Longues-sur-Mer
Longues-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 585 habitants[Note 1] (les Longuais).
Longues-sur-Mer | |
Le logis abbatial de l'abbaye Sainte-Marie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Normandie |
DĂ©partement | Calvados |
Arrondissement | Bayeux |
Intercommunalité | Communauté de communes de Bayeux Intercom |
Maire Mandat |
Roland Tirard 2020-2026 |
Code postal | 14400 |
Code commune | 14377 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Longuais |
Population municipale |
585 hab. (2020 ) |
Densité | 48 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 49° 20âČ 09âł nord, 0° 41âČ 44âł ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 77 m |
Superficie | 12,29 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Bayeux (commune de la couronne) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Bayeux |
LĂ©gislatives | CinquiĂšme circonscription |
Localisation | |
GĂ©ographie
La commune se situe sur le littoral de la mer de la Manche, la cÎte est hérissée de falaises de soixante-cinq mÚtres de hauteur. Longues-sur-Mer se trouve dans le Bessin, à 6,5 kilomÚtres de Bayeux. Couvrant 1 229 hectares, son territoire est le plus étendu du canton de Ryes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Port-en-Bessin », sur la commune de Port-en-Bessin-Huppain, mise en service en 1984[9] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[10] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 763,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[11]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et Ă 25 km[12], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,9 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[13] Ă 11,2 °C pour 1981-2010[14], puis Ă 11,5 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Longues-sur-Mer est une commune rurale[Note 7] - [16]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayeux, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 29 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19] - [20].
La commune, bordĂ©e par la baie de Seine, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[22] - [23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (94,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (76,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,4 %), prairies (8,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (3,1 %), zones urbanisĂ©es (2,2 %)[24].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la commune est attestĂ© sous la forme latinisĂ©e [Abbatia Sancte Marie] de Longis en 1027 (charte de Longues, n° 1)[26], LongĆ au XIVe siĂšcle, Longense monasterium en 1673[27].
Diverses étymologies ont été proposées : un nom de personne Longus[28] pris absolument ou une allusion à un « terrain allongé »[28] - [29] ou encore un nom gaulois en longo- « navire ». Dans tous les cas, il manque un second élément, autre appellatif ou suffixe.
Lieux-dits et hameaux
Fontenailles remonte à un gallo-roman *FONTENALIA, comme Fontenailles (Seine-et-Marne et Yonne) et signifie « source, ru »
Marigny appartient probablement à la série des Marigny, Marigné, Marignac, toponyme gallo-roman *MARINIACU du nom de personne Marinus « le marin » suivi du suffixe gaulois de localisation et de propriété -acum.
Crodalles (Crodale, sans date), nom du moulin Turquois (la Masse de Crodale) et d'une ferme Ă Fontenailles s'explique vraisemblablement comme Croixdalle (Seine-Maritime, Craudale en 1253[30], ensuite la graphie est rĂ©guliĂšrement Crodalle encore au XVIIIe siĂšcle[31]) et peut-ĂȘtre Groudle (Ăle de Man, Crawdale vers 1511). Ils remontent vraisemblablement au vieil anglais crÄwe, corneille (moderne crow) et anglo-danois dal(r), vallĂ©e (anglais dial. dale, danois dal) cf. toponymes en -dal et -dalle(s)[32].
Histoire
Moyen Ăge
En 1168, un baron normand du nom de Hugues Wac seigneur de Rubercy fonde une abbaye bénédictine à cet endroit. Tombée en commende en 1526, elle fut supprimée en 1782, faute de vocations. On peut encore en voir des vestiges importants.
Ăpoque moderne
En 1861, Longues (403 habitants en 1856) absorbe les anciennes communes de Fontenailles (177 habitants, Ă l'est du territoire) et de Marigny (287 habitants, Ă l'ouest)[33]. La commune prend le nom de Longues-sur-Mer 1924[33].
La Seconde Guerre mondiale
Au nord du village Ă environ 450 mĂštres du littoral, fin 1943-dĂ©but 1944, fut bĂątie une batterie cĂŽtiĂšre, nommĂ©e SpĂ©cial MKB, gĂ©rĂ©e par la Kriegsmarine, composĂ©e de quatre bunkers abritant chacun un canon de marine de 150 mm TK C/363 TL C/36 d'une portĂ©e de prĂšs de 20 km, qui outre les navires au large, menaçaient les plages du dĂ©barquement de Gold Beach et Omaha Beach. Les AlliĂ©s firent donc de la mise hors de combat de cette batterie un objectif prioritaire du jour J. Outre des bombardements aĂ©riens la semaine prĂ©cĂ©dente, la batterie subit un pilonnage des croiseurs anglais HMS Ajax et HMS Argonaut, et du croiseur français Georges Leygues, empĂȘchant les canons allemands d'exercer une rĂ©elle menace. Le lendemain, en fin de matinĂ©e, aprĂšs un second bombardement aĂ©rien de la RAF, leurs canons hors de combat, les 120 soldats de la garnison (sur 180 le 6 au matin) se rendirent aux soldats britanniques du 2e rĂ©giment du Devonshire.
Longues-sur-Mer, située à la limite des secteurs américain et anglo-canadien, subit de gros dégùts pendant les jours du débarquement.
- Batterie de Longues-sur-Mer, canon de 150 mm.
Politique et administration
Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et deux adjoints[34].
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[36].
En 2020, la commune comptait 585 habitants[Note 9], en diminution de 6,25 % par rapport à 2014 (Calvados : +0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %). Longues a compté jusqu'à 875 habitants en 1861, mais les trois communes de Longues, Fontenailles et Marigny totalisaient 958 habitants en 1821 (respectivement 402, 185 et 371)[33].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Batterie allemande du mur de l'Atlantique.
- Abbaye Sainte-Marie. FondĂ©e en 1168 par Hugues Wac, seigneur de Rubercy. TombĂ©e en commende en 1526, elle fut supprimĂ©e en 1782, faute de vocations. Ăglise du XIIIe siĂšcle.
- Ăglise paroissiale Saint-Laurent de Longues[38]. MentionnĂ©e au XIIe siĂšcle, elle fut totalement remodelĂ©e au XVIIe, aprĂšs le regroupement des trois paroisses (Longues, Marigny et Fontenailles).
- Ăglise Saint-Laurent de Marigny XIIeâââXIIIe siĂšcles. La porte de son cimetiĂšre fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques[39].
- Ăglise Saint-Pierre de Fontenailles, du XIIe siĂšcle. Construite en 1202, elle fut dĂ©truite par les bombardements de 1944, elle n'a pas Ă©tĂ© reconstruite et reste en ruines. Elle possĂ©dait Ă son sommet la cloche la plus vieille de France qui a depuis Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e au musĂ©e Baron-GĂ©rard Ă Bayeux.
- ChĂąteau de Marigny, XVIIe siĂšcle.
- Ancienne Ă©picerie[40], rue de l'Abbaye.
Patrimoine naturel
- Le Chaos : falaises calcaires écroulées par l'action de l'érosion entre Port-en-Bessin et Arromanches qui donnent à la cÎte un aspect sauvage et chaotique.
Lâabbaye Sainte-Marie vue depuis la porterie. LâĂ©glise Saint-Laurent dans le bourg. Vestiges de l'ancienne Ă©glise Saint-Laurent (Marigny). Le clocher de lâancienne Ă©glise Saint-Pierre (Fontenailles). Chaos rocheux des falaises de Longues-sur-Mer
HĂ©raldique
Blason | Taillé haussé à dextre et abaissé à senestre : au 1er d'azur aux trois demoiselles [rochers isolés des falaises] en ombre d'argent, au 2e de gueules à deux léopards d'or l'un au-dessus de l'autre[41]. |
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Détails | Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie. |
Voir aussi
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2013 (site de l'IGN, téléchargement du 19 mars 2014)
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
- « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Port-en-Bessin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Longues-sur-Mer et Port-en-Bessin-Huppain », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Port-en-Bessin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Longues-sur-Mer et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
- « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
- « Loi relative Ă lâamĂ©nagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 411a sous Longes
- CĂ©lestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados : comprenant les noms de lieu anciens et moderne, Impr. nationale (Paris, (lire en ligne), p. 172.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Op. cit.
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 161.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 64
- Abbé Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, 1764, p. 545
- François de Beaurepaire, Op. cit.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Réélection 2014 : « Longues-sur-Mer (14400) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Notice no IA00121879, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « CimetiÚre », notice no PA00111503, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
- « Maison de commerçant », notice no IA00121889, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Blason⊠», sur armorialdefrance.fr.