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Montaut (Gers)

Montaut (Montaut en gascon), également nommée localement Montaut-d'Astarac, est une commune française située dans le sud du département du Gers en Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Montaut
Montaut (Gers)
Montaut vue depuis son entrée sud sur la D569.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Astarac Arros en Gascogne
Maire
Mandat
Christian Daujan
2020-2026
Code postal 32300
Code commune 32278
Démographie
Gentilé Montois
Population
municipale
120 hab. (2020 en augmentation de 6,19 % par rapport à 2014)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 42″ nord, 0° 25′ 13″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 262 m
Superficie 8,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mirande-Astarac
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Montaut
Géolocalisation sur la carte : France
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Montaut
Géolocalisation sur la carte : Gers
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Montaut
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
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Montaut

    Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Baïse, la Baisole, le Haget et par divers autres petits cours d'eau.

    Montaut est une commune rurale qui compte 120 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 420 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Montois ou Montoises.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Montaut est située en Astarac près de Mirande.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Viozan, Barcugnan, Mont-de-Marrast, Sainte-Aurence-Cazaux, Sainte-Dode, Saint-Michel et Sauviac.

    Géologie et relief

    Le territoire s'étend sur trois vallées, entre la Baïse et la Baïsole. Ces vallées sont typiques de l'Astarac. Le village est situé sur une crête dominant la vallée du Haget, à proximité de la motte castrale de l'ancien château.

    Montaut se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].


    La commune dispose d'un central téléphonique équipé pour l'internet ADSL2+[3].

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Baïse, la Baisole, le Haget, un bras de la Baïsole et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[5] - [Carte 1].

    La Baïse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Léger, après avoir traversé 52 communes[6].

    La Baisole, d'une longueur totale de 47,2 km, prend sa source dans la commune de Campistrous et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Baïse à Saint-Michel, après avoir traversé 21 communes[7].

    • Seuil du moulin de Montaut sur la Baïse.
      Seuil du moulin de Montaut sur la Baïse.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Montaut.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 851 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[13] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[14] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de précipitations de 861,3 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 31 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[17] à 13,5 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19] - [20] - [21].

    Urbanisme

    Typologie

    Montaut est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [22] - [I 1] - [23]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79 %), zones agricoles hétérogènes (20,5 %), forêts (0,6 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    La commune est traversée par la route départementale 569 entre Saint-Michel et Sainte-Aurence-Cazaux au niveau du village, et par la D.211 entre Saint-Michel et Barcugnan, dans la vallée du Haget.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Montaut est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Baïse et la Baisole. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[27]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2009, 2014 et 2020[28] - [25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montaut.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 68 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 68 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[25].

    Risques technologiques

    La commune est en outre située en aval du barrage de Puydarrieux, un ouvrage de classe A[Note 5] disposant d'une retenue de 14,5 millions de mètres cubes[32]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].

    Toponymie

    Le nom de Montaut provient de "Monte Alto" ou "Mont Altus", soit littéralement "mont élevé", en référence au site de la motte castrale du château primitif.

    L'endonyme Montaut-d'Astarac permet de ne pas confondre la commune avec Montaut-les-Créneaux, également dans le Gers. Cet endonyme est utilisé par la préfecture[34].

    Il apparait dans des archives judiciaires que le tribunal de Mirande utilisait la mention Montaut-Miélan dans les années 1920, très certainement pour la même raison (ne pas confondre la commune avec Montaut-les-Créneaux, également dans le Gers). Cependant ce n'est pas un endonyme au sens strict car Miélan n'est pas limitrophe, il s'agit plutôt d'une circonscription qui existe encore aujourd'hui[35].

    Histoire

    L'ancien château de Montaut

    Les premières traces écrites mentionnant des fortifications seigneuriales à Montaut remontent à 1210 (cartulaire de Berdoues, acte 628). Le château a été bâti sur une motte castrale circulaire, comme on peut en trouver dans de nombreux villages alentour (Sainte-Aurence-Cazaux, Barcugnan...).

    Le site a probablement été remanié plusieurs fois jusqu'à nos jours. Il subsiste encore la plateforme sommitale. Elle est surmontée aujourd'hui d'un corps de ferme récent (XVIIe/XVIIIe), dont un angle de façade en galets et briques de terre cuite daterait du XIVe. On retrouve la même technique de construction sur les remparts de Trie-sur-Baïse élevés à la suite d'un acte de paréage conclu en 1323[36]. Encore en élévation en 2012, la façade septentrionale s'est effondrée depuis.

    La chapelle, aujourd'hui église Saint-André, était rattachée à ce château. Les traces d'une autre église et d'un cimetière ont été identifiés au nord du village. Les ossements provenant de cet ancien cimetière ont été déplacés dans l'actuel.

    L'ancien moulin à vent

    Sur une motte élevée située au nord du village, le cadastre napoléonien montre l’existence, jusqu'à au moins 1890, d'un moulin à vent, dont il ne reste aujourd'hui que des meules en pierre.

    Politique et administration

    La mairie.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[37]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1793 André Coulon
    1793 1796 Simon Poudensan éleveur cultivateur
    1796 1798 Augustin Larthet éleveur cultivateur
    1798 1799 Simon Poudensan éleveur cultivateur
    1799 1800 Jean Lasmezas
    1800 1805 Jean Carrau
    1805 1808 Jean-Marie Debarry
    1808 1815 Augustin Larthet éleveur cultivateur
    1815 1820 Jean-Marie Debarry
    1820 1824 Augustin Larthet éleveur cultivateur, décédé le 5 octobre 1824
    1825 1837 Jean Larthet éleveur cultivateur
    1837 1848 Mathieu, Opportuné Debarry
    1848 1850 Jean Larthet éleveur cultivateur
    1850 1852 Jean-Marie Paris éleveur cultivateur
    1852 1855 Paul Peres éleveur cultivateur
    1855 1860 Jean-Marie Paris éleveur cultivateur
    1860 1862 Sylvain Bataille
    1862 1870 François Danton éleveur cultivateur
    1870 1878 Jacques, François Larthet éleveur cultivateur
    1878 1881 François Peres éleveur cultivateur
    1881 1882 François Daujan éleveur cultivateur, décédé le 29 octobre 1882
    1882 1884 Jacques, François Larthet éleveur cultivateur, maire par intérim
    1884 1888 Laurent Ader éleveur cultivateur
    1888 1892 Jacques Larthet éleveur cultivateur
    1892 1907 Laurent Ader éleveur cultivateur
    1907 1908 Mesmin Larthet éleveur cultivateur
    1908 1919 Hyppolyte Gourgues éleveur cultivateur
    1919 1929 Noël Poudensan éleveur cultivateur
    1929 1945 Roger Danton DVG éleveur cultivateur
    1945 1983 René Poudensan DVD charcutier
    1983 2001 André Daujan éleveur cultivateur
    2001 En cours Christian Daujan DVD éleveur cultivateur

    Population et société

    Démographie

    Ses habitants sont appelés les Montois[38].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40]. En 2020, la commune comptait 120 habitants[Note 6], en augmentation de 6,19 % par rapport à 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    292223291245394371420348357
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    380370361341337309299272271
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    261262246242239234232233216
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2020
    201179154134117119112119120
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Montaut fait partie de l'académie de Toulouse.

    Politique et administration

    La salle des fêtes.

    Économie

    Emploi

    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]1,7 %8,5 %11,7 %
    Département[I 5]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 60 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (65 % ayant un emploi et 11,7 % de chômeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 7] - [I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 7]. Elle compte 52 emplois en 2018, contre 41 en 2013 et 43 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 39, soit un indicateur de concentration d'emploi de 132,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,2 %[I 8].

    Sur ces 39 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 62 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 59 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 18 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 23,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    15 établissements[Note 8] sont implantés à Montaut au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 60 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 15 entreprises implantées à Montaut), contre 12,3 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lʼéventail gascon[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations25181716
    SAU[Note 10] (ha)766687896950

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 18 en 2000 puis à 17 en 2010[45] et enfin à 16 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 36 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[46] - [Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 766 ha en 1988 à 950 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 31 à 59 ha[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-André
    • L’église et son clocher-mur.
      L’église et son clocher-mur.
    • Vue opposée.
      Vue opposée.
    • Vue sud sur le porche.
      Vue sud sur le porche.
    • Le joli chevet.
      Le joli chevet.
    • Ancien château de Montaut. Propriété privée, ne se visite pas.
    • Autres lieux et monuments
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Le préau de l’école.
      Le préau de l’école.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
    9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
    11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Montaut » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. central 32278MTA
    4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    5. « Fiche communale de Montaut », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    6. Sandre, « la Baïse »
    7. Sandre, « la Baisole »
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Montaut et Castelnau-Magnoac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Castelnau-Magnoac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Montaut et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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