Myriophyllum aquaticum
Myriophyllum aquaticum (synonyme Myriophyllum brasiliense[1] - [2]), appelé en français Myriophylle aquatique ou Myriophylle du Brésil[3] (en anglais, Parrot's Feather[4]), elle est souvent vendue sous le nom Myriophyllum propium. Elle est de la famille des Haloragaceae, c'est une plante herbacée, vivace et amphibie[5].
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Cette plante se dĂ©veloppe de prĂ©fĂ©rence dans les eaux relativement chaudes et stagnantes, mais prĂ©sente une grande capacitĂ© d'adaptation. Elle est d'ailleurs considĂ©rĂ©e comme invasive : originaire d'AmĂ©rique du Sud, on la retrouve aujourd'hui un peu partout dans le monde [4] - [5]. Elle figure sur la liste des espĂšces exotiques envahissantes prĂ©occupantes pour lâUnion europĂ©enne adoptĂ©e le par la Commission europĂ©enne[6] - [7]. Cela signifie qu'elle ne peut pas ĂȘtre importĂ©e, cultivĂ©e, commercialisĂ©e, plantĂ©e, ou libĂ©rĂ©e intentionnellement dans la nature, et ce nulle part dans lâUnion europĂ©enne[8].
Myriophyllum aquaticum tire son nom du grec ancien et du latin. En effet ÎŒÏ ÏÎčÏÏÏ Î»Î»ÎżÎœ (myriÏphyllon) vient des mots grecs ÎŒÏ ÏÎŻÎżÏ (murĂos) et ÏÏÎ»Î»ÎżÎœ (phĂșllon) signifiant respectivement "trĂšs nombreux" et "feuilles"[9]. "Aquaticum" vient, quant Ă lui, du latin et signifie "aquatique"[10].
Description
Appareil végétatif
Les tiges noueuses du Myriophyllum aquaticum mesurent, en général, entre 15 et 60 cm, mais elles peuvent atteindre jusqu'à 3-4 mÚtres de long. Cependant, le diamÚtre des tiges reste petit : de quelques millimÚtres à peine. La partie émergée des tiges, elle, atteint 40 cm de haut [3] - [5].
Les racines, quant à elles, peuvent dépasser la taille de 85 cm de long. Deux types de racines sont trouvés : les racines glabres et les racines aérifÚres [5].
Les feuilles sont de type pennatiséqué et verticillé par 4, 5 ou 6, mais le plus couramment par 5. Leur couleur dépend de leur position par rapport à la surface de l'eau : les feuilles immergées seront vert clair, tandis que les feuilles dépassant de l'eau seront vert foncé [3] - [5].
Fleurs
Les fleurs du Myriophyllum aquaticum que lâon retrouvera Ă lâaisselle des feuilles des rameaux Ă©mergĂ©s sont toutes petites, unisexuĂ©es et solitaires. Cette plante est dioĂŻque. On retrouvera donc des individus mĂąles, dâune part, et femelles, dâautre part. Les fleurs mĂąles et femelles prĂ©sentent des morphologies diffĂ©rentes. Les fleurs mĂąles possĂšdent 4 sĂ©pales blancs soudĂ©s entre eux Ă la base, ainsi quâune corolle Ă 4 pĂ©tales. Les fleurs femelles possĂšdent Ă©galement 4 sĂ©pales blancs soudĂ©s, mais contrairement aux mĂąles, elles ne possĂšdent pas de pĂ©tales[5].
Fruits
Quatre akĂšnes soudĂ©s entre eux forment ce que lâon appelle le fruit du Myriophyllum aquaticum, ce dernier Ă©tant alors qualifiĂ© de tĂ©trakĂšne. Chaque fruit mesurent 0,5 mm de long sur 0,3 mm de large et contient 4 graines[5].
EspĂšces voisines
Myriophyllum est un genre végétal comprenant 45 espÚces différentes, dont les espÚces principales sont:
- Myriophyllum aquaticum (Vell.) Verdc.
- Myriophyllum verticillatum L.
- Myriophyllum spicatum L.
- Myriophyllum heterophyllum Michx
- Myriophyllum farwelli Morong
- Myriophyllum hippuroides Nutt. Ex Torr. & Gray
- Myriophyllum humile (Raf. Morong)
- Myriophyllum laxum (Shuttlw. ex Chapman)
- Myriophyllum pinnatum (Walt.) B.S.P.
- Myriophyllum quitense Kunth
- Myriophyllum sibiricum Komarov
- Myriophyllum tenellum Bigelow
- Myriophyllum ussuriense (Regel) Maxim
Ces diffĂ©rentes espĂšces de Myriophyllum peuvent possĂ©der des caractĂ©ristiques fort semblables. En effet, Myriophyllum aquaticum peut facilement ĂȘtre confondue avec les espĂšces exotiques Myriophyllum heterophyllum et Myriophyllum robustum, qui, elles aussi, prĂ©sentent des tiges Ă©mergĂ©es[11].
Ăcologie
Répartition géographique
Myriophyllum aquaticum est une plante originaire du fleuve Amazone, en AmĂ©rique du Sud. On la retrouve beaucoup au BrĂ©sil, dâoĂč son nom vernaculaire : Myriophylle du BrĂ©sil[5] - [10]. Cependant, Ă©tant une plante invasive, on la retrouve aujourdâhui partout dans le monde, et plus spĂ©cialement dans les pays Ă climat relativement tempĂ©rĂ©[5] bien quâelle soit tout Ă fait capable de coloniser les pays aux hivers rudes grĂące Ă son incroyable capacitĂ© dâadaptation[3].
Cette plante, originaire du Sud du continent amĂ©ricain, est retrouvĂ©e aujourdâhui beaucoup plus au Nord du continent. En effet, elle a colonisĂ© tout le Sud des Ătats-Unis et les cĂŽtes du Nord du pays, lĂ , oĂč le climat est plus tempĂ©rĂ©[4].
Toutefois, le Myriophylle du BrĂ©sil a Ă©galement envahi une bonne partie de lâEurope de lâOuest : on le retrouve en France, mais aussi au Portugal, en Espagne, en Belgique, en Autriche, en Allemagne ou encore au Royaume Uni[3]. Certaines plantes ont mĂȘme Ă©tĂ© trouvĂ©es en Afrique du Sud ou encore en Nouvelle-ZĂ©lande[4].
Habitat
Myriophyllum aquaticum est une plante amphibie. En effet, elle pourra se dĂ©velopper aussi bien Ă la surface de lâeau quâen Ă©tant totalement immergĂ©e. Cette plante aquatique se dĂ©veloppera plus aisĂ©ment dans les milieux stagnants ou Ă faible courant et prĂ©sente une prĂ©fĂ©rence pour les eaux bien Ă©clairĂ©es, peu profondes, et dont la tempĂ©rature est comprise entre 20-25 °C (marais, lacs, petits cours dâeau, rives, etc.). De plus, elle aime les eaux riches en Ă©lĂ©ments nutritifs, mais ne semble pas avoir de prĂ©fĂ©rence pour un substrat en particulier: elle se dĂ©veloppera aussi bien sur les milieux sableux que rocheux[3] - [5].
Notons toutefois que cette plante invasive sâaccommode trĂšs facilement de milieux dont la tempĂ©rature, lâĂ©claircissement, la minĂ©ralisation ou encore le pH ne sont pas optimales pour elle[4] - [5] - [10].
Cycle de vie
Le Myriophylle aquatique est une plante dioïque[5]. Sa floraison a lieu au printemps et en été. Deux types de reproduction sont possibles pour cette plante : sexuée et asexuée.
- Reproduction sexuée
La reproduction sexuĂ©e va se faire trĂšs simplement : la floraison se fait au printemps ainsi quâen Ă©tĂ© et le pollen va ĂȘtre transportĂ© exclusivement par le vent jusquâĂ une autre fleur[5].
- Reproduction asexuée
La reproduction asexuĂ©e se fait par allongement et fragmentation des tiges. Ce mode de reproduction asexuĂ©e est trĂšs efficace et va permettre Ă la plante de sâĂ©tendre trĂšs vite, voire dâenvahir la rĂ©gion occupĂ©e[5].
Myriophyllum aquaticum prĂ©sente une particularitĂ© au niveau de la distribution des deux sexes : en dehors de son habitat naturel, seuls des individus femelles sont observĂ©s et mĂȘme en AmĂ©rique du Sud, sa rĂ©gion dâorigine, pratiquement toutes les plantes trouvĂ©es sont des femelles, il nây a presque pas de mĂąles[4]. La reproduction sexuĂ©e est donc rare chez le Myriophyllum aquaticum en dehors de son habitat naturel et la plupart des individus vont se reproduire par fragmentation[3] - [5] - [4]. En Eurasie, on trouvera une auto-fragmentation, tandis quâen AmĂ©rique du Nord, des fragments se casseront mĂ©caniquement et sâenracineront, donnant ainsi une nouvelle plante[4].
Interactions avec dâautres organismes
Dans son habitat dâorigine, Myriophyllum aquaticum est bĂ©nĂ©fique pour lâĂ©cosystĂšme dans lequel elle se dĂ©veloppe. En effet, grĂące Ă lâĂ©pais feuillage quâelle forme Ă la surface des points dâeau, cette plante protĂšge les organismes aquatiques, telles les larves de moustiques, des Ă©tendues dâeau quâelle envahit[4] - [5]. De plus, le Myriophylle aquatique sert de nourriture pour un grand nombre dâanimaux. En effet, Myriophyllum aquaticum a des prĂ©dateurs naturels, tels que des poissons ou des oiseaux dâeau[3], mais Ă©galement les colĂ©optĂšres de type Lysathia flavipes (Boheman), Listronotus marginicollis (Hustache) ou encore Lysathia ludoviciana (Fall.). Ces insectes se nourrissent typiquement de Myriophylle[5]. Malheureusement, lâimpact quantitatif de cette consommation nâest pas encore connu et la question de savoir si ces prĂ©dateurs naturels pourraient ĂȘtre utilisĂ©s comme moyen de lutte biologique reste en suspens[4].
Plante envahissante
En France, cette espĂšce est lĂ©galement inscrite sur la liste annexe de l'ArrĂȘtĂ© du relatif aux espĂšces vĂ©gĂ©tales exotiques envahissantes sur le territoire mĂ©tropolitain[12].
Mécanisme de prolifération
Myriophyllum aquaticum est une plante invasive, trĂšs invasive. Introduite par lâhomme dans le monde entier pour dĂ©corer les aquariums dâintĂ©rieur et dâextĂ©rieur et trĂšs populaire comme plante de jardin, cette plante nâa eu aucun mal Ă sâaccommoder de ses nouvelles conditions de vie et de fait, a commencĂ© Ă sâĂ©tendre. La capacitĂ© dâenvahissement du Myriophylle aquatique est, en fait, dĂ» Ă son mode de reproduction asexuĂ©e. En effet, une tige va tout simplement sâallonger, puis, se fragmenter. Des oiseaux aquatiques, des crues, des activitĂ©s humaines au bord des rives, les hĂ©lices de bateaux, etc. vont alors emporter ces fragments de tiges et ainsi, permettre Ă la plante de sâinstaller lĂ oĂč le fragment aura Ă©tĂ© nouvellement dĂ©posĂ© et de prospĂ©rer dans cette rĂ©gion[3] - [4] - [5].
Historique de lâimportation
Originaire dâAmĂ©rique du Sud, Myriophyllum aquaticum a Ă©tĂ© introduite dans diffĂ©rents endroits du monde : Ă la fin du XIXe siĂšcle aux Ătats-Unis, en Afrique du Sud en 1918, au Japon en 1920, en Nouvelle-ZĂ©lande en 1929 ou encore en Australie dans les annĂ©es 1960 et dans les annĂ©es 1970 pour le Royaume-Uni[4].
En France, le Myriophylle du BrĂ©sil fait son apparition en 1880 dans de nombreux jardins botaniques, dans la rĂ©gion de Bordeaux oĂč on l'introduit pour la beautĂ© de son feuillage. Quelques annĂ©es plus tard, en 1913, on signalera son caractĂšre envahissant en notant sa prĂ©sence dans les Marais de Bruges au nord de la ville. Depuis, cette plante envahissante a colonisĂ© tous les dĂ©partements de l'Ouest français et s'Ă©tend petit Ă petit vers le nord et le sud-est du pays[13].
En Belgique, Myriophyllum aquaticum a Ă©tĂ© dĂ©couverte en 1983 Ă Louvain-La-Neuve et depuis la fin des annĂ©es 90, le Myriophylle aquatique est en forte expansion dans tout le pays. Ainsi, on la retrouve Ă prĂ©sent dans les provinces de Namur et du Brabant wallon, les rĂ©gions dâArdenne et de Lorraine oĂč rĂšgne un climat plus froid Ă©tant pour le moment Ă©pargnĂ©es[3].
Myriophyllum aquaticum figure sur la liste des espĂšces exotiques envahissantes prĂ©occupantes pour lâUnion europĂ©enne adoptĂ©e le par la Commission europĂ©enne [7]. Ă ce titre, elle ne peut ĂȘtre introduite, Ă©levĂ©e ou cultivĂ©e, reproduite, conservĂ©e, utilisĂ©e, ou mise sur le marchĂ© europĂ©enne[6] (restrictions de lâarticle 7 du rĂšglement du Parlement europĂ©en du relatif Ă la prĂ©vention et Ă la gestion de l'introduction et de la propagation des espĂšces exotiques envahissantes[14]).
Conséquences de la prolifération
Myriophyllum aquaticum, grĂące Ă sa grande capacitĂ© de prolifĂ©ration, a tendance Ă former dâĂ©pais tapis vĂ©gĂ©taux Ă la surface des points dâeau quâelle envahit. Ainsi, en empĂȘchant lâoxygĂšne de lâair de diffuser et les rayons du Soleil dâatteindre la profondeur de lâeau, cette plante invasive altĂšre sĂ©rieusement les propriĂ©tĂ©s physiques et chimiques des lacs et des courants. Elle empĂȘche alors, par exemple, les algues de se dĂ©velopper et lâalgue, Ă©tant la nourriture de base des organismes vivant dans les Ă©tendues dâeau, elle altĂšre lâĂ©cosystĂšme[3] - [4] - [5]. De plus, le caractĂšre invasif du Myriophylle aquatique a comme consĂ©quence de rĂ©duire, voire dâĂ©liminer les espĂšces vĂ©gĂ©tales indigĂšnes du site infestĂ©. Enfin, Myriophyllum aquaticum peut causer une obstruction des canaux dans lesquels elle se dĂ©veloppe et peut Ă©galement poser des problĂšmes en ce qui concerne la navigation, car elle prolifĂšre sur les coques des bateaux et sur les palmes des moteurs[5].
Lutte contre le Myriophyllum aquaticum[4] - [5]
Plusieurs techniques sont utilisĂ©es par lâhomme pour tenter de contrĂŽler le Myriophylle aquatique :
- Les herbicides sont efficaces contre cette plante. Cependant, la cuticule cireuse du Myriophylle aquatique est tellement Ă©paisse quâelle impose Ă lâhomme dâutiliser des agents de surface. Le poids de la pulvĂ©risation de ces derniers provoque lâinondation de la plante et lâherbicide sâĂ©chappe alors dans lâeau, provoquant ainsi une source de pollution non nĂ©gligeable.
- La lutte mĂ©canique contre le Myriophylle aquatique consisterait Ă les couper, les rĂ©colter ou encore Ă les arracher en utilisant un motoculteur aquatique. Si lâidĂ©e est bonne, cette lutte mĂ©canique ne sâavĂšre pas efficace car couper les plantes stimulent leur croissance et leur dĂ©veloppement. De plus, les opĂ©rations dâarrachage mĂ©canique coĂ»tent assez cher.
- Il existe également un contrÎle fongique de la plante. Le champignon Pythium carolinianum, par exemple, serait un potentiel bon agent de contrÎle biologique. En effet, les plantes dans lesquelles ont été introduites expérimentalement ce champignon ont montré, par la suite, une croissance beaucoup moins rapide que les plantes témoins.
Utilisation
Myriophyllum aquaticum est utilisĂ© en phytoremĂ©diation, au Mexique. Le Myriophylle a Ă©tĂ© choisi pour ce genre dâĂ©tude, car il a lâavantage dâĂȘtre trĂšs abondant dans ce pays et est donc trĂšs facile Ă se procurer. De plus, il fut choisi car il est trĂšs tolĂ©rant aux polluants et quâil a la capacitĂ© dâabsorber et donc dâĂ©liminer les polluants prĂ©sents dans son milieu aquatique. En effet, dans plusieurs Ă©tudes, des chercheurs ont pu observer que Myriophyllum aquaticum Ă©tait capable dâĂ©liminer des contaminants tels que de la TNT, du DDT, du perchlorate, des pesticides ou encore des antibiotiques trouvĂ©s dans des eaux usagĂ©es industrielles ou dans dâautres Ă©tendues dâeaux[15].
Références
- « ITIS Standard Report Page: Myriophyllum aquaticum », sur www.itis.gov (consulté le )
- Agriculture and Agri-Food Canada;Government of Canada, « DĂ©tails de lâenregistrement - SystĂšme mondial d'information sur la biodiversitĂ© (SMIB) », sur www.cbif.gc.ca (consultĂ© le )
- « Myriophylle du Brésil (Myriophyllum aquaticum) | Plantes à fleurs | Plantes supérieures | La biodiversité en Wallonie », sur biodiversite.wallonie.be (consulté le )
- « Non-native Invasive Freshwater Plants | Parrotfeather (Myriophyllum aquaticum) », sur www.ecy.wa.gov (consulté le )
- « Myriophyllum aquaticum Verdc. »
- « Publication des la liste des espÚces exotiques envahissantes pour l'Union Européenne | Portail des Conservatoires botaniques nationaux », sur www.fcbn.fr (consulté le )
- « RĂGLEMENT D'EXĂCUTION (UE) 2016/1141 DE LA COMMISSION du 13 juillet 2016 adoptant une liste des espĂšces exotiques envahissantes prĂ©occupantes pour l'Union conformĂ©ment au rĂšglement (UE) no 1143/2014 du Parlement europĂ©en et du Conseil », sur eur-lex.europa.eu
- « RĂGLEMENT (UE) No 1143/2014 du parlement europĂ©en et du conseil du 22 octobre 2014 relatif Ă la prĂ©vention et Ă la gestion de l'introduction et de la propagation des espĂšces exotiques envahissantes »
- « Myriophyllum alterniflorum », sur serres.u-bourgogne.fr (consulté le )
- « Myriophyllum aquaticum (Myriophylle aquatique, Myriophylle du Brésil, Plume de Perroquet) - AquaPortail », sur AquaPortail (consulté le )
- « Projet espÚces exotiques envahissantes - Fiche signalétique - Le myriophylle du Brésil »
- F. Mitteault, C. Geslain-LanĂ©elle et P. Dehaumont, « ArrĂȘtĂ© du 14 fĂ©vrier 2018 relatif Ă la prĂ©vention de l'introduction et de la propagation des espĂšces vĂ©gĂ©tales exotiques envahissantes sur le territoire mĂ©tropolitain », JORF, vol. texte n° 11, no 0044,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- GIP Bretagne Environnement, « Le Myriophylle du Brésil (Myriophyllum aquaticum) - Invasives avérées - Flore continentale - espÚces invasives - Biodiversité Bretagne », sur www.observatoire-biodiversite-bretagne.fr (consulté le )
- « RĂGLEMENT (UE) No 1143/2014 DU PARLEMENT EUROPĂEN ET DU CONSEIL du 22 octobre 2014 relatif Ă la prĂ©vention et Ă la gestion de l'introduction et de la propagation des espĂšces exotiques envahissantes », sur eur-lex.europa.eu
- (en) « An Integrated Electrochemical-Phytoremediation Process for the Treatment of Industrial Wastewater », Phytoremediation: Management of Environmental Contaminants,â
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- (en) Référence NCBI : Myriophyllum aquaticum (taxons inclus)
- (fr+en) Référence ITIS : Myriophyllum aquaticum (Vell.) Verdc.
- (en) Référence BioLib : Myriophyllum aquaticum (Vell.) Verdc.
- (fr) Référence INPN : Myriophyllum aquaticum (Vell.) Verdc., 1973 (TAXREF)