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Roberto Fabbriciani

Roberto Fabbriciani (Arezzo, ) est un flûtiste et compositeur italien.

Roberto Fabbriciani
Roberto Fabbriciani, avec l'instrument qu'il a inventé et conçu : la flûte hyperbasse.
Biographie
Naissance
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Compositeur, flûtiste
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Biographie

Roberto Fabbriciani commence ses Ă©tudes musicales dès 1957, sous la direction de Mario Gordigiani, un grand hĂ©ritier de la tradition de la flĂ»te italienne et première flĂ»te de l'Orchestre du Maggio Musicale Fiorentino. En 1964, il est l'Ă©lève de Severino Gazzelloni, le pionnier de la flĂ»te contemporaine en Italie, et entre-eux commence amitiĂ© et collaboration artistique. Fabbriciani devient assistant Gazzelloni Ă  l'AcadĂ©mie Chigiana de Sienne et le plus jeune fait partie de l'Orchestre du Maggio Musicale Fiorentino et l'Orchestre de La Scala de Milan.

Au dĂ©but des annĂ©es 1970, il entre en relation avec certains des plus grands compositeurs de l'avant-garde de la musique, notamment Bruno Maderna, Luigi Nono[1], Salvatore Sciarrino[2] et Brian Ferneyhough[3] - [4].

Il commence une carrière de soliste, travaillant avec de grands compositeurs tels que : Camillo Togni â€“ avec qui il Ă©tudie la composition – Luciano Berio, Pierre Boulez, Sylvano Bussotti, John Cage, Elliott Carter, Luigi Dallapiccola, Luis de Pablo, Franco Donatoni, Brian Ferneyhough, Lorenzo Ferrero, Jean Françaix, Ernst Krenek, György Kurtág, György Ligeti, Bruno Maderna, Olivier Messiaen, Ennio Morricone, Goffredo Petrassi, Henri Pousseur, Wolfgang Rihm, Nino Rota, Salvatore Sciarrino, Karlheinz Stockhausen, Toru Takemitsu et Isang Yun[5].

Beaucoup de compositeurs lui ont dĂ©diĂ© des Ĺ“uvres et d'autres font usage de ses talents d'interprète pour approfondir la recherche musicale des compositions. Important Ă©tait la collaboration avec le compositeur Aldo Clementi, qui a consacrĂ© une chanson Ă  Fabbriciani, Fantasia su roBErto FABbriCiAni (1980) pour flĂ»te seule et pour flĂ»te et bande magnĂ©tique. « Fantasia su roBErto FABbriCiAni est une pièce construite pour flĂ»te seule Ă  base de flĂ»tes prĂ©-enregistrĂ©es ; elle prĂ©sente une grande superposition de sons qui forment une forĂŞt de notes, oĂą la flĂ»te en direct est rien, mais une petite plante qui essaie de prendre la lumière, en essayant de ne pas ĂŞtre Ă©touffĂ©, mais d'ĂŞtre entendu », explique Roberto Fabbriciani.

Il a jouĂ© en tant que soliste avec des chefs, tels Claudio Abbado, Luciano Berio, Riccardo Chailly, Peter Eötvös, Gianandrea Gavazzeni, Michael Gielen, CristĂłbal Halffter, Peter Maag, Bruno Maderna, Riccardo Muti, Giuseppe Sinopoli, Lothar Zagrosek et avec les orchestres du Théâtre de la Scala Ă  Milan, de l'AcadĂ©mie nationale Sainte-CĂ©cile, de la RAI, de l'Orchestre national d'Espagne, avec le London Sinfonietta et de nombreux autres.

Il a donnĂ© des concerts au Théâtre de la Scala, Ă  la Philharmonie de Berlin, au Royal Festival Hall de Londres, la Suntory Hall de Tokyo, la salle TchaĂŻkovski de Moscou et Carnegie Hall de New York et il a participĂ© Ă  plusieurs festivals internationaux.

Fabbriciani a collaborĂ© de manière particulièrement intense avec le compositeur Luigi Nono[6] - [7]. CommencĂ©e vers 1978, elle ne s'est interrompue qu'en 1990, avec la mort du compositeur italien. Les deux musiciens ont travaillĂ© ensemble pendant une longue pĂ©riode au studio expĂ©rimental de la SWF Ă  Fribourg[5].

Leur collaboration conduit Ă  la crĂ©ation de plusieurs Ĺ“uvres, notamment Prometeo, Tragedia dell'ascolto (1984)[8], pour solistes vocaux et instrumentaux, chĹ“ur mixte, 4 groupes instrumentaux (dont la flĂ»te basse) et Ă©lectronique. La crĂ©ation de l'ouvrage a lieu lors de la biennale de Venise en 1984. Une seconde version a Ă©tĂ© produite au Théâtre de la Scala, Ă  Milan en 1985. D'autres pièces sont Ă  retenir, telles : A Pierre. Dell'azzurro silenzio, inquietum (1985)[9], composition dĂ©diĂ©e Ă  Pierre Boulez pour flĂ»te contrebasse, clarinette contrebasse et Ă©lectronique, Das atmende Klarsein (1981)[10], pour petit chĹ“ur, flĂ»te basse, Ă©lectronique et bande magnĂ©tique, sur des textes de Rainer Maria Rilke, Quando stanno morendo. Diario polacco II (1982) pour voix de femmes, flĂ»te, violoncelle et Ă©lectronique inspirĂ© par l'ancienne lamentation orphique, adaptĂ©e par Massimo Cacciari et la composition Caminantes...Ayacucho (1986-87) pour mezzo-soprano, flĂ»te basse, orgue, 2 chĹ“urs, trois groupes d'orchestre et Ă©lectronique, sur un texte de Giordano Bruno.

Roberto Fabbriciani a montrĂ© dès le dĂ©but de sa carrière, un intĂ©rĂŞt particulier pour l'usage de l'Ă©lectronique qui l'ont conduit Ă  l'avant-garde et Ă  des expĂ©riences d'avant-garde, comme dans le cas de la pièce prĂ©citĂ©e, A Pierre. Dell'azzurro silenzio, inquietum, ou plusieurs Ĺ“uvres originales, par exemple Quando sorge il sole, pour flĂ»te et bande magnĂ©tique ; Abyss pour flĂ»te hyperbasse, capture de mouvement et Ă©lectronique ; Zeus joueur de flĂ»tes (2006-08), pour flĂ»te, bande magnĂ©tique, Ă©lectronique composĂ© conjointement avec Henri Pousseur.

Flûte hyperbasse

La flĂ»te hyperbasse, conçue dès 1976[11] par Fabbriciani, est le plus grand instrument de registre grave de la famille des flĂ»tes[11]. Elle sonne en do, quatre octaves en dessous de la flĂ»te traversière. Le tube de l'instrument mesure plus de 13 mètres de long[12] et la note la plus basse atteinte est le do, une octave en dessous du do le plus grave du clavier du piano standard, autour de 16,351 6 Hz[11], soit gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ© comme la limite infĂ©rieure de l'audition humaine. Seuls les instruments suivants, le piano Bösendorfer modèle 290, dit ImpĂ©rial, qui dispose de 97 touches, soit 8 octaves complètes, l'octobasse qui joue Ă  l'octave infĂ©rieure de la contrebasse, ou l'orgue, avec un jeu de 32', atteignent cette mĂŞme frĂ©quence. L'unique exemplaire de flĂ»te hyperbasse est un prototype conçu pour Fabbriciani, par Francesco Romei, un artisan florentin en 2001[11].

En 2005, Fabbriciani a enregistrĂ© un disque de musique pour flĂ»te hyperbasse intitulĂ©, Glaciers in Extinction.

Le s'est tenue la première d'un concert, « Suono sommerso »[13], avec Roberto Fabbriciani Ă  la flĂ»te hyperbasse[14] et Ă  la direction du son, Alvise Vidolin. Les sons produits par l'instrument ont Ă©tĂ© filtrĂ©s et dĂ©composĂ©s par un logiciel dĂ©diĂ© et innovant crĂ©Ă© par le laboratoire SaMPL (Sound and Music Processing Lab) de Padoue, dans le cadre d'un projet du Conservatoire Cesare Pollini dĂ©veloppĂ©s en collaboration avec l'UniversitĂ© de Padoue[15].

« L'objectif – explique Roberto Fabbriciani est d'apporter l'art musical à un large public. L'aspect technologique est au service d'un nouveau pas en avant, mais ce n'est pas parce que vous avez de nouveaux outils, mais parce que des idées musicales innovantes peuvent s'exprimer avec ces ressources[16]. »

Créations

  • Aldo Clementi, Fantasia su roBErto FABbriCiAni (1980/81) ; Passacaglia (1996), pour flĂ»te et bande
  • Franco Donatoni, Midi (1989) pour flĂ»te
  • Roberto Fabbriciani, Ascoltate stelle (2007) pour flĂ»te hyperbasse et bande
  • Morton Feldman, Flute and Orchestra (1999) CrĂ©ation italienne[17]
  • Brian Ferneyhough, Superscriptio (1981) pour piccolo[18]
  • Lorenzo Ferrero, Ellipse (1983) pour flĂ»te
  • Toshio Hosokawa, Vertical Song I (1995) pour flĂ»te
  • Ennio Morricone, Cadenza (1989) pour flĂ»te et bande
  • Luigi Nono, Das atmende Klarsein (1981) pour flĂ»te basse et bande (livret de Massimo Cacciari) ; A Pierre. Dell’azzuro silenzio, inquietum, pour flĂ»te basse, clarinette contrebasse et Ă©lectronique (1985)[19]
  • Goffredo Petrassi, Romanzetta (1980) pour flĂ»te et piano
  • Wolfgang Rihm, Zeichen I – Doubles (1981). Pour flĂ»te basse (et piccolo), clarinette-basse (et clarinette en mi-bĂ©mol) et 2 groupes d'orchestre
  • Jean-Claude Risset, Passages (1982), pour flĂ»te et bande[20]
  • Salvatore Sciarrino, Hermes (1984) ; Canzona di ringraziamento (1985) pour flĂ»te[21]
  • Rudi Spring, Risonanze (2005) pour flĂ»te
  • Mauricio Sotelo, Appassionato – en un silencio ardente (2002) pour flĂ»te et ensemble
  • Isang Yun, Sori (1988) pour flĂ»te[22]

DĂ©dicaces

De nombreuses pièces, notamment de Nono et Sciarrino sont dédiées à Roberto Fabbriciani[23].

  • Sciarrino (pour flĂ»te seule) :
    • All’aure in una lontananza (1977)[24]
    • Hermes (1984)
    • Come vengono prodotti gli incantesimi ? (1985)[25]
    • Venere che le Grazie la fioriscono (1989)[26]
    • L’orizzonte luminoso di Aton (1989)[26]
    • Fra i testi dedicati alle nubi (1989)[27]
    • Addio case del vento (1993)[28]

Écrits

Discographie

Roberto Fabbriciani a enregistré pour les labels Arts Music, Brilliant Classics, Col Legno, Édition Rz, Innova, Kairos, Mode, Naxos, Neos, Stradivarius et Tactus.

  • Le meraviglie d'Italia - Christine Rinaldo, piano (1976, LP Fonit Cetra ITL 70043) (OCLC 21853299)
  • Sonetti ad Orfeo (1977, Ricordi)
  • Fantasia su Roberto Fabbriciani (1980, LP Philips 411 066-1) (OCLC 29459923)
  • Variations (1980, Philips)
  • Sylvano Bussotti : Il Catalogo è Questo (1980, Fonit Cetra)
  • Silberglöckchen Zauberflöten (1981, Edipan)
  • Vivaldi/Rousseau, J.S. Bach, CPE Bach, Quantz (1981, Philips)
  • Jean-SĂ©bastien Bach : 7 sonates pour flĂ»te (1982, Koch)
  • Antonio Vivaldi : 6 Concertos Op.10 (1983, Koch)
  • Luigi Nono : Das atmende Klarsein (1983, Fonit Cetra)
  • Bruno Maderna : Grande Aulodia (1983, Bvhaast)
  • Fabbriciani, Guaccero, Renosto (1984, Edipan)
  • Flute XX : Debussy, Ibert, Varèse, Maderna, Berio, Nono, Ferneyhough, Sciarrino (janvier/, , Arts 447167-2) (OCLC 889811088)
  • Bruno Maderna : Ausstrahlung (1987, Col Legno)
  • Antonio Vivaldi : 6 Sonates op. 13 « Il Pastor Fido » (1987, Koch)
  • Georg Philipp Telemann : Getreue Music-Meister (1987, Arts)
  • La perfezione di uno spirito sottile (1987, Ricordi)
  • Giacomo Manzoni : Dedica (1988, Fonit Cetra)
  • Carl Maria von Weber : 6 Sonates (1990, Arts)
  • Lockenhaus Collection (1990, Philips)
  • John Cage : A Firenze (concert Ă  Florence 1992, Materiali Sonori)
  • Salvatore Sciarrino : Fabbrica degli incantesimi (1992, Col Legno WWE 1CD 31884)[29]
  • Toshio Hosokawa : Ĺ’uvres (1995, Fontec)
  • Das atmende Klarsein (1997, AgorĂ )
  • Piccolo XX (1999, Arts)
  • Astor Piazzolla : Histoire du Tango (1999, Arts)
  • Ennio Morricone : La musica, il cinema (1999, Koch Schwann)
  • XX Live Dream Flute (1999, 2CD Atopos ATP 003/4)
  • Live in Japan (2000, Hyperprism)
  • Luigi Nono : Io, frammento da Prometeo; Das atmende Klarsein (2001, Col Legno)
  • Giacinto Scelsi : Hyxos (18-, "Giacinto Scelsi collection, Vol. 1" AgorĂ ) (OCLC 47123807)
  • The Aforesaid (2001, Col legno)
  • Nicola Sani : Elements (1996/2002, Stradivarius STR 33766) (OCLC 168659745)
  • Piotr Ilitch TchaĂŻkovski (2003, Arts)
  • Cesare Ciardi : Gran Concerto - Orchestra Sinfonica del Friuli Venezia Giulia, dir. Stefan Fraas (, Naxos 8.557857)
  • Flute XX, Vol. 2 (2001/2002, Arts 47702-2) (OCLC 889782478)
  • Luigi Nono : Caminantes...Ayacucho (4-, Kairos 0012512KAI) (OCLC 811449916)
  • Glaciers in Extinction (, Col Legno WWE 1CD 20254)[30] (OCLC 123298904)
  • Luigi Nono : A Pierre. Dell'azzurro silenzio, inquietum (2005, Neos)
  • Bruno Maderna : Don Perlimplin (2005, Arts)
  • Aldo Clementi : Ĺ’uvres pour flĂ»te (, Mode 224) (OCLC 648940377)
  • Luigi Nono : Risonanze erranti (2006, SACD Neos)
  • Nel vento con Ariel (2007, RaiTrade)
  • Luigi Nono : Guai ai gelidi mostri ; Quando stanno morendo (2008, Neos)
  • Luca Lombardi : Mazes (11-, Neos) (OCLC 855219254)
  • Mauricio Sotelo : De Oscura Llama (2009, Anemos)
  • Nella Basilica (2009, AT)
  • Nino Rota : Ĺ’uvres pour flĂ»te (, Tactus TC911801) (OCLC 906567844)
  • The Flute in the 21st Century, Roberto Fabbriciani : Quando sorge il sole (2010, Tactus TC950601)
  • Winds of Heart (2010, Innova)
  • Giacinto Scelsi, Ĺ’uvres pour flĂ»te : Maknongan, Pwyll, Hyxos, Quays, Tetratkys, Maknongan (2010, Stradivarius) (OCLC 889352225)
  • Bruno Maderna : Ĺ’uvres pour flĂ»te (1982/2010, Mode 260) (OCLC 853795265)
  • Infinito Possibile (2011, Hyperprism)
  • John Cage : Music for an Aquatic Ballet (2011, Brilliant Classics)
  • Musica Futurista (2012, MM)
  • Luca Lombardi : Nel segno del soffio (2012, VDM/Neos 10911)
  • Alchemies (2012, Brilliant Classics)
  • Alessandro Sbordoni : Forme d'aria (2013, VDM/Neos)
  • Giorgio Gaslini : Ĺ’uvres pour flĂ»te (2013, Tactus)
  • Zeus joueur de flĂ»tes (2014, Stradivarius)

Notes et références

(it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Roberto Fabbriciani » (voir la liste des auteurs).
  1. Griffiths 2010, p. 320.
  2. (en) Paul Griffiths, Modern music and after, Oxford University Press, , 3e Ă©d., 456 p. (ISBN 978-0-19-979228-3 et 0-19-979228-3, OCLC 730941193, lire en ligne), p. 296.
  3. Griffiths 2010, p. 310.
  4. Cesari 2015, p. 136.
  5. (it) Biographie Roberto Fabbriciani sur Treccani, La Cultura Italiana.
  6. (it)Il flauto di Fabbriciani, l'elettronica di Nono: ad Angelica torna la Resistenza illuminata (25 novembre 2015) sur bologna.repubblica.it
  7. (en) Friedemann Sallis, Music Sketches, Cambridge University Press, coll. « Cambridge introductions to music », , 279 p. (ISBN 978-0-521-86648-4 et 0-521-86648-0, OCLC 886880566, lire en ligne), p. 39.
  8. À la recherche des temps nouveaux article de Jurg Stenzl, sur la création à Venise [PDF] extrait de la Revue musicale Suisse pour la recherche et la création, sur dissonance.ch
  9. Guillaume Boutard, « Derrière les potentiomètres, les musiciens de l’Experimentalstudio  : entretien avec AndrĂ© Richard », Circuit : musiques contemporaines, MontrĂ©al, vol. 23, no 2,‎ , p. 25-35 (DOI 10.7202/1018448ar, lire en ligne [PDF])
  10. L’invention de sons animés et mouvants capables d’influencer la progression d’un texte ou de le révéler. Das atmende Klarsein, Luigi Nono par Nathalie Ruget [docteur en musicologie] [PDF] (INA-GRM et Université Paris-Sorbonne, juin 2008) sur ems-network.org
  11. (en) Susan J. Maclagan, A dictionary for the modern flutist, Lanham, Scarecrow Press, , 247 p. (ISBN 978-0-8108-6711-6 et 0-8108-6711-7, OCLC 270231309), p. 92.
  12. Musica sperimentale: in prima assoluta il “Suono sommerso” del flautista Roberto Fabbriciani (10 avril 2011) sur gonews.it
  13. (en) Amalia Götzen, Nicola Bernardini et Alvise Vidolin, Musical perspectives on composition, sonification and performace p. 374 sqq sur hdl.handle.net
  14. (it) Présentation [vidéo] Suono sommerso sur YouTube et musique : [vidéo] Roberto Fabbriciani - Suono Sommerso - Flauto Iperbasso sur YouTube
  15. (it) Grande successo alla prima assoluta del concerto di Fabbriciani (12 avril 2011) sur arezzoweb.it
  16. (it) Roberto Fabbriciain prima assolutacon 'Suono sommerso’ (6 avril 2011) sur lanazione.it
  17. (en) On Morton Feldman's Flute and Orchestra by Veniero Rizzardi [PDF] sur cnvill.net
  18. Cesari 2015, p. 137.
  19. Programme du concert de l'Ensemble Intercontemporain p. 19 (21 mars 2015) [PDF] sur philharmoniedeparis.fr
  20. Présentation de l’auteur p. 21 [PDF] sur jcrisset.free.fr
  21. Cesari 2015, p. 38.
  22. (en) David Lindsey Clark, Appraisals of Original Wind Music : A Survey and Guide, Westport, Greenwood Press, coll. « Music reference collection » (no 77), , 555 p. (ISBN 0-313-30906-X, OCLC 40395524, lire en ligne), p. 30.
  23. Matteo Cesari, Déchiffrer les horloges : L’interprétation du temps dans L’orologio di Bergson deSalvatore Sciarrino et Carceri d’Invenzione IIb de Brian Ferneyhough – thèse de doctorat, Paris, Université Paris-Sorbonne, , 326 p. (lire en ligne)
  24. À l'origine pour Claudio Pestalozza.
  25. Cesari 2015, p. 35.
  26. Cesari 2015, p. 39.
  27. Cesari 2015, p. 40.
  28. Cesari 2015, p. 44.
  29. A reçu le prix de la critique comme "meilleur CD de l’année : livret du disque Atopos (ATP 003/4)
  30. Livret du disque sur col-legno.com

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