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Gouffre de La Pierre Saint-Martin

Le gouffre de La Pierre Saint-Martin, nommé aussi gouffre Lépineux (Pozo Lepineux en espagnol), est l'entrée historique d'une cavité souterraine majeure située dans le massif de La Pierre Saint-Martin (massif de Larra-Belagua pour les Espagnols), à proximité immédiate de la frontiÚre franco-espagnole[N 1] et de la commune française d'Arette, dans les Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine, sous laquelle se développe une partie du réseau souterrain.

Gouffre de la Pierre Saint-Martin
Localisation
Coordonnées
42° 58â€Č 05″ N, 0° 46â€Č 09″ O
Localisation
Massif
Localité voisine
Caractéristiques
Type
Altitude de l'entrée
1 717 m
Longueur connue
>87 km
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Contexte karstique et topographie

Gouffre de La Pierre Saint-Martin en contrebas de la route.

Le gouffre LĂ©pineux, ainsi que l'ensemble du rĂ©seau de La Pierre Saint-Martin auquel il appartient, fait partie d'un karst de 140 kilomĂštres carrĂ©s entre 1 500 et 2 100 mĂštres d'altitude, Ă  cheval sur la frontiĂšre entre la France[2] et l'Espagne. Ce karst, drainĂ© par quatre grands systĂšmes hydrogĂ©ologiques ARSIP[3] - [4], compte des gouffres parmi les plus profonds et dĂ©veloppĂ©s du monde ; orientĂ© nord -111°-115° (ou 290°-295°), treize riviĂšres reconnues y coulent et six exsurgences restituent les eaux souterraines [5].

La description du gouffre Lépineux est ainsi notée lors de la premiÚre descente le :

« doline, puis Ă©boulis Ă  −80 m, rĂ©trĂ©cissement du gouffre jusqu'Ă  −213 m au passage d'une cascade, puis Ă  −275 m, arrivĂ©e dans l'immense salle LĂ©pineux. »

L'organisation de la suite du réseau depuis son entrée historique par le gouffre Lépineux est ensuite décrite ainsi :

« Salle LĂ©pineux, suivie d'un goulot nommĂ© Gibraltar puis d'une immense salle nommĂ©e salle Elizabeth Casteret. La salle la plus monumentale dĂ©couverte est l'immense salle de La Verna[6], qui mesure 245 mĂštres de diamĂštre pour 194 mĂštres de hauteur ; on pourrait y rentrer dix fois la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris ; un vol de montgolfiĂšre y a mĂȘme Ă©tĂ© organisĂ© en 2003[7]. »

Le karst de La Pierre Saint-Martin, au pied du pic d'Anie (2504 m).

En 2020, le dĂ©veloppement[N 2] de l'ensemble des galeries du karst, recensĂ©es par l'ARSIP (Association pour la Recherche SpĂ©lĂ©ologique Internationale Ă  La Pierre Saint-Martin) correspond Ă  465,750 kilomĂštres de long[8]. Plus de 2 000 gouffres relient ces galeries Ă  la surface, parmi lesquels 50 gouffres dĂ©passent les 300 mĂštres de profondeur. La superficie des salles explorĂ©es est de 248812 mĂštres carrĂ©s (France)[9] et approximativement de dix millions de mĂštres cubes dont 3 600 000 mĂštres cubes pour la salle de la Verna et 2 000 000 mĂštres cubes pour la salle de l'Eclipse[10].

Histoire

Les Arres d'Anie.
Expédition de 1952 au gouffre de la Pierre Saint-Martin.
Entrée du gouffre de la Pierre Saint-Martin en 2010.
La salle de la Verna.
À proximitĂ© du gouffre des Partages.

ExplorĂ© par EugĂšne Fournier et Édouard-Alfred Martel dĂšs la fin du XIXe siĂšcle[11], le massif devient cĂ©lĂšbre avec la dĂ©couverte en 1950 par Georges LĂ©pineux, du puits qui constituera le premier accĂšs au rĂ©seau de La Pierre Saint-Martin. À la recherche de gouffres dans la rĂ©gion, il voit une corneille (crave, chocard ou choucas), sortir d'un trou et remarque qu'un souffle en provenait. Il dĂ©cide avec ces camarades de le dĂ©gager et trouve l'entrĂ©e du gouffre[12].

En 1951, cette verticale de 320 mÚtres, la plus grande du monde à l'époque (ce qui lui vaut rapidement le qualificatif d'« Everest des profondeurs », l'ascension victorieuse de cette montagne de l'Himalaya ayant lieu en 1953), est descendue par une équipe comportant notamment Jacques Labeyrie, Georges Lépineux, Marcel Loubens et Haroun Tazieff, au cours d'une expédition menée par le physicien Max Cosyns[12] - [13].

En 1952, une expĂ©dition de grande ampleur Ă  laquelle participent encore Jacques Labeyrie et Haroun Tazieff tourne au drame : un serre-cĂąble se dĂ©visse, Marcel Loubens fait une chute de 15 mĂštres au cours de sa remontĂ©e. AprĂšs ĂȘtre restĂ© plusieurs jours dans le coma, il dĂ©cĂšde au fond du gouffre. Le corps est enterrĂ© sur place, et ne sera ramenĂ© Ă  la surface que 2 ans plus tard. Ce drame au fond du gouffre le plus profond du monde est relayĂ© par la presse mondiale et sera relatĂ© en dĂ©tail par Tazieff dans son livre[13]. Une plaque situĂ©e au fond du gouffre commĂ©more le drame. L'Ă©pitaphe de Marcel Loubens sera gravĂ©e au burin, sur place au fond du gouffre, par Jacques Labeyrie, membre de l'Ă©quipe qui tenta tout pour sauver Loubens[12].

La veille du drame Labeyrie et Loubens auraient découvert une salle, origine probable d'un ancien lac souterrain[14] mais dont on n'a pas encore retrouvé l'entrée[15].

En 1953, l'immense salle de la Verna (255 Ă— 245 Ă— 194 m) est dĂ©couverte par des spĂ©lĂ©ologues lyonnais[16]. La sociĂ©tĂ© EDF perce en 1956 un tunnel permettant d'atteindre cette salle, dans le but d'effectuer un captage hydraulique, projet abandonnĂ© Ă  l'Ă©poque, puis repris en 2006.

En 1961 via le tunnel une escalade de 70 mÚtres, dans la salle de la Verna, permet de découvrir la galerie Aranzadi, ancien parcours de la riviÚre, et une suite aval. Le point bas est atteint en 1965, aprÚs le méandre Martine et le puits Parment, à 1006 mÚtres de profondeur par rapport au puits Lépineux.

En 1966 est crĂ©Ă©e l'Association pour la recherche spĂ©lĂ©ologique internationale de La Pierre Saint-Martin (ARSIP), dans le but de coordonner les diffĂ©rentes recherches sur le massif. Le D9 ou gouffre de la TĂȘte Sauvage[N 3] situĂ© Ă  1 878 m sur les Arres d'Anie est reliĂ© au gouffre LĂ©pineux et devient l'entrĂ©e haute du rĂ©seau[17].

En 1975 le gouffre Moreau ou M3[N 4], 1 984 m, porte la profondeur Ă  1 273 m mais quinze jours plus tard le SC3 ou gouffre du Beffroi[N 5], 2 037 m, amĂšne Ă  1 321 m le dĂ©nivelĂ©.

En 1982, le gouffre du Pourtet (M31)[N 6], 2 058 m, fait progresser la profondeur Ă  1 342 m[18].

En 2006, un projet de conduite forcée à partir de la salle située au fond du gouffre est réactualisé. Il avait débuté dans les années 1950, puis le projet avait été abandonné car la riviÚre souterraine ne fournissait pas un débit suffisant. Des galeries avaient été creusées jusqu'à la salle, avec des difficultés et des erreurs de tracé. Aujourd'hui, une galerie de 600 mÚtres de long rejoint la salle.

Le projet a Ă©tĂ© repris par la SHEM (SociĂ©tĂ© Hydro Électrique du Midi, ex-filiale de la SNCF, aujourd'hui du Groupe SUEZ). Une prise d'eau a Ă©tĂ© construite Ă  l'amont de la salle de la Verna ; les canalisations nĂ©cessaires sont posĂ©es en encorbellement pour longer le mur oriental de la salle, puis en souterrain dans la galerie d'accĂšs EDF et Ă  l'extĂ©rieur, pour finalement alimenter l'usine situĂ©e plus bas au bord du gave de Sainte-EngrĂące.

Ce barrage hydroĂ©lectrique souterrain de La Verna Ă  Sainte-EngrĂące (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques), d’une puissance de 4 mĂ©gawatts a Ă©tĂ© mis en service le [19].

Ce nouveau projet a permis également d'ouvrir la salle au public, grùce à un aménagement conçu et géré par le Comité départemental de spéléologie des Pyrénées-Atlantiques[20]. Les visites sont possibles depuis , sur réservation.

Le mardi , le M 413 ou gouffre des Partages[N 7] (-1122 m, 24 km) est relié au réseau de La Pierre Saint-Martin par jonction avec le gouffre du Pourtet (M31)[21] - [22]. Avec cette jonction, le complexe La Pierre Saint-Martin - gouffre des Partages dépasse en 2008 les 82 kilomÚtres pour 1410 mÚtres de dénivelée (deuxiÚme réseau français pour le développement, troisiÚme pour la profondeur)[23].

En 2014 avec trois nouvelles entrĂ©es : le gouffre des quinquas (C2-C104)[N 8] et la Sima Grande de Llano Carreras (C226)[N 9] et en aoĂ»t 2021 aprĂšs la jonction avec Xendako Ziloa[N 10] puis en janvier 2022 avec le Trou Huet[N 11], le rĂ©seau a un dĂ©veloppement de plus de 87 km et est pourvu de 14 entrĂ©es[24] - [25] - [26].

Notes et références

Notes

  1. Le cadastre français place l'entrée à 31 m de la ligne de la frontiÚre cÎté français[1], ce qui veut dire que la salle de la base du puits est internationale.
  2. En spéléologie, le développement correspond à la longueur cumulée des galeries interconnectées qui composent un réseau souterrain.
  3. Le gouffre de la TĂȘte Sauvage a pour coordonnĂ©es 42° 57â€Č 45″ N, 0° 44â€Č 36″ O.
  4. Le gouffre Moreau a pour coordonnĂ©es 42° 57â€Č 30″ N, 0° 44â€Č 11″ O.
  5. Le gouffre du Beffroi a pour coordonnĂ©es 42° 57â€Č 42″ N, 0° 43â€Č 46″ O.
  6. Le gouffre du Pourtet a pour coordonnĂ©es 42° 57â€Č 12″ N, 0° 44â€Č 32″ O.
  7. Le gouffre des Partages a pour coordonnĂ©es 42° 57â€Č 00″ N, 0° 44â€Č 22″ O.
  8. Le gouffre C2 a pour coordonnĂ©es 42° 57â€Č 22″ N, 0° 46â€Č 04″ O.
  9. la Sima Grande de Llano Carreras a pour coordonnĂ©es 42° 57â€Č 38″ N, 0° 45â€Č 23″ O.
  10. Xendako Ziloa a pour coordonnĂ©es 42° 58â€Č 13″ N, 0° 47â€Č 53″ O.
  11. Le Trou Huet a pour coordonnĂ©es 42° 58â€Č 24″ N, 0° 47â€Č 26″ O.

Références

  1. « Le gouffre de la Pierre Saint-Martin », sur Géoportail
  2. Pierre Thomas, « Le lapiaz de la Pierre Saint Martin (Pyrénées Atlantiques), l'un des plus grands lapiaz de France », sur planet-terre.ens-lyon.fr, (consulté le ).
  3. « Organigramme des systÚmes hydrologiques Pierre Saint Martin - Larra. », sur https://www.arsip.fr/.
  4. Groupe Spéléologique Haut-Pyrénéen de Tarbes et Jean-Daniel Larribau, « La Pierre Saint-Martin - Plongée souterraine » [PDF], sur plongeesout.com (consulté le ).
  5. « La synthÚse numérique de la Pierre St Martin », sur arsip.fr (consulté le ).
  6. « La salle de la Verna, réseau de la Pierre Saint Martin : visite géologique » [PDF], sur Géolval, (consulté le )
  7. « La salle de la Verna, chiffres-clés », sur laverna.fr (consulté le )
  8. Michel Douat, « La Pierre-Saint-Martin : un karst de lĂ©gende, une histoire mĂ©connue 
 », sur karsteau.org (consultĂ© le ).
  9. Jean-Yves Bigot, « SpĂ©lĂ©omĂ©trie de la France. CavitĂ©s classĂ©es par dĂ©partement, par dĂ©nivellation et dĂ©veloppement. », Spelunca MĂ©moires, La Ravoire, no 27,‎ , p. 116-117 (ISBN 2-7417-0291-8, OCLC 123511827, lire en ligne, consultĂ© le ).
  10. Fabien Darne, « Les plus grandes salles souterraines naturelles », .
  11. Arsip, « Histoire des explorations », sur arsip.fr (consulté le ).
  12. Les découvreurs du Gouffre de La Pierre Saint-Martin, Jacques Labeyrie, éditions Cairn, 2005.
  13. Haroun Tazieff, « Le gouffre de La Pierre Saint-Martin », sur arsip.fr, Arthaud, (ISBN 2-7003-0175-7), p. 190.
  14. Jacques Labeyrie, Les découvreurs du Gouffre de la Pierre Saint-Martin, Cairn, , « Le lac fossilisé »
  15. Jacques Bon, Hommage à Jacques Labeyrie - La salle perdue de Labeyrie et Loubens, 10 mars 2011, cafcom.free, archivé le 14 aout 2018
  16. Clan des Tritons (Jean Philippe Grancolas), « Le clan de la Verna à la Pierre Saint-Martin en 1952,1953 & 1954 - Collection Archives et Documents Spéléo no 2 / 2020 ».
  17. Michel Douat, « 40 ans dĂ©jĂ  !...A l’occasion du 40e anniversaire de la jonction TĂȘte Sauvage - Pierre Saint Martin », sur docplayer.fr, (consultĂ© le ).
  18. Michel Douat, Jean-François Pernette et Serge Puisais, Spéléo sportive à La Pierre Saint-Martin, Aix-en-Provence, Edisud, , 136 p. (ISBN 2-85744-182-7).
  19. Suez met en service un barrage souterrain au Pays basque
  20. « Entrez dans l'aventure souterraine », sur cds64.org.
  21. [PDF]« A la recherche de Z - Massif de la Pierre-Saint- Martin », sur clan.des.tritons.free.fr, (consulté le ).
  22. Jean-Philippe Grancolas, « Échos des profondeurs-France-PyrĂ©nĂ©es Atlantiques-ActivitĂ©s 1997 Ă  2008 du Clan des Tritons-Massif de la Pierre-Saint-Martin-Gouffre des Partages (Arette). », Spelunca, Paris, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, no 114,‎ , p. 6-7 (ISSN 0249-0544, lire en ligne).
  23. « Naissance d’un gĂ©ant – SpĂ©lĂ©o Tritons », sur clan.des.tritons.free.fr (consultĂ© le )
  24. Alain Bressan et Michel Douat, « Gouffre des Quinquas (C2-C104) et Sima Grande de Llano Carreras (C226). Trois nouvelles entrĂ©es pour le systĂšme La Pierre Saint-Martin – Partages », Spelunca, Paris, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, no 136,‎ , p. 13-22 (ISSN 0249-0544, lire en ligne, consultĂ© le ).
  25. Alexandre Pont et Paul De Bie, « SynthÚse générale des réseaux », sur Association pour la recherche spéléologique internationale à la Pierre Saint Martin, .
  26. Arsip, « Données spéléométriques du karst PSM - Larra », sur Association pour la recherche spéléologique internationale à la Pierre Saint Martin, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Haroun Tazieff, Le gouffre de la Pierre Saint-Martin, B. Arthaud, coll. « Explorations », (lire en ligne)
  • Jacques Labeyrie, Les dĂ©couvreurs du Gouffre de la Pierre Saint-Martin, Cairn,
  • Corentin QueffĂ©lec, Jusqu'au fond du gouffre : Record du monde Ă  La Pierre Saint-Martin, t. 1, Stock, , 176 p..
  • Corentin QueffĂ©lec, Jusqu'au fond du gouffre, t. 2, Arcora, , 206 p..
  • Jean-François Pernette, RiviĂšres sous la Pierre, Fernand Nathan, , 208 p..
  • ARSIP, Association française de karstologie, « Le karst de La Pierre Saint-Martin en quelques chiffres », Karstologia : revue de karstologie et de spĂ©lĂ©ologie physique de la FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie et de l'Association française de karstologie, Paris, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, no 6,‎ 2e semestre 1985, p. 2-6 (ISSN 0751-7688, lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Eric Gilli, Association française de karstologie, « Les grandes cavitĂ©s souterraines, Ă©tudes et applications », Karstologia : revue de karstologie et de spĂ©lĂ©ologie physique de la FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie et de l'Association française de karstologie, Paris, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, no 7,‎ 1e semestre 1986, p. 2-10 (ISSN 0751-7688, lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Richard Maire, Yves Quinif, Michel Douat et Jacques Bauer, « Le long labeur du temps », Bullettin de l'ARSIP, Millau, ARSIP, no 16,‎ , p. 19-41 (lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Paul Barlet, « SpĂ©lĂ©ologie-Gouffre de La Pierre Saint-Martin - L'exploration mythique », Terre Sauvage, no 292,‎ , p. 68-73 (ISSN 0981-4140, lire en ligne [PDF], consultĂ© le ).
  • Vincent Lignier, « Discordance hercynienne dans la salle de la Verna, gouffre de La Pierre Saint-Martin (Arette - Aramits - Sainte-EngrĂące, PyrĂ©nĂ©es Atlantiques) », sur planet-terre.ens-lyon.fr, (consultĂ© le ).
  • Jean-Philippe Grancolas, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, « Ă©chos des profondeurs:PyrĂ©nĂ©esAtlantiques. ActivitĂ©s 1997 Ă  2008 du Clan des Tritons », Spelunca, Paris, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, no 114,‎ , p. 6-7 (ISSN 0249-0544, lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Jean-Yves Bigot, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, « Les systĂšmes hydrographiques des grands rĂ©seaux souterrains: le point de vue topographique du curieux », Spelunca, Paris, FĂ©dĂ©ration française de spĂ©lĂ©ologie, no 128,‎ , p. 29-34 (ISSN 0249-0544, lire en ligne, consultĂ© le ).

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