Le Verger
Le Verger est une commune française de Rennes Métropole, située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.
Le Verger | |||||
Église Saint-Pierre du Verger. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bretagne | ||||
Département | Ille-et-Vilaine | ||||
Arrondissement | Rennes | ||||
Intercommunalité | Rennes Métropole | ||||
Maire Mandat |
Sylvie Galic 2020-2026 |
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Code postal | 35160 | ||||
Code commune | 35351 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vergéens, Vergéennes | ||||
Population municipale |
1 435 hab. (2020 en diminution de 0,76 % par rapport à 2014) | ||||
Densité | 206 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
395 710 hab. | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 04′ 13″ nord, 1° 55′ 55″ ouest | ||||
Altitude | 75 m Min. 29 m Max. 92 m |
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Superficie | 6,96 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rennes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Rheu | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-le-verger.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune se situe à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Rennes, la préfecture départementale.
La commune est limitrophe de celle de Mordelles depuis 2012.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 696 hectares ; son altitude varie entre 23 et 92 mètres.
Le point le plus bas se situe à 23 mètres d’altitude, à l'est de la commune au confluent du Meu et de la Chèze.
Le point le plus haut se situe au sud-ouest, aux lieux-dits le Perray et le Bignon.
Hydrographie
Le principal cours d’eau est le Serein qui forme la limite nord de la commune[1]. Il n’a pas d’affluent sur la commune.
On trouve par ailleurs plusieurs affluents du Meu. Le ruisseau de Rohuel constitue la frontière sud[2] tandis que son affluent le ruisseau du Gué Saint-Laurent prend sa source au sud-ouest du bourg du Verger[3].
La commune se situe intégralement dans le bassin versant de la Vilaine et dans le sous-bassin versant du Meu.
Voies de communication et transports
L’axe Rennes-Lorient (route nationale 24) passe au sud de la commune. Deux routes départementales traversent le bourg, la D 240 d’est en ouest et la D 69 du nord au sud.
La commune est desservie par les bus du réseau service des transports en commun de l'agglomération rennaise (STAR) de Rennes Métropole via la ligne 55 (53 les vendredis et samedis soir et 54 les dimanches et jours fériés).
Elle est également desservie par la ligne 1 du réseau drégional BreizhGo.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[10] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[11] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Le Verger est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (61,4 %), terres arables (26,8 %), zones urbanisées (7,5 %), forêts (4 %), prairies (0,3 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Toponymie
Les formes anciennes sont : Vergier (1582)[22], Ecclesia du Verger en 1621[23].
Toponyme formé sur le latin viridiarium désignant un « lieu abondant en arbres et en plantes, un jardin, puis plus tard un verger ».
En gallo, le nom de la localité s’écrit Le Verjer d'après la liste publiée en 2021 par l'Institut du Galo[24]. La forme bretonne actuelle proposée par l'Office public de la langue bretonne est Gwerzher[22].
Histoire
Il existait une chapelle dite "Église primitive" au lieu-dit Le Pâtis, qui fut démolie vers la fin du XVe siècle à la suite d'un tremblement de terre[25].
C'est vers 1542 que plusieurs paroissiens de Talensac, habitant Le Trait du Breil, adressent une requête à l'évêque de Saint-Malo par laquelle ils sollicitent le droit de bâtir une église au village de Le Verger, moyennant la perception d'un certain nombre de taxes, dîmes et autres impôts, ainsi que la prise en charge complète du curé au frais de ses ouailles (construction d'une maison et couvert). Les paroissiens s'engagent à entretenir cette église. En 1617, le Parlement de Bretagne fut chargé d'une affaire opposant l'évêque de Saint-Malo, d'un côté, au seigneur de Le Verger et les habitants, de l'autre. Ces derniers furent condamnés à construire à leur frais un presbytère. Ainsi, en 1630, l'évêque de Saint-Malo érigea Le Verger en trêve de Talensac.
Guillaume Le Gouverneur, évêque de Saint-Malo, dont dépendait Talensac, approuva tous ces actes et érigea au commencement de 1630 Le Verger en trève de Talensac, avec le consentement du recteur de cette paroisse. Aussitôt Gilles Huchet[26], seigneur de la Bédoyère, présenta Raoul Berhault à l'évêque, qui le pourvut le de l'église du Verger, fillette de Talensac, « ecclesia du Verger, filiola matricis ecclesiœ de Talensac ».
En 1790, M. Oresve, curé du Verger, déclara que son bénéfice avait un revenu net de 252 livres [27] ; cependant c'est en 1803[28] que le territoire de Le Verger fut séparé de celui de Talensac et érigé en paroisse autonome, par démembrement de la commune de Talensac qui elle-même est un démembrement de l'ancienne paroisse primitive d'Iffendic.
Le Verger se trouvait dans l’arrondissement de Montfort-sur-Meu jusqu’en 1926, date de son rattachement à l’arrondissement de Rennes.
En 1992, la commune rejoint le district urbain de Rennes District (auquel a succédé en 2000, la communauté d'agglomération de Rennes Métropole) dont elle est alors une exclave. Cette discontinuité territoriale posera problème par la suite[29].
Afin d’assurer la continuité territoriale entre Le Verger et les autres communes de Rennes Métropole, la commune de Talensac propose fin 2011 de céder une partie de son territoire au Verger[30]. Fin 2012, le préfet d’Ille-et-Vilaine valide le transfert de 51 parcelles cadastrales pour un total 9 ha 39 a 57 ca[31].
Politique et administration
Circonscriptions de rattachement
Le Verger appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton du Rheu, créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle appartenait au canton de Montfort-sur-Meu.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la troisième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Claudia Rouaux[32] (PS-NUPES). Sous le Second Empire, elle appartenait à la circonscription de Montfort-Redon, sous la Troisième République à la circonscription de Montfort et de 1958 à 1986 à la 2e circonscription (Rennes-Sud).
Intercommunalité
Depuis le , la commune appartient à Rennes Métropole (anciennement Rennes District). Auparavant, Le Verger était ce qu'on appelle une commune isolée, c'est-à -dire n'appartenant à aucune intercommunalité.
Le Verger fait aussi partie du Pays de Rennes.
Institutions judiciaires
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[33].
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2020, la commune comptait 1 435 habitants[Note 7], en diminution de 0,76 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Lieux et monuments
La commune ne compte aucun monuments historiques immobilier ou mobilier. Plusieurs monuments et objets sont inventoriés : 95 objets immobiliers selon la base Mérimée[40], 44 objets mobiliers selon la base Palissy[41] et 139 objets selon la base Glad, la base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne[42].
Le bâtiment le plus imposant est le château du XVIIe siècle situé au lieu-dit le Bonnay[43] - [44].
Le Manoir de Bonnais
À 700 m à l'est du bourg et 100 m au sud de la route. Il possédait une chapelle. Il était entouré de larges douves et protégé par un cavalier percé de meurtrières. Une habitation plus ancienne se voit près de lui. Ses possesseurs étaient protestants, ils y élevèrent un prêche à l'époque des guerres de Religion et se faisaient inhumer sous un tumulus appelé la Motte, qui existe encore. Le manoir était aux familles Téhel, en 1441 et 1444, et Gourodi-Pommeri, au XVIIIe siècle ; puis il est passé par alliance, des familles Anger de Kernisan, aux Béhague.
A signaler la présence d'une motte féodale du XIe siècle ou XIIe siècle à proximité du château. Il est entouré de larges douves. Ses possesseurs étaient protestants, ils y élevèrent un prêche à l'époque des guerres de Religion et se faisaient inhumer sous un tumulus appelé la Motte. Propriété de la famille Téhel en 1441 et en 1444, puis à la famille Gourodi-Pommeri au XVIIIe siècle. Il est passé récemment par alliance de la famille Anger de Kernisan à la famille Béhague.
Patrimoine religieux
L’église paroissiale Saint-Pierre dont la construction en moellons de schiste rouge remonte au début au XVIIe siècle[45] - [46]. Elle contient les 44 objets inventoriés par la base Palissy. Dégradée par des infiltrations d'eau pluviale, elle nécessite des travaux urgents en partie financés par la Mission Patrimoine 2021 (Loto du patrimoine) de Stéphane Bern.
On compte au moins 7 croix réparties sur le territoire de la commune. Dans le centre du bourg, une croix monumentale[47] - [48] se situe à proximité d’une croix de cimetière elle-même située devant l’église[49] - [50]. Dans les écarts se trouvent des croix de chemin au Bignon[51] - [52], au Bonnay[53] - [54], à la Bouhernière[55] - [56], à la Giraudais[57] - [58], et au Pâtis[59] - [60].
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Notes et références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Serein (J7355000) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Rohuel (J7365700) ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Gué Saint-Laurent (J7366100) ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Rennes-Saint-Jacques - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Verger et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- [ Résultats concernant «Le Verger»] sur la base KerOfis de l’Office public de la langue bretonne.
- « Etymologie et Histoire de Le Verger », infobretagne (consulté le ).
- Institut du Galo, « Liste des Communes de Haute-Bretagne », sur institutdugalo.bzh, (consulté le )
- Paul Banéat, Le département d'Ille-et-Vilaine : histoire, archéologie, monuments, Paris, Librairie Guénégaud, , 4 vol. (573, 534, 601, 608 p.), Tome IV, p. 287
- Gilles Huchet, écuyer, seigneur de la Bédoyère, né le 20 octobre 1600 à Campeneuc. Il obtint du roi Louis XIII, en 1643, des lettres patentes unissant tous les fiefs de la région en chatellenie, sous le nom de la Bédoyère. Après avoir été Conseiller et Garde-sel au Parlement de Bretagne il acheta en 1631 à Christophe Fouquet, parent du célèbre surintendant, une charge de procureur général, charge qui sera tenue sans interruption pendant quatre générations successives. Il décède à Rennes le 10 novembre 1662, âgé de 62 ans.
- Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, 9 G, 33 ; 1 V, 29.
- Chanoine Guillotin de Corson, Pouillé historique de l’archevêché de Rennes, Rennes, 1880-1886.
- Jeux d'échelle et transformation de l'État : le gouvernement des territoires au Québec et en France, Laurence Bherer, Presses Université Laval, 1er janvier 2005, 527 pages, page 75.
- Procès-verbal du conseil municipal de Talensac du 24 octobre 2011 sur le site de Talensac.
- Arrêté portant modification de limites territoriales entre les communes de Talensac et Le Verger au recueil des actes administratifs.
- Elle remplace François André décédé en cours de mandat.
- Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Ille-et-Vilaine), no 535,‎ , p. 10-13 (ISSN 1285-7688).
- « Sylvie Galic élue maire de Le Verger », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Liste des édifices inventoriés, base Mérimée.
- Liste des édifices inventoriés, base Palissy.
- Liste des édifices inventoriés, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
- « Château, Le Bonnay », notice no IA35029411, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Château, Le Bonnay, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- « Église Saint-Pierre », notice no IA00130758, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Église Saint-Pierre, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- Notice no IA35029429, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35029429, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- Notice no IA35029428, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35029428, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- Notice no IA35029408, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35029408, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- Notice no IA35029406, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35029406, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- Notice no IA35029493, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35029493, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- Notice no IA35029425, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35029425, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
- Notice no IA35029407, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA35029407, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
Voir aussi
Liens externes
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