AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Guillaume Garot

Guillaume Garot (/ÉĄijom ÉĄaʁo/), nĂ© le Ă  Laval (Mayenne), est un homme politique français.

Guillaume Garot
Illustration.
Guillaume Garot en 2012.
Fonctions
Conseiller régional des Pays de la Loire
En fonction depuis le
(2 ans et 4 jours)
Élection 27 juin 2021
Circonscription Mayenne
Président Christelle Morançais
Député français
En fonction depuis le
(9 ans, 2 mois et 4 jours)
RĂ©Ă©lection 18 juin 2017
19 juin 2022
Circonscription 1re de la Mayenne
LĂ©gislature XIVe, XVe et XVIe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique SRC (2014-2016)
SER (2016-2017)
NG (2017-2018)
SOC (depuis 2018)
Coalition NUPES
Prédécesseur Sylvie Pichot
–
(5 ans, 1 mois et 1 jour)
Élection 17 juin 2007
RĂ©Ă©lection 17 juin 2012
Circonscription 1re de la Mayenne
LĂ©gislature XIIIe et XIVe (CinquiĂšme RĂ©publique)
Groupe politique SRC
Prédécesseur Henri Houdouin
Successeur Sylvie Pichot
Conseiller général puis
départemental
de la Mayenne
–
(6 ans, 2 mois et 29 jours)
Avec Fabienne Germerie
Élection 29 mars 2015
Circonscription Canton de Laval-3
Prédécesseur Canton créé
Successeur Bruno Bertier
–
(3 ans, 11 mois et 17 jours)
Élection 21 mars 2004
Circonscription Canton de Laval-Sud-Ouest
PrĂ©dĂ©cesseur HervĂ© Éon
Successeur Jean-Christophe Boyer
Ministre délégué à l'Agroalimentaire
–
(1 an, 9 mois et 10 jours)
Président François Hollande
Premier ministre Jean-Marc Ayrault
Ministre Stéphane Le Foll
Gouvernement Ayrault II
Prédécesseur Fonction créée
Successeur Stéphane Le Foll (ministre)
Président de Laval Agglomération
–
(4 ans, 3 mois et 23 jours)
Élection
Prédécesseur François d'Aubert
Successeur Jean-Christophe Boyer
Maire de Laval
–
(4 ans, 3 mois et 23 jours)
Élection
Prédécesseur François d'Aubert
Successeur Jean-Christophe Boyer
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Laval (France)
Nationalité Français
Parti politique PS
PĂšre Georges Garot
DiplÎmé de Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne
IEP de Paris
Profession Directeur de cabinet

Guillaume Garot
Maires de Laval

Membre du Parti socialiste (PS), il est élu député de la 1re circonscription de la Mayenne en 2007, mandat qu'il conserve en 2012 puis 2017. En tant que parlementaire, il s'engage dans la lutte contre le gaspillage et la précarité alimentaires, et contre les déserts médicaux.

Il est maire de Laval et président de Laval Agglomération entre 2008 et 2012, puis ministre délégué à l'Agroalimentaire jusqu'en 2014 dans les deux gouvernements de Jean-Marc Ayrault.

Il se présente aux élections régionales de 2021 dans les Pays de la Loire en chef de file de la coalition « Le Printemps des Pays de la Loire », formée autour du Parti socialiste et du Parti communiste. Il se rallie à la liste de l'écologiste Matthieu Orphelin pour le second tour, mais leur alliance est devancée au second tour par la présidente sortante Christelle Morançais.

Situation personnelle

Famille

Guillaume Garot est le fils de l’ancien dĂ©putĂ© europĂ©en socialiste Georges Garot. Il est donc Ă©galement le neveu Ă  la mode de Bretagne de Pierre MĂ©haignerie, ancien dĂ©putĂ© et ministre dans plusieurs gouvernements, membre de l'UDF puis de l'UMP[1]. Il est Ă©galement le cousin de Rachel MĂ©haignerie, son attachĂ©e parlementaire[2].

Études

AprĂšs des Ă©tudes secondaires au lycĂ©e Douanier-Rousseau Ă  Laval, il entre en classe prĂ©paratoire au lycĂ©e Chateaubriand de Rennes (hypokhĂągne) puis au lycĂ©e Lakanal (khĂągne), avant d’intĂ©grer l'universitĂ© Paris-1 PanthĂ©on-Sorbonne, oĂč il dĂ©croche une maĂźtrise d’histoire. Il est Ă©galement diplĂŽmĂ© de l’Institut d’études politiques de Paris.

Parcours politique

DĂ©buts

AdhĂ©rent au Parti socialiste (PS) en 1985, Ă  l'Ăąge de 19 ans, il travaille avec Daniel Vaillant, d'abord comme directeur de son cabinet Ă  la mairie du 18e arrondissement de Paris de 1995 Ă  2000, puis comme conseiller Ă  son cabinet au ministĂšre de l’IntĂ©rieur.

En 2002, il rejoint l'équipe des collaborateurs du maire de Paris Bertrand Delanoë, et est chargé de la préparation des discours et interventions publiques. Il devient en 2005 conseiller politique de Christophe Caresche, adjoint au maire de Paris chargé de la sécurité.

Il se présente à Laval aux élections municipales de 2001 puis aux élections législatives de 2002 dans la premiÚre circonscription de la Mayenne, mais échoue à chaque fois face à François d'Aubert. En 2004, il est élu conseiller général de la Mayenne dans le canton de Laval-Sud-Ouest.

Devenu premier secrétaire fédéral du PS de la Mayenne, il s'impose comme chef de file de la gauche unie à Laval et au conseil général de la Mayenne.

Député de la Mayenne (2007-2012)

Le , il crĂ©e la surprise en battant François d'Aubert, qui briguait un septiĂšme mandat, avec 50,6 % des voix. Il devient ainsi le premier dĂ©putĂ© de gauche Ă©lu dans la Mayenne au scrutin majoritaire. Il siĂšge au sein du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche (SRC) et est membre de la commission des Affaires Ă©conomiques, de l'Environnement et du Territoire dans un premier temps, puis de la commission de la DĂ©fense nationale et des Forces armĂ©es dans un second temps. À la suite de son Ă©lection comme dĂ©putĂ©, il dĂ©missionne de son mandat de conseiller municipal d'opposition de Laval afin de se conformer aux dispositions de la loi sur le cumul des mandats.

En 2008, Guillaume Garot soutient activement la candidature de SĂ©golĂšne Royal dans la course au congrĂšs de Reims et devient son porte-parole en 2009. La mĂȘme annĂ©e, il est dĂ©signĂ© comme « valeur montante » du Parlement par les consultants de SĂ©ance publique, cabinet de conseil et d’étude, pour ses travaux rĂ©alisĂ©s durant la session parlementaire 2008-2009.

Guillaume Garot est réélu député dans la premiÚre circonscription de la Mayenne avec 58,5 % des suffrages au deuxiÚme tour des élections législatives de 2012. Sa nomination en qualité de ministre le conduit à laisser son mandat à sa suppléante, Sylvie Pichot.

Maire de Laval (2008-2012)

Pour les Ă©lections municipales de 2008 Ă  Laval, il prend la tĂȘte d'une liste d'union face Ă  quatre listes : une liste UMP-MoDem, une centriste, une liste Lutte ouvriĂšre et une liste du Mouvement indĂ©pendant des quartiers populaires et de l'immigration (MIQPI), soutenue par la LCR.

Le , il remporte les Ă©lections municipales au premier tour avec 50,2 % des voix contre 43,0 % Ă  son principal adversaire, le maire UMP sortant François d'Aubert. Cette Ă©lection marque le retour de la gauche aux responsabilitĂ©s locales aprĂšs une parenthĂšse de treize ans. Il est Ă©lu maire par le nouveau conseil municipal le [3], puis quelques jours plus tard prĂ©sident de la communautĂ© d’agglomĂ©ration Laval AgglomĂ©ration[4].

Il s’investit notamment dans la rĂ©novation urbaine de la ville des quartiers Pommeraies-Vignes, Fourches et de la caserne du 42e rĂ©giment de transmission : rĂ©habilitation de logements sociaux, d’espaces publics et rĂ©novation thermique et phonique des bĂątiments[5].

Il contribue au dĂ©veloppement de l’offre de vĂ©lo en libre service, de la ligne TGV reliant Laval Ă  Paris en 1 h 12 et Ă  l’amĂ©lioration des offres de transport en commun. AprĂšs cet investissement dans les Transports Urbains de Laval (TUL), le rĂ©seau bat en 2010 des records de frĂ©quentation avec plus de huit millions de voyageurs et selon un rapport de la Direction rĂ©gionale de l'Environnement (DREAL), « avec 82 voyages par an et par habitant, Laval se situe dans le peloton de tĂȘte des rĂ©seaux français de taille Ă©quivalente »[6].

Connue pour ses illuminations de NoĂ«l, Laval investit en 2008 dans des Ă©clairages LED et les Ă©nergies renouvelables pour rĂ©duire son empreinte Ă©nergĂ©tique (- 25 % en 2008)[7]. Il met par ailleurs en Ɠuvre l’interdiction de l’usage des produits phytosanitaires par les services municipaux.

Ministre délégué à l'Agroalimentaire (2012-2014)

Le , il est nommé au gouvernement Jean-Marc Ayrault en tant que ministre délégué à l'Agroalimentaire[8] - [9]. Obéissant à la rÚgle de non-cumul des mandats, il cÚde sa place comme maire de Laval et président de Laval Agglomération à Jean-Christophe Boyer respectivement les 9 et .

Le , au lendemain du second tour des élections municipales à l'occasion desquelles Laval passe à droite, il est mis fin à ses fonctions de ministre à la suite de la démission de Jean-Marc Ayrault. Il récupÚre son mandat de député au début du mois de [10] - [11].

Retour à la députation (depuis 2014)

Redevenu dĂ©putĂ© en , il poursuit l’engagement qu’il avait initiĂ© au gouvernement contre le gaspillage alimentaire et la prĂ©caritĂ©. L'annĂ©e suivante, en , il est Ă©lu conseiller dĂ©partemental dans le canton de Laval-3 avec 55,7 % des voix.

Il est nommé, en , président du conseil d'administration du domaine de Chambord[12]. Il est également président du Conseil national de l'alimentation (CNA) depuis 2016[13].

Il vote en faveur du projet de loi constitutionnelle instituant la dĂ©chĂ©ance de nationalitĂ© pour les auteurs d'acte terroriste, qui divise fortement les groupes parlementaires de gauche comme de droite, en , Ă  l'instar de plusieurs anciens membres du gouvernement comme Jean-Marc Ayrault, FrĂ©dĂ©ric Cuvillier ou encore ValĂ©rie Fourneyron[14]. Il indique le mois suivant que la nouvelle version du projet de loi Travail constitue de son point de vue « une base mieux Ă©quilibrĂ©e pour consolider notre Contrat Social »[15]. Il dĂ©clare en Ă  propos des dĂ©putĂ©s socialistes ayant tentĂ© — sans succĂšs — de dĂ©poser une motion de censure contre le gouvernement Valls II que « nous n’avons plus rien Ă  faire avec eux », les accusant de faire passer les parlementaires favorables Ă  la loi Travail pour des « social-traĂźtres »[16].

Il est rĂ©Ă©lu dĂ©putĂ© lors des Ă©lections lĂ©gislatives de 2017[17]. Faisant partie des rares dĂ©putĂ©s socialistes sortants Ă  conserver sa circonscription, Ă©tant rĂ©Ă©lu avec 62,4 % au second tour face Ă  une candidate de La RĂ©publique en marche (LREM), il est Ă©galement l'un des trois parlementaires du groupe socialiste Ă  voter pour la confiance au gouvernement Édouard Philippe[18]. Sous la XVe lĂ©gislature, il est notamment vice-prĂ©sident commission du DĂ©veloppement durable et de l'AmĂ©nagement du territoire.

Pour ce troisiĂšme mandat, il met en place dans son dĂ©partement des « Ateliers citoyens », pour associer les citoyens Ă  la fabrication de la loi. En 2018, il rĂ©dige ainsi des amendements Ă  la loi Agriculture et Alimentation. L'annĂ©e d'aprĂšs, il dĂ©fend Ă  l’AssemblĂ©e nationale une proposition de loi sur la santĂ© et contre les dĂ©serts mĂ©dicaux directement issue de ces ateliers citoyens. La dĂ©marche se poursuit en 2020 sur la question de la dĂ©pendance et du grand Ăąge, alors qu’est annoncĂ© un projet de loi sur le sujet[19]. Plusieurs dizaines de personnes participent tous les ans Ă  ces ateliers[20].

En mai 2022, il est investi par le Parti socialiste, pour la coalition Nouvelle Union populaire Ă©cologique et sociale, dans la premiĂšre circonscription de la Mayenne[21].

Élections rĂ©gionales de 2021

Guillaume Garot annonce le sa candidature aux élections régionales de 2021 dans les Pays de la Loire[22].

Il fait ainsi partie des premiers signataires de l'appel du « Printemps des Pays de la Loire » qui appelle Ă  l'union de la gauche et des Ă©cologistes dĂšs le premier tour[23] - [24]. Il s’oppose notamment Ă  la vente des Chantiers de l’Atlantique au groupe italien Fincantieri et au transfert de technologie au groupe chinois CSSC[25]. Il prend position pour Ă©tendre le dispositif de formation des demandeurs d’emplois, mettre en place un plan de soutien scolaire dans les lycĂ©es pour les Ă©lĂšves dĂ©crocheurs et salarier des mĂ©decins dans les zones qui en sont dĂ©pourvues[26].

Prises de position

Gaspillage alimentaire

Guillaume Garot est connu pour son engagement dans la lutte contre le gaspillage alimentaire. En tant que ministre dĂ©lĂ©guĂ©, il lance, en juin 2013, le pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire. Le pacte national doit rĂ©pondre aux objectifs de l’Union europĂ©enne visant Ă  diviser le gaspillage par deux d’ici 2025. Il prĂ©sente un nouveau rapport sur le gaspillage alimentaire le 14 avril 2015[27]. Ce rapport s'inscrit dans le cadre du projet de loi sur la transition Ă©nergĂ©tique pour la croissance verte engagĂ© par le second gouvernement Valls[28].

Il est l'auteur et le rapporteur de la loi n°2016-138 du 11 fĂ©vrier 2016 relative Ă  la lutte contre le gaspillage alimentaire appelĂ©e depuis « loi Garot ». Cette loi oblige notamment les supermarchĂ©s de plus de 400 mĂštres carrĂ©s Ă  donner leurs invendus alimentaires s’ils sont sollicitĂ©s par des associations de solidaritĂ© : d’aprĂšs les chiffres des Banques Alimentaires, les denrĂ©es alimentaires collectĂ©es sont passĂ©es de 36 000 tonnes Ă  46 000 tonnes entre 2015 et 2017, soit une hausse de prĂšs de 28 %[29]. En 2020, il lance « l’acte 2 » pour aller plus loin dans la lutte contre le gaspillage alimentaire en dĂ©posant une nouvelle proposition de loi, qui envisage de faire de la lutte contre le gaspillage une grande cause de 2021, de gĂ©nĂ©raliser l’éducation Ă  l’alimentation Ă  l’école, d'expĂ©rimenter une prime Ă  l’assiette vide dans les restaurants universitaires, de supprimer la date de durabilitĂ© minimale (DDM) sur les pĂątes, le riz, les cĂ©rĂ©ales ou encore de crĂ©er d’une police du gaspillage alimentaire pour contrĂŽler la qualitĂ© des dons des grandes surfaces[30].

Il milite Ă©galement pour la crĂ©ation d’une couverture alimentaire universelle pour lutter contre la prĂ©caritĂ© alimentaire[31] et propose une aide dĂ©partementale aux familles prĂ©caires de collĂ©giens sous forme de bons alimentaires[32].

Santé

Il prĂ©sente en 2019 trois propositions de lois pour lutter contre les dĂ©serts mĂ©dicaux qu’il rĂ©dige Ă  partir d’ateliers citoyens organisĂ©s en Mayenne : elles visent Ă  Ă©tablir de nouvelles rĂšgles pour l'installation des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes et spĂ©cialistes libĂ©raux, et ainsi mieux les rĂ©partir selon les besoins des habitants et des territoires, comme cela existe dĂ©jĂ  pour d’autres professions de santĂ©[33]. Ces propositions sont soutenues par la gauche et par Les RĂ©publicains mais seront rejetĂ©es par la majoritĂ© parlementaire[34].

En , il propose en tant que conseiller dĂ©partemental de la Mayenne, une prime de 1000€ Ă  destination des aides Ă  domicile et agents d’Ehpad[35]. Cette proposition est votĂ©e Ă  l’unanimitĂ© en mai 2020[36]. Il s’oppose deux mois plus tard Ă  la fermeture du centre mĂ©dico-psychologique de ChĂąteau-Gontier[37].

Écologie

Lors de la discussion de la loi Egalim en 2018, il prend position pour l’interdiction de l’usage du glyphosate en France Ă  partir de 2021. Il s’oppose l'annĂ©e d'aprĂšs au gouvernement sur la signature de l’accord commercial avec le Mercosur, Ă  contre-courant des accords de Paris sur le climat[38].

Ayant votĂ© pour l’interdiction des nĂ©onicotinoĂŻdes en 2016, il vote contre le retour de ces produits phytosanitaires en 2020. Il explique que « la nocivitĂ© de ces produits pour la biodiversitĂ© est avĂ©rĂ©e, notamment pour les abeilles. Il est impensable de revenir sur leur interdiction, alors que 80 % des insectes volants ont disparu depuis 30 ans »[39].

DĂ©tail des mandats et fonctions

Au gouvernement

À l’AssemblĂ©e nationale

Au niveau local

Notes et références

  1. AFP, « Guillaume Garot à l'Agroalimentaire », Le Figaro, .
  2. « Jean-Christophe Boyer, fidÚle bras droit du maire - Laval », Ouest France, .
  3. « Guillaume Garot élu maire de Laval », sur laval.maville.com, .
  4. « Guillaume Garot élu sans surprise président de Laval agglomération », sur laval.maville.com, (consulté le ).
  5. « LAVAL La rénovation urbaine est lancée », Le Moniteur, (consulté le ).
  6. « Le nouveau réseau de bus booste la fréquentation à Laval », Ville, Rails et Transports, (consulté le ).
  7. « Les illuminations de Noël passent au vert », sur batiactu.com, (consulté le ).
  8. Éric de La Chesnais, « Le mayennais, Guillaume Garot nouveau ministre de l'Agroalimentaire », sur blog.lefigaro.fr, (consultĂ© le ).
  9. « Guillaume Garot », LCI (consulté le ).
  10. « Remaniement ministériel : Guillaume Garot va redevenir député », sur laval.maville.com, .
  11. Éric de La Chesnais, « Le mayennais, Guillaume Garot n'est pas reconduit comme ministre de l'Agroalimentaire », sur blog.lefigaro.fr, .
  12. « Guillaume Garot nouveau président du conseil d'administration du domaine de Chambord », France 3, .
  13. « CNA - Conseil National de l'Alimentation », sur cna-alimentation.fr (consulté le ).
  14. Timothée Vilars, « Déchéance de nationalité : un vote qui a déchiré la gauche comme la droite », Le Nouvel Observateur, (consulté le ).
  15. Guillaume Garot, « Loi El Khomri : un nouveau texte mieux équilibré », sur guillaume-garot.fr, (consulté le ).
  16. Nathalie Segaunes et Caroline Vigoureux, « Frondeurs : le pardon ou l’exclusion », L'Opinion, (consultĂ© le ).
  17. Germain Treille, « Législatives : Guillaume Garot réélu député dans la 1re circonscription de la Mayenne », France Bleu, (consulté le ).
  18. (en) « scrutin2017_07_04 », sur Scribd (consulté le ).
  19. « Le député Guillaume Garot lance un appel à tous les Mayennais pour travailler sur le bien-vieillir », Ouest-France, (consulté le ).
  20. « Laval. Quelque 70 participants samedi aux ateliers citoyen de Guillaume Garot », Ouest-France, (consulté le ).
  21. « CARTE. Législatives : découvrez qui sont les candidats déjà déclarés dans votre circonscription », sur Franceinfo, (consulté le )
  22. « Élections rĂ©gionales. Le socialiste Guillaume Garot officialise sa candidature », Ouest-France, (consultĂ© le ).
  23. « Pays de la Loire. RĂ©gionales : neuf partis de gauche lancent un appel Ă  l’union », Ouest-France, (consultĂ© le ).
  24. « Pour un printemps des Pays de la Loire », sur printemps-pdl21.fr (consulté le ).
  25. « Saint-Nazaire. Chantiers de l’Atlantique : le dĂ©putĂ© PS Guillaume Garot opposĂ© Ă  Fincantieri », Ouest-France, (consultĂ© le ).
  26. « Dimanche en Politique : Guillaume Garot, un socialiste écologiste en route pour les Régionales », France 3, (consulté le ).
  27. « Rapport de Guillaume Garot : « Lutte contre le gaspillage alimentaire : Propositions pour une politique publique » » [PDF], sur agriculture.gouv.fr.
  28. « Un volet "gaspillage alimentaire" dans la loi sur la transition énergétique », La Gazette des Communes, .
  29. « Loi anti-gaspillage alimentaire : quel bilan aprÚs 18 mois ? », Le Figaro, (consulté le ).
  30. « Guillaume Garot lance l’acte 2 contre le gaspillage alimentaire », Journal de l'environnement, (consultĂ© le ).
  31. « Guillaume Garot : « Au mĂȘme titre que l’éducation ou la santĂ©, l’alimentation doit ĂȘtre garantie Ă  chacun » », Le Monde, (consultĂ© le ).
  32. « Coronavirus. Guillaume Garot propose une aide départementale aux familles précaires de collégiens », Ouest-France, (consulté le ).
  33. « Déserts médicaux : le député mayennais Guillaume Garot repart à la charge à l'Assemblée nationale », France Bleu, (consulté le ).
  34. « Désertification médicale : les députés rejettent la proposition de loi du mayennais Guillaume Garot », France Bleu, (consulté le ).
  35. « Guillaume Garot propose une prime pour les aides à domicile et les agents des Ehpad liés au Département », France Bleu, (consulté le ).
  36. « En Mayenne, le département versera une prime aux aides à domicile "si le gouvernement ne fait pas le job" », France Bleu, (consulté le ).
  37. « Fermeture du Centre mĂ©dico-psychologique de ChĂąteau-Gontier-sur-Mayenne : les Ă©lus s’indignent », Ouest-France, (consultĂ© le ).
  38. « Mercosur : "On ne peut pas défendre les accords de Paris sur le climat et se réjouir de cet accord", Guillaume Garot », France Bleu, (consulté le ).
  39. « En Mayenne. Les députés partagés sur la question du retour des néonicotinoïdes », Ouest-France, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.