Liste des chefs francs
Après la première unification de la Gaule, entreprise par Jules César, dans le cadre de l'Empire Romain ; suite à l'effondrement de celui-ci, en 476, Childéric Ier et surtout Clovis Ier, en initierent une seconde, comprise dans la première unification politique et la propagation aux populations autochtones, sans distinctions, de la Nation Franque, originaire de Germanie nord-rhénane, avant laquelle le Monde Franc ne consistait que dans un ensemble constellatoire, d'abord de tribus peu ou prou confédérées, puis de royaumes unificateurs tribaux, ne demandant qu'à se fédérer eux-mêmes, dans lesquels les témoignages romains ont, au fil des âges, livrés des relations comprenant moultes indications nominales de chefs, parfois ducs ou rois, qui sont les premiers bâtisseurs du Gouvernement de la France...
Pays | Gaule romaine |
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Titres | Chef Franc |
Fondation | Genobaud |
Déposition | Clodéric |
Dissolution | 481 |
Ethnicité | Francs saliens |
Dans cette perspective, une littérature parfois peu rationnelle a multiplié les surenchères de princes francs et de généalogies douteuses[N 1]. Le présent article a pour but de dresser un tableau non exhaustif des connaissances acquises en la matière.
Les origines des Francs
LĂ©gendes
Rappelons pour l'écarter définitivement la légende de l'origine troyenne des Francs. Elle semble en réalité être issue d'une confusion. Au Ve siècle, il existait un royaume franc à Xanten, Cette ville tient son nom d’Ad Sanctus en mémoire du martyre de Saint Victor et de 300 légionnaires qui s'étaient fait baptiser. Elle avait été fondée au IIe siècle par Trajan qui l'avait nommée Colonia Ulpia Traiana. Au Ve siècle, les auteurs ne la nommaient plus que par Troiana ou Troia. Il est probable qu'au VIIe siècle, un scribe carolingien, examinant des documents relatifs au royaume franc de Troia, et ne connaissant plus ce toponyme dans la vallée du Rhin, ait identifié la capitale franque Troia à la ville décrite par Homère[1].
Hypothèses
Les Francs sont une ligue à caractère militaire entre plusieurs peuples qui s'est formée au milieu du IIIe siècle en réponse à la formation de la ligue des Alamans. Elle comprenait d'abord les Chamaves, les Chattuaires, les Bructères, les Ampsivariens et les Saliens. Plus tard, d'autre peuples rejoignent la ligue : les Usipètes, les Tenctères et les Tubantes[3] - [4] - [5] - [6]. Quelques peuples installés dans la Gaule Belgique rejoignent les Francs au cours du Ve siècle : les Tongres et les Ubiens [7]. Godefroid Kurth, Jean Pierre Poly et Christian Settipani ajoutent à cette liste les Chauques, mais cet avis n'est pas partagé par tous les historiens. Quant aux Sicambres, c'est un peuple du Ier siècle dont les descendants semblent s'être par la suite fondus dans les peuples qui constituèrent la ligue franque.
Il semble que le terme de Francs saliens désigne un ensemble de peuples francs, localisés vers l'embouchure du Rhin, tandis que les peuples francs situés en amont sont qualifiés de Francs rhénans ou plus tardivement (VIIe siècle) de Francs ripuaires[8] - [9].
Liste des chefs francs
Faute d'une documentation germanique écrite, les différents chefs francs des IIIe au Ve siècles ne sont connus que par les textes latins. Comme les Romains n'ont commencé à parler des Francs uniquement quand ces derniers entrèrent en relation avec l'Empire romain, la connaissance à leur sujet ne peut être que fragmentaire. De plus les auteurs romains ne parlent que de Francs et ne font que rarement la distinction entre les peuples qui composent cette ligue, ou plus tard avec la localisation des différents rois ou chefs. À partir du IVe siècle, de nombreux officiers issus de l'aristocratie franque se mettent au service de Rome.
Nom | Titre ou fonction | Date | Commentaires et référence |
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Gennobaud | roi franc sur les rives de l'Océan, probablement chamave ou bructère. | v. 281-289 | Il soutient la révolte de Carausius, lequel se proclame empereur en Bretagne et installe les Francs dans le nord de la Gaule belgique. En 287, l'empereur Maximien, pour éviter de laisser cette tête de pont l'usurpateur soumet les Francs et obtient l'allégeance de Gennobaud à qui il laisse la rive gauche du Rhin et le pays de l'Escaut, sous forme de fœdus. Constance Chlore, successeur de Maximien, soumet à nouveau les Francs, qui avaient tenté de se révolter, avant d'attaquer et vaincre Carausius en Bretagne[10] - [11] - [12] - [13]. |
Ascaric | rois probablement bructères | v. fin IIIe s. -307 | En 306, ils envahissent la Gaule, mais sont vaincus et capturés par Constantin, qui les fait jeter aux fauves à Trèves[13] - [14] - [15]. |
MĂ©rogaise (ou Ragaise) | |||
Bonitus | chef franc transrhénan maître de la milice |
324 | Soldat franc qui rendit plusieurs services Ă Constantin le Grand contre Licinius[13] - [16] - [17] - [18]. |
Silvanus (Claudius Silvanus) | général pour Rome | v. 350-355 | Silvanus, fils de Bonitus, soutient l'empereur Constance II contre Magnence et assure la victoire de Constance (353). Mais il est accusé de trahison par une faction de la cour. Deux officiers francs, Malaric et Mallobaud, prennent sa défense, l'un se propose de venir chercher Silvanus pour l'innocenter, tandis que l'autre reste à Rome en otage. mais ce Silvanus, affolé par l'accusation, se proclame empereur et est tué peu après, en 355[13] - [19] - [20] - [21]. |
Malaric | officier pour Rome | ||
Mallobaud | tribun des scholes | ||
Charietto | chef salien | v. 358 | Charietto, chef salien allié aux Romains, attaque pour leur compte en 358 les Chamaves, autre peuplade franque, vainc leur roi et capture son fils Nebigast[13] - [22]. |
Nebigast | prince chamave | ||
Mérobaud (Flavius Merobaudes) | général pour Rome | v. 363-383 | fidèle de l'empereur Julien, puis de Valentinien Ier, partisan à sa mort de Valentinien II contre son frère Gratien, consul en 377 et en 383, mort la même année et enterré à Trêves[13] - [23] - [24] - [25]. |
Teutomer | officier pour Rome | v. 363 | officier de l'empereur Julien[24] |
Mallobaud[N 2] | comte des domestiques roi des Francs |
v. 378 | comte des domestiques, il combat les Saxons en 373 pour l'empereur Valentinien Ier, se rallie à Gratien en 375 à la mort de Valentinien et combat les Alamans alliés à Valentinien II En 378, il est qualifié de roi des Francs[13] - [24] - [26] - [27] - [28] - [29]. |
Richomer (Flavius Richomeres) | comte des domestiques maître de la milice |
v. 377-393 | peut-être fils de Teutomer[N 3]. Comte des domestique, maître de la milice, consul en 384, mort en 393[30] - [31] - [32] - [33] - [34]. |
Bauto (Flavius Bauto) | général pour Rome | 385 | maître de la milice et consul en 385[31] - [32], d'origine rhénane, selon Setipanni, qui suggère que ce nom de Bauto est un diminutif de Baldéric[35] ou Baudogast[36]. |
Arbogast | général pour Rome | 385-394 | fils de Bauto et neveu de Richomer. Maître de la milice en 385, il repousse en 393 l'invasion des trois chefs francs rhénans Genobaud, Marcomir et Sunon, mais il est battu par Théodose Ier en 394 et se donne la mort. Sa fille Eudoxia Aelia épouse en 395 l'empereur Arcadius[31] - [32] - [37] - [38] - [39]. |
Gennobaud | ducs ou rois des Francs rhénans | v. 388-400 | Ils envahissent la région de Cologne en 388, mais sont battus par Arbogast en 393. Marcomir est exilé en Etrurie et Sunnon assassiné en 400[40] - [41] - [42] - [43] - [44]. |
Marcomir | |||
Sunnon | |||
Edobich ou Edobinc | chef franc peut-ĂŞtre officier pour Rome |
407-410 | Il soutint l'usurpation de l'empereur Constantin III, mais défait en 410 par Constance[45] - [46]. |
Théodomir | roi des Francs | v. 421-428 | Cité par Grégoire de Tours, fils de Richomer et d'Ascyla, égorgée avec sa mère par les Romains à une date qui varie selon les auteurs : 421[47] - [48] ou 428[35]. Ni Godefroid Kurth ni Michel Rouche ne donne de date[30] - [49]. |
Pharamond ou Faramond (?) | roi des Francs | début Ve siècle | Contrairement aux précédents chefs francs n'est pas mentionné par des sources contemporaines, mais par le Liber Historiae Francorum, écrit en 724, qui le dit fils de Marcomer et père de Chlodion. C'est à cause de ce texte tardif que son historicité et ses parentés sont remises en cause par les historiens, bien que son nom soit ensuite porté dans l'aristocratie franque par la suite[50] - [35]. |
Childebert | roi francs à Trèves | début Ve siècle | Autre roi mentionné bien après son époque, par le stemma Aridii, généalogie datant du XIIe siècle, le présentant comme un roi franc à Trêves au début du Ve siècle, marié à une Machilde et père de Waldeca, elle-même mère d'Astidius, évêque de Limoges mort en 474[35] - [51]. |
Clodion le Chevelu | roi des Francs Saliens | v.428-v.451 | Il entreprend la conquête de Tournai et de Cambrai. Il est battu par Aetius, toutefois ce dernier lui accorde un fœdus en Belgique Seconde. Lui succède son fils Mérovée[52] - [53] - [54]. |
Mérovée | roi des Francs Saliens à Tournai | v. 451-486 | Mérovée et son fils Childéric Ier, roi des Francs Saliens à Tournai, succèdent à Clodion le Chevelu. Childéric Ier est le père de Clovis Ier[55] - [56] - [57] - [58]. |
Childéric 1er, père de Clovis 1er (482-511) | |||
Sigismer | prince franc rhénan | v. 469 | Prince franc rhénan, dont la venue en 469 à Lyon, dans le royaume burgonde, pour se marier, est décrite dans une lettre de Sidoine Apollinaire[59] - [60]. |
Arbogast | comte romain de Trèves | 471-480 | fils d'Arigius, descendant du général Arbogast. Comte de Trêves cité en 471 et correspondant de Sidoine Apollinaire. Il est peut-être identique à Arbogast, évêque de Chartres à partir de 480[61] - [62] - [63] - [64] - . |
Ragnacaire | roi salien à Cambrai | v. 491 ou 510 | (anti-)rois saliens, frères, parents de Clovis Ier et éliminés par ce dernier[60] - [65] - [66] - [67]. |
Rignomer | roi salien (au Mans ?) | ||
Richer | roi salien | ||
Cararic | roi franc probablement salien | v. 491 ou 510 | (anti-)roi salien (de Tongres, selon Godefroid Kurth), parents de Clovis Ier et éliminé par ce dernier[60] - [65] - [68]. |
Sigebert le Boiteux | rois des Francs rhénans à Cologne | v. 496-508 | Sigebert le Boiteux et son fils Clodéric sont des (anti-)rois des Francs rhénans à Cologne et parents de Clovis[60] - [69] - [70] - [71], éliminés par ce dernier. |
Clodéric |
Reconstitution généalogique
Le caractère ponctuel des sources romaines du IVe siècle ne permet pas de dresser de généalogie pour le IVe siècle, car les auteurs romains ne mentionnent que les rois et chefs francs qui envahissent l'empire, sans mentionner les parentés de ces derniers, parenté qu'ils devaient ignorer. L'onomastique permet de proposer quelques liens, mais qui restent fragmentaires et hypothétiques. Ainsi :
- le roi Gennobaud de 289 est probablement un ancêtre du duc Gennobaud de 388, mais probablement en lignée féminine, car le premier vivait au bord de l'océan tandis que le second est un transrhénan : ils ne sont probablement pas issus du même peuple.
- la racine baud (=audacieux) se retrouve dans Gennobaud, Mallobaud, Mérobaud, Baudo et Clodebaud et indique une possible parenté.
- de même pour la racine mer ou mir (=éminent) qui se retrouve dans Merogaise, Mérobaud, Teutomer, Richomer, Theodomir, Marcomir, Mérovée et Clodomir.
- Par contre, la racine ric (=puissant), présente dans Ascaric, Malaric, Richomer, Childéric et Cararic est trop fréquente chez les peuples autres germains pour être d'une quelconque utilité.
- Il y a une parenté probable entre Malaric et Mallobaud, les deux défenseurs de Claudius Silvanus.
- Une parenté est possible entre Nebigast et Arbogast.
- Sachant que Marcomer et Sunnon sont attestés comme étant frères, des auteurs ont considéré que Gennebaud, qui participe à l'invasion de 388, est un troisième frère, mais rien n'est moins sûr.
- Enfin, Ascaric est peut-ĂŞtre un ancĂŞtre d'Ascyla, la femme de Richomer[35].
À la fin du IVe siècle et au Ve siècle, les francs accèdent à des fonctions importantes dans l'armée romaine, y introduisent leur parentèle, ce qui a permis aux auteurs romains de consigner quelques parentés entre les chefs francs. Leur travail permet de dresser ce tableau généalogique.
Les rois et chefs francs au cours du Ve siècle et leur parenté[60]
N roi chamave | Teutomer général franc | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Nebigast prince chamave (358) | Baudo consul (385) (†388) | Ne | Richomer consul (384) (†393) | Ascyla | Marcomir roi franc (388) | Sunnon roi franc (388) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Arcadius empereur (395-408) | Eudoxie Aellia (†404) | Arbogast général (†394) | Wallia roi wisigoth (415-418) | Ne | Théodomir roi franc (†428) | Pharamond roi franc | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Théodose II empereur (408-450) | N | Herméric roi suève (409-441) | Ne | Clodion roi franc salien (†450) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Arigius | Rechila roi suève (441-448) | Ricimer patrice (456-472) | Ne x Gondioc (roi burgonde) | Mérovée roi franc salien (†457) | Clodobaud roi franc rhénan | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Arbogast comte de Trèves | Rechiaire roi suève (448-456) | Gondebaud roi burgonde (†516) | Chilpéric II roi burgonde (†486) | Childéric Ier roi franc salien (†481) | Sigemer prince franc (469) | Sigebert roi franc rhénan (†507) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Clotilde princesse burgonde | Clovis Ier roi des Francs (†511) | Ne princesse rhénane | Clodéric roi franc rhénan (†508) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Clodomir roi des Francs | Childebert Ier roi des Francs | Clotaire Ier roi des Francs | Thierry Ier roi des Francs | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Notes
- Parmi ces livres manquants de rigueur :
- Jacques Saillot, Les 16 quartiers des reines et impératrices françaises, ,
- Louis Vazart, Abrégé de l'histoire des Francs, les Gouvernants et Rois de France, Suresnes, L. Vazart, (ISBN 2-903020-01-9).
- Il est probablement distinct du contemporain homonyme de Silvanus et Malaric, bien que la question ne semble pas tout à fait tranchée.
- Selon Eugen Ewig, Spätantikes und fränkishes Gallien, 1976-1979 (Werner 1984, p. 297).
Références
- Staab 1997, p. 553.
- D'après Feffer et Périn 1987, p. 30 et 33.
- Feffer et PĂ©rin 1987, p. 32-35.
- Riché et Périn 1996, p. 158-159, notice « Francs ».
- Werner 1984, p. 239-240.
- Settipani 1996, p. 26-27
- Kurth 1896, p. 39-42.
- Kurth 1896, p. 82-83.
- Riché et Périn 1996, p. 161, notice « Francs rhénans (ripuaires) ».
- Kurth 1896, p. 70-74.
- Werner 1984, p. 249-250.
- Rouche 1996, p. 78-79.
- Settipani 1996, p. 27
- Kurth 1896, p. 75.
- Rouche 1996, p. 79 et 85.
- Kurth 1896, p. 86.
- Werner 1984, p. 289.
- Rouche 1996, p. 82.
- Kurth 1896, p. 85-91.
- Werner 1984, p. 289-292.
- Rouche 1996, p. 82-83.
- Kurth 1896, p. 99-100.
- Riché et Périn 1996, p. 228, notice « Méraubaude Ier (Flavius) ».
- Werner 1984, p. 296-297.
- Rouche 1996, p. 83.
- Kurth 1896, p. 103-104.
- Settipani 1990, p. 6.
- Riché et Périn 1996, p. 220-221, notice « Mallobaude ».
- Rouche 1996, p. 54.
- Kurth 1896, p. 152.
- Werner 1984, p. 297-300.
- Settipani 1996, p. 28
- Riché et Périn 1996, p. 288, notice « Richomer ».
- Rouche 1996, p. 73 et 83.
- Settipani 1996, p. 29
- Settipani 2000, p. 417, n.6.
- Kurth 1896, p. 106-109.
- Rouche 1996, p. 82-84.
- Riché et Périn 1996, p. 42, notice « Arbogast Ier ».
- Kurth 1896, p. 104-106 et 110.
- Riché et Périn 1996, p. 167 et 223, notices « Genobaude » et « Marcomer ».
- Rouche 1996, p. 81.
- Settipani 1996, p. 27-28
- Rouche 1996, p. 81-83 et 85.
- Kurth 1896, p. 113.
- Rouche 1996, p. 105.
- Riché et Périn 1996, p. 321, notice « Theudomer ».
- Werner 1984, p. 298.
- Rouche 1996, p. 107.
- Riché et Périn 1996, p. 267, notices « Pharamond ».
- Settipani 2004, p. 205-225.
- Kurth 1896, p. 158-170.
- Riché et Périn 1996, p. 103, notice « Clodion ».
- Rouche 1996, p. 107-111 et 116-117.
- Kurth 1896, p. 171-205.
- Riché et Périn 1996, p. 89-96 et 229, notices « Childéric Ier » et « Mérovée ».
- Rouche 1996, p. 163-200.
- Settipani 1996, p. 30.
- Staab 1997, p. 550.
- Settipani 1996, p. 31.
- Werner 1984, p. 331.
- Rouche 1996, p. 153, 160, 180, 213 et 560.
- Riché et Périn 1996, p. 42, notice « Arbogast II ».
- Staab 1997, p. 554-555.
- Kurth 1896, p. 251-253.
- Rouche 1996, p. 187, 206, 326-329.
- Riché et Périn 1996, p. 280, notice « Ragnacaire ».
- Rouche 1996, p. 206 et 326
- Kurth 1896, p. 436-445.
- Rouche 1996, p. 304.
- Riché et Périn 1996, p. 308, notice « Sigebert le Boiteux ».
Annexes
Articles connexes
Bibliographie
- Godefroid Kurth, Clovis, Tours, Alfred Mame et fils, , XXIV-630 p. (présentation en ligne, lire en ligne)Réédition : Godefroid Kurth, Clovis, le fondateur, Paris, Tallandier, coll. « Biographie », , XXX-625 p. (ISBN 2-84734-215-X).
- Karl Ferdinand Werner, Les Origines : Avant l'an mil, Paris, Le Livre de poche, coll. « Histoire de France », (réimpr. 1996) [détail des éditions] (ISBN 978-2-253-06203-5).
- Laure Charlotte Feffer et Patrick Périn, Les Francs, Paris, Armand Collin Éditeur, (BNF 37700985).
- Christian Settipani, Les AncĂŞtres de Charlemagne - Addenda, Paris, .
- Pierre Riché et Patrick Périn, Dictionnaire des Francs - Les temps Mérovingiens, Paris, Bartillat, (ISBN 2-8410-0008-7)
- Christian Settipani, « Clovis, un roi sans ancêtre ? », Généalogie-Magazine, no 153,‎ .
- Michel Rouche, Clovis, Paris, Éditions Fayard, (ISBN 2-2135-9632-8).
- Franz Staab (de), « Les royaumes francs au Ve siècle » dans Clovis - Histoire et Mémoire - Actes du colloque international d'histoire de Reims, vol. 1, Presses Universitaires de la Sorbonne, (ISBN 2-84050-079-5, lire en ligne), p. 541-566 .
- Christian Settipani, Continuité gentilice et continuité familiale dans les familles sénatoriales romaines à l'époque impériale, Oxford, Linacre College, Unit for Prosopographical Research, coll. « Prosopographica et Genealogica / 2 », , 597 p. (ISBN 1-900934-02-7)
- Christian Settipani, La Noblesse du Midi Carolingien, Oxford, Linacre College, Unit for Prosopographical Research, coll. « Occasional Publications / 5 », , 388 p. (ISBN 1-900934-04-3).