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Monbardon

Monbardon (Montbardon en gascon) est une commune française située dans le sud-est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois trÚs vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Monbardon
Monbardon
Le village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gers
Maire
Mandat
Francis Roudeau
2020-2026
Code postal 32420
Code commune 32260
DĂ©mographie
Population
municipale
73 hab. (2020 en diminution de 15,12 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 11 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 22â€Č 57″ nord, 0° 42â€Č 36″ est
Altitude Min. 216 m
Max. 316 m
Superficie 6,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton d'Astarac-Gimone
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Monbardon
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Monbardon
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Monbardon
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Monbardon

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la Gimone et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Monbardon est une commune rurale qui compte 73 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 327 habitants en 1846. Ses habitants sont appelĂ©s les Monbardonnais ou Monbardonnaises.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Monbardon est une commune du Gers, limitrophe du département de la Haute-Garonne.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Puymaurin, Gaujan, Monties et Sarcos.

    Communes limitrophes de Monbardon[1]
    Monties Gaujan
    Monbardon
    Sarcos Puymaurin
    (Haute-Garonne)

    GĂ©ologie et relief

    Monbardon se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Monbardon.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainĂ©e par la Gimone, le ruisseau de la Bourdille, le ruisseau de Larrioumau, le ruisseau du BataillĂ©, le ruisseau du MissĂ©, le ruisseau Lagubie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 11 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    La Gimone, d'une longueur totale de 135,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Castelferrus, aprĂšs avoir traversĂ© 54 communes[5].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 778 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Castelnau-Magnoac », sur la commune de Castelnau-Magnoac, mise en service en 1986[11] et qui se trouve Ă  19 km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 861,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et Ă  31 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] Ă  13,5 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensĂ©es sur la commune[17] : les « coteaux de la Gimone Ă  Monbardon » (1 177 ha), couvrant 5 communes dont une dans la Haute-Garonne et quatre dans le Gers[18], et les « prairies humides de la Gimone Ă  Gaujan et Monbardon » (52 ha), couvrant 3 communes dont une dans la Haute-Garonne et deux dans le Gers[19] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [17] : le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » (3 085 ha), couvrant 60 communes dont cinq dans la Haute-Garonne, 37 dans le Gers, une dans les Hautes-PyrĂ©nĂ©es et 17 dans le Tarn-et-Garonne[20].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Monbardon.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Monbardon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 1] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (85,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (43,1 %), prairies (41,2 %), forĂȘts (14,9 %), terres arables (0,9 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Monbardon est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Monbardon.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 42 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 42 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1993 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de la Gimone, un ouvrage de classe A[Note 7] disposant d'une retenue de 25 millions de mĂštres cubes. La fiche rĂ©flexe du PPI dĂ©finit le temps d'arrivĂ©e de l'onde et la zone d'accueil selon la position des habitants concernĂ©s par rapport Ă  la Gimone (rive droite ou gauche)[29] - [30]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[31] - [30].

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    maire en 1867 ? Marquis Hilarion de Génibrouse Castelpers Propriétaire
    mars 2001 2008 Jean-Louis Rey
    2008 En cours Francis Roudeau[32] PS Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[34].

    En 2020, la commune comptait 73 habitants[Note 8], en diminution de 15,12 % par rapport Ă  2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    277210288250320315327277275
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    252252118225218208181186176
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    18617314913513913813512386
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
    1031041031048885839386
    2019 2020 - - - - - - -
    7673-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 4]4,1 %4,2 %4,7 %
    DĂ©partement[I 5]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entiĂšre[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  45 personnes, parmi lesquelles on compte 65,1 % d'actifs (60,5 % ayant un emploi et 4,7 % de chĂŽmeurs) et 34,9 % d'inactifs[Note 9] - [I 4]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 7]. Elle compte emplois en 2018, contre 14 en 2013 et 29 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 27, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 39,4 %[I 8].

    Sur ces 27 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 7 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 69,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 23,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    5 Ă©tablissements[Note 10] sont implantĂ©s Ă  Monbardon au [I 11]. Le secteur des activitĂ©s spĂ©cialisĂ©es, scientifiques et techniques et des activitĂ©s de services administratifs et de soutien est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 40 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (2 sur les 5 entreprises implantĂ©es Ă  Monbardon), contre 14,4 % au niveau dĂ©partemental[I 12].

    Agriculture

    1988200020102020
    Exploitations1311105
    SAU[Note 11] (ha)447386486307

    La commune est dans l'Astarac, une petite rĂ©gion agricole englobant tout le Sud du dĂ©partementdu Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lÊŒĂ©ventail gascon[37]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'Ă©levage de bovins, pour la viande[Carte 5]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siĂšge dans la commune sont dĂ©nombrĂ©es lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (13 en 1988). La superficie agricole utilisĂ©e est de 307 ha[39] - [Carte 6] - [Carte 7].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Motte castrale de Castets, site de la premiĂšre demeure des seigneurs de Monbardon.
    • ChĂąteau de Monbardon. Nouvelle demeure seigneuriale construite au dĂ©but du XVIe siĂšcle Ă  300 m au nord de la motte de Castets. De style Renaissance, il se prĂ©sente sous la forme d'un corps de logis quadrangulaire de deux Ă©tages, flanquĂ© Ă  ses angles de tours de trois Ă©tages et de plan carrĂ©. Des bĂątiments annexes ont ensuite Ă©tĂ© installĂ©s au nord et Ă  l'ouest afin de crĂ©er une cour intĂ©rieure, et une annexe Ă  l'est vers 1800[40]. Sur la façade principale, bel escalier en fer Ă  cheval. La tour sud-est s'est effondrĂ©e sur le corps central dans l'Ă©tĂ© 2018 : le chĂąteau est depuis dans un Ă©tat de ruine avancĂ©. PropriĂ©tĂ© privĂ©e, ne se visite pas.
    • Motte castrale de Monmerle. Plate-forme quadrangulaire surĂ©levĂ©e de prĂšs de 2 m. La demeure seigneuriale qu'accueillait cet enclos fossoyĂ© est mentionnĂ©e tardivement : en 1645, Bernard de Maura prĂȘte hommage au comte d'Astarac pour le "chastau et maison seigneurialle de Monmerle"[41], mais il est probable que l'installation du site dans la vallĂ©e de la Gimone soit Ă  placer Ă  la fin du XIIIe ou au dĂ©but du XIVe siĂšcle[42]. Une maison particuliĂšre occupe aujourd'hui le sommet de la motte, et aucun vestige de l'ancien chĂąteau n'est visible en Ă©lĂ©vation. PropriĂ©tĂ© privĂ©e, ne se visite pas.
    • Église Sainte-Madeleine.
    • Le chĂąteau.
      Le chĂąteau.
    • L'Ă©glise.
      L'Ă©glise.
    • L'Ă©cole.
      L'Ă©cole.
    • La salle des fĂȘtes.
      La salle des fĂȘtes.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges CourtĂšs (dir.), Communes du dĂ©partement du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[28].
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[38].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Monbardon » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Monbardon » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Monbardon » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Monbardon » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Monbardon », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « la Gimone »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
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