Accueil🇫🇷Chercher

Monthyon

Monthyon est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Monthyon
Monthyon
La mairie.
Blason de Monthyon
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Meaux
Maire
Mandat
Claude Decuypère
2020-2026
Code postal 77122
Code commune 77309
DĂ©mographie
Gentilé Monthyonnais
Population
municipale
1 751 hab. (2020 en augmentation de 3,43 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 145 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 00′ 31″ nord, 2° 49′ 41″ est
Altitude Min. 89 m
Max. 168 m
Superficie 12,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Claye-Souilly
Législatives Sixième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Monthyon
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Monthyon
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Voir sur la carte topographique de Seine-et-Marne
Monthyon
GĂ©olocalisation sur la carte : ĂŽle-de-France
Voir sur la carte administrative d'ĂŽle-de-France
Monthyon

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est située à environ km au nord-ouest de Meaux[Carte 1].

    Communes limitrophes

    GĂ©ologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Monthyon est située en Goële sur une butte.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Carte des réseaux hydrographique et routier de Monthyon.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    • le ru de Viry, long de 4,12 km[2], et ;
    • le ru des Touches, long de 2,56 km[3], qui confluent avec le ru de Rutel ;
      • le fossĂ© 01 de NĂ©ronde, 1,10 km[4], qui conflue avec le ru des Touches ;
    • le fossĂ© 01 de la Buvotte, 1,83 km[5], qui conflue avec le ru du Bois Colot.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,20 km[6].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,2 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 719 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,6 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -1,9 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis Ă©voluer. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂ®tre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales[9]. Cette Ă©volution peut ĂŞtre constatĂ©e sur la station mĂ©tĂ©orologique historique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, Creil, qui se trouve Ă  38 km Ă  vol d'oiseau[10], oĂą la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  10,9 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11,3 °C pour 1991-2020[13].

    Transports en commun

    Réseau de bus Goëlys :

    • Ligne 704 (Meaux - Saint-Pathus) ;
    • Ligne 711 (Meaux - Moussy-le-Neuf).

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[14] - [15] - [16].

    Urbanisme

    Typologie

    Monthyon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[20] - [21].

    Lieux-dits et Ă©carts

    La commune compte 92 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[22] dont la Marche, le Château Gaillard, la ferme de l'Hôpital (source : le fichier Fantoir).

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,6% ), zones urbanisées (6,4% ), forêts (3,9% ), mines, décharges et chantiers (2,3% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %)[23].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[24] - [25] - [Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Carte orhophotogrammĂ©trique de la commune.
      Carte orhophotogrammétrique de la commune.

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[26]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 656 dont 91,8 % de maisons et 7,3 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 93,1 % étaient des résidences principales, 1,2 % des résidences secondaires et 5,6 % des logements vacants[Note 5].

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 85,9 % contre 11,9 % de locataires[27] dont, 2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et, 2,1 % logés gratuitement.

    Toponymie

    Mons Ionis (vers 1145) ; Montium (1183) ; Sacerdos de Monte Ivonis (1188) ; Mont Ion (1188) ; Mons Yvonis (XIIe siècle) ; Apud Montoon (1239) ; Territorium de Montyone (1250) ; Mons Yonis (1258) ; De Monte Yono (1263) ; Montion (vers 1265) ; Monthyon (1276) ; Montyon (XIIIe siècle) ; Montyon lez Meaulx (1499)[28].

    Histoire

    Ancien RĂ©gime

    Mentionné au XIIe siècle, « Mons Ionis ».

    Église à la collation de l'abbé de Saint-Faron de Meaux.

    Prieuré bénédictin de Saint-Michel en dépendance de l'abbé de Saint-Faron.

    Le village accueillait en 1238 une communauté d'hospitaliers réunie à la commanderie de Choisy-le-Temple, dont ne subsiste que la « ferme de l'Hôpital ».

    En 1789, Monthyon faisait partie de l'élection de Meaux et de la généralité de Paris et suivait la coutume de Paris.

    Époque contemporaine

    Théâtre de la première bataille de la Marne en . À cette époque Henri Barbusse et Emile Médard sont passés à Monthyon en binôme.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1959 1983 Roger Van Houdenove
    1983 1989 Jean Dupire Agriculteur
    1989 mars 2014 Bernard Lefranc Président du SMITOM[29]
    mars 2014 En cours
    (au 6 mai 2021)
    Claude Decuypère Agriculteur
    Vice-président de la CA du Pays de Meaux (2020 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[30]

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [31] - [32].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Monthyon est assurée par le CA du Pays de Meaux (CAPM) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [33] - [34] - [35].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[36]. Le CA du Pays de Meaux (CAPM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[33] - [37].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SMAEP de Thérouanne, Marne et Morin (TMM) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [33] - [38] - [39].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[40].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[42].

    En 2020, la commune comptait 1 751 habitants[Note 7], en augmentation de 3,43 % par rapport Ă  2014 (Seine-et-Marne : +3,69 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8641 0049989721 0681 0441 0461 0411 017
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    929889887871899838799834799
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    760728758673810923749602754
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    7697928581 0391 1761 3371 6041 6441 710
    2020 - - - - - - - -
    1 751--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee Ă  partir de 2006[44].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Exploitations agricoles.

    Agriculture

    Monthyon est dans la petite région agricole dénommée la « Butte de Damartin », constituée de deux petites enclaves à l'intérieur de la « Goële et Multien », au nord du département[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[45].

    Si la productivitĂ© agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tĂŞte des dĂ©partements français, le dĂ©partement enregistre un double phĂ©nomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les annĂ©es 1980, moins dans les annĂ©es 2000) et de rĂ©duction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les annĂ©es 2010[46]. Cette tendance n'est pas confirmĂ©e au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 5 en 1988 Ă  6 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 153 ha en 1988 Ă  166 ha en 2010[45]. Le tableau ci-dessous prĂ©sente les principales caractĂ©ristiques des exploitations agricoles de Monthyon, observĂ©es sur une pĂ©riode de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Monthyon entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension Ă©conomique[45] - [Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 5 5 6
    Travail (UTA) 14 10 10
    Surface agricole utilisée (ha) 767 837 998
    Cultures[47]
    Terres labourables (ha) 762 837 998
    Céréales (ha) 548 515 613
    dont blé tendre (ha) 354 373 430
    dont maĂŻs-grain et maĂŻs-semence (ha) 138 s 145
    Tournesol (ha) 0
    Colza et navette (ha) s s 107
    Élevage[45]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 90 108 138

    Culture locale et patrimoine

    Villa la Grimpette.
    Château de Monthyon.
    Ancienne gare de Monthyon.
    L'Ă©glise Saint-Georges.

    Lieux et monuments

    • Église placĂ©e sous le vocable de Saint-Georges, XVIe siècle contient entre autres une statue de « la Vierge Ă  l'Enfant » classĂ©e au titre d'objet[48],
    • Statue d'Antoine Auget de Montyon par François Joseph Bosio classĂ©e au titre d'objet[49], (devant l'Ă©glise).
    • Château de Monthyon, XVIIe et XVIIIe siècles de style Louis XIV Ă©difiĂ© sur les ruines d'un château fort du XIIe siècle, situĂ© place Carruel, face Ă  la Mairie. Acquis en 1959 par Jean-Claude Brialy, il fut cĂ©dĂ© Ă  la ville de Meaux en 2006[50].
    • La « Ferme de l'hĂ´pital », autrefois commanderie des hospitaliers, avait pour vocation d'hĂ©berger les pèlerins et leurs chevaux sur leur route. D'oĂą les Ă©curies restantes et une ancienne chapelle aujourd'hui dĂ©truite.
    On a pu retrouver des plans attestant de l'existence d'une chapelle à la ferme de l'hôpital dans les années 1600. Celle-ci aurait été détruite par la suite au moment de la Révolution.
    • La villa La Grimpette[51] , 57 ter, rue de la RĂ©publique, Ă©tait un lieu de rencontres artistiques du dĂ©but de XIXe siècle.
    En tant que maison du peintre Eugène Boch, elle hébergeait une de plus importantes collections de tableaux impressionnistes de son temps dont des tableaux de Vincent van Gogh, Henri de Toulouse-Lautrec, Pablo Picasso, Henri Matisse, Émile Bernard, Anna Boch (sœur du peintre).
    En 1941 plus de 700 tableaux, aujourd'hui dispersés dans les plus grandes collections et musées du monde, se trouvaient dans la villa. Les œuvres de Van Gogh se trouvent au Musée d'Orsay à Paris, au Musée Solomon R. Guggenheim à New York et au Musée van Gogh à Amsterdam.
    Divers artistes aujourd'hui célèbres ont également séjourné dans la villa. Plus tard, elle appartint à la famille de Sede et elle continuait d’accueillir d'autres artistes connus comme Marc Chagall.
    La villa a été rachetée en 2010 par la mairie de Monthyon.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Auget Montyon (baron de) (1733-1820), philanthrope et Ă©conomiste français, dernier baron de Montyon, fondateur d'un prix littĂ©raire fondĂ© en 1782 dĂ©cernĂ© par l'AcadĂ©mie française.
    • Eugène Boch (1855-1941), artiste peintre belge ami de Vincent van Gogh a habitĂ© la villa La Grimpette.
    • Julio González (1876-1942), sculpteur et peintre espagnol, avait achetĂ© une maison de campagne dans le village en 1925 qu'il occupa jusqu'en 1940 et y effectua plusieurs sculptures figuratives sur la pierre de Monthyon entre 1933-1936, inspirĂ©es de la statuaire des cathĂ©drales[52].
    • Roberta González, nĂ©e Ă  Paris le et morte Ă  Monthyon en 1976, artiste peintre et sculptrice française, fille unique du sculpteur Julio González.
    • Jacques Chazot (1928-1993), danseur, Ă©crivain et mondain parisien y est mort. Il est inhumĂ© au cimetière communal.
    • Jean-Claude Brialy (1933-2007), acteur, rĂ©alisateur et scĂ©nariste y possĂ©dait le château de Monthyon, acquis en 1959 et lĂ©guĂ© en 2006 Ă  la ville de Meaux[50]. Il y est mort en 2007.
    • Henri Barbusse au 231e d'infanterie en 1914.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Monthyon », p. 411–413
    • Monthyon, « La Butte ». Des origines Ă  nos jours, Annie Chambault, Lys Éd. Amatteis, 2007.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Monthyon, » sur Géoportail (consulté le 25 avril 2020)..
    2. « Monthyon - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 25 avril 2020 ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Viry (F6431400) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru des Touches (F6431200) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Néronde (F6431250) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Buvotte (F6414100) » (consulté le ).
    6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 23 juin 2019
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    8. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Monthyon et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Creil - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Monthyon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Monthyon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « Liste des espaces protégés sur la commune de Monthyon », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    24. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur www.institutparisregion.fr (consulté le ).
    25. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
    26. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    27. Statistiques officielles de l'Insee, section "Logement" consulté le 25 avril 2020
    28. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 382.
    29. Hugues Tailliez, « Lefranc et Le Foll poursuivis pour favoritisme : Le tribunal correctionnel rendra son jugement le 29 octobre », Le Parisien, édition de Seine-et-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    31. « Le service public local de l’eau potable et de l’assainissement. », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le ).
    32. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
    33. « Commune de Monthyon - organisation des services d'eau et d'assainissement », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    34. « CC Plaines et Monts de France (CCPMF) - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    35. « CC Plaines et Monts de France (CCPMF) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    36. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    37. « Le SMAAEP de Crécy_Boutigny et Environs - Services en propre », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    38. « SMAEP du bassin de la Thérouanne - Communes adhérentes et compétences », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    39. « SMAEP du bassin de la Thérouanne - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
    40. « Schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours de Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.fr, (consulté le ).
    41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    45. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Monthyon », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    46. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    47. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Monthyon », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    48. Notice no PM77001186, base Palissy, ministère français de la Culture.
    49. Notice no PM77001187, base Palissy, ministère français de la Culture.
    50. Léna Lutaud, « Jean-Claude Brialy et son jardin secret », Le Figaro, supplément Le Figaro et vous,‎ 17-18 septembre 2022, p. 31 (lire en ligne).
    51. Villa La Grimpette
    52. Julio González, collection du Musée national d'art moderne, sous la direction de Brigitte Léal, éditions MNAM, 2007, p. 162-163 (ISBN 978-2-84426-323-0).
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.