Asfeld
Asfeld [asfɛld] est une commune française située dans le département des Ardennes, en région Grand Est. Il s'agit du chef-lieu du canton d'Asfeld. Asfeld a intégré l'ancienne commune de Juzancourt en 1971. L'illustre famille Bidal d'Asfeld, éteinte en 1793, porte son nom.
Asfeld | |
Au premier plan, la mairie, et au second plan, l'église Saint-Didier. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Ardennes |
Arrondissement | Rethel |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Rethélois |
Maire Mandat |
Aline Beaujard 2020-2026 |
Code postal | 08190 |
Code commune | 08024 |
Démographie | |
Gentilé | Asfeldois |
Population municipale |
1 079 hab. (2020 ) |
Densité | 49 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 28′ 11″ nord, 4° 07′ 09″ est |
Altitude | Min. 60 m Max. 118 m |
Superficie | 22,19 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Reims (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Château-Porcien |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
Géographie
Asfeld est située sur l'Aisne et le canal des Ardennes, dans le sud-ouest du département des Ardennes, au sein d'une région naturelle nommée le Porcien. La commune fait partie de l'aire urbaine de Reims.
Communes limitrophes
Urbanisme
Typologie
Asfeld est une commune rurale[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2] - [3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4] - [5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,2 %), prairies (13,6 %), forêts (6,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones urbanisées (3 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Erchreco villa en 727[8].
Cette forme a abouti à Ecri[9], ancien nom de la paroisse, dont Écry représente la graphie modernisée. Ensuite elle change plusieurs fois de nom dans des périodes plus récentes. Elle est renommée Avaux-la-Ville en l'honneur du comte d'Avaux, en 1671[8]. Puis Asfeld en 1730, lorsque le comté est transformée en marquisat, en l'honneur du premier marquis d'Asfeld[8], qui a acheté ce comté d'Avaux. Asfeld est une transcription d’Astfeld près de Goslar[9] en Allemagne, ou d'Harsefeld le père de ce marquis d'Asfeld étant seigneur d’Harsefeld[10]. Cette ville d'Harsefeld est jumelée au XXe siècle avec Asfeld[10]. Durant la Révolution française, la ville est à nouveau rebaptisée pour tenter de faire oublier cet aristocrate, marquis d'Asfeld, peu populaire dans son marquisat. La commune devient ainsi en 1794 Escry-le-Franc[11] (mesure symbolique, pendant la terreur), puis redevient Asfeld lors de la terreur blanche. Moins d'une trentaine de localités ont changé de nom en Ardennes pendant la période révolutionnaire pour cinq cents dans le département voisin de l'Aisne[11].
Histoire
Un point fortifié au bord de l'Aisne
Appelé jadis Écry, les Vikings y furent battus en 883.
Au Moyen Âge, les seigneurs d'Escry y bâtissent une demeure fortifiée. Passé à la famille de Grandpré puis aux Bossut, ce château subit de nombreux assauts. En 1199, Thibault III y organisait un grand tournoi qui servait de cadre a l'organisation de la Quatrième croisade. En 1359, il est saccagé par les troupes d'Édouard III d'Angleterre, chevauchant de Calais à Reims, puis par les Bourguignons vers 1425.
En 1625, il est à nouveau attaqué par Charles IV de Lorraine profitant de la Fronde pour piller la Champagne et menacer l'Île-de-France.
En 1671, Jean-Jacques de Mesmes, comte d'Avaux, achète, pour compléter ses terres, ce fief d'Ecry dévasté par ces invasions successives. La principale ville, Ecry, est désormais nommée Avaux-la-Ville.
D'Avaux-la-Ville à Asfeld
Jean-Jacques de Mesmes stimule l'économie locale par l'instauration d'un marché hebdomadaire et de deux foires annuelles. Il fait renforcer et agrandir le château et y réside.
En 1680, il décide de la construction d'une nouvelle église, l'église existante étant particulièrement en mauvais état. Cette construction s'inscrit dans un plan d'ensemble aux abords du château[12]. Le nouvel édifice religieux est béni le 15 juin 1685.
Le 20 mars 1728, Claude François Bidal d'Asfeld achète le comté d'Avaux, formé d'Avaux-le-Château, Avaux-la-Ville, Aire, Vieux et Vauboison, il est chevalier d'Asfeld puis baron d'Asfeld. En 1730, cette seigneurie est érigée en marquisat. Avaux-la-Ville qui s'était appelée Ecry jusqu'en 1671, change à nouveau de nom et prend son nom actuel : Asfeld.
Claude François Bidal d'Asfeld est lieutenant-général des armées du Roi et directeur général des fortifications, succédant dans cette fonction à Vauban. Puis il est nommé maréchal de France en 1734, et gouverneur de Strasbourg.
À la même époque, un Rémois, Nicolas Bidet, viticulteur et auteur d'un traité botanique sur la nature et la culture du vin, devient seigneur de Juzancourt, à proximité d'Asfeld.
Révolutions et bouleversements politiques
Le fils de Claude François Bidal d'Asfeld, Claude Etienne, second marquis d'Asfeld, réside essentiellement à Paris mais a des relations dures avec les habitants d'Asfeld. La Révolution de 1789 accentue encore les contestations.
Les portes du château sont forcées le 13 juin 1790. Le marquis d'Asfeld fait condamner les meneurs. Mais le 25 août 1792, apprenant la chute de la monarchie, des émeutiers pénètrent à nouveau dans la propriété du marquis et brûlent symboliquement le chartier[12]. Le marquis préfère émigrer à Aix-la-Chapelle, à la suite de la Révolution française. Ses biens sont saisis et vendus comme biens nationaux. Le château est démoli les années suivantes. L'église est épargnée.
Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom d’Écry-le-Franc ou d’Escry-le-Franc[13].
En 1814, lors de la campagne de France, la région de Berry-au-Bac à Asfeld est le théâtre de combats entre le feld-maréchal Blücher, le duc de Raguse et le général Ricard[14].
En février 1848, un enfant d'Asfeld, brillant scientifique, Jean-Baptiste Payer, participe aux événements révolutionnaires de Paris, devient chef de cabinet de Lamartine puis, bénéficiant d'une popularité naissante dans sa région d'origine, se fait élire député des Ardennes dans cette Deuxième République bien éphémère.
À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, la construction de voies ferrées est favorisée par le trafic marchandises, grâce notamment à l'industrie betteravière. Sous l'impulsion des frères Jules et Désiré Linard, celle-ci se développe avec dynamisme et crée une possibilité de diversification complémentaire pour les agriculteurs.
Conflits du XXe siècle
Pendant toute la guerre de 1914-1918, la localité reste proche des zones de combats, jusqu'aux derniers jours[15], et subit de nombreux dégâts. En 1940, après la percée de Sedan en mai, c'est à nouveau sur l'Aisne et en particulier à Asfeld que tente de s'organiser début juin une ligne de défense face à l'invasion allemande, sans grand succès. Dans les années qui suivront, des mouvements de résistance émergeront, tels les FTP.
- Monument aux morts.
- Le cimetière allemand d'Asfeld.
- Plaque commémorative du cimetière allemand.
Politique et administration
Asfeld a intégré l'ancienne commune de Juzancourt en 1971[16].
Élections locales
Jean-Marc Briois, maire depuis 2001, ne s'est pas représenté en 2020 et c'est une de ses adjointes, Aline Beaujard, qui a constitué une liste municipale et a été élue sur ce mandat de premier édile[17] - [18].
Liste des maires
Instances administratives et judiciaires
Un groupe de secours et une gendarmerie sont implantés à Asfeld.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].
En 2020, la commune comptait 1 079 habitants[Note 3], en diminution de 3,49 % par rapport à 2014 (Ardennes : −3,58 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Santé
D'après le site de la mairie en 2020, la commune comporte un cabinet médical, un cabinet de masseurs-kinésithérapeute, une pharmacie, deux cabinets d'infirmières, une sage-femme, et divers spécialistes, notamment : dentiste-chirurgienne, orthophoniste, pédicure-podologue, diététicienne, sophrologue, ostéopathe[24].
Enseignement
La commune dispose de deux établissements scolaires. D'une part, d'un établissement public primaire, situé 1 rue de la Barre, couvrant les besoins de scolarité en maternelle et cours élémentaires. Elle dispose d'autre part d'un collège, le collège Jean-Baptiste-Payer. Il accueille les élèves d'Asfeld et de plusieurs communes voisines (Château-Porcien, Saint-Germainmont, Vieux-lès-Asfeld, Balham, Avaux, etc.)[25] - [26]. Les lycées les plus proches sont à Rethel, dont un lycée agricole[26].
Économie
Asfeld, commune rurale un peu plus importante que les localités voisines, a été retenue pour l'implantation de commerces et entreprises. Il s'agit par exemple de quelques entreprises du bâtiment, d'un magasin de vente de matériel agricole (établissement Maréchalle, immatriculé au registre du commerce en 1954), de quelques commerces alimentaires et de restauration (boulangerie, pizzéria...), ainsi que d'un supermarché Carrefour Contact sur la route allant vers Vieux-les-Asfeld, un magasin de moyenne surface (exploité par la SARL Bugnicourt Filles immatriculée au registre du commerce en 2005)[27].
L'activité agricole reste significative. L'arrêt dans les années 2000 de la sucrerie implantée dans la commune limitrophe de Saint-Germainmont est cependant le signe de l’essoufflement de la filière betteravière, dans ce domaine, une filière qui avait été particulièrement dynamique dans la deuxième partie du XIXe siècle et au XXe siècle[28].
L'activité de minoterie, qui s'est développée sur place dès le XVIe siècle, avec notamment la famille Payer parmi les meuniers les plus connus, se termine au XXe siècle, après la Seconde Guerre mondiale[29] - [30]. Autre activité agro-alimentaire, les Fromageries d'Asfeld ferment au début des années 1970[31].
Concernant le revenu fiscal des habitants, il était en moyenne en 2010, par foyer dans la commune, de 21 839 € pour une moyenne nationale de 23 782 €[32].
Sports
Football
Asfeld possède un club de football, l'Amicale sportive d'Asfeld. Fondé en 1953, il évolue en Régional 2 pour la saison 2021/2022 après avoir évolué en régional 1 entre 2018/2020.
Culture locale et patrimoine
- Asfeld est une étape de la route du Porcien.
Lieux et monuments
Les principaux monuments sont :
- L'église Saint-Didier, édifiée au XVIIe siècle, classée Monument historique en 1913[33].
- La chapelle Notre-Dame-de-Pitié, rue de la Barre.
- L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul à Juzancourt.
L'entrée du château d'Asfeld est forcée durant la Révolution française. Le château est vendu comme bien national après l'émigration du marquis d'Asfeld, puis démoli. Quelques bâtiments subsistent en face de l'église Saint-Didier[34].
De même, les deux châteaux de Juzancourt, le château d'En Haut et le château d'En bas, ont été vendus à des agriculteurs locaux au cours du XIXe siècle. Ils ont été détruits définitivement durant la Première Guerre mondiale. Des lieux-dits subsistent[35].
Personnalités liées à la commune
- Jean-Jacques de Mesmes, comte d'Avaux (1640-1688), magistrat et érudit français, protecteur des lettres. Il stimule l'activité économique du village, renforce et agrandit le château, fait construire l'église Saint-Didier d'Asfeld.
- Famille Bidal d'Asfeld
- Jean-Baptiste Payer (1818-1860), botaniste français né à Asfeld. Le collège de la commune porte son nom.
Héraldique
Blason | Écartelé : au 1er et au 4e de gueules à la bande cousue d'azur chargée de trois couronnes d'or et accompagnée de deux palmes du même, au 2e et au 3e d'azur au lion naissant d'argent couronné du même, celui du 3e contourné, sur le tout d'or aux quatre pals de gueules, le petit écu timbré d'une couronne ducale d'or au cimier d'un griffon issant du même. |
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Détails | Création Paul Laurent, 1904. |
Décorations françaises
Croix de guerre 1914-1918 : 17 septembre 1921
Voir aussi
Bibliographie
Histoire de la Ville d'Asfeld par Gilberte Tramuset, édition Société d'Études Ardennaises, 1980.
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 31b
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, erratum et addenda, Librairie Droz, Genève, 1998, p. 1741, n° 31096
- Gilberte Tramuset, Histoire de la Ville d'Asfeld, édition Société d'Études Ardennaises, , p. 42
- Michel Tamine, « Changer le nom des villes et des villages », dans Gérard Gayot (dir.), Révolution en Ardenne, de l'Argonne au Namurois, Terres ardennaises, , p. 107-127
- Philippe Seydoux, Gentilhommières et Maisons fortes en Champagne : Marne et Ardennes, t. 1, Paris, Éditions de La Morande, , 320 p. (ISBN 978-2-902091-30-0, BNF 36176603), p. 94-97 et Plan du Chasteau d'Avaux-la-Ville p.95
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Jean Baptiste Frédéric Koch, Mémoires pour servir à l'histoire de la campagne de 1814,, volume 2, Paris, 1819 - Ouvrage en ligne
- Joseph Prudhon, Journal d'un soldat 1914-1918: Recueil des misères de la Grande Guerre, L'Harmattan, 2010, (ISBN 978-2-296-12855-2) Ouvrage en ligne
- « Fusions de communes », Le Monde,‎ (lire en ligne)
- « Jean-Marc Briois laisse la mairie d’Asfeld », L'Ardennais,‎ (lire en ligne)
- « Asfeld », sur Le Monde
- Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1877, p234.
- « omité de jumelage Asfeld/Harsefeld », sur asfeldjuzancourt.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Asfeld. Santé », sur Municipalité d'Asfeld-Juzancourt (consulté le )
- « Établissements d'Asfeld », sur Site du Ministère de l'éducation nationale
- « Ecoles à Asfeld (08190) »
- « Entreprises à Asfeld (08190) », sur Le Figaro
- Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 p. (ISBN 978-2-87825-458-7, lire en ligne), « Sucrerie Linard, puis Société Sucrière de Saint-Germainmont, puis usine de produits agro-alimentaires Ardennes Chicorée », p. 212-213
- Maya Bennani, Bruno Decrock, François Griot et Julien Marasi, Patrimoine industriel des Ardennes, Langres, Éditions Dominique Guéniot, , 288 p. (ISBN 978-2-87825-458-7, lire en ligne), « Moulin à farine dit moulin Arlot, actuellement maison », p. 37-38
- Marie-France Barbe, Sylvie Laverdine et Françoise Parizel, Moulins des Ardennes par monts et par vaux, Éditions Terres Ardennaises, (ISBN 2-905339-90-X), p. 47-78-84
- Pol Chaumette, « Les syndicats ardennais soulignent que les promesses des pouvoirs publics n'ont pu été tenues », Le Monde,‎ (lire en ligne)
- « Ardennes :Asfeld », sur Libération
- Notice no PA00078333, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Philippe Seydoux, Gentilhommières et Maisons fortes en Champagne : Marne et Ardennes, t. 1, Paris, Éditions de La Morande, , 320 p. (ISBN 2-902091-30-3), « Asfeld », p. 94-97
- Philippe Seydoux, Gentilhommières et Maisons fortes en Champagne : Marne et Ardennes, t. 1, Paris, Éditions de La Morande, , 320 p. (ISBN 2-902091-30-3), « Juzancourt », p. 104