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Morrissey

Steven Patrick Morrissey, dit Morrissey [ˈmɒrÉȘsiː][1], parfois abrĂ©gĂ© en « Moz », nĂ© le Ă  Davyhulme, dans le Lancashire, est un chanteur, parolier et auteur britannique.

Morrissey
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Morrissey en 2005.
Informations générales
Nom de naissance Steven Patrick Morrissey
Naissance
Davyhulme, Lancashire, Angleterre
Activité principale Chanteur, auteur
Genre musical Rock alternatif, rock indépendant, indie pop
Instruments Voix, piano
Années actives Depuis 1977
Labels His Master's Voice, Parlophone
Island
Attack Records
Etienne Records
Polydor

Il devient célÚbre par son rÎle de leader et chanteur des Smiths qui furent actifs de 1982 à 1987. Quand le groupe se sépare, il commence une carriÚre en solo.

La musique de Morrissey est reconnaissable par sa voix de baryton et ses paroles aux sujets récurrents comme la solitude, le désir amoureux, la dépression, l'autodépréciation ou l'humour noir.

Biographie

Morrissey est nĂ© au Park Hospital, maintenant connu sous le nom de Trafford General Hospital, Ă  Davyhulme dans le Lancashire, le de parents immigrĂ©s irlandais catholiques[2]. Son pĂšre, Peter Morrissey, travaillait dans un hĂŽpital tandis que sa mĂšre, Elizabeth Dwyer, Ă©tait bibliothĂ©caire. Ses parents Ă©migrĂšrent vers l'Angleterre juste avant la naissance de Morrissey et il fut Ă©levĂ© avec sa sƓur aĂźnĂ©e Jackie Ă  Harper Street Ă  Hulme, Manchester. En 1965, la famille dĂ©mĂ©nagea vers Queens Square Ă  Hulme prĂšs de Moss Side. Ils dĂ©mĂ©nagĂšrent en 1969 pour le 384 Kings Road dans la banlieue plus salubre de Stretford, lorsqu'un grand nombre d'anciennes rues en terrasses furent dĂ©molies. Morrissey a maintenu un attachement fort envers sa mĂšre durant toute sa vie ; les relations avec son pĂšre se sont Ă©triquĂ©es au fil des ans pour finalement devenir presque inexistantes.

Enfant, Morrissey dĂ©veloppa un intĂ©rĂȘt pour les girl groups des annĂ©es 1960 ainsi que pour des chanteuses telles que Sandie Shaw, Marianne Faithfull et Timi Yuro. Il s'intĂ©ressa Ă©galement au style kitchen sink des jeux tĂ©lĂ©visĂ©s de la fin des annĂ©es 1950 et du dĂ©but des annĂ©es 60, Ă  l'acteur James Dean ou encore aux Ă©crivains Oscar Wilde et Shelagh Delaney. The Moors Murders, ou meurtres de la lande, nom donnĂ© Ă  une sĂ©rie de viols et d'assassinats perpĂ©trĂ©s par un couple au dĂ©but des annĂ©es 1960 sur des enfants et des adolescents de Manchester, eurent un impact important sur lui. Il revient sur ces souvenirs en 1982 dans la chanson Suffer Little Children.

À l'adolescence, Morrissey Ă©vita en grande partie le bizutage grĂące Ă  sa forme athlĂ©tique. NĂ©anmoins, il a dĂ©crit cette pĂ©riode de sa vie comme solitaire et dĂ©pressive. À cette Ă©poque, il commença Ă  se faire prescrire des mĂ©dicaments pour lutter contre la dĂ©pression qui le suivra toute sa vie. Il frĂ©quenta la St Mary's Secondary Modern School et la Stretford Technical School, oĂč il passa avec succĂšs trois O levels, dont un en littĂ©rature anglaise. Il travailla ensuite briĂšvement pour l'Inland Revenue (en), mais dĂ©cida finalement de rester au chĂŽmage et s'enferma dans sa chambre chez sa mĂšre afin de se concentrer sur l'Ă©criture, la lecture et Ă©couter de la musique. Vers 1974, il Ă©crivit rĂ©guliĂšrement des lettres (sous le nom de Steve Morrissey)[3] Ă  des magazines musicaux tels que Melody Maker et New Musical Express[4], donnant son opinion sur divers groupes. Les lettres de Morrissey Ă  un ami correspondant Ă©crites en 1981 refirent surface plus de vingt ans plus tard[5].

Morrissey serait allé voir jouer plusieurs groupes dans de petites salles de Manchester, le premier ayant été T. Rex au Belle Vue en 1972[6]. Son pÚre l'en éloigna, ayant peur pour sa sécurité dans un quartier réputé malfamé.

Durant les années 1970, c'est un Morrissey adolescent qui présida la branche anglaise du fan club des New York Dolls. Cette influence des New York Dolls fit de Morrissey un converti précoce au punk rock. Morrissey, utilisant encore à cette époque son prénom, fit briÚvement partie de The Nosebleeds en 1978, groupe qui à cette époque incluait Billy Duffy à la guitare (Duffy formera par la suite le groupe de post-punk The Cult). Ils jouÚrent ainsi un certain nombre de concerts, dont un en premiÚre partie de Magazine, ce qui aboutit à un article dans NME par Paul Morley. Morrissey fonda aussi le fan club de The Cramps, The Legion of The Cramped, en compagnie d'un autre fan de leur musique, Lindsay Hutton. Toutefois son implication dans le club diminua progressivement à mesure que sa propre carriÚre musicale prenait de l'importance[7].

Morrissey écrivit plusieurs morceaux en compagnie de Duffy, tels que Peppermint Heaven, I Get Nervous et (I Think) I'm Ready for the Electric Chair, mais aucun ne fut enregistré durant la courte vie du groupe qui ne passa pas l'année[8]. AprÚs la séparation des Nosebleeds, Morrissey suivit Duffy dans les Slaughter & The Dogs, remplaçant briÚvement le chanteur original Wayne Barrett. Il enregistra quatre chansons avec le groupe puis auditionna pour l'enregistrement d'un disque à Londres. AprÚs l'échec de l'audition, Slaughter & The Dogs devinrent The Studio Sweethearts mais sans Morrissey[8] - [9].

The Smiths

En 1982, Morrissey et le guitariste Johnny Marr ont formé The Smiths, groupe qui a eu une trÚs forte influence sur le rock alternatif mondial. Les principales caractéristiques du groupe étaient les paroles empreintes de littérature et d'humour noir de Morrissey et les mélodies de Marr.

The Smiths ont eu beaucoup de succĂšs en Grande-Bretagne, en Irlande, au Canada et en Australie ; ils sont devenus un groupe culte aux États-Unis. Le groupe s’est sĂ©parĂ© en 1987 Ă  cause du dĂ©clin de la relation entre Marr et Morrissey. Le groupe a enregistrĂ© quatre albums studio et quelques compilations entre 1984 et 1987.

Morrissey en solo

Morrissey entreprend une carriĂšre solo sur le label His Master's Voice (La voix de son maĂźtre) chez EMI dĂšs le printemps 1988 avec Viva Hate qui atteint la premiĂšre place en Angleterre : les singles Suedehead et Everyday Is Like Sunday rencontrent aussi un grand succĂšs. À la mĂȘme Ă©poque, Andy Rourke et Mike Joyce attaquent Morrissey et Marr arguant qu’ils ne touchaient que 10 % des gains chacun, contre 40 % Ă  chaque compositeur - l'affaire reste en suspens quand Morrissey les rĂ©engage le temps de quelques singles. L’album suivant Kill Uncle au style parfois rockabilly, est accueilli avec des critiques contrastĂ©es dĂ©but 1991 mais permet Ă  Morrissey de conquĂ©rir les États-Unis avec une tournĂ©e triomphale, jouant dans des arĂšnes de plus de 15 000 personnes. Avec l'album Your Arsenal (1992), produit par Mick Ronson, aux tonalitĂ©s glam rock, Morrissey revient au premier plan et fait l'unanimitĂ© parmi la presse et le public. En France, juste avant la sortie de l'album, Morrissey joue en tĂȘte d'affiche du festival de Belfort et en dĂ©cembre, il remplit l'arĂšne du ZĂ©nith Ă  Paris. Le morceau I Know It’s Gonna Happen Someday, est repris par David Bowie l'annĂ©e suivante.

En 1994, le succÚs est à nouveau au rendez-vous avec Vauxhall and I qui atteint la premiÚre place des ventes en Grande Bretagne et le single Interlude enregistré en duo avec la chanteuse Siouxsie du groupe Siouxsie and the Banshees. Les deux albums suivants, Southpaw Grammar (1995) sorti sur RCA - le label mythique de son idole Elvis Presley, et Maladjusted (1997) paru sur Island, suscitent moins d'enthousiasme.

2004 : Morrissey, dĂ©sormais installĂ© Ă  Los Angeles, rĂ©ussit un retour mĂ©diatique avec l’album You Are the Quarry[10] sur le label Sanctuary Records. Un live Morrissey Live at Earls Court paraĂźt dĂ©but 2005, reprenant des titres des Smiths et de sa carriĂšre solo. Un autre album studio, Ringleader of the Tormentors, sort le . Morrissey effectue dans la foulĂ©e une tournĂ©e mondiale, la plus longue de sa carriĂšre Ă  ce jour. Celle-ci s'est achevĂ©e dĂ©but 2008, peu de temps avant la sortie d'un nouveau Greatest Hits.

En , il publie Years of Refusal. Le voit la parution de Swords qui est une compilation des B-sides accompagnant les singles des trois derniers albums en date : You Are the Quarry, Ringleader of the Tormentors et Years of Refusal. À sa sortie, une sĂ©rie limitĂ©e de l'album est accompagnĂ©e d'un CD live de 8 titres enregistrĂ© Ă  Varsovie en [11].

En 2011, Morrissey dĂ©clare « ne plus ĂȘtre en contrat avec aucune maison de disques ». En 2012, il effectue une tournĂ©e mondiale visitant l'AmĂ©rique du sud, puis l'Asie. En Europe, il joue dans la plus grande arĂšne britannique, au Manchester Arena fin juillet, Ă  guichet fermĂ© devant une assistance de 20 000 personnes. À l'automne, il interrompt sa tournĂ©e amĂ©ricaine pour raisons familiales, sa mĂšre ayant Ă©tĂ© hospitalisĂ©e. En 2013 il publie son autobiographie, intitulĂ©e Autobiography, chez Penguin Classic, collection d'ordinaire rĂ©servĂ©s aux grands auteurs dĂ©cĂ©dĂ©s.

En 2014, Morrissey sort l'album World Peace Is None of Your business, distribuĂ© par Harvest et enregistrĂ© dans le Sud de la France. L'accueil de la critique est mitigĂ©. Une version bonus est commercialisĂ©e, avec plusieurs titres additionnels, dont Scandinavia, Julie in the Weeds, ou Art Hounds. Morrissey entame ensuite une vaste tournĂ©e europĂ©enne, dont un passage Ă  Paris, au Grand Rex. La tournĂ©e est marquĂ©e par une rupture avec la maison de disques Harvest Records (les musiciens arboreront pendant certains concerts un t-shirt avec le slogan « Fuck Harvest Â») et quelques annulations de dates, dont celle de Lyon, ou des reports (en raison de soucis de santĂ© de plusieurs membres du groupe et des problĂšmes logistiques). La tournĂ©e s'achĂšve en Ă  Londres, Ă  l'O2 Arena, devant une salle comble. En 2019, il publie un album de reprises California Son et entreprend une tournĂ©e amĂ©ricaine avec le groupe Interpol en premiĂšre partie.

Morrissey et le cinéma français

Le chanteur britannique a toujours portĂ© la France, et en particulier le cinĂ©ma français, dans son cƓur. Ainsi, dĂšs la pĂ©riode The Smiths, alors que c’est lui-mĂȘme qui rĂ©alise les pochettes des albums du groupe, Morrissey choisit une image de Jean Marais dans le film OrphĂ©e (1950) pour illustrer le 45-tours This Charming Man et celle d’Alain Delon dans L'Insoumis (1965) en couverture de l’album The Queen Is Dead.

La chanson At Last I Am Born contient ce couplet: « Look at me now / from difficult child / to spectral hand / to Claude Brasseur / blah, blah, blah, blah... » Un hommage Ă  l’acteur que Morrissey avait dĂ©couvert dans Bande Ă  part, un film de Jean-Luc Godard sorti en 1964. En 2017, c'est Guillaume Canet qu'il cite dans le titre Home Is a Question Mark dans l'album Low in High School.

En introduction de la chanson Shame Is the Name de l'album Swords, on peut entendre quelques répliques de Jean-Pierre Léaud et Patrick Auffay tirées du premier film de François Truffaut, Les Quatre Cents Coups. Les deux personnages du film réprimandent leur camarade dénommé Bertrand Mauricet.

La chanson You Were Good in Your Time de l'album Years of Refusal contient un extrait du dialogue entre Jean Gabin et Mireille Balin dans Pépé le Moko.

Lors du concert donnĂ© Ă  l'Olympia le , la scĂšne Ă©tait notamment dĂ©corĂ©e d’une reproduction grand format d’une photographie de Sacha Distel, Morrissey citant ce soir-lĂ  Anna Karina, Sami Frey, Brigitte Bardot, mais aussi Serge Gainsbourg et Françoise Hardy parmi ses artistes prĂ©fĂ©rĂ©s. Enfin, Ă  l'Ă©tĂ© 2006, au festival Rock en Seine, Ă  Paris, le chanteur s'est prĂ©sentĂ© au public comme Ă©tant « Jean Gabin ». Lors de son concert parisien en 2014, au Grand Rex, il a qualifiĂ© de « plus grande rĂ©ussite de sa vie Â» le fait d'ĂȘtre nĂ© un , comme Charles Aznavour.

Prises de position et polémiques

En 1992, lors d’un concert Ă  Finsbury Park Ă  Londres, Morrissey se drape sur scĂšne dans l'Union Jack face Ă  un public composĂ© en partie de skinheads prĂ©sents pour voir le groupe Madness.

Dans un entretien accordé au NME en , Morrissey, tout en qualifiant le racisme de « stupide », déclare que l'identité britannique est en péril à cause de l'immigration massive et que les portes sont trop ouvertes. Selon lui des millions de personnes partent chaque année car elles ne reconnaissent plus leur pays[12].

Morrissey se dit victime d'une presse Ă  sensation et juge ses propos dĂ©tournĂ©s, dĂ©clarant haĂŻr le racisme[13]. Il a rejetĂ© Ă  de nombreuses reprises les accusations de racisme, dĂ©clarant : « Si je suis raciste, alors le pape est une femme Â», et a critiquĂ© le politicien nationaliste autrichien Jörg Haider.

En 2004, à l'annonce de la mort de Ronald Reagan, il cause une polémique en annonçant dans un concert qu'il aurait préféré que ce soit George W. Bush qui meure. Il demande aux américains de ne plus voter pour Bush, qu'il accuse de transformer les Etats-Unis en "pays le plus névrosé du monde". Il s'était déjà publiquement opposé à la guerre en Irak avant cela et affirme en 2006 avoir été interrogé à ce sujet par des agents du FBI et des renseignements britanniques[14].

Morrissey, vĂ©gĂ©tarien depuis l'Ăąge de onze ans[15], milite activement pour les droits des animaux (d'oĂč l'album Meat Is Murder) et est membre de PETA. Il fait interdire la consommation de viande lors de ses concerts[16]. Morrissey a Ă©galement tenu des propos justifiant les actions de contestation auprĂšs des laboratoires et des magasins de fourrure par l'ARM. Dans la chanson The Bullfighter Dies de son album World Peace Is None of Your Business, Morrissey se rĂ©jouit de la mort d'un torero[17]. Lors de ses concerts europĂ©ens de 2014, il diffuse, pendant qu'il interprĂšte la chanson Meat Is Murder, des images d'animaux dans les abattoirs, issues de la vidĂ©o From Farm to Fridge. Il change aussi un couplet des paroles et chante « KFC Is Murder ».

AprÚs l'attentat du 22 mai 2017 à Manchester, il s'en prend aux hommes politiques pour leur réaction à l'attentat qui a touché sa ville natale. Affirmant que ceux-ci sont à l'abri des attaques, il dénonce la politique d'immigration du gouvernement britannique se disant persuadé que le premier ministre ne changera pas cette politique en dépit des attentats. Morrissey suggÚre également que le personnel politique a peur de se référer à l'auteur de l'attentat-suicide comme étant un extrémiste islamiste[18].

Il a plusieurs reprises manifestĂ© son soutien Ă  IsraĂ«l, que ce soit par le biais de chansons( « The girl from Tel Aviv who wouldn't kneel » et « IsraĂ«l » dans Low in High School ou de dĂ©clarations. Il raconte avoir toujours Ă©tĂ© trĂšs bien accueilli dans le pays oĂč il a de nombreux fans, comme Ă  Tel Aviv dont il a symboliquement reçu les clĂ©s en 2012. Il estime que les critiques d'IsraĂ«l confondent le gouvernement avec son peuple, ce qu'on ne devrait jamais faire[19].

Vie privée

Dans plusieurs entrevues, Morrissey Ă©voque son asexualitĂ© et son cĂ©libat[20]. En 2013, une autobiographie sur lui parle de son ancienne relation de deux ans avec le photographe Jake Walters. En rĂ©ponse Ă  une homosexualitĂ© supposĂ©e, il prĂ©cise ĂȘtre « humasexuel » [en anglais, "huma" se prononce comme "humour"], Ă©tant « attirĂ© par les humains, [bien que] pas beaucoup d'entre eux .»[21].

Discographie

Pour consulter la discographie des Smiths, voir cette page.

Albums studio

Albums live

  • 1991 : At KROQ (EP)
  • 1993 : Beethoven Was Deaf
  • 2005 : Live at Earls Court

Compilations

  • 1990 : Bona Drag
  • 1995 : World of Morrissey
  • 1997 : Suedehead: The Best of Morrissey
  • 1998 : My Early Burglary Years
  • 2008 : Greatest Hits (dont 2 inĂ©dits That's How People Grow Up & All You Need is Me)
  • 2009 : Swords (Faces B 2004-2009)
  • 2011 : The Very Best of Morrissey
  • 2018 : This is Morrissey

Vidéographie

  • 1990 : Hulmerist (Compilation de clips)
  • 1991 : Live at Dallas (Concert enregistrĂ© le au Starplex de Dallas, Texas, États-Unis, durant la tournĂ©e "Kill Uncle")
  • 1992 : The Malady Lingers On (Compilation de clips 1988-1992)
  • 1995 : Introducing Morrissey (Concert enregistrĂ© les 7 et au Sheffield City Hall et Blackpool Winter Gardens, Angleterre)
  • 2000 : Oye Esteban! (Compilation de clips 1988-1995)
  • 2005 : Who Put The 'M' in Manchester? (Concert enregistrĂ© les & Ă  Manchester, Angleterre)
  • 2013 : 25 Live (Concert enregistrĂ© le au Hollywood High School Ă  Los Angeles, USA)

Bibliographie

Ouvrages de référence

  • Simon Goddard, Mozipedia: The Encyclopedia of Morrissey and The Smiths, Ebury Press, 2009.

Notes et références

  1. Prononciation en anglais britannique retranscrite selon la méthode de l'alphabet phonétique international (API).
  2. (en) Oliver Duff, « Morrissey Blames immigration for 'disappearance' of British identity », The Independent (UK),‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  3. (en) Morrissey signe des lettres sous le nom de Steve Morrissey
  4. quatre de ces lettres
  5. (en) Torr: Les lettres de Morrissey Ă  un correspondant (1981)
  6. (en) T. Rex date
  7. (en) « LOTC—Legion Of The Cramped »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?), Carrollsweb.com (consultĂ© le )
  8. (en) Johnny Rogan, Morrissey & Marr : The Severed Alliance, Londres, Omnibus Press, , 358 p., relié (ISBN 978-0-7119-3000-1, LCCN 95210341)
  9. (en) MOJO Classic Magazine,, volume 1 N°13, page 22.
  10. (en) « Site officiel de l'album You Are The Quarry (2004) »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?) (consultĂ© le ).
  11. (en) « Site officiel de l'album Ringleader of the Tormentors (2006) »(Archive.org ‱ Wikiwix ‱ Archive.is ‱ Google ‱ Que faire ?) (consultĂ© le ).
  12. (en) « Also, with the issue of immigration, it's very difficult because, although I don't have anything against people from other countries, the higher the influx into England the more the British identity disappears. So the price is enormous. If you travel to Germany, it's still absolutely Germany. If you travel to Sweden, it still has a Swedish identity. But travel to England and you have no idea where you are. Â», Extraits de l'interview
  13. (en) « I abhor racism and oppression or cruelty of any kind and will not let this pass without being absolutely clear and emphatic with regard to what my position is. Racism is beyond common sense and I believe it has no place in our society. Â» RĂ©ponse complĂšte de Morrissey dans le Guardian
  14. (en-US) Billboard Staff, « Morrissey Claims Investigation By U.S., U.K. Intelligence », sur Billboard, (consulté le )
  15. (en) Cut class, not frogs, article de Katharine Mieszkowski sur Salon.com, 21 octobre 2002
  16. Morrissey fait interdire la viande lors d'un de ses concerts février 2013
  17. « Morrissey contre la corrida », sur Vegactu (consulté le )
  18. (en) Morrissey attacks politicians and the Queen over Manchester terrorism response, theguardian.com, 23 mai 2017
  19. Par Gabe Friedman, « Le chanteur Morrissey : Ceux qui critiquent Israël sont « jaloux » », sur fr.timesofisrael.com (consulté le )
  20. (fr) Melancholy Flower, « Morrissey », sur Les Archives de la Douleur, 25 mai 2012 (consulté le 3 mars 2020).
  21. (en) Marc Hogan, « Morrissey Responds to Reports on Sexuality: ‘I Am Humasexual’ », sur Spin, 21 octobre 2013 (consultĂ© le 3 mars 2020).

Liens externes

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