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GĂ©nissieux

Génissieux est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

GĂ©nissieux
GĂ©nissieux
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement DrĂ´me
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Catherine Peltier
2023-2026
Code postal 26750
Code commune 26139
DĂ©mographie
Population
municipale
2 409 hab. (2020 en augmentation de 21,42 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 270 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 05′ 04″ nord, 5° 05′ 07″ est
Altitude Min. 177 m
Max. 303 m
Superficie 8,93 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romans-sur-Isère
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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GĂ©nissieux
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GĂ©nissieux
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GĂ©nissieux
Liens
Site web https://www.genissieux.fr/

    Ses habitants sont dénommés les Génissois(es).

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de GĂ©nissieux se situe Ă  cinq kilomètres de la ville de Romans-sur-Isère et dix-huit kilomètres de Valence. Elle se trouve Ă©galement Ă  109 km de Lyon et Ă  75 km de Grenoble.

    Urbanisme

    Typologie

    GĂ©nissieux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [1] - [2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 6 communes[4] et 57 067 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[7] - [8]. Elle fait partie de la communautĂ© de communes de Valence Romans Agglo qui rassemble 54 communes et compte 216 000 habitants.

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), zones urbanisées (16 %), forêts (5 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[10] :

    • 699 : Villa de Geniciaco (Spicileg., III, 318).
    • 887 : Giniciacum (Spicileg., III, 362).
    • 908 : Gineciacum villa (cartulaire de Romans, 10 bis).
    • 995 : Giniciacum (cartulaire de Romans, 101).
    • 995 : mention de l'ager : Giniacensis ager (cartulaire de Romans, 101).
    • 1000 : mention de l'ager : Ager Giniacensis (cartulaire de Romans, 60).
    • 1064 : mention de l'ager : Ager Giniciensis (cartulaire de Romans, 56).
    • 1068 : mention de l'ager : Ager Giniciacensis (cartulaire de Romans, 14 bis).
    • XIe siècle : Janaiseium (cartulaire de Romans, 183).
    • XIe siècle : Janiciacum (cartulaire de Romans, 223).
    • 1100 : mention de la paroisse Saint-Pierre : Parrochia Sancti Petri de Geneciaco (cartulaire de Romans, 172).
    • 1100 : mention de la paroisse : Ecclesia de Giniceo (cartulaire de Romans, 164 ter).
    • 1150 : mention de la paroisse : Decima de Genetiaco (cartulaire de Romans, 328).
    • 1170 : mention de la paroisse : Decimis de Jeniceu (cartulaire de Romans, 332).
    • 1444 : mention de la paroisse : Geneciacum (maladr. de Voley).
    • XVe siècle : mention de la paroisse : Genicenum (archives de la DrĂ´me, fonds de Saint-Paul-lès-Romans).
    • XVe siècle : mention de la paroisse : Capella de Geniciaco (pouillĂ© de Vienne).
    • XVe siècle : mention de la paroisse : Parrochia de Geniceno (archives de la DrĂ´me, fonds de Saint-Paul-lès-Romans).
    • 1521 : mention de la paroisse : Ecclesia Geniciaci (archives de la DrĂ´me, fonds de Saint-Paul-lès-Romans).
    • 1550 : Genicieu (archives de la DrĂ´me, E 3664).
    • 1891 : GĂ©nissieux, commune du canton de Romans.

    Étymologie

    L'origine du nom Génissieux est incertaine, trois hypothèses ont été avancées.

    • La première serait que GĂ©nissieux soit une dĂ©rivation du nom de personne Genis (GĂ©niès ou encore Genix). En Savoie, une commune s'appelait au XIe siècle Sanctus Genesius (Saint Genis).
    • La deuxième serait que GĂ©nissieux vienne d'un radical celtique, gwen", qui signifie « blanc » en breton (gaulois vindo).
    • La dernière serait que le nom soit liĂ© Ă  la vĂ©gĂ©tation. En effet genistaceus est un terme latin pour dĂ©signer un lieu « couvert de genĂŞts ».
    • La première explication est de loin la plus vraisemblable, c'est celle de Jean-Claude Bouvier, spĂ©cialiste de toponymie nord-provençale[11].

    Genesius est un nom porté par six saints dont trois nés en Auvergne.

    Histoire

    Protohistoire : les Celtes

    M. Pénelon, lors d'une partie de chasse, remarque une légère butte de terre. Avec l'aide d'un de ses amis, M. Boisse, il découvre une petite construction datant de l'époque gauloise, peut-être un tombeau.

    Antiquité : les Gallo-romains

    Traces de l'époque romaine allant du IIe au IVe siècle.

    Du Moyen Ă‚ge Ă  la RĂ©volution

    La première trace historique de Génissieux date de 696 lorsque fut découvert le testament d'un abbé Ephibius. Ce dernier léguait Génissieux et l'ensemble de ses terres à l'église de Vienne : « Je lègue à Dieu et à ses saints, pour qu'elles servent dans l'église de Vienne, par notre seigneur l'évêque Cacold, la terre tout entière de Geniciacum avec tout ce qui lui appartient »[12].

    • « [Je lègue] la terre toute [sic] entière de GĂ©nissieux, avec tout ce qui lui appartient, les serfs de l'un et de l'autre sexe, les terres, les bois, eaux, ports et districts et tout ce qui relève de ladite terre ».

    La seigneurie[10] :

    • La terre est possĂ©dĂ©e par un certain abbĂ© Ephibius.
    • 697 : donnĂ©e Ă  l'Ă©glise archiĂ©piscopale de Vienne.
    • 856 : appartient Ă  l'abbaye de Romans.
    • 1339 : les Clermont-Chatte sont seigneurs de GĂ©nissieux.
    • GĂ©nissieux devient terre domaniale.
    • De 1528 Ă  1574, elle est engagĂ©e aux La Colombière.
    • 1658 : elle est engagĂ©e aux Lionne qui acquirent en mĂŞme temps certains droits appartenant aux Guigou de Chapolay, et dont les biens furent vendus en 1609 aux Chabod de la Serre.
    • 1757 : les Lionne sont remplacĂ©s par les Bally de Bourchenu, derniers seigneurs.

    L'ager de Génissieux comprenait, avec la commune de ce nom, celles de Geyssans, de Triors et parties des communes de Romans et de Saint-Paul-lès-Romans[10].

    • En plus de son territoire actuel, GĂ©nissieux comprenait autrefois Triors, Le Chalon, une partie de Saint-Paul-lès-Romans et s'Ă©tendait jusqu'aux berges de l'Isère (Port d'Ouvey).

    Avant 1790, Génissieux était une paroisse de la communauté de Peyrins et du diocèse de Vienne, dont l'église était sous le vocable de Saint-Pierre et dont les dîmes appartenaient au chapitre de Romans, qui présentait à la cure[10].

    De la RĂ©volution Ă  nos jours

    Compris en 1790 dans la municipalité de Peyrins, Génissieux a fait partie de la commune de ce nom jusqu'au 26 juin-2 juillet 1873 ; il en a été distrait pour former une commune distincte du canton de Romans[10].

    • Le , les GĂ©nissois prĂ©sentèrent une première pĂ©tition en vue d'acquĂ©rir leur indĂ©pendance. Peyrins repoussa l'idĂ©e de la sĂ©paration. Les tractations durèrent 35 ans. Par la loi du , GĂ©nissieux devint une commune distincte de Peyrins. Le eurent lieu les premières Ă©lections municipales de GĂ©nissieux. Le , le conseil municipal Ă©tait installĂ©. Victor Brichet, dont le portrait orne actuellement la salle du conseil municipal, est proclamĂ© premier maire de la Commune.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis la création de la commune
    Période Identité Étiquette Qualité
    septembre 1873 novembre 1887
    (décès)
    Victor Brichet Cultivateur
    1888 juin 1888
    (décès)
    Valérien Blain Maréchal-ferrant, ancien premier adjoint
    1888 mai 1912 Francois-Xavier Perret Propriétaire terrien
    mai 1912 1919 Louis Joud Cultivateur
    1919 1938 Frédéric Pénelon (1876-1964)
    1938 juin 1940
    (décès)
    Joseph MĂ©arys
    juin 1940 juillet 1941
    (démission)
    Ernest Mottin Premier adjoint, assure l'intérim
    juillet 1941 1944 Pierre Charignon
    novembre 1944 mai 1953 Simon Choppin
    mai 1953 mars 1971 Alphonse Cornillac
    mars 1971 mars 1977 Henri Barboyon
    mars 1977 août 1988
    (décès)
    Jean-Georges Cherpin
    1988 mars 1989 Jean-Paul Mouton
    mars 1989 mars 2008 Louis-Paul Bossan[13] UDF
    mars 2008[14] mai 2023 Christian Bordaz[15] DVD Electrotechnicien retraité[16]
    mai 2023[17] En cours Catherine Peltier SE Ancienne directrice de Mission locale

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

    En 2020, la commune comptait 2 409 habitants[Note 3], en augmentation de 21,42 % par rapport Ă  2014 (DrĂ´me : +3,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    714653672663663645635609564
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    5725545665666305896557651 125
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2020 - -
    1 5841 8262 0022 0281 9712 2822 409--
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee Ă  partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • FĂŞte patronale (en 1992) : 2 aoĂ»t[22].
    • FĂŞte communale (en 1992) : premier dimanche d'aoĂ»t[22].
    • Le comitĂ© des fĂŞtes de GĂ©nissieux organise un grand Ă©vĂ©nement : la Saint-Vincent : chaque annĂ©e, fin fĂ©vrier-dĂ©but mars (en 2008, les 1, 2 et ).

    Économie

    En 1992 : céréales, vignes, vergers, caprins, bovins[22].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Château Messance construit au XVIIIe siècle au centre du village. DĂ©butĂ© par M. Jomaron de Montchorel et achevĂ© par Jean-Baptiste Maisonneuve et son fils François BenoĂ®t. Ce château fut achetĂ© en 1828 par Hippolyte Charles qui fut l'amant de JosĂ©phine de Beauharnais.
    • Château Giller du XVIe siècle avec quatre tours rondes, remaniĂ© au XVIIIe siècle.
    • Maison forte dit le Colombier, dans le quartier des Marais : une tour carrĂ©e massive.
    • Église Saint-Pierre de GĂ©nissieux XIXe siècle[22].
    • Calvaires[22].

    Patrimoine naturel

    • Vue Ă©tendue sur la plaine[22].

    Personnalités liées à la commune

    • Isabelle de Brive, Ă©pouse de Gaste, dame de GĂ©nissieux au XVe siècle.
    • Le groupe Pep's compte plusieurs membres qui ont appris la musique dans l'Ă©cole de GĂ©nissieux.
    • La troupe de théâtre La GĂ©nissoise, assez connue dans la rĂ©gion, dont la plupart des membres habitent le village.
    • Monique Rey, professeur et poète, chevalier de l'Ordre national du MĂ©rite.
    • BĂ©atrice, la chanteuse du groupe Tara King TH est originaire de GĂ©nissieux.

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Génissieux possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Bibliographie

    • Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la DrĂ´me, Ă©ditions CrĂ©aphis, 192 pages, 2004.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Romans-sur-Isère », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 158.
    11. J.-C. Bouvier : Les noms de lieux du Dauphiné (Bonneton, 2002), p. 50.
    12. Henri Pouzin, Il Ă©tait une fois ... GĂ©nissieux, Valence, E&R., , 11 p., Un testament d'une grande importance.
    13. GĂ©nissieux / Louis Paul Bossan, sur memoire-drome.com
    14. [PDF] La Lucarne de Génissieux n° 31, printemps 2018, p. 3
      « Lors des élections municipales de mars 2008, vous nous avez confié la gestion de notre commune, et renouvelé cette confiance en mars 2014. ».
    15. Génissieux sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 9 mars 2015).
    16. Les Ă©lus - Le maire, sur genissieux.fr
    17. Jérémy Perraud, « Génissieux. Catherine Peltier est élue maire de la commune », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne Accès payant).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    22. Michel de la Torre, DrĂ´me, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), GĂ©nissieux.
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