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Gognies-Chaussée

Gognies-Chaussée est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Gognies-Chaussée
Gognies-Chaussée
La mairie et les écoles.
Blason de Gognies-Chaussée
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre
Maire
Mandat
Bruno Masolini
2020-2026
Code postal 59600
Code commune 59264
Démographie
Gentilé Gognisiennes, Gognisiens
Population
municipale
728 hab. (2020 en diminution de 7,26 % par rapport à 2014)
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 25″ nord, 3° 56′ 43″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 158 m
Superficie 7,94 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maubeuge
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Gognies-Chaussée
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Gognies-Chaussée
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Gognies-Chaussée
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Gognies-Chaussée

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à 15 kilomètres de Maubeuge au sud et à 12 kilomètres de Bavay, au sud-ouest. C'est une agglomération constituée de la commune française de Gognies-Chaussée et du village belge de GÅ“gnies-Chaussée (commune de Quévy), séparés par la frontière franco-belge.

    La rue centrale, dont la partie française constitue la route départementale 31[1], est une des sept branches de la chaussée Brunehaut, anciennes voies romaines autour de Bavay.

    Une ligne de bus binationale reliant Maubeuge et Mons dessert à nouveau Gognies-Chaussée depuis 2016[2].

    Traité des Limites

    La rue centrale est binationale : les maisons situées au sud sont en France, celles du nord, en Belgique (Gœgnies-Chaussée). Cette division existe depuis le traité des Limites, signé le à Courtrai, qui détermine la frontière entre la France et la Belgique, alors une partie des Pays-Bas[3] - [4]. Ce traité fut signé par le sieur Dusart, mayeur de Gœgnies-Chaussée (alors aux Pays-Bas) et le sieur Lotteau, maire de la commune de Gognies-Chaussée (France), en présence du comte d'Auxy, gouverneur de la province de Hainaut et de monsieur Lhomme, délégué du préfet du département du Nord.

    Procès-verbal en application du traité des Limites.
    Signataires du procès-verbal.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Gognies-Chaussée
    Quévy
    (Drapeau de la Belgique Belgique)
    Gognies-Chaussée Bettignies
    La Longueville

    Feignies

    Maubeuge Mairieux

    Hydrographie

    Le village est drainé par la Wampe, le ruisseau de Gueulard et le ruisseau de Petit-Prés.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 9,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 865 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 10,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 65 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,8 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Gognies-Chaussée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,1 %), zones urbanisées (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), forêts (4,1 %), prairies (2,8 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Toponymie

    Le nom de Gognies contient la terminaison gnies d'origine tudesque, qui signifie demeure de; la signification de la racine go n'est pas connue. Chaussée réfère à la Chaussée Brunehaut.

    Le village se trouve mentionné dans des actes médiévaux à partir de 1185.

    Histoire

    Gognies relevait de la prévôté et le décanat de Maubeuge, mais sa cure relevait de l'abbaye de Liessies.

    Dans la période féodale, la division territoriale est complexe : plusieurs familles nobles, l'Abbaye d'Hautmont et le chapitre de Maubeuge se partageaient trois seigneuries: Gognies, Gontreuil et Rogeries, quelques fiefs en dehors des seigneuries et plusieurs sous-fiefs, parfois enclavés.

    Au sujet d'un de ces fiefs se trouve dans les archives du chapitre de Maubeuge de 1190 une triste histoire d'amour entre la belle Aliénor de Pierre-Fontaine et le brave Arnould du Mesnil, qui se donnaient des rendez-vous secrets dans une forêt à Roteleux. L'hiver venu, Arnould se trouve devant une meute de loups, en tuera trois avant de trouver la mort. La fille affligée, entrée au chapitre, meurt peu de temps après et c'est d'elle que le chapitre a hérité la cense de Roteleux (leu : loup) [25].

    Le puzzle territorial est aujourd'hui d'autant plus complexe par le fait que le , au traité de Nimègue, Gognies est divisé en une partie belge et une partie française[26] et qu'il y a eu en 1820 au traité des Limites une correction de frontières.

    Pendant le blocus de Maubeuge en 1793, le jeune prince d'Orange, futur roi Guillaume Ier des Pays-Bas, séjourna au château de Gontreuil[27].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription du Nord.

    Elle faisait partie de 1801 à 1910 du canton de Maubeuge, année où celui-ci est scindé par la loi du et Gognies -Chaussée intègre le canton de Maubeuge-Nord[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée à un nouveau canton de Maubeuge.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du Nord Maubeuge, créée fin 1993.

    Celle-ci fusionne le au sein de la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre, dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Maire de 1802 à 1807 : Blanchard[29] - [30].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 Roland Liénard PS
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 José Verdonckt
    mars 2008 mai 2020 Jean Meurant Chef d'entreprise
    Réélu pour le mandat 2014-2020[31] - [32] - [1]
    mai 2020 En cours Bruno Masolini Professeur du second degré

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2020, la commune comptait 728 habitants[Note 8], en diminution de 7,26 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    430326428521610723766792837
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    839883921830795810762735695
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    693713717758747787797725834
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    886907756807820796798798781
    2018 2020 - - - - - - -
    738728-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 358 hommes pour 380 femmes, soit un taux de 51,49 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0
    90 ou +
    1,6
    6,4
    75-89 ans
    8,2
    19,0
    60-74 ans
    21,6
    23,2
    45-59 ans
    20,8
    18,7
    30-44 ans
    17,6
    13,1
    15-29 ans
    11,8
    19,6
    0-14 ans
    18,4
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Monument aux morts.
    • L'église Saint-Quentin de 1843. Elle contient une chaire du début du XVIIIe siècle[38], ainsi qu'un tableau du début du XVIIe siècle dédié à l'Adoration des bergers[39].
    • Images de l'église Saint-Quentin
    • L'église, façade.
      L'église, façade.
    • L'église, vue latérale.
      L'église, vue latérale.
    • Le château de Gontreuil avec le parc du château[40]
    • La ferme Rogeries
    • Le château et la ferme du Roteleux
    • La chaussée romaine (Chaussée Brunehaut)
    • Le Petit Roteleux
    • Le pont Guillaume
    • Le chemin des exilés, qui permettait autrefois aux Belges ou aux personnes interdites du territoire français de se rendre à l'église paroissiale, située sur la frontière et qui est un édifice franco-belge. Ce chemin de 25 m, pavé, a été restauré en 2015[41].
    • Le monument aux morts, déplacé en 2015[42].

    Personnalités liées à la commune

    • La plaque funéraire de Rémy Broudehom, mayeur de Goegnies Cauchie, mort en 1578 et de Blandine Mathieu, sa femme morte en 1583, se trouve dans l'église paroissiale[43].
    • Anthony Prahl, lieutenant au 16e d’infanterie de l'armée américaine, dont l'unité libéra le village binational à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le et permis l'avancée des Alliés. Une stèle portant son nom a été édifiée au village en 2016[44].

    Gognies-Chaussée dans les arts

    Michel Vergaelen.

    En , Michel Vergaelen édite un roman dans lequel il met en scène des personnages fictifs de Gognies-Chaussée, que le destin entraîne à Bruxelles[45]...

    • Léopold Levert (1819-1882), peintre français, est né à Gognies-Chaussée.

    Héraldique

    Les armes de Gognies-Chaussée se blasonnent ainsi : D’azur à la croix ancrée d’argent.

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Travaux de la Départementale 31 : fin annoncée au 15 septembre : D'autres projets dans les cartons », La Sambre La Frontière, no 1930,‎ , p. 18.
    2. Claire De Vregille, « La ligne de bus entre Maubeuge et Mons reprend du service le 1er septembre : Deux ans après avoir été interrompue, la ligne internationale entre Maubeuge et Mons va de nouveau fonctionner en continu à partir de la rentrée. Les voyageurs désireux de se rendre outre-Quiévrain n’auront plus à changer de bus à Gognies-Chaussée », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    3. Georg Friedrich von Martens, Friedrich Wilhelm August Murhard, Nouveaux supplémens au recueil de traités et autres actes remarquable, vol. 1, Goettingue, Libr. de Dieterich, (présentation en ligne).
    4. Procès-verbal de la remise par les Pays-Bas et de la prise de possession par la France et réciproquement des territoires de Gœgnies-Chaussée du 11 octobre 1820
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    11. « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Gognies-Chaussée et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Gognies-Chaussée et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Zéphyr-Joseph Piérart, op. cit. en bibliographie, p. 5-7.
    26. La Voix du Nord, 15 janvier 2010
    27. Zéphyr-Joseph Piérart, op. cit. en bibliographie.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
    30. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur LillOnum Bibliothèque numérique, p. 132-133 (image 162-163)
    31. « Bilan des maires: Jean Meurant, maire de Gognies-Chaussée presque par hasard, proche des petites et grandes préoccupations : Il ne s’était pas préparé à être maire. Mais les électeurs et son conseil en ont décidé autrement. Après une phase de mise en route, Jean Meurant est pourtant prêt à repartir pour un second mandat avec la même équipe, la même « bande de copains du village ». Enfant de Gognies-Chaussée, le chef d’entreprise de 59 ans dit avoir trouvé le bon tempo et souhaite continuer à mener les projets, dont certains n’ont pu aboutir, lors de ces six dernières années », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Gognies-Chaussée: Jean Meurant a présenté sa liste : Jean Meurant a présenté, jeudi, sa « Liste d’action et d’union pour la défense des intérêts communaux ». Sans étiquette, elle est la seule », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Gognies-Chaussée (59264) », (consulté le ).
    37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    38. « chaire à prêcher », notice no PM59000599, base Palissy, ministère français de la Culture.
    39. « Tableau : l'Adoration des bergers », notice no PM59000600, base Palissy, ministère français de la Culture.
    40. « Le parc du château de Gontreuil-Gognies Chaussée », notice no château de Gontreuil, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Gognies-Chaussée: une grande partie du chemin des Exilés refait surface : Cette petite commune transfrontalière voit en ce moment sa place métamorphosée à l'occasion des travaux de rénovation de celle-ci. Et c'est justement à l'occasion de ces travaux que les pavés qui composaient autrefois le chemin des Exilés ont été mis à jour. Ils se trouvaient enfouis sous une couche de macadam », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    42. « Gognies-Chaussée (59600) », Les monuments aux morts (France - Belgique - Autres pays), sur https://monumentsmorts.univ-lille.fr, (consulté le ).
    43. « Pplaque funéraire de Rémy Broudehom Mayeur de Goegnies Cauchie, mort en 1578 et de Blandine Mathieu, sa femme morte en 1583 », notice no PM59000598, base Palissy, ministère français de la Culture.
    44. « À Gognies-Chaussée, une stèle en l’honneur du lieutenant Anthony Prahl : Une stèle portant le nom du lieutenant a été officiellement dévoilée dimanche, les hymnes nationaux des États-Unis, de la France et de la Belgique ont retenti », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le 3 septembre, Anthony J. Prahl, alors âgé de 34 ans, réalise près du village un tir de barrage. Des véhicules de tête d’une colonne alliée sont pris pour cible par l’ennemi, le lieutenant Prahl organise alors rapidement un tir de barrage et un assaut sur les troupes allemandes. Par ses actions héroïques, le lieutenant Prahl et son unité permettent l’avancée des Alliés, libérant ainsi Gognies-Chaussée. Pour ses actions, il a d’ailleurs été décoré de la Bronze Star Medal ».
    45. Michel Vergaelen, Départ et arrivée en gare de Bruxelles-Midi : saga d'une famille de Gognies Chaussée, Paris, Éd. Edilivre Aparis, , 239 p. (ISBN 2812106964, présentation en ligne).

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Zéphyr-Joseph Piérart, Recherches historiques sur Maubeuge et son canton, et les communes limitrophes, avec des notes sur les villages de l'ancienne prévôté de cette ville, etc, Maubeuge, Ed. Lévècque, , 284 p. (lire en ligne), p. 1-8, sur Google Books.
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