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Puits Notre-Dame

Le puits Notre-Dame (ou puits d'Éboulet) est l'un des principaux puits des houillères de Ronchamp situé au hameau d'Éboulet sur la commune de Champagney, en Haute-Saône, dans l'est de la France. Il est creusé par une compagnie concurrente, la Société des maîtres de forges possédant les mines d’Éboulet, à partir de 1851 avant d'être intégré aux houillères de Ronchamp quinze ans plus tard. Après avoir servi à l'extraction de la houille pendant un demi-siècle, il sert ensuite de puits d'exhaure (pompage des eaux de mine) jusqu’à ce qu'il soit remblayé à la fermeture des houillères en 1958.

Puits Notre-Dame
ou Puits d'Éboulet
Vue générale des installations vers 1884.
Vue générale des installations vers 1884.
Puits d'extraction
CoordonnĂ©es 47° 41′ 24″ nord, 6° 38′ 53″ est[BRGM 1]
Début du fonçage
Mise en service
Profondeur 564 mètres
Section 6,60 Ă— 2,50 mètres
Étages des accrochages 500 et 520
ArrĂŞt 1896 (extraction)
1958 (exhaure)
Remblaiement ou serrement 1958
Puits de secours et d'aérage
CoordonnĂ©es 47° 41′ 23″ nord, 6° 38′ 54″ est
Début du fonçage 1861
Mise en service 1861
Diamètre 2 mètres
Arrêt 1958 (aérage et secours)
Remblaiement ou serrement 1958
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Haute-SaĂ´ne
Commune Champagney
Caractéristiques
Compagnie SHE (1851-1866)
SHR (1866-1958)
Groupe Électricité de France
Ressources Houille

GĂ©olocalisation sur la carte : bassin minier de Ronchamp et Champagney
(Voir situation sur carte : bassin minier de Ronchamp et Champagney)
Puits Notre-Dameou Puits d'Éboulet
GĂ©olocalisation sur la carte : Haute-SaĂ´ne
(Voir situation sur carte : Haute-SaĂ´ne)
Puits Notre-Dameou Puits d'Éboulet
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
(Voir situation sur carte : Bourgogne-Franche-Comté)
Puits Notre-Dameou Puits d'Éboulet
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Puits Notre-Dameou Puits d'Éboulet

Trois cités minières, un dortoir et un réservoir d'eau potable sont construits aux alentours du puits de mine pendant l'entre-deux-guerres. Un important terril s'étend vers le nord avant d'être enlevé au début du XXIe siècle, date à laquelle ne subsistent que les deux dalles en béton matérialisant le puits et le plancher d'un ancien bâtiment.

Fonçage

Le fonçage du puits est entrepris par les houillères d’Éboulet le , il possède une section rectangulaire de 6,60 mètres par 2,50 mètres avec deux compartiments d’extraction de deux mètres sur deux mètres[1]. En 1855, le puits atteint 135 mètres de profondeur avec 31 ouvriers dont 21 mineurs, cinq manĹ“uvres, deux machinistes et deux boutefeux[2]. En 1856, le fonçage du puits est suspendu Ă  270 mètres pour ĂŞtre poursuivi par un sondage qui rencontre le terrain houiller Ă  495,54 mètres de profondeur.

Le , Ă  501 mètres de la surface, le puits traverse une couche de houille de 80 centimètres d'Ă©paisseur, ce qui ne rĂ©pond pas aux attentes de la compagnie[2]. D'après les estimations, la houille doit ĂŞtre trouvĂ©e entre 550 mètres et 600 mètres de profondeur, de plus il n'y a qu'une seule couche de houille et de faible Ă©paisseur. Les ingĂ©nieurs constatent donc que le puits Notre-Dame a rencontrĂ© un soulèvement du socle du bassin houiller[2]. Des travaux de recherches sont rapidement entrepris mais mal exĂ©cutĂ©s et mal aĂ©rĂ©s puisqu'en 1861, une explosion de grisou fait trois morts. Les recherches sont alors stoppĂ©es pour rĂ©amĂ©nager le puits et les galeries, mais surtout pour creuser un puits d'aĂ©rage[2].

En 1861, commence le fonçage d’un puits d’aĂ©rage (c’est le premier dans le bassin minier) Ă  30 mètres du puits d'extraction (deux mètres de diamètre). Un ventilateur Ă  ailettes est ensuite installĂ©[3]. Le , trois ouvriers meurent asphyxiĂ©s Ă  la suite d'une explosion inexpliquĂ©e au fond de la mine[4].

Installations de surface

Plan de masse des bâtiments du puits avec schéma des machines.
Plan des bâtiments du puits Notre-Dame :
1. puits d'extraction ;
2. puits d'aérage ;
3. machine d’extraction ;
4. chaudières ;
5. cheminée ;
6. compresseur ;
7. ventilateur ;
8. extension de 1881 ;
9. chaudières ;
10. lampisterie ;
11. « piscine » ;
V. réservoir d'air comprimé.

Lorsque le puits est rĂ©cupĂ©rĂ© par les houillères de Ronchamp, les installations, mal conçues, sont en mauvais Ă©tat. Le moteur Ă  vapeur actionnant la machine d'extraction est composĂ© d'engrenages et de deux cylindres de diamètres diffĂ©rents, l'un de 60 cm, l'autre de 70 cm, ce qui provoque une instabilitĂ© et nĂ©cessite de multiples rĂ©parations. Le chevalement en bois est vĂ©tuste et les armatures du puits se disloquent[5]. L'aĂ©rage est assurĂ© par un ventilateur Ă  aile plane ne dĂ©passant pas un dĂ©bit de m3/s, ce qui est insuffisant pour un siège d'extraction[6].

En 1867, les installations sont complètement rĂ©novĂ©es. Une nouvelle machine d'extraction Ă  traction directe de 100 ch[7] et deux cylindres de 70 cm de diamètre et deux mètres de course, accompagnĂ©e de six gĂ©nĂ©rateurs de vapeur de huit mètres de long, sont commandĂ©s Ă  la sociĂ©tĂ© A. KĹ“chlin et Cie pour ĂŞtre installĂ©s dans un mĂŞme bâtiment construit en Ă©querre par rapport Ă  l'ancien et surmontĂ© d'une haute cheminĂ©e[8].

Le puits dispose Ă©galement d'un nouveau ventilateur plus puissant pour l'aĂ©rage, d'un compresseur pour l'air comprimĂ©, unique source d'Ă©nergie mĂ©canique au fond de la mine, d'une lampisterie et d'une « piscine » pour les mineurs[9]. Parallèlement, cent berlines de 400 kg de contenance sont achetĂ©es pour remplacer les anciennes de 300 kg, qui sont transfĂ©rĂ©es au puits Saint-Charles oĂą elles remplacent les anciens chariots en bois de la machine Ă  taquet. Au total les houillères de Ronchamp investissent 164 000 Francs pour mettre le puits Notre-Dame dans de meilleures conditions d'extraction[10].

Exploitation

Quadrillage coupant le tracé des galeries de mine.
Plan du fond de la mine au puits Notre-Dame en 1881.
Plan montrant quatre voies ferrées bordant un étang et les bâtiments de la mine, représentés en rouge.
Les voies ferrées desservant le puits Notre-Dame.
Photo noir et blanc de petits bâtiments, avec cheminée et tour pyramidale en bois fermée.
Le puits Notre-Dame après l'arrêt de l'extraction.

En 1864, le puits Notre-Dame est en pleine activitĂ©, la production atteint 100 tonnes par jour grâce Ă  400 ouvriers dont 90 mineurs Ă  l’abattage[4]. Il est le seul puits actif de la concession d’Éboulet, il devait initialement fonctionner comme deux puits d'extraction, grâce Ă  deux compartiments dĂ©diĂ©s, chacun Ă©tant indĂ©pendant et possĂ©dant sa propre machine d'extraction. Ce projet est l'Ĺ“uvre d'un maĂ®tre-mineur anglo-saxon, mais le puits possède des dĂ©fauts de conception au niveau du cuvelage et du renforcement obligeant Ă  de nombreuses rĂ©parations et Ă  l'abandon du projet de la double extraction[11].

En 1866, les houillères de Ronchamp et d'Éboulet fusionnent[12], l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente, le puits est reliĂ© au rĂ©seau ferrĂ© des houillères par une voie ferrĂ©e qui assure le transport du charbon via la ligne de Paris-Est Ă  Mulhouse-Ville[13]. Le , les travaux sont arrĂŞtĂ©s afin de transformer complètement les installations du puits Ă  la suite d'une rupture du câble. Les voies de 0,57 mètre sont remplacĂ©es par des voies de 0,65 mètre. Les chariots sont transfĂ©rĂ©s au puits Saint-Charles. Le 10 novembre suivant, l'extraction reprend avec la nouvelle machine, les nouvelles cages et le nouveau matĂ©riel roulant avec 100 chariots neufs pouvant contenir chacun 450 kg de matĂ©riaux[14].

En 1867, une bowette de liaison avec le puits Saint-Joseph est creusĂ©e; le puits est approfondi jusqu'Ă  564 mètres. En 1868, la production de puits Notre-Dame s'Ă©croule, alors qu'elle s'Ă©levait Ă  52 000 tonnes pour l'annĂ©e 1867, elle chute Ă  28 000 tonnes. Cette baisse importante de la production a plusieurs causes : le percement de la galerie vers le puits Saint-Joseph a rencontrĂ© des travaux noyĂ©s[14]. Il faut stopper tous les travaux pendant deux mois Ă  l'issue desquels l'exploitation Ă©prouve des difficultĂ©s Ă  reprendre[15]. En 1869, commence l'exploitation de l'Ă©tage -520 oĂą existe une couche de deux mètres. Mais cette couche est rapidement interrompue par deux failles au nord et Ă  l'ouest et par un relèvement Ă  l'est ; les nouvelles recherches se font donc en direction du sud oĂą les couches s'enfoncent[15].

Deux vues en coupe, l'une de côté et l'autre de haut.
La machine de perforation pneumatique.

En 1871, une machine Ă  air comprimĂ© est utilisĂ©e au percement du travers-banc du Midi au fond du puits Notre-Dame ; c'est une première en France[16]. Le travers-banc est achevĂ© le et la houille est retrouvĂ©e[17]. Dans les annĂ©es 1870, l'arrivĂ©e d'eau au puits Notre-Dame augmente considĂ©rablement, elle passe ainsi de 66 m3 par jour en 1874 Ă  1 100 m3 en 1879, il faut remonter plus d'eau que de charbon[18].

En 1875, l’ingénieur-directeur Mathet quittant le bassin minier de Ronchamp pour les houillères de Blanzy émet un avis hésitant sur l’avenir du puits. Il estime que la surface de couches exploitables est restreinte, mais que des recherches sont à faire en direction du sud-est, en direction du puits de l'Espérance. Selon lui, approfondir le puits d'une cinquantaine de mètres et creuser une bowette dans cette direction peut allonger la durée de vie du puits de dix ans[19].

Le , un morceau de paroi du puits de dix mètres se détache et s'écrase au niveau de la recette bloquant deux mineurs au fond de la fosse. Ces mineurs sortent du puits sains et saufs une semaine plus tard[20]. De 1880 à 1881, les installations du puits Notre-Dame sont complètement remaniées avec la restauration de la colonne du puits la construction d'un bâtiment en bois entre le bâtiment de la machine et la recette ainsi que la construction d'un vestiaire[21]. En 1892, une importante couche de charbon est découverte derrière un soulèvement, mais deux ans plus tard, elle devient inexploitable à cause de nombreuses failles ; le puits Notre-Dame a désormais épuisé ses ressources et la fermeture est proche[22]. En 1896, le puits est abandonné, mais n'est pas remblayé[22].

Exhaure

Chevalement en bois couvert en 1900.
Vue du chevalement vers 1900.
Photo noir et blanc montrant des petits bâtiments simples accompagnés d'une cheminée de ventilateur et d'un petit chevalement en bois.
Le carreau du puits Notre-Dame pendant l'entre-deux-guerres.

En 1903, l'extraction du charbon est terminée au puits Notre-Dame mais le puits n'est pas remblayé et quelques ouvriers sont toujours présents sur le site. Le puits est conservé pour l'exhaure des houillères de Ronchamp. En effet, tous les puits, qu'ils soient fermés ou en activité, communiquent entre eux et l'eau s'infiltre vers les nouveaux chantiers du sud[23].

En 1922, la compagnie se souvient qu'elle a abandonnĂ© un long massif de houille de 150 mètres de large pour empĂŞcher les eaux d’envahir les nouveaux chantiers. La dĂ©cision de l'exploiter est alors prise[24]. Le dĂ©noyage commence le et s'achèvera en 1927[24]. Avant d'exploiter le massif houiller, il faut creuser une liaison avec le puits du Chanois : c'est ainsi qu'est creusĂ©e la bowette Cameroun, longue de 1 500 mètres, qui est achevĂ©e en dĂ©cembre 1930. Le charbon extrait est donc envoyĂ© au puits du Chanois qui possède les infrastructures adĂ©quates tandis que le puits Notre-Dame remplit deux rĂ´les : pomper les 7 000 tonnes d'eau qui affluent chaque mois et servir de puits d'entrĂ©e d'air pour les travaux, le puits Sainte-Marie servant de puits de sortie grâce Ă  ses puissants ventilateurs[24].

En 1944, les combats pour la libĂ©ration entraĂ®nent l'arrĂŞt des pompes du puits d’Éboulet et le noyage des galeries. Il faut attendre 1945 et le pompage de 6 400 m3 d'eau par mois, pour que l'extraction reprenne[25].

Lors de la nationalisation des houillères françaises en 1946, sous l'impulsion du Gouvernement provisoire mené initialement par Charles de Gaulle, le bassin minier de Ronchamp est confié à Électricité de France (EDF), parce qu'il est trop éloigné des autres grands bassins miniers et qu'il comporte une importante centrale thermique[26].

Après 1950, le puits Notre-Dame, qui pourrait encore posséder de grands massifs houillers, refait parler de lui avec un puits voisin, le puits du Tonnet, dont les couches sont désormais jugées exploitables. Mais il faudrait déblayer et dénoyer les anciens travaux, construire de nouvelles infrastructures. La réalisation de ce projet (soutenu par le comité de défense de la mine) est estimée à un milliard de francs[25].

Mais EDF ne souhaite plus investir dans le bassin minier de Ronchamp, et prépare déjà l’abandon du bassin houiller[25]. Le puits Notre-Dame ferme définitivement en 1958 et est remblayé avec des schistes du au [27], les puits Saint-Georges et du Tonnet sont remblayés au même moment[25] - [28].

Reconversion

Le , sous l'impulsion de la municipalité de Ronchamp, un monument créé par Bernard Poivey est installé et inauguré sur la dalle du puits d'extraction[29] - [i 1]. Le site est agrémenté de fleurs en pots ainsi que de gravier et de gazon sur le sol. Le site est entretenu annuellement par la commune de Champagney[i 2].

En , Bernard Poivey retire sa stèle à la suite de dégradations et décide de la modifier[29] - [i 1]. Le terril est enlevé dans les années qui suivent[30]. Les deux dalles en béton sont toujours entretenues dans les années 2010[i 3].

  • dalle du puits d'extraction au milieu de l'herbe
    La dalle du puits d'extraction.
  • dalle du puits d'aĂ©rage
    La dalle du puits d'aérage.
  • borne du puits d'extraction
    La borne du puits d'aérage.
  • sol en bĂ©ton au milieu de l'herbe
    Un ancien bâtiment de la fosse.

Le terril

Le puits Notre-Dame possĂ©dait un terril plat (coordonnĂ©es gĂ©ographiques : 47° 41′ 28″ N, 6° 38′ 54″ E), oĂą le dĂ©versement Ă©tait effectuĂ© en Ă©ventail Ă  la brouette[31]. Ce terril a Ă©tĂ© exploitĂ© de 2006 Ă  2010[30].

  • terrain en friche
    Vue de l'emplacement du terril, enlevé de 2006 à 2010.

Les cités

Le puits Notre-Dame se trouve assez éloigné du centre de Ronchamp, à l'intérieur du hameau d'Éboulet qui ne comporte qu'une dizaine d'habitations au milieu du XIXe siècle[31]. Un dortoir pour accueillir les mineurs venant de loin est d'abord aménagé dans un bâtiment qui accueillait des machines[32]. En 1930 est construit un grand bâtiment surnommé le « château d'Éboulet », il comprenait huit logements répartis sur deux étages[i 4]. Trois cités minières sont implantées à proximité du puits Notre-Dame.

La cité du Morbier, construite en 1927 par la Compagnie des mines d'Ostricourt afin d’accueillir la main d'œuvre polonaise, se compose de 24 maisons comprenant deux logements chacune. Dix sont construites avec un rez-de-chaussée seul tandis que les autres disposent d'un étage, elles sont construites selon le même procédé que pour la cité d'Éboulet. Les clefs de tirants des façades représentent les lettres M et O entrelacées, il s'agit du monogramme de la Compagnie des mines d'Ostricourt[33] - [34].

La cité d'Éboulet, construite en 1931, se compose de 25 maisons comprenant deux logements chacune. Elles sont construites en parpaings de mâchefer enduit, quinze de ces maisons disposent d'un étage alors que les autres n'ont qu'un rez-de-chaussée avec un toit à croupe. Les appartements peuvent comporter de trois à cinq pièces. Les maisons sont presque toutes habitées par des familles polonaises[35] - [34].

La cité des chefs de postes est construite en même temps que la cité d’Éboulet. Les trois maisons comprennent une pièce supplémentaire et une entrée aménagée, contrairement aux maisons des mineurs[34].

Les cités d'Éboulet et du Morbier sont classées le à l'inventaire général du patrimoine culturel[33] - [35].

  • Grande maison mitoyenne.
    La cité des chefs de postes.
  • Deux maisons mitoyennes derrière des clĂ´tures.
    La cité du Morbier.
  • SĂ©rie de maisons mitoyennes identiques.
    La cité d'Éboulet.
  • Grand bâtiment Ă  deux Ă©tages.
    Le « château d'Éboulet ».
  • Le château d'eau construit par la compagnie en 1930.
    Le château d'eau construit par la compagnie en 1930.

Notes et références

Références

Illustrations

Références aux fiches du BRGM

Le BRGM est l'organisme public français référent dans le domaine des sciences de la Terre pour la gestion des ressources et des risques du sol et du sous-sol.

  1. « BRGM - Puits d’Éboulet » : les coordonnées géographiques dans la fiche InfoTerre sont imprécises.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. I : La mine, Vesoul, Éditions Comtoises, , 87 p. (ISBN 2-914425-08-2)
  • Jean-Jacques Parietti, Les Houillères de Ronchamp vol. II : Les mineurs, Noidans-lès-Vesoul, fc culture & patrimoine, , 115 p. (ISBN 978-2-36230-001-1). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Jean-Jacques Parietti, Les dossiers de la Houillère 4 : Le puits d'Eboulet, Association des amis du musĂ©e de la mine, (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Jean-Jacques Parietti et Christiane Petitot, GĂ©omètre aux houillères de Ronchamp, Association des amis du musĂ©e de la mine, . Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • François Mathet, MĂ©moire sur les mines de Ronchamp, SociĂ©tĂ© de l'industrie minĂ©rale, (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • SociĂ©tĂ© de l'industrie minĂ©rale, Bulletin trimestriel, Saint-Étienne, (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • Édouard Thirria, Manuel Ă  l'usage de l'habitant du dĂ©partement de la Haute-SaĂ´ne, (lire en ligne), p. 182-186. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
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