AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Le Barp

Le Barp [lə baʁp] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de la Gironde, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Le Barp
Le Barp
Traversée du centre-ville.
Blason de Le Barp
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Gironde
Arrondissement Arcachon
Intercommunalité Communauté de communes du Val de l'Eyre
Maire
Mandat
Blandine Sarrazin
2020-2026
Code postal 33114
Code commune 33029
DĂ©mographie
Gentilé Barpais
Population
municipale
5 625 hab. (2020 en augmentation de 5,57 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 52 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 36â€Č 25″ nord, 0° 46â€Č 00″ ouest
Altitude Min. 40 m
Max. 84 m
Superficie 107,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Barp
(ville isolée)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton des Landes des Graves
LĂ©gislatives NeuviĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Barp
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Barp
GĂ©olocalisation sur la carte : Gironde
Voir sur la carte topographique de la Gironde
Le Barp
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Le Barp
Liens
Site web www.ville-le-barp.fr

    GĂ©ographie

    Le Barp est une commune de l'aire d'attraction de Bordeaux situĂ©e dans le Pays de Buch, sur la route nationale RN10 Ă  environ 30 kilomĂštres au sud de Bordeaux. Elle se trouve dans la ForĂȘt des Landes, sur le territoire du Parc naturel rĂ©gional des Landes de Gascogne.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Cestas, Belin-BĂ©liet, Salles, Mios, Saint-Magne et Saucats.

    Les communes limitrophes en sont Cestas au nord, Saucats au nord-est, Saint-Magne au sud-est, Belin-BĂ©liet au sud, Salles au sud-ouest et Mios Ă  l'ouest.

    Communes limitrophes du Barp[1]
    Cestas Saucats
    Mios Barp
    Salles Belin-BĂ©liet Saint-Magne

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 020 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[7] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[8] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. La station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France installĂ©e sur la commune et mise en service en 1992 permet de connaĂźtre l'Ă©volution des indicateurs mĂ©tĂ©orologiques[9]. Le tableau dĂ©taillĂ© pour la pĂ©riode 1981-2010 est prĂ©sentĂ© ci-aprĂšs.

    Statistiques 1981-2010 et records LE BARP (33) - alt : 55 m 44° 39â€Č 24″ N, 0° 48â€Č 30″ O
    Statistiques établies sur la période 1992-2010 - Records établis sur la période du 01-01-1992 au 01-01-2013
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,4 4,3 6,3 10 12,9 14,3 14,5 11,2 9,5 5,2 3,1 8
    Température moyenne (°C) 6,6 7,4 10,2 12,2 16,2 19,2 20,7 21 17,6 14,7 9,6 6,9 13,6
    Température maximale moyenne (°C) 10,8 12,5 16,1 18,2 22,4 25,6 27,2 27,6 24 19,9 14 10,7 19,1
    Record de froid (°C)
    date du record
    −10,7
    13.01.03
    −12,2
    12.02.12
    −10,9
    01.03.05
    −4,4
    04.04.1996
    0,1
    14.05.1995
    3,3
    01.06.06
    6,5
    01.07.02
    5,4
    29.08.1998
    1,6
    25.09.02
    −4,9
    30.10.1997
    −8,3
    17.11.07
    −12,1
    16.12.01
    −12,2
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    22,6
    05.01.1999
    25
    15.02.1998
    27,3
    15.03.12
    33,8
    30.04.05
    36,6
    30.05.1996
    40,5
    21.06.03
    38,5
    20.07.1998
    41,5
    04.08.03
    37,4
    03.09.05
    31,6
    02.10.11
    25
    02.11.1993
    21,9
    07.12.00
    41,5
    2003
    Précipitations (mm) 97,2 77,6 73 73,7 72,2 61,4 49,6 56,3 77,4 94,2 120,7 108,3 961,6
    Source : « Fiche 33029001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Le Barp est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [10] - [11] - [12]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine du Barp, une unitĂ© urbaine monocommunale[13] de 5 625 habitants en 2020, constituant une ville isolĂ©e[14] - [15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16] - [17].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (73,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (41,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (27,8 %), terres arables (19,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (3,8 %), zones urbanisĂ©es (3 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3 %), eaux continentales[Note 6] (1,1 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune du Barp est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1999, 2009 et 2020[21] - [19].

    Le Barp est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt[22]. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[23] - [24].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Barp.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 42,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 933 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1 752 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 91 %, Ă  comparer aux 84 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[27].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

    Toponymie

    Toponymie et occupation du sol, Cassini 1756

    Le toponyme est attesté dÚs le XIIIe siÚcle sous les formes latine Barbo (ablatif de Barbus), languedocienne (del) Barbe (1263) et gasconne (deu) Barp (donc lo Barp, 1220) : la transformation de Barbo à Barp est réguliÚre en gascon.

    Albert Dauzat et Ernest NĂšgre expliquent le toponyme par l'anthroponyme Barbus[28], l'article Ă©tant dĂ» Ă  une confusion avec le nom commun du barbeau, homonyme en gascon[29].

    Bénédicte Boyrie-Fénié pense au contraire qu'il s'agit bien d'un nom commun, basé sur la racine hydronymique *barb- signifiant lieu humide (on relÚve au XIIIe siÚcle la mention « in palude de Barba » signalant un marais du nom de Barbe ; noter aussi les riviÚres voisines dénommées Barbouse et Barbanne)[30].

    En gascon, le nom de la commune est Lo Barp.

    Histoire

    François Jouannet signale le passage de la voie romaine vers Dax en provenance de Cestas, qui porte le nom local de Lébade ou Camin Rouman. Des vestiges antiques y ont été repérés par la suite, par entre autres Camille Jullian[31].

    Le village a été fondé autour de l'hÎpital qui existait dÚs le XIIIe siÚcle à la place de l'église actuelle et qui n'a pas survécu à l'abandon du pÚlerinage car, comme le remarque irrévérencieusement Baurein, Qui peregrinantur, raro santificantur[32].

    Important relais de poste sur la route d'Espagne qui traversait la paroisse du nord au midi : c'est la quatriĂšme station de la poste Ă  chevaux aprĂšs Gradignan, Les Taules et Le Puch de Lagubath.

    Pour l'état de la commune au XVIIIe siÚcle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[33]. Les bouviers de la Lande transportant des denrées à vendre y faisaient halte avant d'arriver à Bordeaux. Par extrapolation, l'abbé Baurein, faute de renseignements directs, suggÚre qu'on y élÚve des pins et bois-taillis, qu'on s'y occupe de terres labourables et de la garde des troupeaux, et de faire du charbon pour le vendre à Bordeaux.

    D'aprĂšs Baurein, il existe Ă  l'Ă©poque un lieu trĂšs apprĂ©ciĂ© des pasteurs qui y mĂšnent leurs troupeaux, Les Sotiates qui doit peut-ĂȘtre son nom Ă  la tribu mentionnĂ©e par Jules CĂ©sar.

    À la RĂ©volution française, la paroisse Saint-Jacques du Barp forme la commune du Barp[34].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1968 1983 René Born PS
    1983 2001 Guy Pellerin[35] UMP
    mars 2001 décembre 2006 DaniÚle Born PS
    janvier 2007 2020 Christiane Dornon[36] UMP-LR
    2020 En cours Blandine Sarrazin[37] DVC
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Les habitants sont appelés les Barpais[38].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[40].

    En 2020, la commune comptait 5 625 habitants[Note 7], en augmentation de 5,57 % par rapport Ă  2014 (Gironde : +7,23 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0141 0851 1071 3136741 4081 4121 4941 519
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4521 4381 5431 4481 4761 5261 4611 5181 520
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4371 4451 4441 2381 2121 0521 004805937
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    8929581 3032 2382 5843 2424 0484 2934 523
    2014 2019 2020 - - - - - -
    5 3285 6055 625------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    L'essentiel de l'activitĂ© primaire est tournĂ©e vers l'exploitation de la forĂȘt qui couvre une trĂšs grande part du territoire communal.

    Darbonne PépiniÚre produit des fraisiers et petits fruits rouges, exporte et commercialise des plantes. Le Barp est célÚbre pour sa production d'asperges des sables des Landes et ses recettes.

    Industrie

    Dans le nord du territoire communal, est implanté le Cesta, centre d'études scientifiques et techniques d'Aquitaine, du Commissariat à l'énergie atomique qui abrite en particulier le laser Mégajoule.

    Une entreprise d'exploitation d'un gisement d'argile de qualité s'adapte réguliÚrement depuis plus d'un siÚcle à l'évolution de la demande et du marché international. Elle porte actuellement le nom Les Grés de Gascogne et produit des pavés et des carrelages en céramique, lisses ou antidérapants, dans les teintes beige rosé[43]. Elle participe également aux journées patrimoniales girondines[44]. C'est une des derniÚres entreprises traditionnelles du parc naturel régional des Landes de Gascogne[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Jacques.
    • L'Ă©glise Saint-Jacques a Ă©tĂ© entiĂšrement reconstruite durant la seconde moitiĂ© du XIXe siĂšcle[46].
    Elle abrite une cloche du XVIIIe siĂšcle.

    HĂ©raldique

    Armes

    Les armes du Barp se blasonnent ainsi :

    CoupĂ©, au premier, parti au I de gueules au prieurĂ© Ă  la tour gasconne couverte et girouettĂ©e d'argent, ouverte du champ, maçonnĂ©e de sable, flanquĂ©e de deux corps de logis couverts aussi d'argent, ouverts chacun aussi du champ, maçonnĂ©s aussi de sable, et au II d'or aux deux bourdons de pĂšlerin d'argent passĂ©s en sautoir et Ă  la coquille d'azur brochant en abĂźme sur le tout, au second d'azur au chĂȘne terrassĂ© d’argent, fruitĂ© d’or, Ă  dextre, et au pin terrassĂ© aussi d’argent Ă  senestre, au soleil d’or mouvant du milieu de la partition et Ă  la pomme de pin renversĂ©e d’argent en pointe[47].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[6].
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Le Barp sur Géoportail, consulté le 18 mai 2015.
    2. Le Barp sur Géoportail, consulté le 18 mai 2015.
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    6. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Fiche du Poste 33029001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Unité urbaine 2020 du Le Barp », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    14. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    19. « Les risques prÚs de chez moi - commune du Barp », sur Géorisques (consulté le )
    20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    22. « Le risque feux de forĂȘts. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    23. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le )
    24. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur www.gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Barp », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    28. Ernest NĂšgre, Toponymie gĂ©nĂ©rale de la France : Ă©tymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 1 : Formations prĂ©celtiques, celtiques, romanes, GenĂšve, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 193), , 1869 p. (ISBN 978-2-600-02884-4, lire en ligne), n° 10640..
    29. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
    30. BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, Institut occitan, Dictionnaire toponymique des communes de Gironde, Pau, Éditions Cairn, , 402 p. (ISBN 978-2-35068-012-5), p. 56..
    31. Hubert Sion, AcadĂ©mie des inscriptions et belles-lettres, Carte archĂ©ologique de la Gaule 33-1 : La Gironde, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, , 1re Ă©d., 360 p. (ISBN 978-2-87754-028-5), p. 95..
    32. Il reprend ainsi la maxime du moine Thomas a Kempis « qui multum peregrinantur, raro sanctificantur » (« Ceux qui voyagent beaucoup se sanctifient rarement ») ; Jacques Baurein 1876 page 197
    33. Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) (lire en ligne), p. 195-200
    34. Historique des communes, p. 4, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 18 mai 2015.
    35. « Guy Pellerin est décédé », sur sudouest.fr, (consulté le ).
    36. Conseil municipal sur le site de la mairie.
    37. « Municipales au Barp, Blandine Sarrazin l’emporte », sur sudouest.fr, (consultĂ© le ).
    38. Nom des habitants du Barp sur habitants.fr, consulté le 18 décembre 2011.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    43. Dubourg Jacques, « Bienvenue aux Grés de Gascogne », (consulté le ).
    44. Annie Lesca, « Aux Grés de Gascogne », sur Raconte-moi, (consulté le ).
    45. PNRLG, « Les Grés de Gascogne » (consulté le ).
    46. Église Saint-Jacques du Barp sur le site « Visites en Aquitaine - RĂ©gion Aquitaine » (CC-BY-SA), consultĂ© le 18 mai 2015.
    47. Le blason sur le site de la mairie, bas de page, consulté le 20 décembre 2009.
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.