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Ponyta et Galopa

Ponyta et son évolution Galopa (Rapidash[N 1]) sont deux espèces de Pokémon, des créatures de fiction issues de la franchise Pokémon de Nintendo. Leur première apparition a lieu au Japon en 1996, dans les jeux vidéo Pokémon Vert et Pokémon Rouge, sous les noms originaux de Ponīta (ポニータ) et Gallop (ギャロップ).

Ponyta et Galopa
Ponyta
Nom japonais ポニータ
Nom anglais Ponyta
Type Feu
Génération Première
Pokédex no 077
Taille 1,0 m
Poids 30,0 kg
Galopa
Nom japonais ギャロップ
Nom anglais Rapidash
Type Feu
Génération Première
Pokédex no 078
Taille 1,7 m
Poids 95,0 kg

Ponyta et Galopa ressemblent à des chevaux aux crins enflammés, Ponyta ayant l'apparence d'un poney et Galopa celle d'une licorne. Ils ont été imaginés par l'équipe de Game Freak et dessinés par Ken Sugimori pour la licence Pokémon, créée par Satoshi Tajiri. Ils sont de type feu et occupent respectivement les 77e et 78e emplacements du Pokédex national, l'encyclopédie qui recense les différentes espèces de Pokémon.

Tous deux jouissent d'une certaine popularité parmi les joueurs, en particulier chez les jeunes filles, en raison de leur apparence flatteuse. Galopa fait partie des plus célèbres chevaux des jeux vidéo selon IGN et MTV Multiplayer.

Création

Propriété de Nintendo, la franchise Pokémon est apparue au Japon en 1996 avec les jeux vidéo Pocket Monsters Vert et Pocket Monsters Rouge. Son concept de base est la capture et l'entraînement de créatures appelées Pokémon, afin de leur faire affronter ceux d'autres dresseurs de Pokémon. Chaque Pokémon possède un ou deux types – tels que l'eau, le feu ou la plante – qui déterminent ses faiblesses et ses résistances au combat. En s'entraînant, ils apprennent de nouvelles attaques et peuvent évoluer en un autre Pokémon[1].

Conception graphique

La conception de Ponyta et Galopa est le fait, comme pour la plupart des Pokémon, de l'équipe chargée du développement des personnages au sein du studio Game Freak. Leur apparence est finalisée par Ken Sugimori pour la première génération des jeux Pokémon, Pokémon Rouge et Pokémon Vert, sortis à l'extérieur du Japon sous les titres de Pokémon Rouge et Pokémon Bleu[2] - [3].

Ponyta et Galopa pourraient être inspirés des chevaux du soleil dans la mythologie grecque.

Nintendo et Game Freak n'ont pas évoqué les sources d'inspiration de ces Pokémon. Néanmoins, certains fans avancent qu'ils pourraient être basés des chevaux de feu présents dans différentes mythologies tels que les chevaux du soleil qui tirent le char du dieu grec Hélios à travers le monde chaque jour dans la mythologie grecque, les ashvins de la mythologie hindoue, et d'autres chevaux de la mythologie nordique[4]. Ces références n'ont jamais été confirmées par les concepteurs[N 2].

Dénominations

Ponyta et Galopa sont initialement nommés Ponīta (ポニータ) et Gallop (ギャロップ) en japonais. Ces noms sont ensuite adaptés dans trois langues lors de la parution des jeux en Occident : anglais, français et allemand ; le nom anglais est utilisé dans les autres traductions du jeu.

Nintendo choisit de donner aux espèces Pokémon des noms « astucieux et descriptifs », liés à l'apparence ou aux pouvoirs des créatures, lors de la traduction du jeu ; il s'agit d'un moyen de rendre les personnages plus compréhensibles pour les enfants, notamment américains[5]. Si Ponyta conserve son nom japonais en anglais, en allemand (orthographié Ponita pour en conserver la prononciation) et en français, son évolution est renommé « Rapidash » en anglais, « Gallopa » en allemand et « Galopa » en français. Dans la version bêta anglaise, son nom devait être « Gallop », comme dans la version japonaise, mais il a été modifié par la suite. Selon IGN, le nom de « Ponyta » vient du mot ponyponey »), tandis que « Rapidash » provient d'un mot-valise entre rapid (« rapide ») et dash (« courir »), en référence à sa vitesse[6] - [7]. Le nom français « Galopa » et le nom allemand Gallopa proviennent du galop, l'allure la plus rapide du cheval. En coréen, son nom est 날쌩마 (Nalssaengma), et en chinois 烈焰馬, qui signifie littéralement « cheval de flammes rugissantes ».

Description

Ces deux Pokémon sont l'évolution l'un de l'autre : Ponyta évolue en Galopa. Dans les jeux vidéo, cette évolution survient en atteignant le niveau 40[8] - [N 3].

Jusqu'à la cinquième génération de Pokémon, ils étaient les deux uniques Pokémon à l'apparence de chevaux parmi les centaines de créatures imaginées par l'équipe de Nintendo[9] - [N 4]. Ils sont tous deux de couleur crème à jaune pâle, dotés de crins enflammés, et qualifiés de « cheval feu »[10] par le Pokédex, encyclopédie fictive de l'univers Pokémon. Comme pratiquement tous les Pokémon, ils ne peuvent pas parler : lors de leurs apparitions dans les jeux vidéo tout comme dans la série d'animation, ils ne poussent que des cris proches du hennissement[N 5]. Le Pokédex donne des informations sur leur mode de vie : tous deux sont diurnes, grégaires et herbivores. Très agiles, ils vivent dans les prairies ou les montagnes avec d'autres Pokémon de type roche et feu.

Images externes
Ponyta sur le site officiel Pokémon
Galopa sur le site officiel Pokémon

Ponyta

Ponyta ressemble à un poney. Sa crinière et sa queue sont composées de flammes, et poussent une heure après sa naissance, en lui donnant une apparence impressionnante[11]. L'intensité de ces flammes peut être contrôlée. Ponyta peut garder ses flammes assez douces pour ne pas embraser de foin ou de papier, mais les rend assez chaudes pour fondre le cuivre en combat. Cette capacité est visible dans la série d'animation, lorsque Sacha cesse de se brûler en touchant la crinière d'un Ponyta, et découvre ainsi qu'il a gagné son amitié. Les sabots arrière d'un Ponyta sont dix fois plus durs que le diamant[12]. Il peut aplatir n'importe quoi en peu de temps[12]. Son corps est lumineux, et ses pattes incroyablement puissantes. Le Pokédex affirme qu'il pourrait atteindre le sommet de la Tour Eiffel[N 6] d'un bond ou écraser Uluru[13] - [14], et absorber le choc de l’atterrissage[15]. Ces sabots peuvent fracasser le crâne de l'ennemi lors d'un combat. Les nouveau-nés Ponyta peuvent à peine tenir debout, à force de galoper, leurs jambes deviennent plus dures et plus rapides[16]. Juste après sa naissance, Ponyta ne court pas très vite, mais se muscle en suivant sa mère, pour enfin se déplacer aussi vite qu'elle[17]. Il s'entraîne à franchir des haies dans les hautes herbes[18].

Galopa

Galopa (Rapidash) est la forme évoluée de Ponyta. Comme sa pré-évolution, il ressemble à un cheval de couleur jaune pâle aux crins enflammés. Les différences sont sa corne de licorne au milieu du front, la longueur de sa crinière de flammes qui coure jusqu'au bas de son dos, et ses chevilles recouvertes de flammes dans des tons orangés et rouges, alors que les flammes de Ponyta sont localisées en haut de ses jambes. Ses yeux à l'iris rouge sont proportionnellement plus petits que ceux d'un Ponyta, et de forme différente[19] - [20].

Dans l'univers Pokémon, les Galopa sont observés dans les champs et les plaines, courant avec désinvolture contre les membres de leur troupeau[21] - [22], et pas à une vitesse particulièrement élevée. L'esprit de compétition est toutefois profondément ancré dans le comportement d'un Galopa, en ce qui concerne la vitesse. S'il voit quelque chose passer plus vite que lui, comme tout type de voiture ou de train[23], il va ardemment essayer de le devancer[24] - [25] - [26] - [27]. Dans un tel état, leurs parties enflammées brûlent à pleine puissance et ils accélèrent à des vitesses de 240 km/h (150 miles par heure) en moins de dix foulées, départ arrêté[28] - [10], vitesse qu'ils peuvent dépasser[21]. Leurs sabots frôlent le sol, un observateur extérieur peut croire qu'ils glissent sur le vent[29], s'il n'y voit pas qu'une boule de feu au loin[30]. Comme chez sa pré-évolution Ponyta, les sabots de Galopa sont plus durs que le diamant[31]. Au combat, ce Pokémon s'entoure de flammes et charge[32] son adversaire en crachant du feu[33]. Sa crinière, comme celle de Ponyta, est extrêmement chaude et peut provoquer des brulures chez toute personne qui la touche[8]. Pendant leur course, elle flotte, flamboie et s'embrase[21] - [34] puis les flammes s'allongent au fur et à mesure que le Pokémon gagne de la vitesse[35], dispersant des étincelles ardentes[36].

Apparitions

Jeux vidéo

Ponyta et Galopa apparaissent dans la série de jeux vidéo Pokémon. D'abord en japonais, puis traduits en plusieurs autres langues, ces jeux ont été vendus à plus de 143 millions d'exemplaires à travers le monde[37]. Ils ont fait leur première apparition le , dans les jeux japonais Pocket Monsters Midori (ポケットモンスター 緑, Poketto Monsutā Midori, Pocket Monsters Vert) et Pocket Monsters Aka (ポケットモンスター 赤, Poketto Monsutā Aka, Pocket Monsters Rouge) et remplacés dans les autres pays par la version Bleue après la traduction en anglais[38]. Depuis la première édition de ces jeux, Ponyta et Galopa sont réapparus dans les versions jaune, or, argent, cristal, saphir, rubis et émeraude[8].

Il est possible d'avoir un œuf de Ponyta en faisant se reproduire deux Pokémon dont un Ponyta ou un Galopa mâle entre eux. Cet œuf éclot après 5 120 pas, et un Ponyta de niveau 5 en sort. Ponyta et Galopa appartiennent au groupe d’œufs sol. Leurs capacités spéciales sont « Fuite », qui augmente leurs chances de fuite face à un Pokémon sauvage, et « Torche », qui fait que les attaques feu reçues par ces Pokémon sont absorbées et augmentent la puissance de leurs propres attaques feu. Ils apprennent diverses attaques selon les éditions des jeux, notamment Mégacorne, Hâte, Danseflamme, Bélier et Furie. Leurs attaques les plus puissantes sont Déflagration, Rebond et Boutefeu[39]. Ils portent parfois sur eux des baies Jouca[N 7].

Avec Ouisticram (Chimchar), Ponyta est le seul Pokémon de type feu de base du Pokédex de Sinnoh, dans Pokémon Diamant et Perle. En outre, il est l'un des quatorze Pokémon qui ont une description en six langues dans le Pokédex[40] - [N 8].

Série télévisée et films

La série télévisée Pokémon et les films qui en sont issus narrent les aventures d'un jeune dresseur de Pokémon du nom de Sacha, qui voyage à travers le monde pour affronter d'autres dresseurs ; l'intrigue est souvent distincte de celle des jeux vidéo[41]. Ponyta et Galopa jouent un rôle majeur dans Le Poké-marathon. Il s'agit d'une course Pokémon où la tricherie est permanente, la Team Rocket a blessé la concurrente Lara Larami pour le compte d'un de ses rivaux. Sacha accepte de monter le Ponyta de Lara Larami afin de participer à cette course, et prend un certain temps pour être accepté et ne plus se brûler en touchant sa crinière. Durant la course, le Ponyta est attaqué à plusieurs reprises par le Dodrio du rival de Lara. Pendant la dernière ligne droite de la course, il évolue en Galopa, le « Pokémon le plus rapide au monde », et parvient à rattraper le Dodrio puis à gagner la course[42]. Par ailleurs, Galopa apparaît dans le générique d'introduction de tous les épisodes de la première saison.

D'autres épisodes font apparaître ces Pokémon sans leur réserver un rôle de premier plan. Un Ponyta et un Galopa font partie de la troupe de cirque de Stella dans Quel cirque[43]. Dans l'épisode spécial Noël de la première saison, Des joujoux par milliers, un Ponyta tire le traîneau du père Noël, qui s'exclame d'ailleurs « je n'ai pas de rennes, j'ai un Ponyta ! »[44]. Plus tard, ce rôle échoit à Cerfrousse. On retrouve deux Ponyta dans Retour à Oliville, au Hoothoot express, où un dresseur les possède[45]. Bien qu'il n’apparaisse que quelques secondes, c'est un Galopa qui permet à John Dickson de remporter la ligue Johto face à un Rhinoféros (Rhydon), dans La fin de la Conférence Argentée[46]. Dans l'épisode spécial Voyage dans le temps, l'infirmière Joëlle possède un Ponyta[47].

Un Galopa apparaît dans Pokémon, le film : Mewtwo contre-attaque, en 2000. Il fait partie de l'équipe de la dresseuse Pokémon Neesha mais est capturé puis cloné par Mewtwo. Il réapparaît dans Pokémon : Le Retour de Mewtwo, en 2001.

Manga

Ponyta et Galopa apparaissent tous deux dans le manga Pocket Monsters Spécial, partiellement publié en France sous le titre Pokémon La grande aventure !. Galopa apparaît en tant que monture du champion d'arène Auguste, qui protège le héros Sacha contre Mewtwo[48]. Ponyta constitue le premier adversaire du second cycle de la série, Jaune[49]. La dresseuse Platinum, héroïne du cycle Platine de la série possède également un Ponyta qui lui sert le plus souvent de monture, et se révèle relativement faible en combat, essuyant de nombreuses défaites face aux champions d'arène ; toutefois, il parviendra à vaincre l'Archéodong (Bronzong) de Byron et évoluera dans la foulée en Galopa[50].

Jeux de cartes

Le jeu de cartes Pokémon est un jeu de cartes à collectionner avec un but du jeu similaire à un Match Pokémon dans la série de jeux vidéo ; les joueurs doivent utiliser des cartes (qui ont chacune leurs forces et faiblesses) dans le but de vaincre son adversaire en mettant toutes ses cartes KO[51]. Ponyta et Galopa sont présents depuis l'édition de base du jeu de cartes Pokémon, et régulièrement réédités[52]. Ils sont toujours de niveau respectivement 1 et 2, de type feu, avec une faiblesse à l'eau et aucune résistance. Ils existent en version obscure. La description de la carte de Galopa dit qu'il s'agit d'un Pokémon sauvage et indomptable et que lorsqu'il galope, l'on dirait une comète traversant les cieux[53].

Réception

Les lecteurs d'IGN ont élu Galopa comme le 90e Pokémon le plus populaire, sur les 650 connus fin 2010. Jack DeVries écrit que Ponyta est déjà « cool », et que faire de Galopa une licorne le rend « encore plus cool ». Il ajoute que « Galopa est rapide comme l'enfer, puissant, et en quelque sorte parvient à être sympathique, même si son corps tout entier vous tuera ». Il ajoute que Galopa est « universellement attrayant », et séduit les fans de Pokémon « mignons et cools »[54]. Un éditeur d'IGN ajoute que, bien qu'il ne s'agisse pas de son Pokémon de type feu favori, bon nombre de dresseurs mettent en valeur sa grande vitesse et lui laissent une place de choix parmi les créatures d'élément feu[7]. Galopa figure également parmi les « 25 seuls Pokémon importants » sur GameSpot[55].

Une éditrice d'IGN écrit que Ponyta n'est « pas si bien que ça », mais qu'elle l'aime parce qu'il évolue en un Pokémon d'une « beauté absolument captivante ». Elle ajoute que Galopa est son Pokémon feu favori, mais qu'il est souvent oublié au profit de type feu plus populaires tels que Dracaufeu, Typhlosion et Arcanin[56] - [57] (Charmander, Typhlosion et Arcanine).

MTV Multiplayer a lancé un sondage pour élire le meilleur cheval des jeux vidéo, auquel ont participé un panel comportant Ken Levine de 2K Boston, le journaliste Leigh Alexander, Mike Krahulik (en) de Penny Arcade, et Tofuburger de I Can Has Cheezburger (en). Les trois derniers ont classé Galopa second, premier, et troisième, respectivement. Tofuburger écrit que Galopa est « mignon et câlin », mais dangereux en même temps[58]. Un membre de l'équipe de GamesRadar+ « aime vraiment » Galopa mais estime qu'il existe de meilleurs choix[59]. Les auteurs de l'ouvrage « top 10 » Pokémon paru en 2007, Tracey West et Katherine Noll, ont élu Galopa quatrième meilleur Pokémon de type feu[60]. Joseph Jay Tobin, auteur d'une étude universitaire consacrée à l'impact des Pokémon, ajoute que Ponyta est populaire parmi les jeunes filles[61].

Notes et références

Notes

  1. Les noms entre parenthèses sont les noms anglais, également utilisés au Québec.
  2. La figure d'un cheval de feu figure également dans l'astrologie chinoise avec le signe « cheval de feu et dans le livre de l'Apocalypse, où le second des cavaliers monte un cheval « rouge feu » ; ces références n'ont jamais été confirmées.
  3. La notion de niveau d'évolution n'est pas présente dans les séries et les films.
  4. Les versions noire et blanche ont vu l'apparition de plusieurs autres Pokémon évoquant des chevaux, notamment Keldeo.
  5. Voir la série d'animation Pokémon saison 1, épisode 33, et les différentes versions en jeu vidéo.
  6. Cette référence culturelle est spécifique au public occidental : dans les éditions japonaises des jeux, il est fait mention de la tour de Tokyo.
  7. Dans Pokémon Diamant, Perle et Platine.
  8. Les six langues sont le japonais, l'anglais, le français, l'allemand, l'espagnol et l'italien.

Références

  1. Alvin Haddadène et Loup Lassinat-Foubert, Générations Pokémon : 20 ans d'évolutions, Toulouse, Third éditions, , 327 p. [détail des éditions] (ISBN 979-10-94723-20-3), « Les mécaniques de jeu », p. 95
  2. (ja) (ja) Équipe Nintendo, « 2. 一新されたポケモンの世界 », sur Nintendo.com, Nintendo (consulté le ), p. 2
  3. (en) Stuart Bishop, « Game Freak on Pokémon ! », CVG, (consulté le )
  4. (en) « 077 - Ponyta », sur tabkam.com (consulté le )
  5. (en) Howard Chua-Euan, « PokéMania », TIME, (lire en ligne, consulté le )
  6. (en) « Ponyta », sur IGN (consulté le )
  7. (en) « Rapidash », sur IGN (consulté le )
  8. « Galopa », sur Puissance Pokémon (consulté le )
  9. West 2009, p. 77
  10. Silvestri 2008, p. 208
  11. Pokédex de Pokémon Diamant et Perle, Game Freak, Nintendo, 22 avril 2007, Nintendo DS, entrée Ponyta
  12. Pokédex de Pokémon Vert Feuille, Game Freak, Nintendo, 9 septembre 2004, Game Boy Advance, entrée Ponyta
  13. Pokédex de Pokémon Stadium, Game Freak, Nintendo, 6 mars 2000, Nintendo 64, entrée Ponyta
  14. Pokédex de Pokémon Rouge Feu, Game Freak, Nintendo, 9 septembre 2004, Game Boy Advance, entrée Ponyta
  15. Pokédex de Pokémon Jaune, Game Freak, Nintendo, 16 juin 2000, Game Boy, entrée Ponyta
  16. Pokédex de Pokémon Platine, Game Freak, Nintendo, 22 mars 2009, Nintendo DS, entrée Ponyta
  17. Pokédex de Pokémon Or, Game Freak, Nintendo, 6 avril 2001, Game Boy, entrée Ponyta
  18. Pokédex de Pokémon Cristal, Game Freak, Nintendo, 2 novembre 2001, Game Boy, entrée Ponyta
  19. « Galopa », sur Pokémon trash (consulté le )
  20. Lipperini 2000, p. 228.
  21. Pokédex de Pokémon Rubis et Saphir, Game Freak, Nintendo, 2004, entrée Galopa
  22. Pokédex de Pokémon Émeraude, Game Freak, Nintendo, entrée Galopa
  23. Pokédex de Pokémon Stadium, Game Freak, Nintendo, 2000, Nintendo 64, entrée Galopa
  24. (en) « Rapidash Pokédex », pokemondb.net (consulté le )
  25. Pokédex de Pokémon Rouge et Bleu, Game Freak, Nintendo, 8 octobre 1999, Game Boy, entrée Galopa
  26. Pokédex de Pokémon Jaune, Game Freak, Nintendo, Game Boy, entrée Galopa
  27. Pokédex de Pokémon Vert Feuille, entrée Galopa
  28. Pokédex de Pokémon Argent, Game Freak, Nintendo, entrée Galopa
  29. Pokédex de Pokémon Or, Game Freak, Nintendo, entrée Galopa
  30. Pokédex de Pokémon Rouge Feu, entrée Galopa
  31. (en) « Galopa : Pokédex », sur Serebii.net (consulté le )
  32. Pokédex de Pokémon Ranger, Game Freak, Nintendo, entrée Galopa
  33. Pokédex de Pokémon Ranger : Nuit sur Almia, Game Freak, Nintendo, entrée Galopa
  34. Pokédex de Pokémon Diamant, Game Freak, Nintendo, entrée Galopa
  35. Pokédex de Pokémon Cristal, Game Freak, Nintendo, entrée Galopa
  36. Pokédex de Pokémon Platine, Game Freak, Nintendo, entrée Galopa
  37. "The Ultimate Game Freak: Interview with Satoshi Tajiri", TimeAsia.com URL accédée le 12 juillet, 2006 (Waybacked).
  38. « Official Japanese Pokémon website » (consulté le )
  39. « Galopa », sur Pokébip (consulté le )
  40. (en) « Pokémon Diamond/Pearl - Foreign Dex Entries », sur Serebii.net (consulté le )
  41. Haddadène & Lassinat-Foubert 2015, p. 291-292
  42. Épisode Le Poké-marathon, 33e épisode de la première saison de la série Pokémon.. Résumé sur « Pokémon, épisode 33 » (consulté le )
  43. Épisode Quel cirque, 64e épisode de la première saison de la série Pokémon.
  44. Épisode Des joujoux par milliers, 65e épisode de la première saison de la série Pokémon.
  45. Épisode Retour à Oliville, 223e épisode de la cinquième saison de la série Pokémon.
  46. Épisode La fin de la Conférence Argentée, 274e épisode de la cinquième saison de la série Pokémon.
  47. Épisode Voyage dans le temps de la série Pokémon. Diffusé pour la première fois le 1er novembre 2007.
  48. (en)« Résumé de l'épisode VS. Mewtwo 1 », sur Serebii.net (consulté le )
  49. (en)« Résumé de l'épisode VS. Ponyta », sur Serebii.net (consulté le )
  50. (en)« Présentation de Platinum et de ses Pokémon », sur Serebii.net (consulté le )
  51. Pokémon Trading Card Game "How to play" guide go-pokemon.com. Consulté le 5 décembre 2008.
  52. Voir par exemple ces deux visuels de cartes : [image]Galopa et Galopa
  53. « Galopa obscur », sur Pokémon France (consulté le )
  54. (en) « Top Pokémon : Rapidash », IGN (consulté le )
  55. « The Only 25 Pokémon That Matter », sur Gamespot (consulté le ), p. 22
  56. (en) « Rapidash », IGN (consulté le )
  57. (en) « Ponyta », IGN (consulté le )
  58. (en) « The greatest video gamehorse revealed as chosen by our stunningly high profil panel », MTV multiplayer (consulté le )
  59. (en) « Pokemon monday : Ditto is a failed Mew clone », sur Gamesradar
  60. West et Noll 2007
  61. Tobin 2004, p. 283

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

  • (en) Brian Brokaw, J. Douglas Arnold et Mark Elies, Pokémon trading card game player's guide, vol. 2, Sandwich Islands Pub. Co., , 144 p. (ISBN 978-1-884364-50-1, présentation en ligne)
  • (en) Elizabeth Hollinger et James Ratkos, Pokemon Yellow : Prima's Official Strategy Guide, Prima Games, , 120 p. (ISBN 978-0-7615-2277-5, présentation en ligne)
  • (en) Paul Shinoda, Official Nintendo Power Pokemon Trading Card Game Player's Guide, Nintendo of America, Incorporated, , 112 p. (ISBN 978-1-930206-00-7)
  • (it) Loredana Lipperini, Generazione Pokémon : i bambini e l'invasione planetaria dei nuovi "giocattoli di ruolo", Castelvecchi, , 235 p. (ISBN 978-88-8210-249-4, lire en ligne)
  • (en) Joseph Jay Tobin, Pikachu's global adventure : the rise and fall of Pokémon, Duke University Press, , 299 p. (lire en ligne)
  • (en) Tracey West et Katherine Noll, Pokémon top 10 handbook : our top picks!, Scholastic, , 79 p. (ISBN 978-0-545-00161-8, présentation en ligne)
  • (en) Mark I. West, The Japanification of children's popular culture : from Godzilla to Miyazaki, Lanham (Md.), Scarecrow Press, , 294 p. (ISBN 978-0-8108-5121-4 et 0-8108-5121-0)
  • (en) Cris Silvestri, Pokémon Ultimate Handbook, Scholastic Inc., , 304 p. (ISBN 978-0-545-07886-3 et 0-545-07886-5, lire en ligne)
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