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Josep Grau-Garriga

Josep Grau-Garriga, né à Sant Cugat del VallÚs, le , et mort le , à Saint-Mathurin-sur-Loire[1] (Maine-et-Loire), est un artiste peintre et licier espagnol.

Josep Grau-Garriga
Naissance
ou
Sant Cugat del VallĂšs ou Sant Cugat del VallĂšs (d)
DĂ©cĂšs
Pseudonyme
Garriga, Josep Grau
Nationalité
Activités
Formation
École de la Llotja
Escola de Belles Arts de Barcelona (d)
Fratrie
TomĂ s Grau i Garriga (d)

Biographie

Josep Grau-Garriga passe son enfance dans le milieu paysan. Adolescent, c’est la guerre civile puis le franquisme. Études de peinture et de gravure Ă  l’AcadĂ©mie royale catalane des beaux-arts de Saint-Georges Ă  Barcelone entre 1946 et 1952.

AttirĂ© par la peinture murale, il commence des fresques Ă  l’Ermitage de Sant Crist de Llaceres en 1953. Son style est encore un mĂ©lange d’art roman, d’influences de Rouault et des grandes fresques mexicaines de l’entre deux-guerres de Siqueiros et Rivera.

En 1955, Miquel Samaranch, directeur de la manufacture de tapisserie de Sant Cugat, engage un mouvement qui deviendra l’École catalane de tapisserie. Il fait appel au jeune Grau-Garriga pour diriger l’atelier expĂ©rimental. Il va Ă  Paris pour rencontrer Jean Lurçat. À Paris il dĂ©couvre le mouvement des peintres abstraits Fautrier, Dubuffet, Soulages, ainsi que les premiĂšres Ɠuvres de Antonio Saura ou Antoni TĂ pies. Il fait la connaissance de Denise Majorel, de la galerie La Demeure, place Saint-Sulpice Ă  Paris, qui sera un des principaux centres de la Nouvelle tapisserie[2].

En revenant Ă  Sant Cugat, il fait venir de Madrid des liciers, des peintres et des sculpteurs. Ces artistes feront des projets, Grau-Garriga et ses liciers en font des tapisseries. Il abandonne assez vite la technique traditionnelle d’Aubusson, pour travailler directement sur son mĂ©tier de haute-lice sans carton. Il transforme la tapisserie avec ses disciples, en ajoutant de nouvelles matiĂšres, en inventant de nouvelles façons de les assembler. Il mĂ©lange des textures, innove avec des contrastes de couleurs, son style est nĂ©. Il sera l’un des chefs de file de cette Ă©cole de tapisserie catalane.

Il dit Ă  ce moment :

« La tapisserie est le complĂ©ment logique de l’architecture. [
] Je ne me satisfais pas du seul langage des formes et des couleurs. Je dĂ©sire la suggestive sensualitĂ© des reliefs tissĂ©s dans la trame irrĂ©guliĂšre, ou au contraire exaltĂ©s par les rythmes rigoureux des fils de chaĂźnes[3]. »

En 1965, la seconde biennale de tapisserie de Lausanne reçoit 85 Ɠuvres de La Nouvelle Tapisserie. Grau-Garriga avec ses amis catalans figurent en bonne place. De nouvelles formes apparaissent, la tapisserie se fait en trois dimensions, s’affranchit de son support mural, de nouvelles matiĂšres aussi, mĂ©tal, plastique et autres. Il s’agit maintenant d’art textile. Ce mouvement s'essouffle vite. En 1995, la derniĂšre biennale de Lausanne marquera la fin de ce mode d’expression.

En 1970, le futur conservateur du musĂ©e des Beaux-Arts de Houston, au Texas, vient Ă  Barcelone, il rencontre Grau-Garriga, projette avec lui une exposition qui sera inaugurĂ©e en 1971 Ă  Houston. Il quitte Sant Cugat et part pour les États-Unis, le Canada, l’AmĂ©rique du Sud. Il fait des confĂ©rences et des ateliers ou sĂ©minaires avec les Ă©tudiants dans plusieurs universitĂ©s, France, États-Unis, Canada, Mexique, Uruguay. Ses interventions se traduisent souvent par des « installations » dans ces lieux, rĂ©alisĂ©es avec les Ă©tudiants.

Grau-Garriga veut donner une dimension politique, historique Ă  son travail. Il intĂšgre quelques-uns de ses vĂȘtements dans des tapisseries comme des autoportraits, Il provoque des interventions, des manifestations, des projets d’environnement, Ă  l’occasion d’évĂšnements politiques (en 1968) ou historiques (en 1989). En 1987, il fait un projet d’environnement pour la commune d’Encamp en PrincipautĂ© d’Andorre Ă  l’occasion d’une exposition de ses travaux. Ses propositions consistent Ă  occuper des espaces libres, des façades, des pignons aveugles, de traiter des sols avec des matĂ©riaux qu’il connaĂźt, des fibres, des peintures. Les dessins sont exposĂ©s, et font la couverture d’un catalogue[4].

En 1989, la ville d’Angers lui demande des propositions pour cĂ©lĂ©brer le bi-centenaire de la rĂ©volution française. Toutes ses propositions sont acceptĂ©es : un environnement pour mettre en scĂšne le rĂŽle dĂ©fensif du chĂąteau d’Angers avec une exposition dans la chapelle, une crĂ©ation Ă  l’abbaye du Ronceray d'Angers sur le thĂšme de la dĂ©claration des droits de l’homme, une exposition de peintures au MusĂ©e des Beaux-Arts, et des tapisseries et des sculptures dans le MusĂ©e de la tapisserie contemporaine. Toutes ces crĂ©ations font appel Ă  la culture angevine, issue de la rĂ©volution française et des guerres vendĂ©ennes.

Angers possĂšde une Ă©cole des Beaux-Arts avec une formation pour les arts textiles, et le musĂ©e Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine. Le chĂąteau d'Angers abrite la tenture de l'Apocalypse et quand Jean Lurçat l'a dĂ©couverte en 1937, il a dĂ©cidĂ© de donner une rĂ©plique moderne Ă  cette Ɠuvre : Le Chant du monde Ă  panneaux de 4,40 m de haut tissĂ©es entre 1957 et 1965.

Josep Grau-Garriga rencontre Anne Ă  Angers en 1989, qui deviendra sa femme, et s’installe dĂ©finitivement en Anjou, Ă  Saint-Mathurin-sur-Loire dans une ancienne Ă©cole. Il amĂ©nage un grand atelier de peinture et un autre dans une grange, pour les tapisseries. Le thĂšme des droits de l’homme sera repris Ă  PĂ©rouges en 1992 autour de l’arbre de la libertĂ©. Des encres et des aquarelles apparaissent dans son Ɠuvre, des autoportraits. 1999 : exposition de gravures Ă  TrĂ©lazĂ©. En 2002, le musĂ©e Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine d’Angers, et l'abbaye du Ronceray d'Angers font une exposition de ses Ɠuvres. Le musĂ©e de Beaufort-en-VallĂ©e lui commande une crĂ©ation in-situ. Une monographie de 300 pages sera publiĂ©e par les Ă©ditions du Cercle d'art.

Grau-Garriga fera, aprĂšs ces expositions, une importante donation au musĂ©e Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine, Ă  Angers, oĂč une salle entiĂšre lui sera consacrĂ©e.

2009 : Exposition « De l'ombre Ă  la lumiĂšre, tapisseries catalanes de Picasso Ă  Grau-Garriga » au musĂ©e Jean-Lurçat. Cette exposition rassemble plusieurs artistes catalans, et trace l’histoire de l’école de tapisserie catalane Ă  partir de la manufacture de San Cugat. Abbaye de Saint-Florent-le-Vieil : exposition d'Ɠuvres rĂ©centes ou inĂ©dites. Elle donne lieu Ă  l’édition d’un catalogue.

2010 : une exposition de dessins lui est consacrĂ©e au cabinet d’arts graphiques du musĂ©e des beaux-arts d'Angers.

Josep Grau-Garriga meurt le Ă  Angers. Il Ă©tait en train de travailler au Portail de la Paix Ɠuvre monumentale pour l'Ă©glise de Saint-Mathurin-sur-Loire, son village d'adoption. Cette Ɠuvre inachevĂ©e sera malgrĂ© tout dĂ©finitivement montĂ©e au printemps 2012. Il n'aura pas vu la sortie du livre Tango, peintures du monde aux Ă©ditions Aencrages & Co (poĂšmes de Yves Jouan, peintures de Josep Grau-Garriga), paru en .

L'Ɠuvre de Grau-Garriga

La tapisserie

L'Ɠuvre de Josep Grau-Garriga a marquĂ© l'histoire de la tapisserie. Pour lui, ĂȘtre fidĂšle Ă  Jean Lurçat, ce n'Ă©tait pas le copier. Comme Lurçat, il lui fallait Ă©crire une nouvelle page de l'histoire de l'art. C'est ce qu'il a fait en Ă©tant parmi les premiers Ă  s'atteler directement Ă  la matiĂšre textile et en introduisant d'autre matiĂšres (liĂ©es Ă  d'autres catĂ©gories artistiques comme la photographie ou la peinture, Ă  l'industrie, Ă  la nature...) au sein mĂȘme de ses tapisseries. Sur ce plan comme sur d'autres (les dimensions, le cadre...), il Ă©tait un crĂ©ateur en renouvellement permanent.

Les environnements

Josep Grau Garriga vient terminer sa vie au bord de la Loire. MalgrĂ© tous les endroits qu’il a visitĂ©s dans le monde, il n’a jamais trouvĂ© ailleurs ce qu’il rencontre au bord de Loire. C’est comme une retraite monastique pour lui, pour se concentrer sur lui-mĂȘme et ĂȘtre en contact permanent avec la nature. Il a tout ce qu’il lui faut pour accomplir son travail et si son travail n’est pas valable (sans quoi il se sentirait coupable). Il trouve que la lumiĂšre de cette vallĂ©e est unique ; c’est d’ailleurs la premiĂšre chose qui l'a attirĂ© ici : la lumiĂšre.

Collection privée

La collection Grau-Garriga de Dominique Étienne, constituĂ©e du vivant de l'artiste, reprĂ©sente 50 ans de la vie de celui-ci. DĂ©butant par une peinture de 1958 quand Grau-Garriga a travaillĂ© avec Jean Lurçat Ă  Saint-CĂ©rĂ© dans le Lot, elle comprend 13 Ɠuvres dont 4 majeures :

  • 1 tapisserie : Mal Avarany (Mauvais PrĂ©sage) de 1973
  • 3 peintures : Darrera Mirada (Dernier regard) de 1992 ; Dialeg (Dialogue) de 1994 ; Gestacio (Gestation) de 2005

La collection illustre le thĂšme du fatalisme Ă  travers la maison sans fenĂȘtre (les collages textiles de Grau-Garriga ne seraient que des maisons sans fenĂȘtre). Elle fait Ă©cho Ă  la tenture de l'Apocalypse d'Angers.

Principales Ɠuvres

Tapisserie

  • 1959 : TĂȘte de Christ 93 x 100 cm
  • 1964 : Passion 340 x 240 cm
  • 1966 : La Terre 330 x 210 cm
  • 1966 : Faucheur 121 x 111 cm
  • 1967 : Évocation orientale 170 x 215 cm
  • 1968 : Union dans la forme 150 x 245 cm
  • 1969 : ƒcumĂ©nisme 350 x 400 cm
  • 1970 : Lit d'enfants 250 x 200 cm
  • 1972 : Porte Cathare 250 x 140 cm
  • 1973 : Mauvais PrĂ©sage 118 x 194 cm
  • 1973 : Soir d'avril[5] 255 x 325 cm
  • 1973 : Front d'Aragon[6] 240 Ă— 300 cm
  • 1973 : Du pays 300 x 700 cm
  • 1973 : Aux quatre vents 300 x 150 x 125 cm
  • 1973 : Manifestacio 162 x 127 cm
  • 1974 : Printemps 120 x 85 cm
  • 1977 : Brume d'automne 185 x 265 cm
  • 1980-1981 : Sisal, rouge et noir 550 x 1300 cm
  • 1984 : La Crosta 220 x 210 cm
  • 1985 : Llum de Maig 370 x 300 cm
  • 1986 : Hores de llum i de foscor 320 x 700 cm
  • 1989 : Sentiers de l'Eldorado 240 x 290 cm
  • 1990 : Trois dans la lumiĂšre 325 x 220 cm
  • 1997 : Verds d'Africa 300 x 320 cm
  • 2001 : Com Flors 163 x 125 cm
  • 2001 : Amb fruit o sense 240 x 450 cm
  • 2001 : Al pare 450 x 200 cm

Tapisserie-sculpture

  • 1972 : Hommage Ă  George Orwell[7] 260 Ă— 200 Ă— 80 cm
  • 1972 : Martyr 250 Ă— 180 cm
  • 1972 : TrophĂ©e 1789 250 Ă— 120 Ă— 20 cm
  • 1972 : Naissance d'un Roi[8] 250 Ă— 120 Ă— 140 cm
  • 1975 : Expansion 350 Ă— 320 Ă— 150 cm
  • 1977 : De la GrĂšce antique 100 Ă— 44 cm
  • 1973 : Tronc de Guernica 235 Ă— 100 Ă— 90 cm
  • 1997 : Home 380 Ă— 120 Ă— 80 cm
  • 1998 : Dona 380 Ă— 120 Ă— 80 cm

Environnements

  • 1973 : Monument Ă  l'Espoir (prĂ©sentĂ© Ă  l'abbaye de Sant Cugat Del VallĂšs) 550 Ă— 230 Ă— 450 cm
  • 1973 : Marge en haut (galerie RenĂ©-MĂ©tras, Barcelone)
  • 1972-1976 : Retable de Pendus (abbaye de Montmajour, monastĂšre de Sant Cugat) 1 200 Ă— 600 Ă— 250 cm
  • 1979 : Monument aux faucheurs (place de Sant Jaume, Barcelone) 1 350 Ă— 900 Ă— 600 cm
  • 1982 : CitĂ© de Carcassonne
  • 1984 : Le Castillet, Perpignan
  • 1984 : Gijon (province d'Oviedo)
  • 1984 : Grenade
  • 1985 : CathĂ©drale de Sant Nicolas, Alicante
  • 1987 : CathĂ©drale de Manresa, Barcelone
  • 1989 : ChĂąteau d'Angers

ƒuvres « classiques »

  • 1944 : Pla del Vinyet (huile sur toile) 33 Ă— 46 cm
  • 1944 : Muntanya de Sant Pere (huile sur toile) 59 Ă— 72 cm
  • 1944 : Color carbassa (huile sur toile) 61 Ă— 50 cm
  • 1945 : Paysage (huile sur bois) 28 Ă— 37 cm
  • 1945 : ForĂȘt du VallĂšs (huile sur bois) 33 Ă— 45,5 cm
  • 1946 : La Place (huile sur bois) 36 Ă— 27 cm
  • 1948 : Mediterrani (peinture Ă  la colle sur toile) 81 Ă— 100 cm
  • 1948 : Bodego (huile sur toile) 38 Ă— 46 cm
  • 1948 : El Claustre de Sant Cugat 75 Ă— 105 cm
  • 1949 : Autoretrat (huile sur toile) 34 Ă— 29 cm
  • 1958 : Les Tours St Laurent (colle et pigments sur papier) 25,5 Ă— 36,5 cm

En techniques mixtes

  • 1968 : Fin 74 x 93 cm
  • 1969 : Lents automnes 81 x 100 cm
  • 1971 : Comme des ombres 130 x 162 cm
  • 1975-1976 : NĂ©es des cendres 162 x 130 cm
  • 1976 : Inquisiteur 100 x 81 cm
  • 1976 : Utopie 97 x 146 cm
  • 1980 : RĂȘve de Vie et de Mort d'Emiliano Zapata 154 x 204 cm
  • 1980 : Acrate 165 x 155 cm
  • 1980 : À un peintre baroque 162 x 130 cm
  • 1985 : Infanta 195 x 97 cm
  • 1986 : La Por 162 x 245 cm
  • 1988 : Esther Mirant 130 x 195 cm
  • 1990 : Retable des peintres inconnus 195 x 400 cm
  • 1991 : Etude de Christ 130 x 195 cm
  • 1992 : Darrera Mirada[9] 97 x 195 cm
  • 1994 : Dialeg[10] 114 x 162 cm
  • 1994 : Jordi 205 x 230 cm
  • 1998 : PriĂšre 189 x 195 cm
  • 2000 : Arrels 162 x 130 cm
  • 2001 : Sense resposta 195 x 260 cm
  • 2002 : ScĂšne de Vie et de Mort[11] 204 x 310 cm
  • 2005 : Gestacio 195 x 133 cm
  • 2005 : Una nit a ciutat 133 x 203 cm
  • 2006 : Miratge 200 x 200 cm
  • 2006 : Retorn 150 x 150 cm
  • 2008 : CrĂ©puscule
  • Une Ɠuvre sur la Loire
  • Un Saint Georges terrassant le Dragon

Peintures murales

  • 1949 : Al Camp 240 Ă— 350 cm
  • 1953-1956 : fresques de l'ermitage du Christ de Llaceres, Sant Cugat del VallĂšs (province de Barcelone)
  • 1958-1962 : fresques du sanctuaire de Paretdelgada, La Selva Del Camp (province de Tarragone)
  • 1964 : fresques Ă©glise de Santa Maria del Mar, Salou
  • 2012 : fresque Ă©glise de Saint-Mathurin-sur-Loire

Vitraux

  • 1971 : Grille-collage rĂ©alisĂ©e au moyen d'outils agricoles, Ermitage dels Sants Metges, Sarral (province de Tarragone)
  • 2010 : Chapelle du Rosseau, TrĂ©lazĂ© (Maine-et-Loire)
  • 2012 : inauguration vitrail Porte de la paix

Musées

Grau-Garriga est présent dans plusieurs musées du monde parmi lesquels :

Expositions

Expositions individuelles

  • 1964. Sala Gaspar. Barcelone
  • 1967. Sala d'Exposicions DirecciĂł Gral. de Belles Arts. Madrid
  • 1968. Sala F. Domingo. Sao Paulo (Brasil)
  • 1968. Galeria La Demeure. Paris
  • 1970. The CĂłrdoba Museum. Lincoln. Massachusetts. (EUA)
  • 1970. MusĂ©e des Beaux-Arts de Houston. Houston. (EUA)
  • 1971/75. The Birmingham Museum of Fine Arts. Birmingham. (EUA)
  • 1971/73/74/83. Arras Gallery. Nova York (EUA)
  • 1972. Sala del Consell de les Valls. Andorre la Vielle (PrincipautĂ© d'Andorre)
  • 1972. Galeria Antoñana. Caracas (Venezuela)
  • 1973. Galeria RenĂ© MetrĂĄs. Barcelone
  • 1973. Museu TĂšxtil. Terrassa
  • 1974. Los Ángeles Country Museum. Los Ángeles. (EUA)
  • 1981. Palau de la UNESCO. ParĂ­s
  • 1982/85. Claustres del Reial Monestir. Sant Cugat del VallĂšs
  • 1982. CitĂ© de Carcassonne. Carcassonne (France)
  • 1985. MusĂ©e du chĂąteau de MontbĂ©liard
  • 1987. Museu Rufino Tamayo. MĂšxic D.F
  • 1988. Palau Robert. Barcelona
  • 1989. MusĂ©e Jean Lurçat et de la tapisserie contemporaine. Angers (France)
  • 1990. Museu d'HistĂČria. Sabadell
  • 1990/96/99. Canals, Galeria d'Art. Sant Cugat
  • 1992. Centre Cultural Can MulĂ . Mollet del VallĂšs
  • 1992. Galeria Punto. ValĂšncia
  • 1992. Centre Cultural Francesc d'Abidja. Abidja (Costa d'Ivori)
  • 1993. Temple Roma. Vic
  • 1999. Galeria Benassar. Madrid
  • 1999. Galeria Blanquerna. Madrid
  • 1999. Galerie Xavier Delannoy, La Garde-Freinet- France
  • 2002. Abbaye du Ronceray et MusĂ©e Jean Lurçat d'Angers - France
  • 2009. Abbaye de Saint-Florent-le-Vieil[14]
  • 2010. MusĂ©e des beaux-arts d'Angers, cabinet d'arts graphiques
  • 2015. Galeria Michel Soskine Inc. Madrid. " Grau Garriga , Formas Tejidas, Fiber sculpture of the 70's-90's
  • 2018 Michel Soskine Inc. Madrid : " Josep Grau Garriga"

Expositions de groupe

Notes et références

  1. « Grau-Garriga : la Loire est en deuil » sur angersmag.info.
  2. Francesc Miralles, L’École catalane de tapisserie, extraits, traduction Beatrice MaĂźtre, dossier de presse de l’exposition : « De l'ombre Ă  la lumiĂšre », musĂ©e Jean Lurçat Ă  Angers, 2011.
  3. AndrĂ© Kuenzi, La Nouvelle Tapisserie, Éditions de Bonvent, GenĂšve, 1974, p. 100 et s.
  4. (ca) Pilar Parcerisas, Grau-Garriga, Édition Comunne d’Encamp, PrincipautĂ© d’Andorre, 1987.
  5. Tapisserie comparée aux Paysages de Jean-Baptiste Corot par Arnau Puig, critique d'art espagnol.
  6. PiĂšces de vĂȘtement intĂ©grĂ©es pour la premiĂšre fois.
  7. Tapisserie comparĂ©e au BƓuf Ă©corchĂ© de Rembrandt par Arnau Puig.
  8. Tapisserie d'une grande complexité technique selon Arnau Puig.
  9. Peinture pouvant ĂȘtre interprĂ©tĂ©e comme une rĂ©fĂ©rence au Christ mort de Philippe de Champaigne.
  10. Portrait pouvant ĂȘtre comparĂ© Ă  Gabrielle d'EstrĂ©es.
  11. Peinture pouvant ĂȘtre comparĂ©e au Jugement Dernier.
  12. Tapisserie du Met de New York.
  13. Peinture du FRAC de Lorraine.
  14. Exposition « Grau-Garriga à l'abbaye de Saint-Florent-le-Vieil ».
  15. Rouen Tourisme, Exposition Galerie Duchoze, 2017

Voir aussi

Bibliographie

  • Grau-Garriga, tapisseries d'École catalane, La Demeure, 1968
  • Grau-Garriga, musĂ©e des Beaux-Arts de Houston, Philippe de Montebello, 1970
  • Grau-Garriga, Arnau Puig, Éditions Cercle d'art, monographie de 1986
  • Grau-Garriga, Christian Delacampagne, Éditions Cercle d'art, 2000
  • Grau-Garriga, Gilbert Lascault, Éditions Cercle d'art, 2002
  • Grau-Garriga, Els anys a sant Cugat (1929-1957), Ramon Grau Soldevila, Cossetania Edicions, 2005
  • ECCE HOMO 02.06, Grau-Garriga, Ajuntament de Sitges, 2006
  • Grau-Garriga Ă  Saint-Florent-le-Vieil, Éditions PACA, 2009
  • Grau-Garriga a Tarragona, Viena, 2010
  • AbĂ©cĂ©daire vidĂ©o : Le Petit Lexique de Grau-Garriga, François-Xavier Alexandre, 2010
  • Josep Grau-Garriga, dessins rĂ©cents (2002-2010), Patrick le NouĂ«ne, 2010
  • Grau-Garriga, dessins 1942-2010, MichĂšle Gazier, Dilecta, 2011
  • Tango, peintures du monde, Ă©ditions Æncrages & Co, sur des textes d'Yves Jouan, 2012

Liens externes

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