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Le Houlme

Le Houlme est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Le Houlme
Le Houlme
La gare de Malaunay - Le Houlme, le bùtiment voyageurs et l'entrée de la gare.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Métropole Rouen Normandie
Maire
Mandat
Daniel Grenier
2020-2026
Code postal 76770
Code commune 76366
DĂ©mographie
Gentilé Houlmois
Population
municipale
4 149 hab. (2020 en augmentation de 2,52 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 397 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 30â€Č 32″ nord, 1° 02â€Č 13″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 128 m
Superficie 2,97 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Notre-Dame-de-Bondeville
LĂ©gislatives 5e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Le Houlme
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Le Houlme
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Le Houlme
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Le Houlme
Liens
Site web http://www.le-houlme76.fr/

    GĂ©ographie

    Description

    La commune a sur son territoire deux forĂȘts assez denses : la forĂȘt de Fresquiennes et la forĂȘt Verte.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est traversée par le Cailly, affluent de la Seine..

    Voies de communication et transports

    La gare de Malaunay - Le Houlme, de la ligne de Paris-Saint-Lazare au Havre est située sur la commune.

    Le F4 (ligne FAST) qui traverse la ville, qui part du hameau de Frévaux à Malaunay jusqu'au Mont-Riboudet-Kindarena à Rouen.

    Le 529, qui arrive des directions de Montville et les villes autour (réseau VTNI) qui passe de Route de Montville de Malaunay jusqu'à la gare routiÚre de Rouen. il traverse toute la route de Dieppe.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 790 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Rouen - Jardin », sur la commune de Rouen, mise en service en 1979[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 805,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  18 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Houlme est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Rouen, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 50 communes[17] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (53,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (53,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (42,7 %), forĂȘts (39,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (11,1 %), terres arables (5,1 %), prairies (1,6 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme de Hulmo en 1154[24].

    Du norrois holmr « ßlot, prairie en pente au bord de l'eau »[25] ou plus directement de l'ancien normand ho(l)m(m)e issu de l'ancien norrois holmr. Cf. Saint-Quentin-sur-le-Homme.

    Nom d'un ßlot ou d'une prairie humide dans la vallée du Cailly.

    Histoire

    Le Houlme a connu un grand développement lors de la révolution industrielle, qui a laissé de nombreux vestiges tels que des usines (Buttler Holiday), entreprises métallurgiques et filatures, et quartiers industriels. En , une grÚve des ouvriers filateurs est durement réprimée et se termine sur une condamnation à mort, 3 aux travaux forcés et 14 emprisonnements[26].

    Elle a depuis, connu un vaste programme de restructuration de ses édifices qui fait du Houlme une ville calme et diversifiée. Depuis la fin des années 1980, Le Houlme crée des lotissements résidentiels (Pablo-Picasso, Bois-Planté). Le Houlme fait aussi partie de la Métropole Rouen Normandie, image qui lui donne un profil plus attractif et bénéfique pour ses habitants, et est par conséquent bien desservie : 2 lignes de bus la traversent (ligne F4 (anciennement 16) et ligne 29).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    Julien Feron
    1852 Lucien Loyer
    1871 1874 Edmond Lemarchand
    1887 Jean Reber Chimiste
    1890 1895 Edmond Lemarchand
    1895 1906 Gustave Quilbeuf RĂ©publicain
    1908 1910 Gustave Quilbeuf RĂ©publicain
    1911 Raymond Lemarchand Filateur
    1912 1924 Julien Féron négociant en alcool, artiste peintre
    1925 1940 Louis Laurent
    1944 1945 Louis Laurent
    1945 1946 Henri Anquetil
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 fĂ©vrier 2001 Gilbert Grenier PCF Conseiller gĂ©nĂ©ral de Notre-Dame-de-Bondeville (1982 → 1988)
    mars 2001 En cours
    (au 10 août 2020)
    Daniel Grenier PCF puis SE RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026}[27] - [28]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[30].

    En 2020, la commune comptait 4 149 habitants[Note 8], en augmentation de 2,52 % par rapport Ă  2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0051 0001 0291 4041 7651 8211 8682 0352 048
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0702 0531 7071 6581 7502 0302 0822 1282 215
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 4892 7502 8263 1013 0153 0912 9682 9413 224
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    3 7043 9354 3244 3514 3494 3974 1474 0733 993
    2018 2020 - - - - - - -
    4 0334 149-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rouen - Jardin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Houlme et Rouen », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rouen - Jardin - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Houlme et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duRouen », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    24. Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 118.
    25. Principaux types toponymiques de la Normandie. Supplément aux Annales de Normandie. 5e année, no 3-4, 1955, page 44.
    26. Jean Bron, Histoire du mouvement ouvrier français, Les Éditions ouvriùres 1970, T.I p.59
    27. « Municipales au Houlme : Daniel Grenier, candidat Ă  un 4e mandat : Le maire sortant du Houlme, Daniel Grenier, repart pour un nouveau mandat municipal avec une Ă©quipe renouvelĂ©e Ă  40 % », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « « Ce n’est pas une liste partisane», affirme Daniel Grenier, maire, qui a annoncĂ© officiellement qu’il sera Ă  la tĂȘte d’une liste regroupant les diversitĂ©s de la gauche et de l’écologie pour les prochaines Ă©lections municipales. Le candidat, longtemps militant du PCF, vise un quatriĂšme mandat Ă  la tĂȘte de cette commune d’environ 4 000 habitants, situĂ©e dans la vallĂ©e du Cailly. (...) ÂgĂ© de 74 ans, Ă©lu depuis 1995 et maire depuis 2001 ».
    28. « Municipales 2020. Au Houlme, Daniel Grenier repart pour un quatriĂšme mandat : Lors du conseil municipal d’investiture, sept adjoints ont Ă©galement Ă©tĂ© Ă©lus », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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