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La Regrippière

La Regrippière est une commune de l'ouest de la France, dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. La Regrippière est membre de la communauté de communes Sèvre et Loire.

La Regrippière
La Regrippière
L'église Saint-François-de-Sales.
Blason de La Regrippière
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Nantes
Intercommunalité Communauté de communes Sèvre et Loire
Maire
Mandat
Pascal Evin
2020-2026
Code postal 44330
Code commune 44140
Démographie
Gentilé Regrippiérois
Population
municipale
1 520 hab. (2020 en diminution de 0,65 % par rapport à 2014)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 10′ 57″ nord, 1° 10′ 30″ ouest
Altitude Min. 42 m
Max. 101 m
Superficie 18,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nantes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vallet
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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La Regrippière
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La Regrippière
Liens
Site web http://www.cc-vallet.fr/

    Géographie

    Situation de la commune de la Regrippière dans le département de la Loire-Atlantique.

    La Regrippière est située à 30 km au sud-est de Nantes et à km à l'est de Vallet.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 801 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Haie-Fouassière », sur la commune de La Haie-Fouassière, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 843,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nantes-Bouguenais », sur la commune de Bouguenais, mise en service en 1945 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    La Regrippière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nantes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 116 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (28,9 %), cultures permanentes (26,9 %), terres arables (23,8 %), prairies (17,3 %), zones urbanisées (3,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le bourg de la Regrippière était appelé primitivement Escublant ou Escouflant. Le nom de la commune est Skouvlant en breton, cependant le breton n'y a jamais été parlé[21].

    Le nom de la Regrippière vient du latin Regis Perrieri, « Perrière du Roi », d'où la reine Frédégonde (543-597) y fait extraire des pierres pour la construction de son palais. Cette « perrière », autrement dit cette carrière, se trouvait à l'emplacement du bourg actuel et sur le site où est installé le prieuré de la ville, ce qui justifie ainsi son nom. Derrière l'église paroissiale (ex-Chapelle du Prieuré) se trouve un lieu-dit appelé Les Carrières. Le nom de la Regrippière est donc propre au bourg et au prieuré.

    La Regrippière se trouvant à la limite gallo-poitevine, elle possède un nom gallo : La Regripèrr selon l'écriture ELG[22], ou La Rgripiérr selon l'écriture MOGA. En gallo comme en poitevin, le nom de la commune se prononce [laʁgʁipjeʁ][23].

    Histoire

    Au Moyen Âge, elle est parfois dite « les Landes-de-Clisson », à une époque où il n’y avait pas encore d’habitant et où les bêtes sauvages pullulaient : loups, sangliers, renards, etc.

    En 1108, le cartulaire de Fontevrault (f° 685) cite le nom d’Escoublant ; année où, précisément, le Bienheureux Robert d'Arbrissel y vient défricher pour installer un prieuré dépendant de l’abbaye royale de Fontevraud, Maison-mère de l’Ordre de Fontevraud, qu’il avait précédemment fondée. Cette nouvelle fondation, anciennement partie la commune de Vallet, prend le nom de « Prieuré de la Regrippière » et se trouve près de la Seigneurie de la Ragotière.

    En 1792, une loi est votée, ordonnant la fermeture des Maisons Religieuses ; le prieuré est détruit en 1793 par les colonnes infernales[24].

    Cependant, quand la paroisse puis la commune se créèrent (la première en 1820[24], la seconde en 1861), c’est le nom de la Regrippière qui prévaut, ce territoire s’identifiant depuis des siècles au prieuré ; l’on voit encore, très rarement, apparaître le nom d’Escoublant.

    En droit féodal, le prieuré de la Regrippière rend hommage à l'abbesse royale de Fontevraud qui le reporte directement au Saint-Siège, les papes en étant suzerains. Jean-Baptiste Joseph Lord de La Ragotière est titré duc héréditaire d’Escoublant par un bref pontifical de Léon XIII.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1989 mars 2001 Joseph Boiteau[Note 6]
    mars 2001 mai 2020[25] René Baron[Note 7] PS Agriculteur, conseiller général du canton de Vallet
    mai 2020[26] En cours Pascal Evin Cadre de la grande distribution, ancien adjoint
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, La Regrippière fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Nantes et du bassin de vie de Vallet. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[27]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 91 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 9 % dans des zones « très peu denses »[28].

    Évolution démographique

    La commune est créée en 1863 à partir d'un démembrement partiel de Vallet.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2020, la commune comptait 1 520 habitants[Note 8], en diminution de 0,65 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 2501 2681 2341 2211 2001 3091 2651 2321 211
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    1 1491 011974986967894925984957
    1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2020
    8509051 0931 0891 4221 5171 5251 5291 520
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,4 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 810 hommes pour 719 femmes, soit un taux de 52,98 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,58 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    0,8
    3,6
    75-89 ans
    6,0
    13,2
    60-74 ans
    11,1
    19,8
    45-59 ans
    19,5
    21,7
    30-44 ans
    25,6
    18,0
    15-29 ans
    13,9
    23,5
    0-14 ans
    23,1
    Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le pont romain, situé au lieu-dit « la Ducherie » (47° 10′ 44″ N, 1° 09′ 50″ O), sur la Sanguèze, fixe la limite départementale entre la Loire-Atlantique et le Maine-et-Loire. Le pont est visible en suivant un chemin aménagé le long de la rivière, à partir de la D 756.

    À une dizaine de mètres du pont romain se trouve un puits ancien, près de la rivière.

    • Le pont romain.
      Le pont romain.
    • Puits ancien.
      Puits ancien.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    De gueules au calice d'or d'où sort un serpent ondoyant de sinople, surmonté d'un dextrochène à la main imposante de carnation, habillé aussi d'or, mouvant du flanc senestre.
    Commentaires : Ce blason est une évocation de Saint Jean-Baptiste, patron de la paroisse. Brevet d'Hozier.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Baptiste Joseph Lord de La Ragotière, (1851-1896), 1er duc d’Escoublant 1895.
    • André Maurice Louis Lord de La Ragotière, (1880-1915), 2e duc d’Escoublant 1896, fils du précédent.
    • Guy André Lord de La Ragotière, (1909-1982), 3e duc d’Escoublant 1915, fils du précédent.
    • Jacques Guy Lord de La Ragotière, (1937), 4e duc d’Escoublant 1982, fils du précédent.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Réélu en 1995.
    7. Réélu en 2008 et 2014.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Haie-Fouassière - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre La Regrippière et La Haie-Fouassière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Haie-Fouassière - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre La Regrippière et Bouguenais », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Nantes-Bouguenais - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Edmont Gilliéron, Atlas linguistique de la France, 1902-1910.
    22. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    23. « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
    24. « Histoire - La Regrippière », sur cc-vallet.fr (consulté le ).
    25. « Loire-Atlantique : René Baron, ce maire qui n’avait pas été candidat : Le maire de la Regrippière va tirer sa révérence après 31 ans de mandat municipal, dont trois comme maire. Et dire qu'en 1989, René Baron n'était même pas candidat. », L'Hebdo de Sèvre et Maine, (lire en ligne).
    26. « Vignoble de Nantes. Pascal Evin est le nouveau maire de La Regrippière », Ouest-France, (lire en ligne).
    27. « Commune de La Regrippière (44140) », Insee (consulté le ).
    28. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Regrippière (44140) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
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