Le Barp
Le Barp [lÉ baÊp] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Le Barp | |||||
Traversée du centre-ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Gironde | ||||
Arrondissement | Arcachon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de l'Eyre | ||||
Maire Mandat |
Blandine Sarrazin 2020-2026 |
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Code postal | 33114 | ||||
Code commune | 33029 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Barpais | ||||
Population municipale |
5 625 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 52 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 36âČ 25âł nord, 0° 46âČ 00âł ouest | ||||
Altitude | Min. 40 m Max. 84 m |
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Superficie | 107,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Le Barp (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton des Landes des Graves | ||||
LĂ©gislatives | NeuviĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.ville-le-barp.fr | ||||
GĂ©ographie
Le Barp est une commune de l'aire d'attraction de Bordeaux situĂ©e dans le Pays de Buch, sur la route nationale RN10 Ă environ 30 kilomĂštres au sud de Bordeaux. Elle se trouve dans la ForĂȘt des Landes, sur le territoire du Parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Cestas, Belin-BĂ©liet, Salles, Mios, Saint-Magne et Saucats.
Les communes limitrophes en sont Cestas au nord, Saucats au nord-est, Saint-Magne au sud-est, Belin-BĂ©liet au sud, Salles au sud-ouest et Mios Ă l'ouest.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1992 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[9]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,4 | 2,4 | 4,3 | 6,3 | 10 | 12,9 | 14,3 | 14,5 | 11,2 | 9,5 | 5,2 | 3,1 | 8 |
Température moyenne (°C) | 6,6 | 7,4 | 10,2 | 12,2 | 16,2 | 19,2 | 20,7 | 21 | 17,6 | 14,7 | 9,6 | 6,9 | 13,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,8 | 12,5 | 16,1 | 18,2 | 22,4 | 25,6 | 27,2 | 27,6 | 24 | 19,9 | 14 | 10,7 | 19,1 |
Record de froid (°C) date du record |
â10,7 13.01.03 |
â12,2 12.02.12 |
â10,9 01.03.05 |
â4,4 04.04.1996 |
0,1 14.05.1995 |
3,3 01.06.06 |
6,5 01.07.02 |
5,4 29.08.1998 |
1,6 25.09.02 |
â4,9 30.10.1997 |
â8,3 17.11.07 |
â12,1 16.12.01 |
â12,2 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
22,6 05.01.1999 |
25 15.02.1998 |
27,3 15.03.12 |
33,8 30.04.05 |
36,6 30.05.1996 |
40,5 21.06.03 |
38,5 20.07.1998 |
41,5 04.08.03 |
37,4 03.09.05 |
31,6 02.10.11 |
25 02.11.1993 |
21,9 07.12.00 |
41,5 2003 |
Précipitations (mm) | 97,2 | 77,6 | 73 | 73,7 | 72,2 | 61,4 | 49,6 | 56,3 | 77,4 | 94,2 | 120,7 | 108,3 | 961,6 |
Urbanisme
Typologie
Le Barp est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12]. Elle appartient à l'unité urbaine du Barp, une unité urbaine monocommunale[13] de 5 625 habitants en 2020, constituant une ville isolée[14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16] - [17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (73,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (41,5 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (27,8 %), terres arables (19,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,8 %), zones urbanisĂ©es (3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3 %), eaux continentales[Note 6] (1,1 %)[18].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune du Barp est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1999, 2009 et 2020[21] - [19].
Le Barp est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[22]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[23] - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 42,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 933 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 752 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 91 %, Ă comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Toponymie
Le toponyme est attesté dÚs le XIIIe siÚcle sous les formes latine Barbo (ablatif de Barbus), languedocienne (del) Barbe (1263) et gasconne (deu) Barp (donc lo Barp, 1220) : la transformation de Barbo à Barp est réguliÚre en gascon.
Albert Dauzat et Ernest NĂšgre expliquent le toponyme par l'anthroponyme Barbus[28], l'article Ă©tant dĂ» Ă une confusion avec le nom commun du barbeau, homonyme en gascon[29].
Bénédicte Boyrie-Fénié pense au contraire qu'il s'agit bien d'un nom commun, basé sur la racine hydronymique *barb- signifiant lieu humide (on relÚve au XIIIe siÚcle la mention « in palude de Barba » signalant un marais du nom de Barbe ; noter aussi les riviÚres voisines dénommées Barbouse et Barbanne)[30].
En gascon, le nom de la commune est Lo Barp.
Histoire
François Jouannet signale le passage de la voie romaine vers Dax en provenance de Cestas, qui porte le nom local de Lébade ou Camin Rouman. Des vestiges antiques y ont été repérés par la suite, par entre autres Camille Jullian[31].
Le village a été fondé autour de l'hÎpital qui existait dÚs le XIIIe siÚcle à la place de l'église actuelle et qui n'a pas survécu à l'abandon du pÚlerinage car, comme le remarque irrévérencieusement Baurein, Qui peregrinantur, raro santificantur[32].
Important relais de poste sur la route d'Espagne qui traversait la paroisse du nord au midi : c'est la quatriĂšme station de la poste Ă chevaux aprĂšs Gradignan, Les Taules et Le Puch de Lagubath.
Pour l'état de la commune au XVIIIe siÚcle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[33]. Les bouviers de la Lande transportant des denrées à vendre y faisaient halte avant d'arriver à Bordeaux. Par extrapolation, l'abbé Baurein, faute de renseignements directs, suggÚre qu'on y élÚve des pins et bois-taillis, qu'on s'y occupe de terres labourables et de la garde des troupeaux, et de faire du charbon pour le vendre à Bordeaux.
D'aprĂšs Baurein, il existe Ă l'Ă©poque un lieu trĂšs apprĂ©ciĂ© des pasteurs qui y mĂšnent leurs troupeaux, Les Sotiates qui doit peut-ĂȘtre son nom Ă la tribu mentionnĂ©e par Jules CĂ©sar.
à la Révolution française, la paroisse Saint-Jacques du Barp forme la commune du Barp[34].
Politique et administration
Liste des maires
DĂ©mographie
Les habitants sont appelés les Barpais[38].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[40].
En 2020, la commune comptait 5 625 habitants[Note 7], en augmentation de 5,57 % par rapport Ă 2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Agriculture
L'essentiel de l'activitĂ© primaire est tournĂ©e vers l'exploitation de la forĂȘt qui couvre une trĂšs grande part du territoire communal.
Darbonne PépiniÚre produit des fraisiers et petits fruits rouges, exporte et commercialise des plantes. Le Barp est célÚbre pour sa production d'asperges des sables des Landes et ses recettes.
Industrie
Dans le nord du territoire communal, est implanté le Cesta, centre d'études scientifiques et techniques d'Aquitaine, du Commissariat à l'énergie atomique qui abrite en particulier le laser Mégajoule.
Une entreprise d'exploitation d'un gisement d'argile de qualité s'adapte réguliÚrement depuis plus d'un siÚcle à l'évolution de la demande et du marché international. Elle porte actuellement le nom Les Grés de Gascogne et produit des pavés et des carrelages en céramique, lisses ou antidérapants, dans les teintes beige rosé[43]. Elle participe également aux journées patrimoniales girondines[44]. C'est une des derniÚres entreprises traditionnelles du parc naturel régional des Landes de Gascogne[45].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Jacques a été entiÚrement reconstruite durant la seconde moitié du XIXe siÚcle[46].
- Elle abrite une cloche du XVIIIe siĂšcle.
HĂ©raldique
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Les armes du Barp se blasonnent ainsi : CoupĂ©, au premier, parti au I de gueules au prieurĂ© Ă la tour gasconne couverte et girouettĂ©e d'argent, ouverte du champ, maçonnĂ©e de sable, flanquĂ©e de deux corps de logis couverts aussi d'argent, ouverts chacun aussi du champ, maçonnĂ©s aussi de sable, et au II d'or aux deux bourdons de pĂšlerin d'argent passĂ©s en sautoir et Ă la coquille d'azur brochant en abĂźme sur le tout, au second d'azur au chĂȘne terrassĂ© dâargent, fruitĂ© dâor, Ă dextre, et au pin terrassĂ© aussi dâargent Ă senestre, au soleil dâor mouvant du milieu de la partition et Ă la pomme de pin renversĂ©e dâargent en pointe[47]. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- www.recensement.insee.fr Résultats du recensement de la population du Barp sur le site de l'INSEE, consulté le .
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Barp », sur ehess.fr, Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- www.ign.fr Le Barp sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Le Barp sur Géoportail, consulté le 18 mai 2015.
- Le Barp sur Géoportail, consulté le 18 mai 2015.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
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- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Barp », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations préceltiques, celtiques, romanes, GenÚve, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 10640..
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- BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Ăditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 56..
- Hubert Sion, AcadĂ©mie des inscriptions et belles-lettres, Carte archĂ©ologique de la Gaule 33-1 : La Gironde, Paris, Ăditions de la Maison des sciences de l'homme, , 1re Ă©d., 360 p. (ISBN 978-2-87754-028-5), p. 95..
- Il reprend ainsi la maxime du moine Thomas a Kempis « qui multum peregrinantur, raro sanctificantur » (« Ceux qui voyagent beaucoup se sanctifient rarement ») ; Jacques Baurein 1876 page 197
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), p. 195-200
- Historique des communes, p. 4, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 18 mai 2015.
- « Guy Pellerin est décédé », sur sudouest.fr, (consulté le ).
- Conseil municipal sur le site de la mairie.
- « Municipales au Barp, Blandine Sarrazin lâemporte », sur sudouest.fr, (consultĂ© le ).
- Nom des habitants du Barp sur habitants.fr, consulté le 18 décembre 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Dubourg Jacques, « Bienvenue aux Grés de Gascogne », (consulté le ).
- Annie Lesca, « Aux Grés de Gascogne », sur Raconte-moi, (consulté le ).
- PNRLG, « Les Grés de Gascogne » (consulté le ).
- Ăglise Saint-Jacques du Barp sur le site « Visites en Aquitaine - RĂ©gion Aquitaine » (CC-BY-SA), consultĂ© le 18 mai 2015.
- Le blason sur le site de la mairie, bas de page, consulté le 20 décembre 2009.