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Port-Brillet

Port-Brillet est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Mayenne en rĂ©gion Pays de la Loire, peuplĂ©e de 1 795 habitants[Note 1] (les Brillet-Pontins).

Port-Brillet
Port-Brillet
Le village sur les rives de l'Ă©tang de la Forge.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Mayenne
Arrondissement Laval
Intercommunalité Laval Agglomération
Maire
Mandat
Fabien Robin
2020-2026
Code postal 53410
Code commune 53182
DĂ©mographie
Gentilé Brillet-Pontins
Population
municipale
1 795 hab. (2020 en diminution de 2,82 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 222 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 06â€Č 44″ nord, 0° 58â€Č 18″ ouest
Altitude Min. 98 m
Max. 154 m
Superficie 8,10 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Loiron-Ruillé
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Port-Brillet
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Port-Brillet
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Port-Brillet
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Port-Brillet
Liens
Site web www.port-brillet.mairie53.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le Bas-Maine.

    GĂ©ographie

    Port-Brillet est une commune située à environ 20 kilomÚtres à l'ouest du chef-lieu Laval, desservie par la route nationale 157.

    PrĂšs de la commune se situent des forĂȘts (bois de Misedon, bois des Gravelles, bois de Clermont), et des Ă©tangs (le Moulin Neuf, l’étang de la Forge).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Transports

    La gare.

    Une gare ferroviaire est desservie par les TER assurant la liaison avec les gares de Laval, Vitré et Rennes.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 818 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 858,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, mise en service en 1945 et Ă  56 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Port-Brillet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (49,5 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (49,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (49,5 %), terres arables (17,4 %), prairies (17,3 %), zones urbanisĂ©es (10,1 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,3 %), eaux continentales[Note 8] (2,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Histoire

    La lĂ©gende : un jour, Guy IV de Laval, chassait dans la forĂȘt et faillit perdre la vie. Dans ce moment critique, il fit vƓu Ă  sainte Marie-Madeleine d'Ă©riger une chapelle s'il Ă©chappait au danger, ce qu’il fit. C’était en l’an 1100. Aujourd’hui une rĂ©plique de cette chapelle existe sur la commune.

    L’histoire du village est liĂ©e aux forges. La prĂ©sence d'un moulin dĂšs le milieu du XIe siĂšcle, une topologie et une gĂ©ologie favorable, accrĂ©dite l'hypothĂšse de la prĂ©sence d'une forge rudimentaire au milieu du XIe siĂšcle. Des Ă©crits mentionnent la prĂ©sence de la forge dĂšs 1452 (l’aveu du comtĂ© de Laval en 1452 mentionne la forge Brielle). À proximitĂ© du moulin de la PoulardiĂšre, Michel Deguerre en 1619 obtient le droit de faire bĂątir et construire une grosse forge avec les bĂątiments des forgerons. Ces forges sont dues Ă  l'initiative de Nicolas Lemaçon (Le Maczon), sieur de la PoulardiĂšre, et datent de 1621.

    Par testament du , le fondateur dĂ©clare qu'il veut « que l'on bĂątisse une chapelle Ă  la commoditĂ© des forges — afin, dit-il, que mes enfants et leurs ouvriers puissent y assister Ă  la messe ». La chapelle fut construite sans retard, car la cloche, en fonte, qui subsiste, fut coulĂ©e cette mĂȘme annĂ©e Ă  la forge au nom de Nicolas Lemaçon (Le Maczon) et d'Élisabeth Moland, sa femme[21] La chapelle Ă©tait placĂ©e sous l’invocation de la Notre-Dame de Liesse. Le Ă  la suite d'une premiĂšre procĂ©dure inique dite de la "table de marbre", la propriĂ©tĂ© des forges a Ă©tĂ© revendiquĂ©e par le comte de Laval qui est rentrĂ© en possession de ce domaine. Le , les forges de Port-Brillet ont Ă©tĂ© dĂ©finitivement licitĂ©es devant la justice ordinaire du comtĂ© de Laval qui les a affermĂ©es pour 10 000 livres Ă  la famille Le Maczon. L'adjudication comportait la maison de maĂźtre et sa chapelle, le logement des ouvriers, le magasin et ses matĂ©riaux, le minerai et les combustibles entreposĂ©s sur le carreau de la halle, les deux fourneaux, l'Ă©tang, la closerie de la Ruaudais et le moulin du Libaret[22]. MalgrĂ© cette expropriation la famille Le Maczon a continuĂ© a exploitĂ© ces forges jusqu'en 1667 ; annĂ©e au cours de laquelle elles ont Ă©tĂ© reprises par le Sieur RenĂ© Brosset de la Pommeraie Ă  la suite du dĂ©cĂšs du dernier descendant de la famille, Marc Le Maczon.

    En 1799, deux frÚres, François Paillard-Ducléré et Paillard-Dubignon, font valoir ensemble les grosses forges et fourneaux de Port-Brillet. En 1817, Constant Paillard-Ducléré est élu député et réélu jusqu'à sa mort en 1839. Pendant cette période, il laisse la direction de l'établissement métallurgique à son frÚre cadet qui lui écrit quotidiennement. Cette correspondance est conservée aux archives de la Sarthe. Leur clientÚle était principalement de la région Domfront-Tinchebray.

    Pendant la RĂ©volution française, alors que les communes environnantes soutenaient la chouannerie, les forgerons de Port-Brillet s’étaient constituĂ©s en gardes nationaux.

    Naissance de la commune : le village autour des Forges ayant grossi, Port-Brillet est érigé en commune en 1874. Port-Brillet était une paroisse détachée de celle d'Olivet, au spirituel, en 1828, érigée en succursale par ordonnance du , en commune par décret du . Les forges qui devinrent le principal revenu du comté de Laval avaient donné naissance à la premiÚre agglomération.

    2 096 hectares de la forĂȘt du Pertre, ainsi qu'une superficie presque Ă©quivalente de la forĂȘt de ChevrĂ©, furent mises en vente par les "Forges de Port-Brillet" en 1856[23].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mai 1945 1953 Georges Ricou SFIO Représentant de commerce en droguerie et quincaillerie
    mars 1989 mars 2008 Jacques Mortier Masseur kinésithérapeute
    mars 2008 mars 2014 Thierry Rousseau[24] Attaché technico-commercial
    mars 2014[25] mai 2020 Gilles Pairin SE Retraité gendarmerie
    mai 2020[26] En cours Fabien Robin SE-DVG Ingénieur territorial en disponibilité

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[28].

    En 2020, la commune comptait 1 795 habitants[Note 9], en diminution de 2,82 % par rapport Ă  2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    7787479359201 1471 1721 2911 3861 424
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    1 4271 4581 4231 3801 4161 6341 7571 9901 904
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2020 - -
    1 8131 8141 9031 9091 8411 8011 795--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'ancienne fonderie Chappée en 2015.

    Longtemps l’activitĂ© Ă©conomique de Port-Brillet s’est identifiĂ©e Ă  la fonderie ChappĂ©e. Ce temps est rĂ©volu mais l’économie locale et l’urbanisation d’aujourd’hui en gardent les marques.

    Cette évolution industrielle du site des forges (devenu Pebeco) a placé la commune et ses responsables face à de nouvelles obligations : l'économie locale a dû se diversifier. Par ricochet, l'identité communale a subi la mutation. La fonderie Pebeco, placée en rÚglement judiciaire en , a fermé ses portes le , faute de repreneur[31].

    « L'analyse socio‑économique montre qu'en dĂ©pit d'une nette diminution du nombre d'emplois offerts par les entreprises installĂ©es sur le territoire communal, avec les incidences dĂ©mographiques qui en dĂ©coulent, le pĂŽle industriel et de service brillet‑pontin conserve un poids et une influence rĂ©els grĂące Ă  des infrastructures commerciales, de services, et de communication dĂ©veloppĂ©es et Ă  un processus rĂ©cent de diversification du tissu industriel. » (diagnostic Ă©tabli en vue du PLU)

    La vie Ă©conomique locale ne peut aujourd’hui se concevoir sans l’environnement intercommunal. Nombre de Brillets-Pontins trouvent un emploi dans les communes voisines et jusqu’à Laval ou VitrĂ©. Inversement ; nombre d’entreprises trouvent leurs salariĂ©s dans ce bassin d’emploi.

    « Il convient de souligner l'impact, sur le plan de l'amĂ©nagement du territoire, de l'ensemble formĂ© par les sites Ă©conomiques «historiques» de Saint-Pierre-la-Cour, des mines d'or et d'antimoine de la Lucette situĂ©e sur la commune du Genest-Saint-Isle et les pĂŽles d'activitĂ©s plus rĂ©cents de La BrĂ»latte, du Bourgneuf-la-ForĂȘt, de Loiron et de La Gravelle qui composent un pĂŽle Ă©conomique et urbain d'Ă©quilibre entre les zones lavalloise et vitrĂ©enne, et dont les Ă©volutions mĂ©riteraient une rĂ©flexion Ă©largie, Ă  l'Ă©chelle intercommunale, comme dĂ©partementale. » (diagnostic Ă©tabli en vue du PLU).

    Port-Brillet est une commune attractive pour ses services : un tableau effectuĂ© par la chambre des mĂ©tiers en place Port-Brillet au 2e rang des communes mayennaises se situant entre 1 500 et 2 000 habitants derriĂšre MontsĂ»rs.

    Parmi les 1 814 habitants de la commune (recensement de 1999), 774 personnes sont actives : 429 hommes et 345 femmes. 71 de ces actifs cherchent un emploi et 699 travaillent. Parmi ces personnes qui ont un emploi, 63 exercent une profession Ă  leur compte ou aident leur conjoint ; les 636 autres sont salariĂ©s. Une minoritĂ© de ces actifs exerce dans la commune ; 392 personnes vont travailler en dehors.

    C’est une commune attractive pour ses emplois : elle propose plus d’emplois qu’elle n’a d’actifs. On note un glissement des activitĂ©s du secondaire vers le secteur tertiaire (le secteur tertiaire passe en 1975 de 22,4 % Ă  50,6 % en 1990).

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Port-Brillet et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Port-Brillet et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. AbbĂ© Angot, Épigraphie de la Mayenne, p. 135, n° MCLXII.
    22. Michel Duval, ForĂȘts seigneuriales en Bretagne au XVIIe siĂšcle, 1978, p. 25.
    23. Journal Le Pays, n° du 12 mars 1856, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4656298w/f4.image.r=Pertre?rk=257512;0
    24. Liste des maires de la Mayenne actualisée au 16 septembre 2009, site de la préfecture de la Mayenne, consulté le 19 septembre 2009.
    25. « Gilles Pairin est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    26. « Municipales à Port-Brillet. Fabien Robin élu maire, les indemnités votées », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    31. L'usine nouvelle, 11 octobre 2011.
    32. « ZNIEFF 520014748 - Etang de la forge à Port Brillet », sur http://inpn.mnhn.fr.
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