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Peyrins

Peyrins est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Peyrins
Peyrins
La mairie.
Blason de Peyrins
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Philippe Barneron
2020-2026
Code postal 26380
Code commune 26231
DĂ©mographie
Gentilé Peyrinois, Peyrinoises
Population
municipale
2 644 hab. (2020 en diminution de 0,97 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 105 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 05′ 38″ nord, 5° 02′ 53″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 434 m
Superficie 25,16 km2
Unité urbaine Romans-sur-Isère
(banlieue)
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romans-sur-Isère
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Peyrins
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Peyrins
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Peyrins
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Peyrins

    GĂ©ographie

    Localisation

    Peyrins est situĂ©e Ă  km au nord de Romans-sur-Isère (chef-lieu du canton). Valence se trouve Ă  25 km, Grenoble Ă  82 km, Lyon Ă  108 km.

    Relief et géologie

    Sites particuliers[1] :

    • Combe Chatain
    • Combe de la Barnière
    • Combe de Nouvelle
    • Combe de Riel
    • Combe du Ravi
    • Combe Jacquet
    • Combe Layard
    • Combe Saint-Martin
    • l'Enfer (271 m)
    • Montachar (331 m)
    • Mont Peyroux (274 m)
    • Saint-Eusèbe (261 m)
    • Saint-Martin (308 m)

    Hydrographie

    La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

    • la Petite Choranche ;
    • la Savasse ;
    • le Chalon ;
    • Ruisseau des Étangs.

    Urbanisme

    Typologie

    Peyrins est une commune urbaine (car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 6 communes[5] et 57 067 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6] - [7].

    La commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,7 %), forêts (29,6 %), terres arables (7,9 %), zones urbanisées (5,4 %), prairies (3,5 %), cultures permanentes (1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site GĂ©oportail (carte IGN)[1] :

    • Balaise
    • Belle Vue
    • Bobinet
    • Bois de Gaste
    • Bois de l'AumĂ´ne
    • Bois des Ussiaux
    • Bois du Maupas
    • Bois du Nouvel
    • Bonissol
    • Chabran et Garennes
    • Chapelle Saint-Roch
    • Charpenay
    • Château Roux
    • Condillac
    • Cotte
    • Croix de Ravel
    • Fort
    • Gaste
    • Gâtelet
    • Gigors
    • Grenouillet
    • la Gèle
    • la Rivière
    • la Savasse
    • la Teipe
    • la Teppe
    • l'AumĂ´ne
    • le Bois du Cheval
    • le Plan
    • les Babos
    • les Balmattes
    • les Blaches
    • les Collères
    • les Combes
    • les Cordeliers
    • les Crozes
    • les Crozes
    • les Ducs
    • les Escoffiers
    • les Étangs
    • les Godards
    • les Hayons
    • les Liorettes (nord)
    • les Liorettes (sud)
    • les MĂ©drus
    • les Pies
    • les PrĂ©s de Plan
    • les Rages
    • les Sables
    • les Sables
    • les Vieilles Vignes
    • le Truchet
    • le Val des Grillons
    • Lussel
    • Mas du Gout
    • Michalet
    • Mont Grenier
    • Mortevieille
    • Nivolets
    • Pied de Peyrins
    • Saint-Ange
    • Sibeut
    • Torrail

    Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

    • AmbĂ©sieux est un quartier attestĂ©[11] :
    en 1464 : Ambeseuum (archives de la DrĂ´me, E 2132) ;
    en 1514 : Ambesieulx (archives de la DrĂ´me, E 1855) ;
    (non daté) : Dambésieux (plan cadastral) ;
    en 1891 : Ambésieux.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales D 53, D 112 et D 538[1].

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[12] :

    • 1050 : Payrianum (cartulaire de Romans, 146).
    • 1074 : mention du mandement : mandamentum Pariani (cartulaire de Romans, 62).
    • 1100 : mention de la paroisse Saint-Martin et Saint-Julien : parrochia Sancti Martini et Sancti Juliani de Pairiano (cartulaire de Romans, 200).
    • XIIe siècle : Payris (cartulaire des hospitaliers, 3).
    • 1164 : mention de la paroisse : capella de Paira (cartulaire de Romans, 332).
    • 1193 : Pairi (cartulaire de LĂ©oncel, 50).
    • 1231 : castrum de Parran (Gall. christ., XVI, 197).
    • 1238 : Peyrinum (cartulaire de Romans, 382).
    • 1247 : castrum de Payrano (cartulaire de Romans, 373).
    • 1277 : Payrinum (inventaire des dauphins, 16).
    • 1339 : mention de la cour de justice des dauphins : curia Payrini domini Dalphini Viennensis (pap. de Valfanjouse).
    • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Paurino (pouillĂ© de Vienne).
    • 1375 : mention de la châtellenie : castellania Payrini (choix de documents, 187).
    • 1389 : mention du mandement : mandamentum de Peyrino (archives de la DrĂ´me, E 3680).
    • 1391 : mention du mandement : mandamentum Perini (archives de la DrĂ´me, E 3680, p.j. 33).
    • 1436 : Payrins (archives de la DrĂ´me, E 3692).
    • 1444 : Peyrinum (maladr. de Voley, 1577).
    • 1471 : Peyrenum (maladr. de Voley, 6).
    • 1521 : mention de la paroisse : ecclesia Peyrini (pouillĂ© de Vienne).
    • 1587 : Peyrins les Romans (Vie de Calignon, 464).
    • 1630 : Perins (Vie de Calignon, 408).
    • 1891 : Peyrins, commune du canton de Romans.

    Étymologie

    Le toponyme dériverait d'un mot signifiant « pierre ».

    Histoire

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    Le château et le mandement sont attestés en 1078, bien après les chevaliers de Pairiano[13]

    La seigneurie[12] :

    • Au point de vue fĂ©odal, la terre (ou seigneurie) de Peyrins ne comprend pas GĂ©nissieux et Saint-Ange, mais seulement les paroisses de Mours et de Peyrins, plus une partie de la banlieue et des faubourgs de Romans et, avant 1658, une partie de la commune de Saint-Paul-lès-Romans.
    • Possession des François de Royans.
    • 1262 : la terre est hommagĂ©e aux dauphins.
    • 1302 : elle est vendue aux dauphins qui y Ă©tablissent une cour de justice pour leurs terres du Viennois-Valentinois. Elle remplace le bailliage de Saint-Marcellin.
    • 1336 : les dauphins infĂ©odent la seigneurie aux Archinjaud.
    • RecouvrĂ©e par les dauphins.
    • 1349 : elle est lĂ©guĂ©e Ă  la couronne de France. La terre devient domaniale.
    • 1521 : Peyrins et GĂ©nissieux sont engagĂ©es aux La Colombière qui s'Ă©teignent, avant 1573, chez les Morges et les Bourchenu.
    • 1593 : passent aux (du) Vache qui s'Ă©teignent chez les Calignon.
    • 1558 (1658 ?) : la terre est partagĂ©e entre les Coste et les Lionne.
    • Les Lionne vendent leurs droits aux Chabrière. Ils se rĂ©servent la terre de GĂ©nissieux et une partie de celle de Saint-Paul-lès-Romans.
    • Les Chabrières acquièrent les droits des Coste.
    • Le tout passe (par mariage) aux Calignon.
    • 1715 : le tout passe (par hĂ©ritage) aux Chabrières, derniers seigneurs.

    1114 : la commune s'engage à donner deux tiers de ses eaux à Romans, en échange d'une rétribution.

    1130 : le comte Guigues V d'Albon s'impose avant une bataille contre la ville de Romans.

    1302 : la famille de Royans vend au dauphin Jean II de Viennois le domaine de Peyrins. Il le léguera à son fils Humbert II de Viennois, avant de l'offrir en 1332 à Amblard de Beaumont.

    Vers 1340, à la suite de l'expulsion de l'archevêque de Vienne, la ville de Romans prend la défense de l'archevêque tandis que le village de Peyrins s'y oppose. S'ensuit une période de troubles entre les deux communes qui se conclut par le siège du Peyrins par les troupes de Romans.

    1450 : le roi Louis XI passe une journée au Château du Roux où il signe une exemption des droits de gabelles pour la ville de Romans qui détient de nombreux stocks de sel.

    1580 : le château du Roux est détruit.

    Avant 1658, le mandement de Peyrins avait la même étendue que la terre et seigneurie de ce nom, et il en était également ainsi de la châtellenie de Peyrins[12].

    XVIIIe siècle : mention d'un péage[14].

    Avant 1790, Peyrins était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
    Elle formait quatre paroisses du diocèse de Vienne : Génissieux, Mours, Peyrins et Saint-Ange.
    La paroisse de Peyrins en particulier avait son église sous le vocable de Saint-Martin. Les dîmes appartenaient au chapitre de Romans qui présentait à la cure[12].

    Saint-Eusèbe

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

    • 1100 : ecclesia Sancti Eusebii de Parino (cartulaire de Romans, 172) ;
    • 1514 : ad Sanctum Eusebium sive Osobulum (archives de la DrĂ´me, E 1855) ;
    • 1891 : Saint-Eusèbe, chapelle ruinĂ©e de la commune de Peyrins.

    Cette chapelle dépendait du chapitre de Romans[15].

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    En 1790, Peyrins devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans, comprenant les municipalités de Geyssans et de Peyrins. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Romans[12].

    De 1841 à 1858, Charles de Sallmard, membre des dragons de la Garde impériale sous Louis XVIII et Charles X, écrit ses mémoires dans le village.

    1873 : GĂ©nissieux forme une commune distincte[12] ().

    1880 : Mours forme une commune distincte[12] ([16]).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1793 ?
    1793 (21-09) 1798 (21-09) (citoyen) Chaudier
    1798 (21-09) 1807 (24-12) (citoyen) Julhuit
    1807 (24-12) 1816 (13-12) Benoît Maisonneufre nommé par l'État (Premier Empire
    1816 (13-12) 1830 (18-11) François Juhliet nommé par l'État (Louis XVIII)
    1830 (18-11) 1834 (18-12) Claude Pain nommé par l'État (Louis Philippe)
    1834 (18-12) 1844 (22-12) Victor Barruyer nommé par l'État (Louis Philippe)
    1844 (22-12) 1848 (16-04) Jean Perriolat nommé par l'État (Louis Philippe)
    1848 (16-04) 1852 Victor Barruyer
    1852 1858 ? note : un maire est chargé de la ville tous les six mois
    1858 (28-07) 1865 (24-08) Jean Ferlay nommé par l'État (Napoléon III)
    1865 (24-08) 1870 (24-09) Victor Barruyer nommé par l'État (Napoléon III
    1870 (24-09) 1871 Victor Brichet
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1873 (16-09) Victor Brichet maire sortant
    1873 (16-09)
    (Ă©lection ?)
    1874 Pierre de Sallmard vicomte
    1874 1878 Pierre de Sallmard maire sortant
    1878 1880 (03-06) Pierre de Sallmard maire sortant
    1880 (03-06)
    (Ă©lection ?)
    1884 Victor Rebattet
    1884 1888 Victor Rebattet maire sortant
    1888 1890 (27-04) Victor Rebattet maire sortant
    1890 (27-04)
    (Ă©lection ?)
    1892 (15-05) Antoine Arthaud
    1892 (15-05) 1896 Joseph Ogier
    1896 1899 (30-04) Joseph Ogier maire sortant
    1899 (30-04)
    (Ă©lection ?)
    1900 Elizée Bouzon
    1900 1904 Elizée Bouzon maire sortant
    1904 1908 (23-08) Elizée Bouzon maire sortant
    1908 (23-08) 1912 Auguste Barruyer
    1912 1919 (10-10) Auguste Barruyer maire sortant
    1919 (10-10) 1925 (17-05) Jules Barruyer
    1925 (17-05) 1929 Auguste Brunel
    1929 1935 (19-05) Auguste Brunel maire sortant
    1935 (19-05) 1943 Joseph Chabert
    1943
    (remplacement)
    1945 (20-05) Adolphe Ruchon premier adjoint qui remplit les fonctions de maire durant la guerre
    1945 (20-05) 1947 Pierre Rivière
    1947 1953 (13-05) Pierre Rivière maire sortant
    1953 (13-05) 1959 (16-04) Raymond Charra
    1959 (16-04) 1965 Paul Grenier
    1965 1971 (27-04) Paul Grenier maire sortant
    1971 (27-04) 1973 (05-07) Jean-Marie Dherbet
    1973 (05-07)
    (Ă©lection ?)
    1977 Lucien Cotte premier adjoint de Jean-Marie Dherbet
    1977 1983 Lucien Cotte maire sortant
    1983 1989 Lucien Cotte maire sortant
    1989 1995 Lucien Cotte maire sortant
    1995 2001 (16-03) Lucien Cotte maire sortant
    2001 (16-03) 2008 Alain Paret LDIV
    2008 2014 (30-03) Alain Paret maire sortant
    2014 (30-03) 2020 (15-03) Bernard Picot[17] DVG retraité
    2020 (15-03) En cours
    (au 5 janvier 2021)
    Philippe Barneron[18] - [19] (sans Ă©tiquette)

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2020, la commune comptait 2 644 habitants[Note 3], en diminution de 0,97 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5992 5502 6162 5522 7852 8323 0153 2143 156
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 9703 0413 0122 8922 0541 5401 5461 5301 437
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4041 4001 3461 2241 2001 2291 2451 2721 298
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 2861 3021 6521 8822 0552 3092 4472 4682 415
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 6702 6292 644------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte : le dimanche suivant le [14].

    Loisirs

    • RandonnĂ©es : GR 422 - GRP DrĂ´me des Collines[1].

    Vie associative

    La commune possède de nombreuses associations[24] :

    • D'Gens ! T' de Peyrins (Association Théâtrale).
    • A Livres Ouverts (Bibliothèque).
    • A.C.C.A. de Peyrins (DĂ©veloppement durable en milieu rural, chasse et biodiversitĂ©).
    • ABC Gym (Initiation Ă  la gymnastique et compĂ©titions inter-clubs).
    • ADMR de Peyrins- GĂ©nissieux- Haute Herbasse (Aide Ă  domicile , service de proximitĂ©).
    • Bouge tes notes (Aide au dĂ©veloppement de la musique : Musique, Chorales, Groupes musicaux).
    • CLS de Peyrins (Organisation de loisirs Ă  objectifs multiples, comitĂ© des fĂŞtes).
    • Club des sans soucis (Club de loisirs).
    • ComitĂ© GĂ©nĂ©ration·s DrĂ´me des Collines (ComitĂ© local du parti politique GÉNÉRATION·S LE MOUVEMENT)
    • DĂ©cawowo solidaritĂ© togo (Aide pĂ©dagogique et financière aux projets scolaires).
    • École municipale de musique (Musique, Chorales, groupes musicaux).
    • Evolus'on (Musique, Chorales, groupes musicaux).
    • FNACA.
    • GĂ©nĂ©rations Futures (Discussion dĂ©bats sur le futur et l'environnement).
    • Graine de Cocagne (Insertion sociale et professionnelle et rĂ©insertion professionnelle : entreprises d’insertion, associations intermĂ©diaire).
    • Graine de PrĂ©sent (mĂ©ditation).
    • GYM Form (Club de gymnastique).
    • Judo Peyrinois (club d'arts martiaux et sports de combats).
    • Kevin's (Chorales, groupes musicaux).
    • L'Art et la matière en DrĂ´me des collines (Promotion des Ĺ“uvres contemporaines et des lieux d'histoire).
    • La Ruche, Familles rurales[25](Accueil de Loisirs Sans HĂ©bergement Jeunesse 3/12 ans).
    • Le Foyer des Hirondelles (Accueil de personnes en situation de Handicap).
    • Petit Orchestre de GĂ©nissieux POG (jazz, musique, chorales, groupes musicaux).
    • Peyrins Volley Ball (Club de Volley et Beach Volley).
    • SociĂ©tĂ© des Ĺ“uvres laĂŻques (Association pĂ©riscolaire et de parents d'Ă©lèves).
    • Tennis Club Peyrinois (club de tennis).
    • Union sportive peyrinoise Foot (club de football).

    Manifestations sportives

    • Tournoi de Beach Volley : le 1er week-end de juillet.
    • Course Ă  pied Peyrinissime : 1er dimanche d'octobre.

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales, fruits, ovins, caprins[14].

    • CoopĂ©rative d'Ă©levage[14].
    • Foire : le deuxième jeudi d'avril[14].

    Commerce

    • Foire des artisans et des commerçants : fin avril.
    • MarchĂ© de NoĂ«l des Ă©coles : fin novembre - dĂ©but dĂ©cembre.

    Industrie

    La commune possède une carrière[14].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Châteauroux : vestiges du château médiéval dominant le village.
    • Chapelle romane Saint-Ange (XIIe siècle) : chevet pentagonal[14], sur la colline du hameau de Saint-Ange, classĂ©e aux Monuments Historiques.
    • Château du Gâtelet : ancienne maison forte[14] (XVIIe siècle), Ă  la sortie du village en direction de Margès (propriĂ©tĂ© privĂ©e).
    • Château de Sallemard : offert Ă  Soffrey de Calignon[26] par Henri IV en 1606 pour sa participation Ă  l'Ă©laboration de l'Édit de Nantes en 1598 (propriĂ©tĂ© privĂ©e).
    • La Mèche : maison forte du XVIIe siècle.
    • Chapelle du cimetière[14].
    • Chapelle Saint-Roch sur la route de Margès.
    • Oratoire[14].
    • Église Saint-Martin de Peyrins (XIXe siècle)[14].

    Patrimoine naturel

    • Bois de Lusset[14].
    • Nombreuses grottes et caves[1].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Blason de Peyrins Blason
    D'argent à trois fasces ondées, à un dauphin, posé en pal, la queue tournée à senestre et duquel jaillit de la bouche un jet d'eau, le tout d'azur ; au chef de gueules à une chèvre saillante et issante d'or[30].
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Annexes

    Bibliographie

    • Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes mĂ©diĂ©vales du milieu du XIIe siècle au dĂ©but du XVIe siècle, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).
    • Jacques-François Lanier, Les Scissions d'une commune drĂ´moise au XIXe siècle : crĂ©ation des communes de GĂ©nissieux et de Mours par Ă©clatement de la commune de Peyrins.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

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