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LĂ©on Broquet

Espérance Léon Cléophas Broquet, dit Léon Broquet, né à Paris le et mort le à Chùteauroux, est un artiste peintre et graveur français, ayant exercé son art principalement en peinture de paysage, marines, peinture d'histoire.

LĂ©on Broquet
LĂ©on Broquet
Naissance
DĂ©cĂšs
Période d'activité
Nom de naissance
Espérance Léon Cléophas Broquet
Nationalité
Activité
MaĂźtre
Lieux de travail
Mouvement
Distinction
ƒuvres principales
L’hiver au marais, effet de neige (1912)
La Revanche. Le Petit Morin prĂšs Talus Saint-Prix (1914)
collection carnet de route d'un territorial (1918)

ÉlĂšve de Claude Monet, Antoine Guillemet et Alexandre Nozal, il rĂ©alise beaucoup d’huiles sur toile, mais Ă©galement des gravures en eau-forte, des aquarelles et des peintures murales. RenommĂ© comme peintre aux armĂ©es durant la guerre 1914-1918, il part vers 1929 rejoindre le groupe des peintres de Concarneau. Il expose au Salon des artistes français Ă  Paris de 1901 jusqu'en 1931, et recevra une mĂ©daille de seconde classe en 1912 pour L’hiver au marais, effet de neige, qui le classa hors-concours pour le reste de sa carriĂšre. Il est le bisaĂŻeul de la peintre et dessinatrice Virginie Broquet.

Biographie

DĂ©buts

LĂ©on Broquet naĂźt dans le 5e arrondissement de Paris le .

Il réalise une carriÚre principalement de peintre de paysage, de scÚnes de genre et marines parcourant l'hexagone de Gravelines dans le Nord, Marcilly-sur-Seine dans la Marne à Martigues sur la Méditerranée. Il demeure en 1901 au 15 rue du Marché à Puteaux[1], en 1902 Villa des Chardons, à Garches[2].

MariĂ© Ă  Louise EugĂ©nie Chevalier, il est pĂšre de trois enfants (son aquarelle Sur l'eau illustrant la couverture des Annales politiques et littĂ©raires du les reprĂ©sente). Il peint des paysages de la rĂ©gion parisienne dont L'Étang de Ville d’Avray exposĂ© au Salon de 1904. DĂšs 1904, il demeure au 12 quai de Seine Ă  Marcilly-sur-Seine qu'il affectionnera jusqu'en 1929[3] - [4], il y peint de nombreuses toiles reprĂ©sentant la ville et la campagne champenoise[5]. Il confie le soin Ă  son beau-frĂšre voisin et Ă©bĂ©niste d'encadrer certaines de ses Ɠuvres. Il rĂ©alise des dĂ©cors pour des maisons bourgeoises aux alentours de Marcilly.

PremiĂšre Guerre mondiale

Pendant la Grande Guerre, ĂągĂ© de 45 ans, il s'engage et se fait incorporer dans le 2e escadron du 4e hussard en premiĂšres lignes dans l'action des tranchĂ©es de La voie sacrĂ©e. Il commence la guerre par esprit national avant tout comme militaire et non comme peintre (au dĂ©but de la guerre, seul le MusĂ©e de l'ArmĂ©e envoyait en mission des artistes sur le front. Ce n’est que le qu'un arrĂȘtĂ© du sous-secrĂ©taire d’État des Beaux-Arts Albert Dalimier, institue les missions de peintres aux armĂ©es, la PremiĂšre Guerre mondiale a consacrĂ© la suprĂ©matie de la photographie et du cinĂ©ma pour fixer la « vĂ©ritĂ© » des combats, et a marquĂ© la fin de la grande peinture d’histoire militaire ; le ministĂšre de la Guerre, puis celui des Beaux-Arts ont cependant organisĂ© des missions officielles de peintres au front, qui prĂ©sentent leurs Ɠuvres dans des salons). En 1917, il est nommĂ© peintre aux armĂ©es[6] et demande Ă  repartir au front. Il y dessine et peint durant toute la guerre des Ɠuvres qui lui vaudront sa notoriĂ©tĂ©, il est fĂ©licitĂ© et reconnu depuis ses camarades de troupes jusqu'au chef des ArmĂ©es le MarĂ©chal PĂ©tain. LĂ©on Broquet Ă©change de trĂšs nombreux courriers avec le MusĂ©e de l'armĂ©e dĂšs le dĂ©but du conflit et jusqu'en 1930, ces derniers ainsi que ceux Ă©changĂ©s en interne au sein du musĂ©e mettent en lumiĂšre la vie de LĂ©on Broquet, vie privĂ©e ou vie au front, ils sont archivĂ©s au MusĂ©e de l'ArmĂ©e HĂŽtel des Invalides.

Son camarade sur le front, le peintre et dessinateur réaliste Lucien Jonas qui publia dans la presse durant toute la guerre notamment dans L'Illustration réalise un fusain qui représente l'artiste sur le front en train de dessiner avec cette mention manuscrite « A mon ami Léon Broquet, le vaillant et puissant peintre-soldat ».

F. de Joannis dit de Léon Broquet[7] « La vie, au long de ses courbes cruelles ou heureuses, a entrainé ce visionnaire apte à saisir toutes les figures humaines, elle l'a mis d'abord à l'épreuve de la douleur et de la peine. Il est en peinture une expression pathétique, une clameur, un rythme brisé d'élans impétueux et de poignants recueillements ».

L'extrait suivant de l'Ă©tude par L'histoire par l'image de deux dessins au fusain La reprise de mondement rĂ©alisĂ©s par LĂ©on Broquet caractĂ©rise de façon gĂ©nĂ©rale ses Ɠuvres de cette pĂ©riode : « on lui doit de nombreux dessins de ce type, rĂ©alisĂ©s au moment de l’action et suivant son dĂ©roulement. Elles sont annotĂ©es par l’artiste, qui dĂ©crit chaque scĂšne ainsi reprĂ©sentĂ©e, ce qui confĂšre Ă  son Ɠuvre une valeur documentaire apprĂ©ciable, renforcĂ©e par le caractĂšre rĂ©aliste du trait...

Les deux images, réalisées sur le vif, rendent parfaitement compte de cette « guerre de mouvement » qui caractérise tout assaut et plus généralement la premiÚre bataille de la Marne.
De la guerre tout d’abord : dans une optique rĂ©aliste, l’artiste n’a pas gommĂ© la violence des combats puis qu’il reprĂ©sente, sur la premiĂšre image, un cadavre mais aussi un soldat en train de mourir. C’est aussi avec une grande prĂ©cision, presque documentaire, que sont rendus les Ă©quipements et la manƓuvre d’assaut des soldats, presque minute par minute.
Du mouvement ensuite. Le premier dessin est marquĂ© par le contraste entre le mur dĂ©truit immobile, et la mobilitĂ© des hommes qui s’y engouffrent en courant. MĂȘme sĂ©parĂ©e en deux groupes, la file des soldats semble avancer d’un mĂȘme mouvement (lĂ©gĂšrement en courbe, opposĂ© aux murs plus anguleux) qui suit le bĂątiment pour ensuite pĂ©nĂ©trer sur la droite. Les hommes semblent ouvrir une brĂšche dans le dessin lui-mĂȘme, qui offre alors une certaine profondeur, rendue par une sorte de perspective qui se distingue des murs Ă  plat. On saisit alors la « percĂ©e » : celle de la bataille de Mondement, et, par extension, celle de la contre-offensive lancĂ©e par Joffre, qui sut, par endroits, enfoncer les lignes allemandes. Le second montre certes des soldats au repos, mais, semble-t-il, presque dĂ©jĂ  prĂȘts Ă  repartir : un seul est assis, et ils sont toujours Ă©quipĂ©s. Surtout, le trait assez fluide ne les fige pas : ils sont certes arrĂȘtĂ©s, mais pas immobiles. Cela renforce l’impression d’actualitĂ© qui se dĂ©gage des deux dessins, qui peignent l’action sur le vif. Si le fait que ces soldats soient des tirailleurs marocains est remarquable d’un point de vue historique, Broquet ne semble pas en faire un thĂšme central de ses dessins. Il reprĂ©sente les choses telles qu’elles se dĂ©roulent, sans insister sur les dĂ©tails « coloniaux ». Ce sont ici des soldats comme les autres, qui, hĂ©roĂŻquement, ont contribuĂ© Ă  cette victoire si importante. »[8].

56 Ɠuvres peintures, dessins et aquarelles Carnet de route d'un territorial font partie de la collection Henri Leblanc donnĂ©e Ă  l'État le [9] et ont rejoint les collections du musĂ©e franco-amĂ©ricain au ChĂąteau de BlĂ©rancourt dans le pavillon des volontaires[10] dĂšs son inauguration le [11] - [12] et le musĂ©e de l'ArmĂ©e (Paris) - HĂŽtel des Invalides/MusĂ©e d'Histoire contemporaine. DĂšs le dĂ©but du conflit, un couple d’industriels parisiens, Louise et Henri Leblanc, rassemble toute la documentation possible sur les causes de la guerre et son dĂ©veloppement qu’elle soit officielle ou privĂ©e et quels qu’en soient le support ou la langue, notamment des journaux de tranchĂ©es et des Ɠuvres comme celles de LĂ©on Broquet. En 1917, les Leblanc font don de leur collection Ă  l’État, la BibliothĂšque-MusĂ©e de la guerre est nĂ©e, aujourd'hui la BDIC[13].

50 des dessins sont reproduits dans l'Ă©dition Carnet de route d’un territorial, album no 1, batailles de la Marne et de la Champagne, Paris, Éditions d’Art guerrier, A. Le Prince.

Le livre 1914-1918 : la Grande Guerre vĂ©cue, racontĂ©e, illustrĂ©e par les combattants[14] RenĂ© Christian-FrogĂ©, Paris, Ă©ditions A. Quillet 1922 met en valeur une dizaine de reproductions de ces Ɠuvres sur la Grande Guerre.

CarriÚre et notoriété

AprĂšs la guerre, il revient dans sa maison de Marcilly-sur-Seine et dans son atelier de la citĂ© Nicolas-Poussin au 242 boulevard Raspail Ă  Paris. Comme le rappelle F. de Joannis, pour sujets de peinture, « il recherche les lieux oĂč la vie s'atteste plus intense, oĂč l'Ăąme y est toute prĂ©sente, ardente ou recueillie. Il respecte l'inspiration de la nature, la vĂ©ritĂ© donne Ă  ses toiles leur dominante. Quand il peint des sujets, ses Ɠuvres font transparaitre, dans une vision Ă©nergique, le moment qu'il a passĂ© avec eux, il a Ă©tĂ© Ă  l'Ă©preuve de la joie et de la dĂ©tresse de ses sujets ».

Le , le temps d'une virĂ©e entre amis, il fĂȘte avec un groupe de peintre la Proclamation de l'Ă©tat libre des GlĂ©nan (Archipel des GlĂ©nan au sud de Concarneau), dans le livre Le Cercle de mer qui retrace cet Ă©vĂšnement, LĂ©on Broquel (pour LĂ©on Broquet) se proclame Le Roi des États Libres des GlĂ©nan[15].

Devenu un peintre respecté, sa renommée devient internationale et plusieurs de ses toiles sont acquises par des musées français et étrangers.

Concarneau

Marine par LĂ©on Broquet

Vers 1929, ĂągĂ© de 60 ans et veuf, il descend Ă  Concarneau Ă  l'Atlantic HĂŽtel qu'il connait bien. Il fait la connaissance d'Anna Marie Corentine Le Du, qu'il Ă©pouse le [16]. Mariage auquel assistaient les peintres Lucien-Victor Delpy, Victorien Harel (Coran d’Ys), Henri Barnoin, Paul Eschbach, l'encadreur HervĂ© Gorrec, et le photographe Louis Le Merdy. Le couple habite quelques annĂ©es dans le quartier du Passage-Lanriec[17] au 40 rue Mauduit-Duplessis et adopte une niĂšce. Le port de Concarneau et ses environs mais aussi le Pays bigouden et Ouessant deviennent alors les sources d'inspiration du peintre. Il rĂ©alise Ă©galement quelques dĂ©cors pour diffĂ©rents Ă©tablissements de la rĂ©gion[18] dont le grand hĂŽtel de Cornouailles Ă  Concarneau[19], la frise maritime du restaurant Ti Chupen Gwenn en 1928. En il assure la rĂ©novation des dĂ©cors de scĂšne du thĂ©Ăątre municipal de Quimper, actuel thĂ©Ăątre Max-Jacob, les dĂ©cors donnent pleine satisfaction Ă  la commission rĂ©unie qui lui octroie une prime supplĂ©mentaire[20], parmi ces dĂ©cors on peut admirer entre autres un fond de ciel et mer, un paysage champĂȘtre, un fond de ville avec riviĂšre, une balustrade avec terrasse, un intĂ©rieur de chaumiĂšre, une toile reprĂ©sentant une chapelle gothique, et un grand salon bourgeois. Il occupe aussi Ă  cette Ă©poque les fonctions de chef dĂ©corateur de la compagnie anglaise Waring & Gillow (en). Le restaurant de MĂ©lanie Rouat Ă  Riec-sur-BĂ©lon connu pour sa promotion des peintres et visitĂ© par le tout Paris Ă  cette Ă©poque voit sa salle dĂ©corĂ©e de sept de ses peintures[21]. Le couple voyage avant de s'installer dĂ©finitivement Ă  ChĂąteauroux, au 48 rue des AmĂ©ricains oĂč LĂ©on Broquet Ă©tablit une Ă©cole de peinture et y meurt le .

Expositions et critiques

L'Hiver au marais, effet de neige (médaillé salon 1912) par Léon Broquet
Signature de LĂ©on Broquet.

Léon Broquet expose fréquemment au Salon des artistes français entre 1901 et 1931. Il y obtient une médaille de troisiÚme classe en 1911[22] et une médaille de seconde classe en 1912 pour L'Hiver au marais, effet de neige, qui est représentée et commentée dans l'édition no 65 du Larousse mensuel illustré en ces termes :

« Il n'y a dans cette toile importante que quelques flaques d'eau entre les trainées de neige, que quelques arbres dénudés montant vers le ciel. C'est dire que le sujet est exclusivement pictural. Mais l'artiste a su parfaitement donner à son paysage toute la profondeur désirable, non seulement par la perspective des lignes d'eau, mais encore par la perspective aérienne. Les tons sont dégradés avec une science impeccable: l'air bleuit les couleurs à mesure qu'augmente la distance entre le peintre et les objets ; et l'on peut observer comment les grands arbres qui se suivent en file du premier plan aux plans suivants ont été traités avec une trÚs sûre gradation. Un autre rideau d'arbres, dans le fond, est noyé dans la brume. Le motif est particuliÚrement difficile à traiter pour les blancs neigeux : là encore, l'artiste a fait preuve d'une vision trÚs délicate, et il a su donner, avec ce paysage pauvre sous un grand ciel gris, une impression de véritable grandeur : ce tableau lui a, du reste, valu une seconde médaille »

— Tr. L.

Il participe aussi au 1er Salon d'automne en 1903.

En 1910, la Chronique des Arts[23] « goute ... les bords de riviĂšre assez lumineux de M. Broquet » en rĂ©fĂ©rence Ă  MatinĂ©e d'octobre qui est acquise par le musĂ©e de Provins. En 1914, la revue mensuelle Les Arts[24] commente ainsi La fin des gĂ©ants : « La fĂ©erie de la neige a tentĂ© cette annĂ©e bien des peintres
 C'est la neige, spongieuse et fondante qui donne son charme Ă  la toile de Broquet, la Fin des GĂ©ants ». La toile est acquise par la Mairie de Cenon (Gironde)[25].

En 1919, il expose à Nantes Galerie d'art Mignon-Massard, 10 rue Boileau et L'Ouest-Éclair du consacre une longue colonne à son exposition[26].

La Gazette des beaux-arts loue en 1920 la qualitĂ© de ses gravures originales exposĂ©es au Salon des artistes français : « ses Pays de guerre, simples et larges[27] ». En 1921, Ă  Bagatelle avec l'association des artistes de Paris et du dĂ©partement de la Seine, on dit de lui dans la Revue des Beaux Arts[28] que « de nombreux paysages tĂ©moignent de l'amour des peintres pour la nature :
 en voici d'autres dus a des spĂ©cialistes attitrĂ©s : Aziere, LĂ©on Broquet, Capgras, Nozal, Buffet, Montezin. »

De 1922 Ă  1926, il donne des expositions Ă  la galerie Georges Petit de Paris. La mĂȘme annĂ©e, les Potins de Paris[29] commentent « Broquet-LĂ©on est sensible, il aime la symphonie des neiges, effet facile, et les paysages vĂȘtus d'Ă©charpes lĂ©gĂšres que tissent les brumes. Il sait fixer l'attrait fragile du printemps » ; plusieurs de ses illustrations sont prĂ©sentĂ©es dans le livre 1914-1918 : la Grande guerre vĂ©cue, racontĂ©e, illustrĂ©e par les combattants : hommage au soldat français par M. le MarĂ©chal PĂ©tain (de RenĂ© Christian-FrogĂ©, prĂ©face de M. le MarĂ©chal Foch, Paris, Ă©ditions A. Quillet[30]). En 1923, le chroniqueur du Journal des dĂ©bats politiques et littĂ©raires du commente le Salon et « recommande La Neige de LĂ©on Broquet[31] ». En 1926, l'exposition majeure du 16 au Ă  la galerie Georges Petit compte 75 peintures et 40 esquisses, sanguines, aquarelles et dessins rehaussĂ©s et voit son catalogue agrĂ©mentĂ© d'une prĂ©sentation dĂ©taillĂ©e de l'artiste et de son Ɠuvre dans une prĂ©face de 4 pages par F. de Joannis.

En 1927, L'Art et les Artistes mentionne aux Salon des artistes français « la saisissante relĂšve Ă  Verdun 1916[32] », Ɠuvre commandĂ©e par l'Ă©tat MinistĂšre des beaux arts pour le musĂ©e de Saint-Malo. En 1928, la Gazette des beaux-arts[33] rappelle la qualitĂ© de ses paysages « agrĂ©ables et frais » exposĂ©s au salon et la revue L'Art et les Artistes[34] souligne la qualitĂ© de ses paysages « tendant a reproduire la nature, en la vĂ©ritĂ© multiple de ses lignes et de sa couleur » et au Salon de Nantes 1928, le chroniqueur de L'Ouest-Éclair Ă©dition de Nantes commente ainsi ses Ɠuvres dans l'Ă©dition du [35] : « M. Broquet-LĂ©on Ă©lĂšve de Claude Monet, a hĂ©ritĂ© de son maĂźtre l'amour des calmes paysages et l'habiletĂ© des tons chauds et doux. On s'Ă©loigne avec regret du Paillon Ă  l'EscarĂšne et de la matinĂ©e Ă  Marcilly. » En 1929, ses Ɠuvres du Salon de Paris sont commentĂ©es dans le pĂ©riodique L'Art et les Artistes[36] en ces termes : « HĂątons-nous seulement de nommer, parmi les bons envois de 1929, aux Artistes français :
les effets de neige de LĂ©on Broquet. » En 1929, son exposition Ă  Ti Chupen Gwenn, chez M. et Mme Julien Le Clinche Ă  Beuzec-Conq Concarneau est couverte de louanges par le journaliste de la DĂ©pĂȘche citant F. de Joannis dans le catalogue de l'exposition de 1926 : « Broquet-LĂ©on caractĂ©rise tout ce que l'imagination peut Ă©voquer autour de ce mot. Il est l'artiste type avec ses brusqueries, ses rĂ©voltes, ses duretĂ©s et ses merveilleuses douceurs
 un artiste, et avec quelle simplicitĂ©. La libertĂ© de sa forme est partie de son talent indĂ©pendant, gouvernĂ© seulement par le battement de son cƓur et la rĂ©ceptivitĂ© de son regard
! »

Le fascicule En Cornouaille par A. Verchin (Paris, Éditions BaudiniĂšre), est Ă©ditĂ© et illustrĂ© en 1930 de 33 crayons de Broquet-LĂ©on. L'Art et les Artistes mentionne « Livre fort bien Ă©crit et qu'on lit avec un plaisir d'autant plus grand qu'il est Ă©gayĂ© par tout une suite de dessins charmants signĂ©s de Broquet-LĂ©on Â»[37].

En 1932, sa rénovation des nombreux décors de scÚne du Théùtre municipal de Quimper donne toute satisfaction.

Ses Ɠuvres sont exposĂ©es en 1936 pour la premiĂšre fois au Salon de Saint-Nazaire[38]. En 1938, le , ses Ɠuvres de la Grande Guerre Carnet de route d'un territorial prennent place dans les expositions permanentes des nouvelles collection du musĂ©e de l'ArmĂ©e (Paris) - HĂŽtel des Invalides, ainsi qu’au musĂ©e franco-amĂ©ricain - ChĂąteau de BlĂ©rancourt[11] inaugurĂ©es Ă  cette date. En 1974, en avril une exposition lui est consacrĂ©e par la ville de Marcilly-sur-Seine prĂ©sentant plusieurs de ses Ɠuvres.

  • ƒuvres de LĂ©on Broquet
  • Les Cigales, roulottiers surpris par l'hiver (1913)
    Les Cigales, roulottiers surpris par l'hiver (1913)
  • La Revanche. Le Petit Morin prĂšs Talus Saint-Prix (1914)
    La Revanche. Le Petit Morin prĂšs Talus Saint-Prix (1914)
  • Guetteurs et barbelĂ©s (1917)
    Guetteurs et barbelés (1917)
  • Bord de Lac
    Bord de Lac
  • EntrĂ©e de port
    Entrée de port

Liste d'Ɠuvres exposĂ©es

  • 1901 : Salon des artistes français (no 315) derniers rayons[1].
  • 1902 : SAF (no 243) Le matin en septembre ; Villeneuve-l'Ă©tang[39].
  • 1903 : 1er Salon d'automne Paris (no 98) CarriĂšre abandonnĂ©e; Paysage[2].
  • 1904 : SAF (no 276) L'Ă©tang, le soir ; Ville-d'Avray[40].
  • 1906 : SAF (no 257) Soir d'hiver ; village champenois[41] - [42].
  • 1910 : Salon de l'Ă©cole française.
  • 1910 : SAF (no 309) MatinĂ©e d'octobre (musĂ©e de Provins).
  • 1911 : SAF PoĂ©sie matinale, DĂ©solation. (mĂ©daille de troisiĂšme classe)[22].
  • 1912 : SAF L'Hiver au marais, effet de neige (mĂ©daille de seconde classe)[43], le dĂ©gel (acquis par l'Ă©tat)[44], dĂ©clarĂ© hors concours.
  • 1913 : SAF Les Cigales; roulottiers surpris par l'hiver[45](musĂ©e d'Orsay).
  • 1914 : SAF (no 300) La fin des gĂ©ants (mairie de Cenon)[46] - [24].
  • 1918 : SAF (no 74)Batterie du 112AL prenant position pour l'offensive sous Craonne ()[47].
  • 1919 : SAF Le givre, le pont de la Tournelle (acquis par l'Ă©tat musĂ©e du Luxembourg), Nuit claire Ă  Concarneau.
  • 1919 : Salon de Nantes paysages.
  • 1920 : SAF Gravures originales Pays de guerre[27].
  • 1920 : Galerie Marcel Bernheim[48].
  • 1921 Association des artistes de Paris, Bagatelle[28].
  • 1921 : SAF Les vieux peupliers.
  • 1922 : Illustrations du livre 1914-1918 : la Grande guerre vĂ©cue, racontĂ©e, illustrĂ©e par les combattants, encart page garde, Les guetteurs, Le bois des zouaves, La relĂšve Ă  Rilly, Artillerie embourbĂ©e, L'hiver 1917-1918, Ma derniĂšre vision de guerre[49].
  • 1922 : SAF Mes enfants sur l'eau (Illustration du magazine les annales politiques et littĂ©raires ).
  • 1922 : Galerie Georges Petit (Paris) Notre Dame de Paris [50] - [29].
  • 1923 : SAF Route de Chatillon (musĂ©e de Laon), Avant la promenade (Illustration du magazine hebdomadaire FlorĂ©al no 20)[51].
  • 1923 : Galerie Georges Petit.
  • 1924 : SAF Avant la promenade, Sous les peupliers, Conflans le village en hiver.
  • 1924 : Galerie Georges Petit, L'hiver.
  • 1925 : SAF Printemps (Metropolitan Museum of Art New York).
  • 1926 : Galerie Georges Petit (Paris), 75 peintures et 40 esquisses, sanguines, aquarelles et dessins rehaussĂ©s (catalogue de l'expo avec introduction de F.de Joannis)[52].
  • 1927 : SAF Une relĂšve Ă  Verdun 1916 (commandĂ©e par l'Ă©tat MusĂ©e de St Malo)[37] - [53].
  • 1928 : SAF EntrĂ©e de l'EscarĂšne, Paysage[27].
  • 1928 : Salon de Nantes, Le Paillon Ă  l'EscarĂšne, MatinĂ©e Ă  Marcilly.
  • 1929 : Exposition Le Clinche (Concarneau) L'Ă©glise de la forĂȘt; aquarelle, Procession de Tregouresz, Soleil sur le bassin, La cale Ă  DouĂ©lan, En Bretagne, Littoral breton; frise.
  • 1929 : SAF Les platanes, Hiver; dĂ©trempe[36] - [54].
  • 1929 : Galerie d'Art du Bon MarchĂ©, fusains, marines[55].
  • 1930 : SAF Aux martigues, Le dĂ©gel (musĂ©e de Nouvelle-ZĂ©lande) [56].
  • 1931 : SAF Neige au Soleil.
  • 1930 : Illustrations du fascicule En Cornouaille[37].
  • 1938 : MusĂ©e franco-amĂ©ricain et MusĂ©e de l'armĂ©e, carnet de route d'un territorial 56 Ɠuvres guerre 1914-1918, exposition permanente depuis lors[57].

Musées et Lieux publics

France
Chili
États-Unis d'AmĂ©rique
Brésil
Argentine
Allemagne
Nouvelle-ZĂ©lande
Japon

Postérité

  • L'atelier du peintre Ă  Paris au 242 boulevard Raspail dans la citĂ© Nicolas-Poussin au cƓur du quartier des ateliers d'artiste de Montparnasse existe toujours en 2013 et abrite plusieurs ateliers[65], parmi les cĂ©lĂšbres artistes ayant eu un atelier dans cette citĂ© on peut citer Pablo Picasso.
  • La maison du peintre Ă  Marcilly-sur-Seine prĂšs du Pont au 12 quai de Seine existe toujours en 2012 dans un Ă©tat proche de celui du sĂ©jour du peintre.
  • La maison oĂč sĂ©journa le peintre Ă  Concarneau au 40 rue Mauduit-Duplessis existe toujours en 2012.
  • Marcilly-sur-Seine les quais LĂ©on Broquet au chevalet ca 1900
    Marcilly-sur-Seine les quais LĂ©on Broquet au chevalet ca 1900
  • Marcilly-sur-Seine la maison de LĂ©on Broquet ca 1900
    Marcilly-sur-Seine la maison de LĂ©on Broquet ca 1900
  • dĂ©tail LĂ©on Broquet au chevalet
    détail Léon Broquet au chevalet
  • L'Atlantic HĂŽtel Ă  Concarneau
    L'Atlantic HĂŽtel Ă  Concarneau
  • Maison de LĂ©on Broquet rue Mauduit-Duplessis Ă  Concarneau
    Maison de LĂ©on Broquet rue Mauduit-Duplessis Ă  Concarneau
  • Concarneau le Port - peintre au chevalet
    Concarneau le Port - peintre au chevalet
  • Grand HĂŽtel de Cornouailles Concarneau vue du salon
    Grand HĂŽtel de Cornouailles Concarneau vue du salon
  • Salle de l'hĂŽtel le Clinche Concarneau 1905
    Salle de l'hĂŽtel le Clinche Concarneau 1905
  • Frise par LĂ©on Broquet HĂŽtel Ti Chupen Gwenn 1928
    Frise par LĂ©on Broquet HĂŽtel Ti Chupen Gwenn 1928
  • ThĂ©Ăątre municipal de Quimper dĂ©cors de scĂšne par LĂ©on Broquet 1932
    Théùtre municipal de Quimper décors de scÚne par Léon Broquet 1932
  • Salle du restaurant Chez MĂ©lanie Ă  Riec-sur-BĂ©lon
    Salle du restaurant Chez MĂ©lanie Ă  Riec-sur-BĂ©lon
  • L'atelier de LĂ©on Broquet citĂ© Nicolas Poussin
    L'atelier de Léon Broquet cité Nicolas Poussin

Notes et références

  1. « Catalogue illustré du Salon... / publié sous la direction de F.-G. Dumas », sur Gallica, (consulté le ).
  2. https://archive.org/stream/cataloguedesouvr1903salo/cataloguedesouvr1903salo_djvu.txt
  3. http://societeacademique10.voila.net/bul201209.pdf
  4. La maison existe toujours en 2012 dans un état proche de celui du séjour du peintre prÚs du Pont sur le quai de Seine
  5. Source, catalogue de ses Ɠuvres par l'artiste lui-mĂȘme et lot d’Ɠuvres exposĂ©es par la ville de Marcilly-sur-Seine lors d'une rĂ©trospective de l'artiste.
  6. Courrier du gouverneur des Invalides, 24 mars 1917.
  7. Catalogue de l'exposition Ă  la galerie Georges Petit, 1926
  8. Étude libre de droit uniquement pour usage a but non lucratif ou Ă©ducatif
  9. « Collection Henri Leblanc donnĂ©e Ă  l'État le 4 aoĂ»t 1917. La Grande Guerre. Iconographie. Bibliographie. Documents divers. tome cinquiĂšme, Catalogue raisonnĂ© des estampes, originaux, affiches illustrĂ©es, imageries, vignettes, cartes postales, modes, fantaisies diverses inspirĂ©es par la guerre, faĂŻences, mĂ©dailles, bons de monnaie, timbres, , etc. : deuxiĂšme volume de l'iconographie / [par Charles Callet] », sur Gallica, (consultĂ© le ).
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  18. Article de presse 1929 « Concarneau une Ɠuvre artistique »
  19. Peintures inaugurées le 1er et 2 octobre
  20. Relevé des délibérations du conseil municipal du 26 décembre 1932
  21. Les Ɠuvres ont Ă©tĂ© dispersĂ©es Ă  la succession de MĂ©lanie ; pas d'information connue sur leur inventaire ni destination.
  22. « La Chronique des arts et de la curiosité : supplément à la Gazette des beaux-arts », sur Gallica, (consulté le ).
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  25. La toile a vécu une épopée rocambolesque, propriété de la municipalité, remisée dans les années soixante, puis chez un particulier pendant des décennies, mise en vente en 2014, elle à finalement réintégré la Mairie de Cenon en 2017
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  59. Ă  la suite de l'information en dĂ©cembre 2012 du Directeur du MusĂ©e, l'Ɠuvre roulĂ©e pendant la Seconde Guerre mondiale a subi des dommages et n'est pas prĂ©sentable sans restauration
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  61. toile perdue
  62. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral /arcade_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=Broquet%20&NUMBER=10&GRP=0&REQ=%28%28Broquet%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=3&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=Tous
  63. http://www.musee-orsay.fr/fr/collections/catalogue-des-oeuvres/notice.html?nnumid=78529
  64. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/arcade_fr?ACTION=RETROUVER&FIELD_98=AUTR&VALUE_98=Broquet%20&NUMBER=14&GRP=0&REQ=%28%28Broquet%29%20%3aAUTR%20%29&USRNAME=nobody&USRPWD=4%24%2534P&SPEC=3&SYN=1&IMLY=&MAX1=1&MAX2=1&MAX3=100&DOM=Tous
  65. http://www.parisapied.net/F%20ateliers%20montparnasse.htm

Annexes

Bibliographie

  • Dictionnaire BĂ©nĂ©zit
  • Catalogue de l'exposition Ă  la galerie Georges Petit, 1926
  • Catalogues du Salon des artistes français 1901 Ă  1931
  • Larousse mensuel illustrĂ©, Ă©dition no 65 de
  • La chronique des arts du 29 janvier 1910
  • l'Art et les Artistes, Salon de 1927, Salon de 1929
  • Les Arts par Goupil & Cie
  • La Gazette des beaux-arts , par Th. Reinach
  • La revue des beaux arts du 1er juin 1921, par Henry Revers
  • Les potins de Paris du 14 avril 1922, par Paul Gregorio
  • Ouest-France, LĂ©on Broquet du 3 janvier 1989, par Yvon Le Floc'h
  • Le cercle de mer, histoire des isles de GlĂ©nan par Michel GuĂ©guen et Louis-Pierre le MaĂźtre, 1981
  • Concarneau de pas en pages par la Ville de Concarneau (ISBN 2906968005) (br.)
  • Documents officiels Ville de ChĂąteauroux 2012
  • Documents et communications des musĂ©es et lieux publics d'expositions connus en France d’Ɠuvres du peintre, 2012-
  • Documents et communications des descendants du peintre, 2012-
  • Catalogue d’Ɠuvres personnel du peintre annotĂ© de sa main, 2012-
  • Archives de documents, Ɠuvres et totalitĂ© des courriers du peintre Ă©changĂ©s avec le MusĂ©e de l'ArmĂ©e archivĂ©s Ă  la BDIC et au MusĂ©e de l'ArmĂ©e

Articles connexes

Liens externes

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