusqu'en 1912. Il est brûlé par les Allemands pendant la Première Guerre mondiale, et reste ensuite en ruine[30].
    • Dans les années 2000 et 2010, des parcs éoliens ont été implantés (Parc éolien Sévigny-Waleppe Sud et parc éolien Sévigny-Waleppe Nord). D'autres sont en projet[31].
    • Les activités dans la commune sont essentiellement agricoles. Le nombre de commerces ou d'artisans est limité (une boulangerie, un salon de coiffure, , etc.). Une maison d'hôte propose quelques chambres[32] - [33] - [34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Leu à Sévigny-Waleppe
    Église de Sevigny-Waleppe.
    Porte du moulin

    Une porte du moulin Yverneau provenait de la tour du château de Nizy-Lecomte dans l'Aisne et datait du XIIIe siècle. Elle est classée en 1908.

    Château

    Le premier château datait de 1391, un second fut construit de 1573 à 1606, et enfin le château actuel fut érigé en 1690 comme le rappelle une mention sur une pierre[35].

    Il comporte un corps de logis avec étage, surmonté d'un haut comble de toiture en ardoises avec épis, décoré d'un fronton de 1904. La tour à pans du nord fut bâtie en 1880. Sur la gauche, on aperçoit une ancienne tourelle d'angle avec corniche à modillons. Les deux côtés du château sont composés d'ailes sans étage. C'est du côté droit que se trouvait la chapelle castrale citée dès 1451 et jusqu'en 1706, sous l'invocation de Notre-Dame de Champfort. Quelques rares parties du château sont antérieures à 1690. Plusieurs salles furent décorées par le peintre Jacques Wilbault, mais il n'en reste que des fragments. L'église fortifiée et le château forment un ensemble agréable[35].

    Personnalités liées à la commune

    D'après Octave Guelliot, d'autres chirurgiens, les Jupin, ont donné également une certaine notoriété à Sévigny-Waleppe au XVIIIe siècle[36]

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, , 708 p. (ISBN 2-600-02883-8, lire en ligne), p. 588.
    9. Charles Samaran, L'Histoire et ses méthodes, Gallimard, (lire en ligne)
    10. Pascal Sabourin, Entre Romania et Francia, les Ardennes aux Ve – VIe siècles, Charleville-Mézières, Terres Ardennaises, , 96 p. (ISBN 2-905339-48-9), p. 16, 63
    11. Abbé Lannois, « Le cimetière antique de Waleppe », Revue Historique Ardennaise, no 3,‎ , p. 222-223
    12. Michel Tamine, « Quelques toponymes et microtoponymes liés à la désignation des zones boisées dans les Ardennes », Nouvelle revue d'onomastique, nos 9-10,‎ , p. 5-11 (DOI 10.3406/onoma.1987.957, lire en ligne)
    13. Jean Froissart, Chroniques de J. Froissart : 1356-1360, vol. 5, Ve. J. Renouard,, (lire en ligne), p. XLVII (note 3)
    14. Jean Taté, Chronique de Jean Taté, greffier de l'hôtel-de-ville de Château-Porcien (1677-1748), (lire en ligne), p. 34
    15. Jean-Marie Gérard, Églises fortifiées, moulins, fermes, maisons... châteaux... de Thiérache : de l'Aisne, des Ardennes, de l'Avesnois et de la botte du Hainaut belge, autoédition, , 83 p., p. 61
    16. Morts pendant la première guerre
    17. Gérald Dardart, Les Ardennes dans la guerre, 1939-1945, De Borée, , p. 400
    18. Mort sur le champ de bataille
    19. « Élections Sévigny-Waleppe (08220), tous les résultats des élections municipales de mars 2020 », L’Ardennais
    20. « Mairie de Sévigny-Waleppe », sur L'Internaute
    21. Octave Guelliot, Géographie traditionnelle et populaire du département des Ardennes, Librairie Emile Nourry, , 410 p., p. 144
    22. Hubert Collin, Guide des Archives des Ardennes, Archives départementales des Ardennes, , p. 38-39
    23. Patrick Demouy, Genèse d’une cathédrale. Les archevêques de Reims et leur église aux XIe et XIIe siècles, Dominique Guéniot, , p. 184-185
    24. Raymond Hardy, « La formation du département », dans Gérard Gayot (dir.), Révolution en Ardenne, de l'Argonne au Namurois, Terres Ardennaises, , 319 p., p. 131-146
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    29. « Écoles à Sévigny-Waleppe (08220) », sur Journal des Femmes (consulté le )
    30. Marie-France Barbe, Sylvie Laverdine et Françoise Parizel, Moulins des Ardennes par monts et par vaux, Charleville-Mézières, Éditions Terres Ardennaises, , 232 p. (ISBN 978-2-905339-90-4 et 2-905339-90-X), p. 17
    31. « Avis délibéré sur le projet d’exploitation : Parc éolien de Sévigny-Waleppe, à Sévigny-Waleppe (08), de la société « SEPE DE SEVIGNY » », sur Mission régionale d'autorité environnementale Grand-Est
    32. « Entreprises à Sévigny-Waleppe (08220) », sur Le Figaro
    33. « Sévigny-Waleppe - Vivre et s'installer », sur eterritoire.fr
    34. « Dossier complet. Commune de Sévigny-Waleppe (08418) », sur Insee
    35. Philippe Seydoux, Gentilhommières et maisons fortes en Champagne : Marne et Ardennes, t. I, Paris, éditions de la morande, , 320 p. (ISBN 2-902091-30-3), « Sévigny-Waleppe », p. 115-116
    36. Octave Guelliot, Géographie traditionnelle et populaire du département des Ardennes, Librairie Emile Nourry, , 410 p. (lire en ligne), p. 367

    Voir aussi

    Liens externes

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