Accueil🇫🇷Chercher

M'hamed Aoune

M'hamed Aoune, né le à Aïn Bessem et mort le [1] à Médéa[2], est un poète algérien contemporain de langue française.

M'hamed Aoune
M'hamed Aoune en mai 1980
Biographie
Naissance
Décès
(Ă  90 ans)
Médéa
Nationalité
Activité

Biographie

M'hamed Aoune (ou M'Hamed Aoune), naît à Aïn Bessem où son grand-père, fils de paysans dépossédés par la colonisation, est appariteur[3]. Très tôt orphelin de père, il vit à Sour El Ghozlane[4] où, soutenu par son oncle maternel[5], il est scolarisé jusqu'au Certificat d'études primaires, puis à El-Harrach.

Vers 1941 il découvre la poésie dans la lecture de Shakespeare, Victor Hugo, Schiller, Baudelaire. Les massacres de Sétif et de Guelma en 1945, des paysans de Dechmia[6], dans les environs de Sour El Ghozlane, en 1947 achèvent de lui révéler le mensonge et l'injustice du régime colonial. Membre du P.P.A de Messali Hadj en 1945, après des études d'arabe à la Zitouna de Tunis en 1950[7] où il se lie d'amitié avec Mouloud Kacem, il rentre en Algérie, puis part l'année suivante avec son frère aîné pour Paris[7] où, survivant grâce à de petits emplois, manœuvre et peintre en bâtiment[3], il suit en 1954 les cours de Louis Massignon et de Jacques Berque[3] ainsi que de l'École de journalisme. Il rencontre alors Mostefa Lacheraf, natif de la même région que lui, à qui il soumet des fragments de ses écrits[8], et Mohamed Boudiaf[3].

Les premiers poèmes de M'hamed Aoune datent de 1945. Tombant par hasard sur la revue Arts et spectacles, il lui adresse « La poĂ©ticitĂ© des jours ». Ă€ partir de 1954 son Ă©criture est fortement imprĂ©gnĂ©e de l'action nationaliste, de « lyrisme combatif Â» : il se fait « un chantre de la cĂ©lĂ©bration des noces lumineuses de l'homme avec la nature, la dignitĂ© et l'histoire Â» Ă©crit Arezki Metref. Avec Abdelhamid Benhedouga, Mahieddine Bachtarzi et Malek Houari, il anime Ă  la RTF une Ă©mission ouverte sur la culture algĂ©rienne et forme en 1955 la troupe théâtrale du FLN avec une de ses pièces qui ne sera pas montĂ©e, Face Ă  face ou le chant des âges[9]. Au Quartier latin, il rencontre un Ă©tudiant libanais avec qui il traduit ses poèmes qui seront publiĂ©s en 1959 dans une revue libanaise sous le pseudonyme de M'hamed l'AlgĂ©rien. Plusieurs d'entre eux figurent dans la revue Affrontement en 1957 et dans Le Courrier de l'Association mĂ©diterranĂ©enne en 1960. Au Théâtre des Nations M'Hamed Aoune fait la connaissance du scĂ©nographe Abdelkader Farrah. Il effectue ensuite des voyages en Allemagne, Ă  Stuttgart, Bonn et Hambourg oĂą il retrouve Mouloud Kacem, et en Angleterre[8].

Par un autodafĂ© « obligĂ© par l'inquisition policière Â» M'Hamed Aoune dĂ©truit en 1961 la quasi-totalitĂ© de ses poèmes[7], dont ne survivront qu'un petit nombre, rĂ©unis plus tard sous le titre Houles de libertĂ©, cette première pĂ©riode de son Ĺ“uvre se caractĂ©risant par la subordination de l'Ă©criture au thème rĂ©volutionnaire. La mĂŞme annĂ©e, il retourne en Tunisie et rejoint les rangs de l'A.L.N. (ArmĂ©e de libĂ©ration nationale ) Ă  la base de Ghardimaou[10].

Tahar Djaout, Messaour Boulanouar et M'hamed Aoune dans une exposition de littérature, 1980

Après l'indépendance de l'Algérie, M'hamed Aoune est détaché à la Radiodiffusion télévision algérienne (station de Souk Ahras) puis est en 1963 chef d'une rubrique culturelle à la revue El Djeich qu'il anime jusqu'en 1972. Membre, avec notamment Mouloud Mammeri, Jean Sénac, Kaddour M'Hamsadji, Mourad Bourboune, Malek Haddad, Assia Djebar et Kateb Yacine, de la première Union des écrivains algériens en 1963[5], il en côtoie le plus grand nombre[11]. Une deuxième phase de son œuvre commence alors. À partir de 1963 ses poèmes sont publiés en Algérie par El Djeich, Le Peuple, Révolution africaine, El Moudjahid, et en Suisse par Poésie vivante en 1967[8]. Ils figurent dans les anthologies éditées en France et en Algérie en 1963, 1969, 1970.

Après sa retraite de l'ANP en 1972 au grade de lieutenant, M'hamed Aoune est fonctionnaire au service de l'intendance du lycée El Ghazali de Sour El Ghozlane[12], dans le collège d'enseignement moyen Mahdi Ben Barka de Sidi Aïssa en 1976, à la Maison de la culture de Médéa en 1981[13].

M’Hamed Aoune meurt le à Médéa et est inhumé le 11 juillet au cimetière de la ville de Berrouaghia.

M’Hamed Aoune est parmi les personnages centraux évoqués dans Le petit café de mon père, récits au passé de Kaddour M'Hamsadji, Office des publications universitaires, Alger, 2011[14].

TĂ©moignage

« Nous en avons lu des livres et des livres, en français pour bien apprendre la langue du colonisateur et mieux combattre ses propres idĂ©es diaboliques. Et nous avons lu mĂŞme des livres en arabe, car nous avons eu la volontĂ© d'apprendre l'arabe, en cachette, et de lire, en cachette, dans le texte original, malgrĂ© l'interdit du système colonial jetĂ© contre notre langue maternelle. Nous avons pris la libertĂ© de lire quelques grands auteurs arabes, les anciens et les modernes. »

Propos de M'hamed Aoune dans L'Expression, Alger, 03 aout 2011.

Bibliographie : textes de M'hamed Aoune[15]

Dans des anthologies

  • Jean SĂ©nac, Le Soleil sous les armes, ÉlĂ©ments d'une poĂ©sie de la RĂ©sistance algĂ©rienne, Rodez, Subervie, 1957. Repris dans Jean SĂ©nac, Le Soleil sous les armes, suivi de Jean SĂ©nac vivant, prĂ©face de Nathalie Quintane, postface de Lamis SaĂŻdi, Terrasses Ă©ditions, Marseille, 2020.
  • Denise Barrat, Espoir et parole, poèmes algĂ©riens[16] recueillis par Denise Barrat, dessins de Abdallah Benanteur, Paris, Pierre Seghers, 1963 [« Étapes » (Ă©crit en 1959), p. 82]. RĂ©Ă©dition : Paris, Le Lierre et Coudrier, 1992.
  • J. LĂ©vi-Valensi et Jamel Eddine Bencheikh, Diwan algĂ©rien, La PoĂ©sie algĂ©rienne d'expression française de 1945 Ă  1965, Étude critique et choix de textes, Centre pĂ©dagogique Maghribin, Alger, 1967, p. 215.
  • Pour l'Afrique, textes algĂ©riens rĂ©unis et prĂ©sentĂ©s par Mustapha Toumi, Alger, SociĂ©tĂ© nationale d'Ă©dition et de diffusion, 1969, p. 35-37 [« La nuit dynamitĂ©e »].
  • Éclatez l'aube, Alger, Éditions universitaires, 1970 [« Jamais peuple », pp. 145-147].
  • Abdelmadjid Kaouah, PoĂ©sie algĂ©rienne francophone contemporaine, Marseille, Éditions Autres Temps, 2004, p 105. RĂ©Ă©dition : Quand la nuit se brise, Paris, Points, 2012, pp. 112-116.
  • Ali El Hadj Tahar, EncyclopĂ©die de la poĂ©sie algĂ©rienne de langue française, 1930-2008 (en deux tomes), Alger, Éditions Dalimen, 2009, p. 191-193 (ISBN 978-9961-759-79-0)

Dans journaux et revues

  • « Poème », dans Affrontement, no 5, .
  • « Charme du chemin », dans Le Courrier de l'Association mĂ©diterranĂ©enne n° 9, hiver 1960.
  • « La foudre et l'infini », dans El Moudjahid, , et dans Le Peuple, .
  • « Pour revivre en AlgĂ©rie », dans El Djeich, no 1 et 2, Alger, .
  • « Sur les hauteurs d'Alger », dans El Djeich, no 3, Alger, .
  • « L'Ĺ“uvre commune », dans El Djeich, no 14, Alger, .
  • « Plages d'aujourd'hui », dans Novembre, no 2, Alger, juillet-, p. 75.
  • « Fin d'exil », dans El Djeich, no 19, Alger, .
  • « La nuit dynamitĂ©e », dans RĂ©volution africaine, no 92, Alger, et dans no 227, .
  • « Paysages algĂ©riens », dans El Djeich, no 10, Alger, et dans Le Peuple, (repris dans LittĂ©rature algĂ©rienne contemporaine, Alger, 1966.
  • « Cycles », dans RĂ©volution africaine, no 127, Alger, .
  • « Ports de notre patrie », dans El Djeich, no 28, Alger, .
  • « La vieille », dans « AlgĂ©rie-ActualitĂ© », no 2, Alger, 31 octobre, et no 3, 7 novembre 1965.
  • « Jours de colère », dans El Djeich, no 35, Alger, mars 1966.
  • « Le retour de l'aĂŻeul », dans El Djeich, no 39, Alger, juillet 1966.
  • « Certitude », dans El Djeich, no 43, Alger, novembre 1966.
  • « Hors de l'automne », « Après l'exil », « PrĂ©lude », « Puissance de la libertĂ© », et « Autres pluies », dans PoĂ©sie vivante, no 22, Genève, janvier-.
  • « La saison de l'unitĂ© sous les armes, poème Ă  Abid AĂŻssa chahid », dans El Djeich, no 59, Alger, .
  • « La merveille et l'astre », « Tout rajeunir » et « Joie »,dans El Djeich, no 61, .
  • « Après les grottes », dans Promesses, no 2, Alger, .
  • « Colloque de la culture : crĂ©er et non pas crier », dans El Djeich, no 62, Alger, juillet 1968.
  • « La leçon », dans El Djeich, no 64, numĂ©ro spĂ©cial « Afrique LibĂ©ration », Alger, .
  • « Renaissance », dans El Djeich, no 85, Alger, .
  • « DignitĂ© », dans El Djeich, no 97, Alger,
  • « A nos Ă©lèves », dans « Promesses », no 15, Alger, mars-.
  • « Les blĂ©s de la joie », dans El Djeich, no 138, Alger, .
  • « Fin de l'exil » et « MĂ©ditation », feuillet rĂ©alisĂ© lors du don de l'auteur de plusieurs manuscrits Ă  la bibliothèque du lycĂ©e El Ghazali de Sour El Ghozlane, Ă  l'occasion d'une exposition consacrĂ©e Ă  la littĂ©rature algĂ©rienne, avril 1980.
  • « La nuit dynamitĂ©e », dans Poèmes pour la paix, Alger, Hiwar, 1985.
  • « Juillet », « Fin d’exil », dans Saout Es Souhoub, n° 7, Djelfa, juillet-septembre 1985, pp. 44-45.
  • « Abou El-Kacem Chabbi : mĂ©tĂ©ore de la poĂ©sie », dans Parcours maghbrĂ©bins, n° 16, Alger, mai 1988, p. 61-65.

Traduction

  • Brahim Hachani, Lettre au paradis, traduit de l'arabe par M'Hamed Aoune, Alger, Imprimerie de la Direction centrale du Commissariat politique, juin 1965, 92 pages ; rĂ©Ă©dition, Alger, Boudaou et Cie, novembre 1965. [«  Â»Poèmes de l'auteur Ă  son fils tuĂ© au combat Ă  la frontière algĂ©ro-marocaine en 1965. Contenant aussi un poème "Les Gardiens" de M'Hamed Aoune (pp. 25-27) »[17].

Sur M'hamed Aoune

Ouvrages citant M’Hamed Aoune

Document utilisé pour la rédaction de l’article : Source utilisée pour la rédaction de l’article

  • Albert Memmi, Anthologie des Ă©crivains maghrĂ©bins d’expression française, Paris, PrĂ©sence africaine, 1965, 299 p.
  • Ghani Merad, La littĂ©rature algĂ©rienne d'expression française, Paris, P.J. Oswald, 1976.
  • Jean DĂ©jeux, Bibliographie mĂ©thodique et critique de la littĂ©rature algĂ©rienne de langue française 1945-1977, Alger, SNED, 1981. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Jean SĂ©nac, PoĂ©sie de Sour El Ghozlane, s.l.Ă©, Éditions de l'Orycte, 1981. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Jean DĂ©jeux, Dictionnaire des Ă©crivains maghrĂ©bins de langue française, Karthala, 1984.
  • Achour Cheurfi, MĂ©moire algĂ©rienne, Dictionnaire biographique, Alger, Éditions Dahleb, 1996, pp. 66-67.
  • Achour Cheurfi, Écrivains AlgĂ©riens : Dictionnaire biographique, Alger, Casbah Editions, 2003, p 38.
  • Abdallali Merdaci, Auteurs algĂ©riens de langue française de la pĂ©riode coloniale, Dictionnaire biographique, Constantine, MĂ©dersa Ă©diteur, 2007 ; Paris, L’Harmattan, 2010, p 230 ; Alger, APIC, 2012.

Articles sur M’Hamed Aoune

  • Kaddour M'Hamsadji, « M'Hamed Aoune », dans PoĂ©sie vivante, no 22, Genève, janvier-.
  • Kaddour M'hamsadji, « M'hamed Aoune, poète de l'authenticitĂ© nationale ou le dialogue des sèves et des rĂ©coltes », dans El Moudjahid, Alger, .
  • Kaddour M'hamsadji, M'hamed Aoune, Alger, ChaĂ®ne III, .
  • Arezki Metref, « M'hamed Aoune, poète au long cours », dans El Moudjahid, Alger, 17-. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Abderrahmane Missoumi, « M'Hamed Aoune, La plume et la probitĂ© », dans AlgĂ©rie-ActualitĂ©, Alger, -. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Abderrahmane Missoumi, « M'Hamed Aoune : le poète de l'authenticitĂ© nationale », dans L'AlgĂ©rien en Europe, no 119, Paris, - , p. 38-39. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • M.E.B, « Le poète M'Hamed Aoune, parcours d’un demi-siècle », dans Le Matin, Alger, 16 mars 1999, p 16.
  • Nabil B, « Le poète M’Hamed Aoune, parcours d’un demi-siècle », dans Le Jeune IndĂ©pendant, Alger, 8 mai 2001, p 20.
  • MEB, « M’Hamed Aoune, le poète oubliĂ© », dans Le Matin, Alger, 15 aoĂ»t 2001, p 8.
  • A. Missoumi, M’Hamed Aoune, « Les annĂ©es passent, le verbe demeure », dans L’Expression, Alger, 13 novembre 2001, p 21.
  • Nabil B, « Portrait d’un poète : M’Hamed Aoun, La poĂ©sie pour mieux habiter la terre », dans Le Jeune IndĂ©pendant, Alger, 25 juillet 2004.
  • Kaddour M'Hamsadji, « M’hamed Aoune a 82 ans », dans L'Expression, Alger, 30 Septembre 2009[18].
  • Kaddour M´Hamsadji,« M'hamed Aoune, poète, suivi de Propos recueillis par K. M’H. », dans L'Expression, Alger, 03 AoĂ»t 2011.
  • M. El Bey,« Hommage Ă  M’hamed Aoune », dans LibertĂ©, Alger, 09 Novembre 2011.
  • Kaddour M´Hamsadji, « Salut au grand poète oubliĂ© puis retrouvĂ© », dans L'Expression, Alger, 10 Octobre 2012[19].
  • Kaddour M´Hamsadji, « Le poète M’Hamed Aoune, 86 ans d’amour pour l’AlgĂ©rie », dans L'Expression, Alger, 02 octobre 2013.
  • Kaddour M´Hamsadji, « Le poète-moudjahid M’Hamed Aoune a 86 ans », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 33-34 [20]. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Kaddour M´Hamsadji, « Le poète-moudjahid M’Hamed Aoune a 86 ans », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 34. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Abdelmadjid Kaouah, « M'Hamed Aoune, Saisons et cantiques d'un poète au pays de longue peine », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 34-38. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Arezki Metref, « M'hamed Aoune et la "vĂ©ritĂ© pratique" Â», dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 39-40. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Michel-Georges Bernard, « M’hamed Aoune, repères biographiques », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 41. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Abderrahmane Missoumi, « M'Hamed Aoune : le poète de l'authenticitĂ© nationale », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 42. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • « M’hamed Aoune, bibliographie », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 43. Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article
  • Kaddour M'Hamsadji, « BientĂ´t, j'aurai 89 ans, c'est la Vie... », L'Expression, Alger, 27.07.2016[21].
  • Abdelmadjid Kaouah, « M'Hamed Aoune, Poète au pays de longue peine », dans Reporters, Alger, 18 avril 2019[2].

Notes et références

  1. https://www.lexpressiondz.com/culture/mhamed-aoune-le-poete-moudjahid-est-decede-295993
  2. « M’Hamed AOUNE : Poète au pays de longue peine (1re partie) », sur Reporters algerie (consulté le ).
  3. Abdelmadjid Kaouah, « M'Hamed Aoune, Saisons et cantiques d'un poète au pays de longue peine », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-décembre 2013, Alger, p. 35
  4. Kaddour M´Hamsadji, « Le poète-moudjahid M’Hamed Aoune a 86 ans », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-décembre 2013, Alger, p. 33 (https://www.livrescq.com/livrescq/mhamed-aoune-le-poete-moudjahid-mhamed-aoune-a-86-ans/)
  5. Kaddour M´Hamsadji, « Bientôt, j'aurai 89 ans, c'est la Vie... », L'Expression, Alger, 27.07.2016 (https://www.lexpressiondz.com/chroniques/le-temps-de-lire/bientot-jaurai-89-ans-cest-la-vie-246481)
  6. Abdelmadjid Kaouah, « M'Hamed Aoune, Poète au pays de longue peine », dans Reporters, Alger, 18 avril 2019
  7. Achour Cheurfi, dans Écrivains algériens, Dictionnaire biographique, Casbah Éditions, Alger, 2003), cité par Kaddour M´Hamsadji, « Le poète-moudjahid M’Hamed Aoune a 86 ans », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-décembre 2013, Alger, p. 34
  8. Michel-Georges Bernard, « M’hamed Aoune, repères biographiques », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-décembre 2013, Alger, p. 41
  9. « Des amis Ă  lui m’ont racontĂ© qu’il avait perdu dans le mĂ©tro l’unique exemplaire de sa pièce.", rapporte Abdelmadjid Kaouah (« M'Hamed Aoune, Saisons et cantiques d'un poète au pays de longue peine », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 36)
  10. Michel-Georges Bernard, « M’hamed Aoune, repères biographiques », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-décembre 2013, Alger, p. 41, et Abdelmadjid Kaouah, « M'Hamed Aoune, Poète au pays de longue peine », dans Reporters, Alger, 18 avril 2019
  11. « Une collègue de la presse, ancienne Moudjahida me révéla qu’il lui arrivait d’apporter à Anna Gréki un bouquet de fleurs cueillies au petit bonheur la chance », se souvient Abdelmadjid Kaouah (« M'Hamed Aoune, Saisons et cantiques d'un poète au pays de longue peine », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-décembre 2013, Alger, p. 37)
  12. Il fréquente alors régulièrement le tombeau de Tacfarinas situé près de la ville à El Hachimia (Abdelmadjid Kaouah, « M'Hamed Aoune, Saisons et cantiques d'un poète au pays de longue peine », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-décembre 2013, Alger, p. 37).
  13. Abdelmadjid Kaouah, « M'Hamed Aoune, Poète au pays de longue peine », dans Reporters, Alger, 18 avril 2019. Abdelmadjid Kaouah précise : « M'hamed Aoune aura droit à la froideur des bureaucrates installés à la tête de la Culture. Quel ne fut leur étonnement, voire leur stupeur, un jour, quand le président de la République de l’époque, Chadli Bendjedid, venant inaugurer une Maison de la culture le héla de son « nom de guerre » Khaldoune, et conversa un moment avec lui sans façon ».
  14. Kaddour M´Hamsadji, « Le poète-moudjahid M’Hamed Aoune a 86 ans », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-décembre 2013, Alger, p. 34
  15. D'après Jean DĂ©jeux, Bibliographie mĂ©thodique et critique de la littĂ©rature algĂ©rienne de langue française 1945-1977, Alger SNED, 1979, p. 68, 167, 210 et 219, et « M'hamed Aoune, bibliographie », dans L'IvreEscQ, n° 30, novembre-dĂ©cembre 2013, Alger, p. 43.
  16. Danièle Amrane, Djamel Amrani, Jean Amrouche, Mahamed Aoun, Abdelhamid Baitar, Mourad Bourboune, Hocine Bouzaher, Mohammed Dib, Leila Djabali, Assia Djebar, Tewfik Farès, Lâadi Flici, Anna Gréki, Nadia Guendouz, Malek Haddad, Bachir Hadj Ali, Kateb Yacine, Henri Kréa, Kaddour M'Hamsadji, Malika O'Lahsen, Jean Sénac, Boualem Taibi, Ahmed Taleb, Nordine Tidafi, Moufdi Zakaria, Zehor Zerari.
  17. Jean Déjeux, Bibliographie méthodique et critique de la littérature algérienne de langue française 1945-1977, Alger, SNED, 1981, p. 210.
  18. « M'hamed Aoune a 82 ans », sur Djazairess (consulté le ).
  19. « Hommage au poète m’hamed aoune au festival d’auzia-soûr el ghouzlâne 2012 », sur Bouillon de culture (consulté le ).
  20. « M’Hamed Aoune Le poète-moudjahid M’Hamed Aoune a 86 ans », sur Mon site, (consulté le ).
  21. https://www.lexpressiondz.com/chroniques/le-temps-de-lire/bientot-jaurai-89-ans-cest-la-vie-246481


Articles connexes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.