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Hugues XI de Lusignan

Hugues XI le Brun[1], naît vers 1221 et décède le lors de la bataille de Fariskur[2] au cours de la septième croisade. Il est membre de la haute aristocratie poitevine, de la première moitié du XIIIe siècle, issu de la Maison de Lusignan.

Hugues XI le Brun
Sceau et contre-sceau d'Hugues XI le Brun, comte d’Angoulême, dessinés par Dom Hyacinthe Morice au XVIIIe siècle.
Biographie
Naissance
V. 1221
Décès
Surnom
le Brun
Époque
Période d'activité
Famille
Père
Mère
Fratrie
Conjoint
Enfants
Isabelle de Lusignan
Hugues XII de Lusignan
Alix de Lusignan
Marie de Lusignan
Guy de Lusignan
Yolande de Lusignan
Autres informations
Grands-Parents
Conflit
Faits d'armes
HĂ©ritier
Écu burelé d'argent et d'azur de dix-sept pièces
chargé de six lions de gueules posés en orle

Hugues est seigneur du Pallet[3] et comte de Penthièvre[4] (de jure uxoris)[5] par son mariage avec Yolande de Bretagne en 1236. Il hérite du comté d'Angoulême en 1246, au décès de sa mère. En 1248, son père lui lègue le comté de la Marche ; et enfin il lui succède comme seigneur de Lusignan en 1249.

Biographie

Famille

Hugues XI le Brun est le fils de Hugues X de Lusignan (v. 1182-5 juin 1249), comte de la Marche et d'Isabelle Taillefer (v. 1188/1192-4 juin 1246), comtesse d'Angoulême et reine consort d'Angleterre, veuve du roi Jean sans Terre (1166-1216). Hugues XI le Brun est de ce fait le frère utérin du roi Henri III d'Angleterre (1207-1272) et de Richard de Cornouailles (1209-1272), roi des Romains.

Ses frères cadets, Guillaume Ier de Valence (v. 1227-1296) et Aymar de Lusignan (1228-1260) deviennent respectivement comte de Pembroke (1247-1296) et évêque-élu de Winchester (1250-1260) en Angleterre.

Son beau-frère est le comte de Richmond, duc de Bretagne, Jean Ier (1217/18-1286), fils de Pierre Mauclerc et d'Alix de Thouars.

Fiançailles et union

Hugues XI est fiancé, en 1225, avec la fille du comte de Toulouse, Jeanne ; mais le roi de France Louis VIII et le légat du Pape font obstacle à cette alliance. Un autre projet de mariage, décidé lors du traité de Vendôme en 1227, avec Isabelle de France[6], sœur de Louis IX, reste également sans exécution[7].

En 1236 Hugues X de Lusignan, comte de la Marche et Isabelle Taillefer, reine douairière d'Angleterre, Thibaut IV de Champagne, roi de Navarre, et Pierre Mauclerc duc-baillistre de Bretagne et comte de Richmond signent une alliance[8] - [9]. La même année, Hugues XI le Brun épouse finalement Yolande de Bretagne[10] (1218-15 oct. 1272), fille d'Alix de Thouars (1200-1221), comtesse de Richmond, duchesse de Bretagne et de Pierre Mauclerc (v. 1287-1250). Ce dernier dote sa fille de la seigneurie du Pallet[3] - [11] et du comté de Penthièvre[4], à l'exception de Jugon[12], confisqué à son rival Henri Ier d'Avaugour en 1214[13].

Vie politique

Hugues le Brun reçoit le comté d'Angoulême de sa mère en 1246, puis le comté de la Marche et la seigneurie de Lusignan à la mort de son père en 1249.

En 1246, il est à la tête d'une ligue formée par la noblesse de France pour arrêter les entreprises du clergé.

Hugues XI fait hommage à Alphonse, comte de Poitiers, du vivant de son père, Hugues X, le .

Le , son demi-frère, Henri III, roi d'Angleterre, lui assigne une rente de 400 marcs d'argent.

Croisade et décès

Le , sont minutieusement réglées les conditions auxquelles le comte de la Marche doit servir le comte de Poitiers à la croisade avec une compagnie de onze chevaliers. Sous la bannière d'Alphonse de Poitiers, Hugues XI le Brun, comte d'Angoulême, arrive en Égypte alors que les croisés ont déjà pris Damiette.

Armé de renforts, entouré de chevaliers poitevins ainsi que de Pierre Mauclerc et de chevaliers de Bretagne, cette arrivée permet aux croisés de reprendre l’offensive et de remporter la victoire lors de la bataille de Mansourah, au prix de nombreuses vies.

Le l'avant-garde de l'armée royale, dans laquelle se trouve Hugues XI le Brun, est décimée à Fariskur. Il décède lors de cette bataille[2].

Mariage et descendance

Yolande de Bretagne

Hugues XI le Brun Ă©pouse, en 1236, Yolande de Bretagne[14] (1218-), fille de Pierre de Dreux dit Mauclerc (v. 1187-1250), et d'Alix de Thouars (1200-1221), duchesse de Bretagne et comtesse de Richmond en Angleterre (1203-1221).

De cette union naissent six enfants :

Sceaux et armoiries

Hugues XI reprend le sceau instituĂ© par son père Hugues X. Il change de sceau vers 1248 mais pour un type (avers et revers) quasi identique Ă  l'exception de la taille (66 mm au lieu de 55 mm pour le premier) et par d'infimes dĂ©tails comme la longueur du bras droit, très Ă©tirĂ© sur le second sceau. Ce second sceau, attestĂ© en 1248 et en 1249, porte le titre de comte de la Marche, le revers affiche les armes brisĂ©es des lionceaux de vingt burelles.

Sceau [1246-1247]

Avers : Rond, 55 mm[22].

Description : Type Ă©questre de chasse Ă  droite, le cheval au galop, le cavalier, vĂŞtu d'une cotte et d'un surcot, tient les rĂŞnes de la main gauche et de la droite un petit chien debout sur la croupe du cheval, dans le champ Ă  droite, un cor.

LĂ©gende : ...VGONIS...

Contre-sceau : Rond, 55 mm[23].

Description : Écu burelé de dix-sept pièces, chargé de six lions posés en orle.

Légende : .....M • HVGON.....

Références[24] - [25] - [26] - [27] - [28] - [29] - [30]

Sceau [v. 1247]

Sceau et contre-sceau d'Hugues XI le Brun, comte d'AngoulĂŞme

Avers :

Description : Type Ă©questre de chasse Ă  droite, le cheval au galop, le cavalier, vĂŞtu d'une cotte et d'un surcot, tient les rĂŞnes de la main gauche et de la droite un petit chien debout sur la croupe du cheval.

LĂ©gende : DĂ©truite.

Contre-sceau :

Description : Écu burelé de quinze pièces, chargé de six lions posés en orle.

LĂ©gende : DĂ©truite.

Références[31] - [32]

Sceau [1248-1249]

Avers : Rond, 66 mm[33].

Description : Type équestre de chasse à droite, le cheval au galop, le cavalier, vêtu d'une cotte et d'un surcot, tient les rênes de la main gauche élevée et de la droite un petit chien debout sur la croupe du cheval, dans le champ à droite, un cor suspendu à son cou.

Légende : ✠ SIGIL … UGONIS MARCH…

LĂ©gende transcrite : Sigillum... Ugonis comitis Marchie...

Contre-sceau : Rond[34].

Description : Écu burelé de vingt pièces, chargé de six lions posés en orle.

Légende : … M • HVGON … COMIT …

Références[35] - [36] - [37] - [30]

Armoiries [1246-1247]

Blason Blasonnement :
Écu burelé d'argent et d'azur de dix-sept pièces, chargé de six lions de gueules posés en orle
Commentaires : Blason d'Hugues XI le Brun, comte d'Angoulême, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1246 et 1247.

Références[24] - [25] - [27] - [29] - [30] - [23]

Armoiries [v. 1247]

Blason Blasonnement :
Écu burelé d'argent et d'azur de quinze pièces, chargé de six lions de gueules posés en orle
Commentaires : Blason d'Hugues XI le Brun, comte d'Angoulême, d'après l'empreinte d'un contre-sceau dessinée par Dom Hyacinthe Morice au XVIIIe siècle.

Référence[32]

Armoiries [1248-1249]

Blason Blasonnement :
Écu burelé d'argent et d'azur de vingt pièces, chargé de six lions de gueules à la queue nouée posés en orle
Commentaires : Blason d'Hugues XI le Brun, comte de la Marche, d'après les empreintes d'un contre-sceau entre 1248 et 1249.

Références[35] - [37] - [30] - [34]

Ascendance

Notes et références

  1. Surnom dans les chartes.
  2. Matthieu Paris (éd. Henry Richards Luard), Matthæi Parisiensis, Monachi Sancti Albani, Chronica Majora, vol. V : A. D. 1248 à A. D. 1259, Londres, Longman, (lire en ligne), p. 158 :
    « Hugo Brunus comes de Marchia cujus pater paulo ante obiit apud Damiatan »
  3. Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), col. 925-926
    1245, Juillet : Hugues [XI] le Brun, seigneur du Pallet, et son épouse Yolande [de Bretagne] étaient en conflit avec le prévôt de Vertou : ils revendiquaient pour eux et leurs hommes du Pallet le droit de passer librement sur la chaussée des moulins du monastère de Vertou et de faire aller et venir leurs barques et leurs navires. Après de nombreuses disputes, Hugues [XI] abandonne au prévôt les droits qu'il prétendait avoir.
  4. Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), col. 931-932
    1247, juillet, Le Pallet : Hugues [XI] le Brun, comte d'Angoulême, et son épouse Yolande de Bretagne, héritière et dame de Penthièvre confirment les donations des ducs de Bretagne Geoffroy [II] Plantagenêt et Pierre [Ier] Mauclerc et de la duchesse Alix [de Thouars] en faveur du prieuré de Lamballe du monastère de Marmoutier.
  5. « Par le droit de la femme. » Terme de droit romain et médiéval utilisé pour désigner un titre, une possession acquise par un homme simplement par mariage avec une femme qui en était détentrice. En droit romain et médiéval, la femme n'a pas d'existence juridique. Lorsqu'elle dispose ou hérite de titres ou possessions, ceux-ci deviennent ipso facto la propriété de son époux.
  6. Veterum scriptorum et monumentorum, historicorum, dogmaticorum, moralium, amplissima collectio (éd. Dom Martène), t. I, Paris, (lire en ligne), col. 1214-1217
    1227, 16 mars, Vendôme : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, passe un traité avec la reine Blanche [de Castille] et son fils, le roi de France, Louis [IX]. Le frère du roi, Alphonse, épousera Isabelle de Lusignan et Hugues [XI] épousera Isabelle de France, si l’Église est d'accord. Isabelle de Lusignan recevra en dot Frontenay et l'île d'Oléron et la dot d'Isabelle de France est laissée à l’appréciation de son frère. Si Hugues [XI] mourait sans avoir consommé le mariage, un autre enfant du comte de la Marche prendrait sa place. Si les mariages ne se faisaient pas malgré l'accord de l’Église, le roi devrait payer 10 000 marcs d'argent au comte. Le comte recevra du roi pendant dix ans une rente de 10 600 livres tournois dont 5300 livres sont en compensation de Bordeaux et 500 livres en compensation du douaire d'Isabelle d'Angoulême. Si cette dernière venait à mourir dans les dix ans, la rente serait diminuée de 5000 livres. Si la paix était faite avec le roi d'Angleterre, Henri [III] et qu'Isabelle récupérait son douaire, elle serait diminuée de 2500 livres. À l'issue des dix ans, elle recevra pour son douaire une rente de 5000 livres. En échange de cela, le comte et la comtesse de la Marche abandonnent leurs prétentions sur Issoudun, Langeais, Bordeaux et les 400 livres qu'ils percevaient annuellement à Tours. Le comte jure sur les Évangiles fidélité au roi et à sa mère contre leurs ennemis, promet de ne pas faire d'alliance avec eux. Le roi lui accorde également qu'il puisse confier la garde de sa terre et de ses héritiers, s'il décède, à sa femme ou à qui il voudra et promet qu'il ne fera pas de paix avec le roi d'Angleterre sans le conseil du comte. Le comte fait hommage lige au roi de toutes les terres et forteresses qu'il possède en Poitou, dans les comtés de la Marche et d'Angoulême, en Saintonge ainsi que de Cognac et de Merpins.
  7. Veterum scriptorum et monumentorum, historicorum, dogmaticorum, moralium, amplissima collectio (éd. Edmond Martène), t. I, Paris, (lire en ligne), col. 1238-1239
    1230, 30 mai, Clisson : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, passe un second traité avec la reine, Blanche [de Castille], et son fils, le roi de France, Louis [IX]. Ce dernier lui remet le château et la ville de Saint-Jean-d'Angély avec toutes ses dépendances, Montreuil-Bonnin et tout le fief de Pierre de Marly et Langeais avec toutes ses dépendances, à condition que l'ensemble revienne au roi lorsque la sœur du roi [Isabelle de France] aura épousé le fils aîné d'Hugues [Hugues XI]. Si d'ici deux ans, le mariage n'avait pas lieu alors que la dispense pontificale avait été obtenue, le roi payerait au comte de la Marche la somme de 5000 marcs d'argent. Si la dispense n'était pas obtenue il garderait les châteaux qui lui ont été remis à titre de récompense de ses services.
  8. Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), partie 900
  9. Layettes du trésor des chartes, de l'année 1224 à l'année 1246 (éd. Alexandre Teulet), t. II, Paris, Plon, (lire en ligne), partie 2443, p. 313
    1236, dimanche 13 avril : Hugues [X] de Lusignan, comte de la Marche et d'Angoulême, et son épouse, Isabelle d'Angoulême, forment une alliance défensive avec Pierre [Ier Mauclerc], comte de Bretagne et de Richemont et Thibaut [IV de Champagne], roi de Navarre.
  10. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 1 : Texte (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 854 :
    « Yolande de Bretagne qui épouse Hugues XI, frère de Marguerite, en 1236, est elle-aussi une Thouars par sa mère, Alix, fille du gardien de Bretagne, Guy de Thouars, et petite-fille de Denise de Lusignan. Cette union avec la famille ducale bretonne renforce aussi les liens des comtes de la Marche avec les Thouars. »
  11. Située au sud-est de Nantes.
  12. « Chronicum Britanicum » (éd. Dom Hyacinthe Morice), Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne, Paris, vol. I,‎ , col. 111 - MCCXXXVI (lire en ligne) :
    « Eodem tempore data et atournata fuit Penthevria, excepto Jugonio, Hugoni filio comitis de Marchia, cum filia Petri comitis totius Britannie »
  13. Vincent Launay, Le roi en son duché : étude sur les relations entre le roi de France et l’aristocratie de Bretagne (1199-1328) (Thèse de doctorat sous la direction de Florian Mazel), Université de Rennes 2, (lire en ligne), p. 311
  14. Yolande de Bretagne (1218-1272) est la cousine de la seconde Ă©pouse de Raoul II d'Exoudun (v. 1207-1246), Yolande de Dreux (1216-1239), lui-mĂŞme cousin d'Hugues X de Lusignan.
  15. Noms attestés dans les chartes.
  16. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. I (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, (lire en ligne [PDF]), p. 843 :
    « ...l'aînée, Isabelle épouse successivement le seigneur de Taillebourg, Geoffroy VI de Rancon et celui de Belleville, Maurice III de Montaigu, et la benjamine, Yolande, le châtelain de Préaux, en Normandie. »
  17. Bertrand de Broussillon, La Maison de Craon 1050-1480 : Etude historique accompagnée du Cartulaire de Craon, t. I : 1050-1373, Paris, Alphonse Picard, (lire en ligne), p. 174
  18. Cartulaire de l´abbaye royale de Notre-Dame des Châtelliers (éd. Louis Duval), Niort, Clouzot, (lire en ligne), CXII, p. 122
    1298, avril : Guy de la Marche, chevalier, seigneur de Couhé, et Gaucher [V], seigneur de Châtillon-en- Champagne échangent le château et châtellenie de la Fère-en-Tardenois contre le château et la châtellenie de Frontenay.
  19. Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°3307 : Yolande de la Marche, Femme du précédent (1294), p. 38-39
  20. SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Yolande de la Marche - sceau », sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  21. Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. II, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°3306 : Préaux (Pierre de), Chevalier - Normandie (1294), p. 38
  22. SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues XI de Lusignan - premier - sceau avers », 1246, juin, sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  23. SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues XI de Lusignan - premier - sceau revers », 1246, juin, sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  24. chartularium Majoris-monasterii Turonensis, ordinis S. Benedicti ; quod confecit idem Rogerius de Gaignieres ex chartis quas potuit comperire et describere, et ex chartulario ejusdem monasterii ; praemittitur series Abbatum Majoris-monasterii : opera et studio domni Natalis Mars (manuscrit latin), Paris, BnF, coll. « manuscrit latin » (no 5441 (3)) (lire en ligne), p. 347-348
    juillet 1247
  25. Recueil d'extraits pour servir à l'histoire de Bretagne : (IXe-XVIIe siècle) (manuscrit français), Paris, BnF, coll. « manuscrit français » (no 22322), 1601-1700 (lire en ligne), n°18, p. 287
  26. Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°835 : Hugues XI, le Brun, Fils de Hugues X (1246), p. 398
  27. Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°835 bis : Hugues XI, le Brun, Fils de Hugues X (1246) / Revers, p. 398
  28. Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°421, pl. XIII, p. 219
  29. Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°421a, pl. XIII, p. 219
  30. Clément de Vasselot de Régné, Le "Parentat" Lusignan (Xe-XIVe siècles) : structures, parenté vécue, solidarités et pouvoir d’un lignage arborescent, vol. 3 : Annexes 3 à 6 (Thèse de doctorat en histoire médiévale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell), Université de Nantes, , Annexe 4 : Catalogue des sceaux de la famille de Lusignan, chap. II (« Comtes de la Marche et d'Angoulême / Hugues XI le Brun / sceau [1246-1249] »), p. 285-286
  31. « Table des Sceaux », dans Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), n°LXXVIII : Hugues le Brun Comte d'Angoulesme, plan. 8
  32. « Table des Sceaux », dans Mémoires pour servir de preuves à l'histoire ecclésiastique et civile de Bretagne (éd. Dom Hyacinthe Morice), t. I, Paris, (lire en ligne), n°LXXVIII : Contrescel, plan. 8
  33. SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues XI de Lusignan - deuxième - sceau avers », sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  34. SIGILLA : base numérique des sceaux conservés en France, « Hugues XI de Lusignan - deuxième - sceau revers », sur http://www.sigilla.org/, Université de Poitiers
  35. Inventaires et documents publiés par ordre de l'Empereur : Collection de sceaux (éd. Louis Douët d'Arcq), t. I, Paris, Henri Plon, (lire en ligne), n°836 : second sceau (1248), p. 398
  36. Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°422, pl. XIII, p. 219
    Contrairement à Douet d'Arcq, Eygun signale la différence de taille entre les deux matrices.
  37. Sigillographie du Poitou jusqu'en 1515 : étude d'histoire provinciale sur les institutions, les arts et la civilisation d'après les sceaux (éd. François Eygun), Poitiers, Société des Antiquaires de l'ouest, , n°422a, pl. XIII, p. 219

Sources et bibliographie

Sources sigillographiques

Bibliographie

  • Vincent Launay, Le roi en son duchĂ© : Ă©tude sur les relations entre le roi de France et l’aristocratie de Bretagne (1199-1328), Thèse de doctorat de sous la direction de Florian Mazel, UniversitĂ© de Rennes 2, 2017. [lire en ligne]
  • ClĂ©ment de Vasselot de RĂ©gnĂ©, Le "Parentat" Lusignan (Xe – XIVe siècles) : structures, parentĂ© vĂ©cue, solidaritĂ©s et pouvoir d’un lignage arborescent, Thèse de doctorat en histoire mĂ©diĂ©vale, sous la direction de John Tolan et de Martin Aurell, UniversitĂ© de Nantes, 4 vol., 2 797 p., . [lire en ligne]

Articles connexes

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