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Ramonchamp

Ramonchamp est une commune française de moyenne montagne située dans le département des Vosges en région Grand Est. Elle est située dans la Vallée de la Haute Moselle et faite partie du Massif des Vosges.

Ramonchamp
Ramonchamp
Église Saint-Remy-et-Saint-Blaise.
Blason de Ramonchamp
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Épinal
Intercommunalité Communauté de communes des Ballons des Hautes-Vosges
Maire
Mandat
André Demange
2020-2026
Code postal 88160
Code commune 88369
Démographie
Gentilé Ramoncenais(es)
Population
municipale
1 869 hab. (2020 en diminution de 7,34 % par rapport à 2014)
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 32″ nord, 6° 44′ 25″ est
Altitude 475 m
Min. 454 m
Max. 903 m
Superficie 15,74 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Le Thillot
(ville-centre)
Aire d'attraction Le Thillot
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Thillot
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Ramonchamp
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Ramonchamp
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Ramonchamp
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Ramonchamp
Liens
Site web ramonchamp.fr

    Ses habitants sont appelés les Ramoncenais .

    Géographie

    Enserrée entre Le Thillot en amont et Ferdrupt en aval, Ramonchamp occupe une portion assez réduite mais ouverte de la haute vallée de la Moselle, en effet la vallée s’élargit en direction du Thillot alors qu'elle est plus enclavée en direction de Ferdrupt. La seule route notable est la RN 66 venant de Remiremont, à 25 km au nord-ouest. Les versants trop escarpés ne sont empruntés que par des routes forestières, vers Saulxures-sur-Moselotte par le col de Morbieux (791 m) pour l'adret, vers la route des Forts qui sépare la commune de la Haute-Saône côté ubac. Ils étaient cependant cultivés naguère dans le cadre de petites exploitations familiales. De nombreuses fermes ont été transformées depuis en résidences secondaires.

    Le centre du village se trouve à 470 m d'altitude. Plusieurs sommets parsèment la commune, avec d’abord la ligne de crête sud où passe la route des forts, on y trouve le sommet de Vaudry qui culmine à 772 m où les ruisseaux de l'Etat et de Ramonchamp y prennent leur source. On trouve aussi le célèbre Grammont (719 m) à proximité de cette même ligne de crête et son petit frère la Ravanne (639 m). En face, sur la rive nord-ouest du torrent de Ramonchamp se trouvent le Haut de l'Alouette (752 m) et le Haut de la Parère (708m) dans le prolongement de l'arrête, qui marquent la limite nord-ouest avec Ferdrupt et sa vallée de Xoarupt.

    De l'autre côté de la vallée de la Moselle se trouvent les plus hauts sommets, la Tête du Géhant (848 m) et les points les plus hauts se trouvent en contre-haut du col de Morbieux, avec le Haut de l'Aireu (891 m) au nord-ouest et le Haut des Poncés (903 m) au sud-est.

    Le Haut des Pöncés est le point culminant de Ramonchamp, il marque la frontière avec le Ménil dont il domine directement le village. À proximité des deux sommets se trouvent les deux plus hauts refuges de montagne de Ramonchamp ; les Poncés (840 m) et l'Aireu (800 m)[1] - [2].

    Hydrographie

    La commune est située pour partie dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse et pour partie dans le le bassin versant de la Saône au sein du bassin Rhône-Méditerranée-Corse. Elle est drainée par la Moselle, le ruisseau du Menil, le ruisseau de Morbieu, le ruisseau de l'Etat, le ruisseau de Ramonchamp et le ruisseau du Pre Martin[3] - [Carte 1].

    La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[4].

    Le ruisseau du Menil, d'une longueur totale de 11,8 km, prend sa source dans la commune de Ménil et se jette dans la Moselle sur la commune, après avoir traversé trois communes[5].

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Ramonchamp[Note 1].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    Ramonchamp est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [6] - [7] - [8]. Elle appartient à l'unité urbaine du Thillot, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[9] et 15 256 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[10] - [11].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction du Thillot, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12] - [13].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (62,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64 %), prairies (18,1 %), zones urbanisées (10,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %)[14].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

    Histoire

    Latinisation fantaisiste en Romanici Campus (sans date) ; Ramonchamp XIe siècle. Du nom de personne germanique Radmund que le retrouve dans Ramonville, hameau de Rombas[16], suivi du bien connu champ (postposition de l'appellatif selon le mode de composition germanique).

    Ramonchamp était chef-lieu d’un ban puis du canton avant la création de la commune du Thillot.

    Le ban de Ramonchamp s'étendait à l'origine sur toute la haute vallée de la Moselle en amont de Ferdrupt. Il appartenait au bailliage de Remiremont et l'église dédiée à saint Rémi et saint Blaise était du diocèse de Saint-Dié, doyenné de Remiremont dont la cure était de la collation et au concours du chapitre de cette ville.

    Les Kyriolés. Jusqu’à la Révolution, tous les lundis de Pentecôte, huit paroisses dépendant du chapitre de Remiremont (Dommartin-lès-Remiremont, Ramonchamp, Rupt-sur-Moselle, Saint-Amé, Saint-Nabord, Saint-Étienne, Saulxures-sur-Moselotte et Vagney) envoyaient des jeunes filles qui se présentaient à l’église de Remiremont et y entonnaient des cantiques en français[17] - [18].

    C'est vers 1730 que la paroisse fut démembrée pour former deux nouvelles paroisses, celle du Ménil et celle de Fresse-sur-Moselle, puis les limites de la commune de Ramonchamp furent modifiées par le décret du portant création de la commune du Thillot et réunion à la commune de Fresse-sur-Moselle du hameau des Boudières. C'est par ce même décret que Ramonchamp perdit sa qualité de chef-lieu de canton au profit du Thillot.

    L'industrie textile s'est fixée dès 1830 dans la commune et s'est accrue après 1871 par la venue d'entrepreneurs alsaciens fuyant l'annexion allemande.

    Restée deux mois sur le front des combats, la commune a beaucoup souffert des bombardements de fin 1944.

    La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[19].

    Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le textile qui avait fait l'âge d'or de la région a connu une restructuration difficile, fermetures et modernisation à outrance entraînant une diminution draconienne de la main-d'œuvre, partiellement captée par de nouvelles industries : mécanique, plastique, transformation de métaux.

    Politique et administration

    Carte postale du village vers 1908.

    Finances locales

    En 2015, les finances communales était constituées ainsi[20] :

    • total des produits de fonctionnement : 1 843 000 â‚¬, soit 864 â‚¬ par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 1 489 000 â‚¬, soit 689 â‚¬ par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 572 000 â‚¬, soit 268 â‚¬ par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 350 000 â‚¬, soit 164 â‚¬ par habitant ;
    • endettement : 13 000 â‚¬, soit € par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 16,48 % ;
    • taxe foncière sur le bâti : 6,23 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 14,12 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 18,23 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1896 mai 1921 Iwan Imbert
    Fils de Victor-Gustave Imbert-Koechlin
    mai 1921 mai 1925 Jean-Joseph Valdenaire
    mai 1925 mai 1936 Gustave Imbert
    Fils d'Iwan Imbert
    mai 1936 mars 1945 Georges Philippe
    mars 1945 mai 1945 Paul Mura
    mai 1945 octobre 1947 Yodock Fetz (1891-1958) Maçon
    octobre 1947 novembre 1961 Henri Lambert
    novembre 1961 mars 1977 Arthur Maurice
    mars 1977 mars 1989 Marcel Jeanmougin
    mars 1989 mai 2020 François Cunat PS puis
    DVG
    Directeur administratif et financier retraité
    Conseiller général du canton du Thillot (2004 → 2011)
    Président de la CC des Mynes et Hautes-Vosges du sud (2007 → 2012)
    3e vice-président de la CC des Ballons des Hautes-Vosges
    mai 2020 En cours André Demange Responsable logistique retraité, ancien adjoint
    4e vice-président de la CC des Ballons des Hautes-Vosges (2020 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

    En 2020, la commune comptait 1 869 habitants[Note 4], en diminution de 7,34 % par rapport à 2014 (Vosges : −2,99 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    2 1732 3852 6942 5463 2003 2013 2763 1241 413
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 4401 2991 5051 5881 5701 6451 4701 8211 754
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    1 7721 6791 7901 7551 5041 3931 6041 7121 751
    1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
    2 0992 0761 9851 9121 9902 0071 9942 0171 889
    2020 - - - - - - - -
    1 869--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Rémy-et-Saint-Blaise, bâtie en 1684, son portail de style roman et son orgue[25] - [26].
    • Monument aux morts de 14-18[27] - [28].

    Personnalités liées à la commune

    • Calixte Deslon officier de cavalerie (1747-1819) connu pour sa participation à l’affaire de Varennes
    • Jean-Joseph Brice, le Géant des Vosges (2,45 m), né en 1835

    Héraldique

    Blason de Ramonchamp Blason
    Parti: au 1er d'or à la fasce de gueules chargée d'une navette de tisserand d'argent et surmontée d'une pomme de pin de sinople et soutenue d'une étoile d'azur, au 2e d'argent à l'écrevisse de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Les couleurs de la dextre, le rouge et le jaune, sont de la Lorraine et les meubles évoquent la forêt, l'industrie textile et le rayonnement passé de Ramonchamp sur la haute vallée de la Moselle. L'écrevisse de la sénestre rappelle que ce crustacé était abondant dans la rivière.

    Animations

    Mairie.
    Jumelage
    Drapeau de l'Allemagne Ober-Olm (Allemagne) depuis 1972
    Drapeau de l'Allemagne Schloßvippach (Allemagne)

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La ligne de partage des eaux entre le le bassin versant du Rhin et le bassin versant de la Saône est représentée par une ligne verte en tirets-points.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Ramonchamp » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
    2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )

    Références

    1. « PLAN RAMONCHAMP - Plan, carte et relief de Ramonchamp 88160 », sur www.cartesfrance.fr (consulté le ).
    2. « Géoportail », sur www.geoportail.gouv.fr.ignipq.local.oshimae.rie.agri (consulté le ).
    3. « Fiche communale de Ramonchamp », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le )
    4. Sandre, « la Moselle »
    5. Sandre, « le ruisseau du Menil »
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Unité urbaine 2020 du Le Thillot », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    10. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    11. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Le Thillot », sur insee.fr (consulté le ).
    13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968.
    17. J. J. Bammert, prix Erckmann-Chatrian, Les Nobles Dames de Remiremont, 620-1791, L’histoire du Chapitre des Nobles Dames de Remiremont, Remiremont, Imprimerie Lalloz-Perrin, Remiremont,
      dépôt légal n°28 ; Publication en 20 brochures, chacune contenant un chapitre : Chapitre 15 (10 pages) : Les kyriolés : En 1049, Ode I de Luxembourg étant abbesse, furent institués les Kyrioletzs ou Criaulés, dans les domaines de l’Abbaye de Remiremont
      .
    18. (en) Nicole Lemaître, Montagnes sacrées d’Europe. Actes du colloque « Religions et montagnes », Tarbes, Publications de la Sorbonne, , 427 p. (ISBN 2-85944-516-1)
      Actes du colloque "Religion et montagnes", Tarbes, 30 mai-2 juin 2002 / textes réunis et publiés par Serge Brunet, Dominique Julia et Nicole Lemaitre. Les rites des fêtes de saint Amé et de saint Romaric. pp. 114 à 119 : Les Kyriolés. Dans chaque cantique, saint Romaric est présent. Ainsi, les huit paroisses demandaient au patron de la ville d’entrer dans Remiremont. Vagney invoquait et demandait au saint de lui ouvrir ses portes en ces termes :* Criaulé, ô bienheureux saint Romary.* Criaulé, nous vous demandons vos portes ouvrir.* C’est saint Lambert qui veut entrer par sa bonté.* Et tous ceux qui sont après et prient Dieu (Kyriolés ou Cantiques qui sont chantés à l’église de Mesdames de Remiremont, op. cit). Les représentants de la commune de Saint-Nabord se présentaient et entonnaient :* Criaulé saint Pierre et saint Romary.* Priez pour ceux qui sont ici.* À Saint-Nabord donnez l’entrée, ô criaulé, ô criaulé. * En Jésus-Christ, oyez nos vœux.* Et tous les saints, et toutes les saintes, oyez nos vœux
      .
    19. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    20. « Les comptes de la commune » [archive du ], sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    25. Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 480 à 483
      Présentation de l’orgue de l’église Saint-Rémy de Ramonchamp
      .
    26. Orgue de l'église
    27. Monument aux morts de 14-18
    28. Conflits commémorés 1914-18
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