Marcinelle
Marcinelle (en wallon Mårcinele) est une section de la ville belge de Charleroi, située en Wallonie dans la province de Hainaut.
Marcinelle | |||||
Ancien hôtel de ville, inauguré en 1963[2]. | |||||
Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
RĂ©gion | RĂ©gion wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | Charleroi | ||||
Commune | Charleroi | ||||
Code postal | 6001 | ||||
Zone téléphonique | 071 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Marcinellois(e)[3] | ||||
Population | 23 294 hab. (2008) | ||||
Densité | 1 770 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 50° 23′ 51″ nord, 4° 26′ 38″ est | ||||
Superficie | 1 316 ha = 13,16 km2 | ||||
Localisation | |||||
Localisation de Marcinelle dans la commune de Charleroi | |||||
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C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.
Le 8 août 1956, un incendie se déclara au charbonnage du Bois du Cazier, causa la mort aux 262 mineurs.
Étymologie
Partie la plus petite de Marchienne-au-Pont[4].
GĂ©ographie
Marcinelle est la deuxième plus grande section de Charleroi en nombre d'habitants (derrière Jumet). Sa partie nord-ouest est essentiellement industrielle et abrite des industries lourdes (sidérurgie, électricité lourde), la partie sud-est étant plus résidentielle, voire verdoyante et cossue. Cette dernière accueille le centre de délassement de Marcinelle.
Quartiers
- La Villette. Au XIIe siècle, la partie nord-ouest de Marcinelle est très peu peuplée et constitutée en grand partie de marécages. Elle comprenait toute la partie ouest de l'actuelle gare de Charleroi-sud jusqu'à la Sambre (actuel Boulevard Joseph Tirou)[5]. La chaussée de Mont-sur-Marchienne (actuelle Avenue Pastur) ne fut tracée qu'en 1840 et la Chapelle Beausart, dédiée à Saint Roch. était la seule construction que l'on rencontrait sur le côté nord de la rue Jules Bordet, alors rue Chapelle Beausart, à une trentaine de mètres de la grand-route actuelle. C'est vers 1860 que Michel Leclercq, tenancier d'un café situé à mi-côte de l'avenue Pastur (no 125-127), donnait le nom de « Villette » à un débit de boissons. La paroisse fut érigé en 1899, à l'initiative d'un vicaire de la paroisse-mère Saint-Martin, Monsieur l'abbé Deventer qui devin curé-fondateur. Elle fut placé sous le signe de Notre-Dame des VII douleurs[5].
- Marcinelle-Centre.
- Le XII ou Marcinelle-XII. Le n°XII a pour origine le 12 puits creusé en 1865 par les charbonnages de Marcinelle- Nord[6]. Aujourd'hui il y a des grandes surfaces sur le site de l'ancien puits.
- Les Haies. D'origine médiévale, le hameau de Marcinelle-Haies était né de la volonté d'un seigneur de procéder en cet endroit à un défrichement forestier en vue d'y créer une « ville neuve ». Les lieux seraient restés agricoles, n'aurait été, milieu du XIXe siècle, l'exploitation de houille d'abord dans des cayats, ensuite dans des fosses de plus en plus profondes. À partir de 1860, la demande croissante en main-d'œuvre par le charbonnage du Bois du Cazier contribua largement au peuplement du hameau. En 1863, la construction d'une école communale est décidée. Les milieux ecclésiastiques décidèrent en 1869 d'y implanter une église : une école libre et le presbytère verront le jour à ses côtés[7].
- Sart-Saint-Nicolas.
- La Bruyère. Quartier qui se situe au sud de Marcinelle, un sanatorium avait été construit en 1929. Aujourd'hui le bâtiment a été démoli pour cause de vétusté, un nouveau bâtiment a été construit et sert maintenant une résidence pour personnes âgés[8].
- Cherbois.
- La Tombe. Ce nom a été donner à l'origine à un tumulus gallo-romain.
Cités
- La cité-parc.
- Cité de l'Enfance.
Lieux-dits
- Bierchamps.
Hydrographie
- La Sambre.
- Ruisseau de la Fontaine qui bout.
- Ruisseau du Prince.
- Ruisseau du Fond des Haies.
Bois
- Bois du Prince.
Histoire
Moyen Ă‚ge
La paroisse de Marcinelle est mentionnée pour la première fois en l’an 980 (église Saint-Martin)[10]. Comme Marchienne-au-Pont, elle faisait partie de la Principauté de Liège.
Le hameau des Haies fut fondé en 1255.
XIXe siècle
Lors de l'attaque surprise des troupes napoléoniennes peu avant la bataille de Waterloo, le général Pajol est le premier en action : parti à 2 heures et demie du matin, dans la grisaille d'un "petit jour brumeux et lourd", le , il réussit le premier mouvement qui le mène à Marcinelle, à 8 heures et demie[11].
XXe siècle
Le 22 février 1919, le Premier Ministre d'Australie tenait un meeting sur la Grand'Place[12].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, le 28 octobre 1942, les Allemands opèrent de nombreuses arrestations dans les rangs des résistants belges de la Légion Belge de Charleroi dont le commandant de celle-ci, Alfred Servais. Ils sont condamnés à mort par le Tribunal de Guerre de Charleroi et sont fusillés par les Allemands au Tir de Marcinelle-Vilette, le 2 juin 1943. Le corps d'Alfred Servais a été transféré au cimetière de Marcinelle, où il repose toujours, près de la pelouse d’honneur. Des commémorations patriotiques ont lieu périodiquement en souvenir de cet épisode au cimetière de Marcinelle. En juin 1957, un mémorial a été érigé derrière le stand de tir de Marcinelle où ont été exécutés Alfred Servais, le commandant Massart et cinquante patriotes belges[13]. Les autorités communales marcinelloises ont donné son nom à une rue de Marcinelle : la rue Major Alfred Servais[14].
La catastrophe du Bois du Cazier
Le matin du 8 août 1956, la plus grande catastrophe minière de l'histoire de la Belgique se produisait au charbonnage du Bois du Cazier à Marcinelle. Elle fait 262 morts de 12 nationalités différentes, principalement d'origine italienne (136) et belge (95) et laissant derrière eux des centaines de veuves et d'orphelins. Cette catastrophe va à nouveau mettre à l'avant-plan les pénibles conditions de travail et de vie des mineurs, et déboucher sur l'arrêt de l'envoi de travailleurs italiens vers la Belgique pour travailler dans les mines ; 50.000 mineurs italiens avaient jusqu'alors déjà fait le voyage. La réglementation concernant la sécurité du travail va être également renforcée par la suite[15].
À la suite du drame du Bois du Cazier, des mesures ont été prises, notamment par la CECA. Aujourd’hui propriété de la Région wallonne et géré par l'ASBL "Le Bois du Cazier", l’ancien charbonnage, requalifié grâce aux fonds européens de l'Objectif 1, est un site culturel majeur du pays de Charleroi.
Aujourd'hui, les activités minières ont cessé, seuls restent les terrils pour témoigner de celles-ci, dont le terril du Bois du Cazier. Celui-ci est aujourd'hui classé comme site de grand intérêt biologique à cause des nombreuses espèces végétales et animales qu'on y retrouve[16].
- Le haut-fourneau n° 4 en voie de démantèlement (2020).
- Les chevalements du Bois du Cazier.
DĂ©mographie
Monuments, mémoriaux et bâtiments
L'Ă©glise Saint-Martin
- L’église Saint-Martin, restaurée en 1923 est de style roman de type mosan. À l'intérieur se trouve un chemin de croix de Marcel Wolfers. La tour date du XIIe siècle, l’église du XVe siècle et le transept du XVIIIe siècle[20].
- Façade de l'église Saint-Martin.
- Fichée dans le mur extérieur du bas-côté sud, cette tête sculptée provient des fonts baptismaux mosans du XIIIe siècle disparus.
- Abside de l'Ă©glise Saint-Martin.
- Intérieur de l'église.
Le cimetière militaire
- Au cimetière de Marcinelle, le carré militaire avec le monument aux morts.
- Cimetière, carré militaire, vue d'ensemble.
- Cimetière, carré militaire, vue de détail.
- Cimetière, carré militaire : « La Belgique délivrée » par Léon Van den Houten, inauguré le .
Autres monuments
- Monument à Jules Destrée élevé sur la grand'place derrière l'église Saint-Martin.
- Monument de Paul Pastur, dans le parc près de l'hôtel de ville.
- Monument à Jules et Édouard Cognioul, avenue Paul Pastur.
- Plaque commémorative à René Dethier, directeur de la Jeune Wallonie, avenue Marius Meurée.
- Monument aux victimes du Bois du Cazier, cimetière de Marcinelle.
- Monument au Roi Albert 1er, grand'place à proximité du monument Jules Destrée;
- Mémorial aux résistants fusillés au cours de la Seconde Guerre mondiale, au Tir national de Marcinelle-Vilette.
Autres bâtiments
Hôtel de ville, avenue Eugène Mascaux, construit en 1963 par Joseph André.
Église Notre-Dame des 7 Douleurs elle se situe dans le quartier de La Villette, de style néo-gothique construite en 1905 par l'architecte Leborgne de Gilly.
Résidence Albert, bâtiment construit en 1938 par Marcel Leborgne. Classé en 2010[21]. Au rez-chaussée on trouve un locale du Cercle Royale de Bridge de Charleroi (jeux de cartes).
Église Saint-Louis, elle se situe dans le quartier des Haies construite en 1875 en style néo-gothique par l'architecte Emile Riez. Une tour épaulé par une tourelle à pans coupés précède les collatéraux et une nef à cinq travées[22].
Église du Sacré-Cœur (dite du XII), construite en 1927 à 1928 par l'architecte Joseph André.
Cité de l'Enfance, ensemble de pavillons construite par l'architecte Marcel Leborgne en 1938, c'était un ancien orphelinat reconverti en quartier résidentiel.
Pouponnière Le Berceau, construite de 1950 à 1955.
Le Home Joseph Cappelen, du nom du directeur-gérant d'Amercœur (ainsi que du Bois du Cazier), était destiné à accueillir les ouvriers mineurs italiens célibataires ou isolés. Sa capacité était de 47 chambres à 2 lits et de 13 chambres à 4 lits, soit un total de 146 places. Inauguré le 6 janvier 1948 par le ministre Duvieusart, le phalanstère du Bois du Cazier entra aussitôt en service et fonctionna comme tel durant de nombreuses années. C'est aujourd'hui un bâtiment scolaire dépendant de la Haute Ecole Provinciale de Hainaut-Condorcet[23].
- L'église du Sacré-Cœur, de style art-déco.
- Le temple protestant construit en 1906.
- L'entrée de la Cité de l'Enfance.
- La Pouponnière "Le Berceau".
- La résidence Albert à l'entrée de Marcinelle.
Listes des Bourgmestres
- Eugène Mascaux, bourgmestre de 1907 à 1934.
- Marius Meurée, bourgmestre de 1934 à 1958.
- Lucien Harmegnies[25], bourgmestre de 1958 Ă 1977[26].
Culture
Théâtre
- La Ruche Théâtre, avenue Marius Meurée.
Bande dessinée : l'École de Marcinelle
En bande dessinée, l'École de Marcinelle est le surnom de l'équipe de dessinateurs affiliés au « Journal de Spirou », fondé à Marcinelle par Jean Dupuis en 1938.
L'École de Marcinelle, autour du dessinateur Jijé est adepte de l'humour et de la caricature, et d'un dessin « au trait dynamique, naïf et tout en rondeur ». Les principaux dessinateurs de ce courant sont Franquin, Morris, Will, Tillieux, Jean Roba, Jidéhem, Peyo, Gos[27].
Folklore
Marche Saint-Louis, cette marche se déroule dans le quartier des Haies le dernier dimanche d'août.
Enseignement
- Athénée royal Jules Destrée.
- EHTM, école hotellière tourisme Marcinelle.
- Institut Médico-Pédagogique René Thône de Marcinelle.
Ecoles dans le réseau communal de Charleroi
- Belle-Vue.
- Cité-Parc.
- Hublinbu.
- Bruyère.
- Centre.
- Petite Chenevière.
- École d'Enseignement adapté "Les Cerisiers".
Économie
Le nord-ouest, jouxtant Charleroi et Marchienne-au-Pont est occupé par des industries lourdes qui firent la prospérité de la commune avant la fusion de 1977.
- Arcelor-Mittal : aciéries.
- Alcatel : Ă©lectronique industrielle et spatiale.
- Alstom : électricité lourde et industrielle.
- Nexans : cableries.
La localité comporte encore de nombreux terrils, témoins d'un important passé minier.
Marcinelle est aussi le siège des éditions Dupuis (bande dessinée).
Le charbonnage du Bois du Cazier
Le un incendie dans la mine du Bois du Cazier fait 262 victimes.
Le site a été récemment refondé et restauré en centre culturel et musée.
Une marche funèbre porte le nom de "Marcinelle" en hommage aux victimes de cette catastrophe.
- Chassis Ă molette du Bois du Cazier.
- Entrée de la mine du Bois du Cazier.
- Monument international dédié aux victimes du travail érigé sur la Grand'Place de Marcinelle en 1960.
Loisir
Le Centre de délassement de Marcinelle est un centre de loisirs situé à cheval sur les communes de Marcinelle et Loverval, en Belgique.
Personnalités
- Lucien Harmegnies, ministre, dernier bourgmestre de Marcinelle et premier du grand Charleroi en 1977;
- Fernand Carette (1921-2005), artiste peintre né à Marcinelle;
- Angelo Galvan (1920-1988), sauveteur lors de la catastrophe du Bois du Cazier;
- Paul Pastur (1866-1938), Député permanent de la province de Hainaut, il est le fondateur de l'enseignement provincial du Hainaut;
- Alfred Servais (1890-1943), chef de la résistance carolorégienne fusillé par les Allemands à Marcinelle-Vilette.
Jumelage
Ville | Pays | PĂ©riode | ||
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Hirson | France | depuis | ||
Manoppello | Italie | depuis | ||
Schramberg | Allemagne | depuis |
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Le patrimoine monumental de la Belgique, vol. 20 : Wallonie, Hainaut, Arrondissement de Charleroi, Liège, Pierre Mardaga, éditeur, , 602 p. (ISBN 2-87009-588-0, lire en ligne)
- Redécouvrir son quartier sous un autre regard... Charleroi : Section de Marcinelle, Charleroi, Espace Environnement, , 22 p. (lire en ligne)
- Emmanuel Brutsaert (Rédacteur en chef), Gilbert Menne (Secrétaire d'édition) et Johan De Meester (Mission photographique), Histoire et patrimoine des communes de Belgique : Province du Hainaut, Bruxelles, Éditions Racine, , 608 p. (ISBN 978-2-87386-599-3), p. 157-159
- André Bultot, L'histoire de Marcinelle, Marcinelle, André Bultot, , 233 p.
- Louis Clause, Aperçu historique de la commune de Marcinelle, Charleroi, Éditions J. Dupuis, fils et Cie, s.d., 239 p.
- Jean-Claude Pirson et Pierre Baudoux, Reflets du passé marcinellois, Nalinnes, coll. « Publication du syndicat d'initiative de Nalinnes » (no 12), , 126 p.
- Tulia Adam, Marcinelle fleur du Pays Noir, Syndicat d'initiative marcinellois, 1960, 29 p.
Notes et références
- Jean-Louis Delaet, Rina Margos et Chantal Lemal-Mengeot, Hôtels de Ville et Maisons communales de Charleroi, Ministère de la Région wallonne et Ville de Charleroi, coll. « Carnets du patrimoine » (no 11), , 64 p., p. 48-52
- Jean-Louis Delaet, Rina Margos et Chantal Lemal-Mengeot, Hôtels de Ville et Maisons communales de Charleroi, Ministère de la Région wallonne et Ville de Charleroi, coll. « Carnets du patrimoine » (no 11), , 64 p., p. 48-52
- Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 31
- Jean-Jacques Jespers, Dictionnaire des noms de lieux en Wallonie et à Bruxelles, Bruxelles, Belgique, Éditions Racine, , 649 p. (ISBN 978-2-87386-409-5, lire en ligne), p. 400
- André Bultot, L'histoire de Marcinelle, André Bultot, , 233 p., p. 179
- André Bultot, L'histoire de Marcinelle, André Bultot, , 233 p., p. 181
- Bernard Lejeune & Jean-Claude Pirson, Reflets du passé marcinellois, Nalinnes, Editions du Syndicats d'Initiative de Nalinnes ASBL, , 126 p., p. 55
- L'ancien sanatorium se trouvait Ă la limite de Jamioulx.
- Il se trouve derrière une habitation privée rue de la Tombe, il y a un arbre qui est planté à l'époque aujourd'hui mort.
- « Eglise Saint-Martin de Marcinelle », sur philagodu.be (consulté le ).
- 18 juin 1815, Waterloo par Robert Margerit, NRF Gallimard, dans la série Les trente jours qui ont fait la France.
- Bernard Lejeune & Jean-Claude Pirson, Reflets du passé marcinellois, Nalinnes, Editions du Syndicat d'Initiative de Nalinnes ASBL, , 126 p., p. 42
- « A la mémoire du major Servais », Le Soir,‎ , p. 10 (lire en ligne)
- « Servais, Alfred », sur Charleroi-decouverte,
- « La catastrophe minière du Bois du Cazier », sur www.charleroi-découverte.be
- « 2349 - Terril du Cerisier | Rechercher un site intéressant ou protégé | Sites | La biodiversité en Wallonie », sur biodiversite.wallonie.be (consulté le )
- Sauf 1977 - Michel Poulain (dir.), Ville de Charleroi : Atlas géostatistique des quartiers, Charleroi, , p. 55
- 1977 - Pierre-Jean Schaeffer, Charleroi 1830-1994, Histoire d'une MĂ©tropole, Ottignies-Louvain-la-Neuve, Quorum, , 466 p. (ISBN 2-930014-42-3), p. 337
- Fusion de communes en Belgique
- Patrimoine monumental de Belgique, tome 20, p. 146-148
- Patrimoine monumental de Belgique, tome 20, p. 151-152
- André Bultot, L'histoire de Marcinelle, André Bultot, , 233 p., p. 177
- Bernard Lejeune & Jean-Claude Pirson, Reflets du passé marcinellois, Nalinnes, Edition du Syndicat d'Initiative de Nalinnes, , 125 p., p. 93
- Patrimoine monumental de Belgique, tome 20, p. 149
- Suite Ă la fusion, il est devenu bourgmestre de Charleroi.
- Année de la fusion des communes.
- [PDF] Les grands courants de la bande dessinée, Agnès Deyzieux, Le Français aujourd'hui, no 161, février 2008