La Serpent
La Serpent est une commune française située dans le sud-ouest du département de l'Aude en région Occitanie.
La Serpent | |
Le château et le village. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Aude |
Arrondissement | Limoux |
Intercommunalité | Communauté de communes du Limouxin |
Maire Mandat |
Rémy Tisseyre 2020-2026 |
Code postal | 11190 |
Code commune | 11376 |
Démographie | |
Gentilé | Serpentois |
Population municipale |
95 hab. (2020 ) |
Densité | 9,9 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 58′ 05″ nord, 2° 11′ 00″ est |
Altitude | 350 m Min. 309 m Max. 568 m |
Superficie | 9,59 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de la Haute-Vallée de l'Aude |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Razès, un pays historiquement très étendu, qui ne se résume aujourd'hui qu'aux collines de la Malepère et au bas Razès au centre et au sud, limité par le pays de Sault. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau d'Antugnac et par divers autres petits cours d'eau.
La Serpent est une commune rurale qui compte 95 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 352 habitants en 1806. Ses habitants sont appelés les Serpentois ou Serpentoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1986.
Géographie
Commune située dans le Pays de la haute vallée de l'Aude à 10 km au nord-ouest de Couiza.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Antugnac, Bouriège, Conilhac-de-la-Montagne, Fa, Festes-et-Saint-André, Rouvenac, Val-du-Faby et Roquetaillade-et-Conilhac.
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le ruisseau d'Antugnac, Rec de Lafage, le ruisseau d'Aïgos Juntos et le ruisseau de Coume Fédière, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[4] - [Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[5].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Granes », sur la commune de Granès, mise en service en 1991[10] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[11] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 718 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 30 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[14], à 14,1 °C pour 1981-2010[15], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[17] - [18] - [19].
Urbanisme
Typologie
La Serpent est une commune rurale[Note 4] - [20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [21]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,7 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), cultures permanentes (12,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,2 %), terres arables (3,2 %), prairies (2,5 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de La Serpent est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité modérée)[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 67 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 67 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25] - [Carte 3].
Histoire
Simple alleu dans les temps antiques du Haut Moyen Âge, le fief de La Serpent situé dans le Haut Razès se trouve mentionné pour la première fois en 1319 dans des documents relatifs au Salin de Carcassonne. Les seigneurs de La Serpent sont alors issus de la famille de Rivière. Ils doivent hommage pour La Serpent, Le Lion et Bouriège, aux seigneurs de Mirepoix, de la Maison de Lévis.
Située sur un promontoire duquel la vue s'étend au loin, La Serpent constitue un point d'observation stratégique qui est celui d'un castrum. Au Moyen Âge, en rapport avec les caractéristiques de sa localisation, le nom antique que porte la seigneurie de La Serpent dans les manuscrits anciens, rédigés alors en langue latine, est : Castrum de Serpente, littéralement : le château, le fort, ou la place forte des Serpents.
Vers 1390, La Serpent change plusieurs fois de main. La seigneurie passe d’abord à la famille du Vivier, par le mariage de Gabelle de Rivière avec Gaucelin du Vivier. A l'occasion du mariage de leur fille, Gaillarde du Vivier, seigneuresse de La Tour en Fenouillèdes, avec François de Belcastel, elle devient une des possessions de la famille de Belcastel,. En 1432, Bernard Guillaume de Belcastel rend hommage à Philippe II de Lévis pour les lieux de Bouriège, Le Lion et La Serpent. En 1441, Gausselin de Belcastel, seigneur du Vivier, réitère cet hommage à Philippe II de Lévis.
Entre 1444 et 1452, le fief de La Serpent change par deux fois de seigneur. En effet, en 1444, Noble Roger de Senesplède en est le titulaire, il en rend hommage à Jean IV de Lévis.
Au milieu du XVe siècle, la seigneurie de La Serpent avec son château est acquise par la famille Dax, une très ancienne famille originaire de Carcassonne[26] qui donna plusieurs consuls de la Cité au Moyen Âge et resta présente à Axat jusqu'à l'orée du XXe siècle. C'est Arnaud Dax, consul de Carcassonne qui en fait l'acquisition, il est également seigneur d'Axat, d'Artigues (Aude), de Cailla, Le Clat, Leuc, Trèbes et autres places[27]. Aussi, en 1459, « Noble Arnaud Dax » rend-il à son tour hommage pour la seigneurie de La serpent, à Jean IV de Lévis. En 1479, date de la mort d’Arnaud Dax son père, Jean I Dax seigneur de La Serpent, d'Axat et autres places, « héritier des seigneuries de Leuc, de la Serpent, d’Axat, Gaix, Artigues et Trevas », rend hommage à Jean IV de Lévis pour les seigneuries de La Serpent, Bouriège et du Lion, pour la quatrième part des lieux de Roquetaillade, Conilhac, du Vilars, de Pechtremaut, de Cazilhac, de Mornac et de Saint-Sauveur, ainsi que pour des fiefs nobles situés dans les lieux d’Alet, Rennes-le-Château et Antugnac. En 1493, il renouvellera cet hommage à l’adresse de Jean V de Lévis.
Ce même Jean I Dax, conseiller, grand chambellan du roi Charles VIII et Grand prévôt des maréchaux de France au royaume de Sicile est aux côtés du roi lors de son départ pour la 1re guerre d'Italie, il est, à cette époque reculée, encore qualifié de l'antique nom de « seigneur de Serpente »[28]
Au XVIe siècle, le château de La Serpent est souvent mentionné au cours des guerres de Religion pour avoir servi de prison de transit pour les « religionnaires » capturés dans la région.
Un texte ancien d'une haute valeur historique, du XVIIe siècle qui concerne directement l'histoire de La Serpent au Moyen Âge a été déplacé sur la page de discussion de La Serpent où il peut être consulté (cliquer en haut à gauche sur « Discussion »).
A la fin du XVIIe siècle, à la suite du mariage d'une fille de la branche de La Serpent de la famille Dax avec le fils du marquis de Béon, la famille de Béon reçoit en dot la seigneurie de la Serpent, transmise avec le château. Les jeunes époux donnent à l'édifice que nous connaissons aujourd'hui sa forme définitive depuis le début du XVIIIe siècle, leurs descendants y vivent jusqu'au XIXe siècle.
Époque révolutionnaire :
Huit pluviôse an X suppression du canton d'Alet-les-Bains, La Serpent est rattaché au canton de Quillan. Dix-sept nivôse an XIII, La Serpent est rattachée au canton de Couiza.
Héraldique
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Son blasonnement est : D'azur à la fasce componée d'argent et de gueules. |
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Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31]. En 2020, la commune comptait 95 habitants[Note 5], en augmentation de 11,76 % par rapport à 2014 (Aude : +2,66 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Économie
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
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Commune[I 4] | 11,8 % | 6,4 % | 14 % |
Département[I 5] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 49 personnes, parmi lesquelles on compte 74 % d'actifs (60 % ayant un emploi et 14 % de chômeurs) et 26 % d'inactifs[Note 6] - [I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 7]. Elle compte 13 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 13 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 30, soit un indicateur de concentration d'emploi de 42,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,3 %[I 8].
Sur ces 30 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
8 établissements[Note 7] sont implantés à la Serpent au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à La Serpent), contre 8,8 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans le Razès, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aude[34], également dénommée localement « Volvestre et Razès »[Carte 5]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la viticulture[Carte 6]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 10] (21 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 72 ha[36] - [Carte 7] - [Carte 8].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église dédiée à saint Étienne, construite par Hercule de Dax[37], seigneur de La Serpent. La famille Dax y possédait l'une de ses sépultures seigneuriales.
- Magnifique château datant principalement des XVIe siècle et XVIIe siècle. Situé sur les coteaux, surplombant l’entrée du village et l'église, il représente une réduction architectonique du château de Versailles[38] et fut édifié sur l'emplacement d'un château fortifié plus ancien, datant du Moyen Âge.
Vie locale
Festivités
Personnalités liées à la commune
- La famille Dax, originaire de Carcassonne, fut liée à La Serpent depuis le milieu du XVe siècle, lorsque ses représentants devinrent seigneur de La Serpent. Parmi eux s'est notamment distingué Jean I Dax seigneur de La Serpent, d'Axat et autres places, conseiller, grand chambellan du roi Charles VIII et Grand prévôt des maréchaux de France au royaume de Sicile, il est à cette époque reculée, encore qualifié de l'antique nom de « seigneur de Serpente »[28]
- La famille de Béon qui, à la suite du mariage d'une fille de la branche de La Serpent de la famille Dax à la fin du XVIIe siècle avec le fils du marquis de Béon, reçut en dot la seigneurie de la Serpent, transmise avec le château. Elle y demeure, jusqu'au XIXe siècle.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de la Serpent » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2021).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- [PDF]« Carte des petites régions agricoles (PRA) dans l’Aude », sur www.aude.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à la Serpent » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à la Serpent » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à la Serpent » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aude » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous Géoportail
- « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin Rhône-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
- « Fiche communale de la Serpent », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Granes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre La Serpent et Granès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Granes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre La Serpent et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Serpent », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Serpent », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Serpent », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de La Serpent », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- Société des arts et des sciences de Carcassonne, « Mémoire touchant les familles plus anciennes de la ville » Famille Dax
- Francis Poudou, Opération Vilatge al PaÃs, Communauté de Communes du Canton d'Axat, Narbonne, , 340 p., pp. 209-222
- Claude de Vic, Joseph Vaissete, Ernest Roschach, Histoire générale de Languedoc avec des notes et les pièces justificatives, 1845, tome 8, page 201, lire en ligne, le départ du roi Charles VIII et de son armée pour la guerre d'Italie début septembre 1494 en compagnie de « Jean Dax, seigneur de Serpente ».
- Site officiel de la préfecture de l‘Aude - liste des maires (doc pdf)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de La Serpent - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « voir l'Armorial du Pays d'Oc »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
- voir photo sur ce lien
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de l'Aude
- Armorial des communes de l'Aude
- Château de La Serpent
- Liste des châteaux de l'Aude
- Liste des monuments historiques de l'Aude
- Famille Dax
- Jean Dax seigneur de La Serpent, d'Axat et autres places
- Ange Jean Michel Bonaventure de Dax d'Axat
- Famille de Béon
- Maison de Lévis
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :