AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Neuilly-le-Vendin

Neuilly-le-Vendin est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Mayenne en rĂ©gion Pays de la Loire, peuplĂ©e de 345 habitants[Note 1].

Neuilly-le-Vendin
Neuilly-le-Vendin
L'Ă©glise et la mairie.
Blason de Neuilly-le-Vendin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes du Mont des Avaloirs
Maire
Mandat
Daniel Chesneau
2020-2026
Code postal 53250
Code commune 53164
DĂ©mographie
Gentilé Noculéen
Population
municipale
345 hab. (2020 en diminution de 1,43 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 24 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 29â€Č 45″ nord, 0° 20â€Č 21″ ouest
Altitude Min. 127 m
Max. 223 m
Superficie 14,60 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Villaines-la-Juhel
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Neuilly-le-Vendin
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Neuilly-le-Vendin
GĂ©olocalisation sur la carte : Mayenne
Voir sur la carte topographique de la Mayenne
Neuilly-le-Vendin
GĂ©olocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Voir sur la carte administrative des Pays de la Loire
Neuilly-le-Vendin
Liens
Site web neuillylevendin.free.fr

    La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine dans le pays de Passais.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[4]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 772 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bagnoles-de-L_orne », sur la commune de Bagnoles de l'Orne Normandie, mise en service en 1990[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 902,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, dans le dĂ©partement de l'Orne, mise en service en 1946 et Ă  33 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  10,9 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Neuilly-le-Vendin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [17] - [18] - [19]. La commune est en outre hors attraction des villes[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (97,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (56,8 %), prairies (37,4 %), zones urbanisĂ©es (3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (2,7 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Nuillé en 1452[24]. L'abbé Angot a relevé dans divers documents : ecclésia de Nuillé (XIVe siÚcle)[25], parochia de Nullye (1418), Nuilly (1450)[26], ecclésia de Nuilleyo (XVe siÚcle[25], Nulleyum en Vendain (1509), Nulleyum in Vandano (1565),Nuillie-en-Vandin (1590), Nuillé-et-Vendain (1635[27], Nuilley-en-Vendain (1660)[28] Nuillé, Nuilly-le-Vendin[29], Neuilly-le-Vendin[Note 7] - [30], Nuilly (1792), Neuilly (1795). Sur les registres d'état-civil, on trouve successivement Nuillé-Vendain ou Vandain, Nuillé-en-Vendain, Nuillé-le-Vendin, et enfin Neuilly-le-Vendin.

    Le toponyme Neuilly est gĂ©nĂ©ralement issu du latin novellus, « nouveau Â», suffixĂ© de -iacum et Ă©voque des dĂ©frichements[24] antĂ©rieurs au Moyen Âge tardif.

    Histoire

    De nombreux sarcophages en calcaire coquillier ont Ă©tĂ© trouvĂ©s dans l’ancien cimetiĂšre[Note 8], dans l'ancienne Ă©glise et jusque sous les fondations. Ils situent la fondation de NuillĂ© au VIIIe ou IXe siĂšcle. Il est possible que la fondation date de l'arrivĂ©e de Constantien de Javron et Fraimbault de Lassay en forĂȘt de Nuz au VIe siĂšcle.

    On trouve une premiÚre preuve de l'ancienneté de la paroisse dans les actes suivants :

    • Acte de 1145, Roberto de Nuilleio, tĂ©moin de la fondation de l'abbaye de Perseigne par Guillaume Ier de Ponthieu, comte d'Alençon.
    • Acte de 1191, Robertus de Nuille, tĂ©moin des largesses effectuĂ©s pour le compte des moines de l'abbaye de Perseigne par Robert, fils de Jehan, comte de Ponthieu, et par Garinus[31] de Nuilleio, et plusieurs autres.

    Le roi d’Angleterre prend sous sa protection la paroisse de Neuilly, ce qui n’empĂȘche pas que l'un des paroissiens, au moins, nommĂ© Robin Perruchet, n'ait pendant la guerre grevĂ© et endommagĂ© les ennemisen soy dĂ©monstrant loyal envers le roi qui lui accorde des lettres de rĂ©mission en 1450.

    La seigneurie de Neuilly était annexée à la terre du Bois Hamelin, dont étaient seigneurs les comtes de Montreuil. Elle semble avoir conservé son autonomie et ses anciennes limites jusqu'en 1755. Vers cette époque, Vaugeois, en fut distrait et réuni à la paroisse de Saint-Ouen-le-Brisoult. En compensation, le bois Hamelin, qui dépendait de Saint-Ouen-le-Brisoult, est rattaché à Neuilly.

    L'année 1611 est marquée par une sécheresse[Note 9]. Une gelée extraordinaire a lieu le . L'hiver de 1659-1660 est d'une rigueur extraordinaire[Note 10].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1792 1797 Julien Launay
    ? 1798 Jean-Baptiste Maugé
    1799 1799 Jacques Garnier
    1799 1806 Pierre Legros
    1807 1815 Jean-Baptiste Ledonné
    1816 1830 Jacques de Beauvais
    1831 1850 Jean Beaumont
    1851 1855 Jean Derouet
    1856 1880 Jean-Baptiste Derouet[32] réélu en 1871[33]
    1881 [34] 1884 Gustave Derouet[35]
    1885 1895 Amand Bellier réélu en 1888[36]
    1895 ? Jean-Baptiste Breton
    1983[37] mars 2014 Mme Dominique Rioux RPR Chef d'entreprise (directrice des Moulins Rioux), conseillÚre générale (1986-2001)
    mars 2014[38] En cours Daniel Chesneau SE Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[38] .

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[40].

    En 2020, la commune comptait 345 habitants[Note 11], en diminution de 1,43 % par rapport Ă  2014 (Mayenne : −0,3 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Neuilly-le-Vendin a comptĂ© jusqu'Ă  1 739 habitants en 1851.

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2641 4201 4141 4251 5201 6251 5711 5681 739
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5741 4271 3321 0941 0981 020974997915
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    893840841749714690661641614
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    542453415398403426385364388
    2014 2019 2020 - - - - - -
    350345345------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Neuilly-le-Vendin abrite une partie du site Natura 2000 du « bocage de la forĂȘt de la Monnaie Ă  Javron-les-Chapelles Â»[43].

    Église

    L'ancienne Ă©glise est dĂ©molie en 1894. Il est trĂšs probable que la partie primitive de l'Ă©glise avec ses petites fenĂȘtres de forme ogivale, remontait au XIIe siĂšcle. Le chƓur faisait environ 11 mĂštres de longueur et portait Ă  cĂŽtĂ© de l’autel, la date de 1667. Une chapelle dĂ©diĂ©e Ă  saint Jean est ajoutĂ©e vers 1505. Le cimetiĂšre commun[Note 12] Ă©tait situĂ© autour de l'Ă©glise. Il Ă©tait encore visible en 1850. La prĂ©sence d'une lĂ©proserie[Note 13], transformĂ©e par la suite en autre cimetiĂšre rĂ©sulte de plusieurs documents[44]. Les inhumations y cessent en 1722, et il est reconverti en jardin pour la cure jusqu'en 1769 oĂč il est vendu.

    L'église actuelle, dédiée à la Nativité-de-la-Sainte-Vierge, date de la fin du XIXe siÚcle.

    Personnalités liées à la commune

    Magloire Roussel en zouave pontifical, vers 1869.
    • Magloire Roussel, nĂ© Ă  Neuilly-le-Vendin en 1848 et mort Ă  Laval en 1907, frĂšre d'Aimable, Ă©lĂšve du petit sĂ©minaire de Mayenne et du grand-sĂ©minaire de Laval, zouave pontifical, prĂȘtre en 1874, aumĂŽnier puis chanoine du lycĂ©e de Laval, officier de l'instruction publique.
    • Aimable Roussel, nĂ© Ă  Neuilly-le-Vendin en 1845 et mort Ă  CossĂ©-le-Vivien en 1882, frĂšre de Magloire, Ă©lĂšve du petit sĂ©minaire de Mayenne et du grand-sĂ©minaire de Laval, vicaire Ă  CossĂ©-le-Vivien oĂč se trouve encore sa tombe au centre du cimetiĂšre.

    HĂ©raldique

    Blason de Neuilly-le-Vendin Blason
    D’azur, Ă  deux fers de lance adossĂ©s, mis en fasce, touchant les bords de l’écu et joints par un bĂąton, le tout d’argent et accompagnĂ© en chef et en pointe d’une rose du mĂȘme, coupĂ© de l’un Ă  l’autre.
    DĂ©tails
    L’azur indique la prĂ©sence de plusieurs cours d’eau dont la riviĂšre Mayenne, le ruisseau de Vendin et celui du Doitineau. Cette couleur rappelle aussi celles de l’ancienne province du Maine Ă  laquelle se rattache Neuilly-le-Vendin.

    La rose est l’une des reprĂ©sentations symboliques de la Vierge qui la sainte patronne du village sous le vocable de la NativitĂ©.

    La double pointe de lance rĂ©unie permet de reprĂ©senter le peuplement ancien du village ainsi que l’atteste la dĂ©couverte de sarcophages en calcaire coquillier. Ils sont d’origine gauloise.

    La multiplication par deux de la pointe de lance et de la rose permet de rappeler que le village actuel est le rĂ©sultat d’une ancienne fusion entre Neuilly et le Vendin. Cette fusion Ă©tant aujourd’hui si indissociable qu’elle justifie le mĂ©lange des couleurs dans cette distribution particuliĂšre qu’est le coupĂ© de l’un Ă  l’autre.

    Les ornements sont deux gerbes de blĂ© d’or, mises en sautoir par la pointe et liĂ©es d’azur afin d’honorer l’activitĂ© agricole de la commune.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien Ă  voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Un petit Ă©tang se situe Ă  l'extrĂ©mitĂ© est de la commune. Il sert de rĂ©servoir Ă  un ruisseau appelĂ© Vendin, du nom d’un village situĂ© sur son cours, prĂšs de la source, et Ă  2 kilomĂštres environ au nord du bourg. Cet Ă©tang alimentait un moulin qui n’existait pas avant lui.
    8. Il entourait l'ancienne Ă©glise en 1850
    9. Du 15 fĂ©vrier au 10 juin, il ne tombe pas une goutte d’eau sinon et bien peu le jour de la Saint-AndrĂ©. Il est fait plus d’oraisons et de processions que jamais fut de cognoissance d’aucun vivant. La vĂ©gĂ©tation reprit activement mais tout fut ravagĂ© par la grĂȘle.
    10. La neige couvrit la terre du 3 décembre au 25 mars.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    12. Il existait un autre cimetiĂšre ou ladrerie comme d'autres communes oĂč l'on enterrait les personnes atteintes de lĂšpre.
    13. Elle devait se situer sur une parcelle nommée désormais Clos des Chapelles.

    Références

    1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 870
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Bagnoles-de-L_orne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Neuilly-le-Vendin et Bagnoles de l'Orne Normandie », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Bagnoles-de-L_orne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Neuilly-le-Vendin et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
    25. Cité par Pouillé.
    26. Archives nationales.
    27. Inscriptions dans l’ancienne Ă©glise.
    28. Registre paroissial.
    29. Saillot.
    30. Carte de Cassini.
    31. Garnier.
    32. Fils du maire précédent, Jean Derouet.
    33. « NOUVELLES LOCALES - CHRONIQUE DE L'OUEST », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'ECHO DE LA MAYENNE (consulté le ).
    34. « Noms des Maires et Adjoints - Canton de Couptrain », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Echo de la Mayenne (consulté le ).
    35. Fils du maire précédent, Jean-Baptiste Derouet.
    36. « Liste des Maires - Canton de Couptrain », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Avenir de la Mayenne (consulté le ).
    37. « Dominique Rioux décorée pour ses 37 ans à la mairie », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    38. « Neuilly-le-Vendin (53250) - Municipales 2014 », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. Liste des communes concernées par un site Natura 2000 en Mayenne, consulté le 9 novembre 2015
    44. M. Le Vannier, prĂȘtre, portant les dates des 3 mars, 13 avril, 29 mai et 5 juin 1628, par ces testaments, lĂšgue Ă  la Fabrique le jardin des chapelles, autrefois cimetiĂšre pour le redevenir.. Mgr de Beaumanoir, Ă©vĂȘque du Mans rappelle dans sa lettre que le nouveau cimetiĂšre abandonnĂ© Ă©tait celui des pestifĂ©rĂ©s et des lĂ©preux.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.