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GUY (chanson)

G.U.Y. (acronyme pour Girl Under You) est une chanson sortie en 2014, enregistrĂ©e et Ă©crite par la chanteuse amĂ©ricaine Lady Gaga, issue de son quatriĂšme album Artpop. CoĂ©crite, composĂ©e et produite avec Zedd en 2012, elle est diffusĂ©e de façon officielle et pour la premiĂšre fois sur les ondes italiennes le 28 mars 2014, jour du vingt-huitiĂšme anniversaire de la chanteuse et, par la suite, en AmĂ©rique du Nord le 8 avril 2014 en tant que troisiĂšme single[1], bien qu’en France, certaines stations de radio ont commencĂ© Ă  retransmettre le titre dĂšs le 22 mars 2014. Les sujets d’inspiration de cette chanson sont la bisexualitĂ© et l'opposition entre les rĂŽles de l’« actif » et du « passif » dans une relation sexuelle, mĂȘlĂ© Ă  des attributs connexes Ă  la mythologie grecque. Musicalement, G.U.Y. est d’un style trĂšs diversifiĂ©, abordant un genre pop, Ă©lectronique et techno. Le pochette du single prĂ©sente Gaga en une sorte de phĂ©nix, montrĂ©e au commencement du vidĂ©oclip mais sans la flĂšche plantĂ©e dans sa poitrine. Elle porte un body transparent violet et des ailes grises.

G.U.Y.
Description de l'image GUY firma.png.
Single de Lady Gaga
extrait de l'album Artpop
Sortie Drapeau de l'Italie
(voir historique de sortie)
EnregistrĂ© 2012—13
Record Plant Studios
(Hollywood, Californie)
Durée 3:52 (chanson)
11:47 (vidéoclip)/3:22(radio edit)
Genre Techno, EDM, Synthpop, Dance
Format Téléchargement numérique, radio
Auteur Lady Gaga, Zedd
Producteur Lady Gaga, Zedd
Label Streamline, Interscope

Singles de Lady Gaga

Pistes de Artpop

GUY est apprĂ©ciĂ© par la critique contemporaine, celle-ci faisant l'Ă©loge de la production fournie par Zedd, des paroles et dĂ©crivant ce single comme le « vrai premier succĂšs de l’opus »[2] et le « plus astucieux »[3]. Certaines critiques l’ont cataloguĂ© comme un des meilleurs moments de l'album[4], tandis que d'autres l'ont comparĂ© Ă  d’anciens singles de Gaga tels que LoveGame et Alejandro[5] - [6]. Le morceau se classe dans les hit-parades sud-corĂ©ens, principalement en raison des ventes numĂ©riques lors de la sortie d’Artpop, atteignant le quarante-deuxiĂšme rang. Ainsi, plus de 3 362 exemplaires se sont vendus. Aux États-Unis, il a fait son entrĂ©e en tant que second plus haut titre classĂ© aprĂšs sa sortie, derriĂšre Empire de Shakira, Ă  la soixante-seiziĂšme place du Billboard Hot 100, pour la fin de semaine du 13 avril 2014. En outre, GUY est aussi entrĂ© dans les hit-parades français, au quatre-vingt-douziĂšme rang. La chanson est interprĂ©tĂ©e pour la premiĂšre fois en direct lors d’un concert au Roseland Ballroom de New York, le .

Gaga explique que le vidĂ©oclip de cette chanson, rempli d’icĂŽnes et de rĂ©fĂ©rences comme le mini-film Runaway de Kanye West, est une sortie de vision offerte sur sa « renaissance » dans l’industrie musicale, et qu’il est aussi prĂ©sentĂ© comme un court mĂ©trage. Il montre une Ă©volution graduelle de l’état de Gaga : tout d’abord en femme-phĂ©nix, atterrissant sur la planĂšte Terre comme un ovni, puis dans une grande demeure Ă  l’architecture grecque antique, dans une usine de clonage et enfin dans les bureaux d’une grande entreprise.

Écriture et inspiration

GUY a Ă©tĂ© accueilli favorablement par la critique professionnelle, complimentant l’alliance entre le travail lyrique et la production fournie par Gaga et le musicien russo-allemand Zedd.

Lors d’une entrevue pour le magazine britannique Stylist en octobre 2012, Gaga s’est exprimĂ©e sur sa vision du fĂ©minisme et a expliquĂ© qu’il y a un nouveau fĂ©minisme, complĂštement diffĂ©rent de l’ancien, tout en ne pensant pas qu’il soit meilleur ou moins bon [7]. Elle dĂ©clare « chaque fĂ©ministe a une maniĂšre de se voir elle-mĂȘme en tant que fĂ©ministe ». La chanteuse se dĂ©finit elle-mĂȘme comme une fĂ©ministe « new-age » et raconte qu’en tant que telle, elle aime le transfert de force qui se produit lorsqu’elle se soumet Ă  un homme et qu’elle est sous lui. Elle termine en commentant qu’elle a Ă©crit une chanson Ă  ce sujet intitulĂ©e GUY, qui signifierait Go Under You. Alors que l’artiste vient de rĂ©vĂ©ler pour la premiĂšre fois le titre de la chanson, celle-ci s'est immĂ©diatement exprimĂ©e par le biais d'une publication sur son site-web LittleMonsters.com, indiquant : « le titre qu'ils ont donnĂ© est faux. C'est GUY (Girl Under You) :) » [8].

Jason Lipshutz, rĂ©dacteur pour Billboard, a dĂ©crit GUY comme une « sirĂšne dance frissonnante qui fait la distinction entre l'Ă©galitĂ© des sexes et la soumission sexuelle volontaire » [2]. La chanson s’ouvre sur un court monologue d’introduction, dictĂ© par la coordinatrice crĂ©ative de Gaga, Sonja Durham, et fait rĂ©fĂ©rence au dieu grec HimĂ©ros, un des fils d’Aphrodite, contribuant aux renvois qu’Artpop fait Ă  la mythologie grecque [9].

Composition

GUY est une chanson « pop robotique », contenant des Ă©lĂ©ments de musique EDM, industrielle, house, techno europĂ©enne et Ă©lectro. Elle se dĂ©veloppe sur un fond dance et est marquĂ©e par l'utilisation de synthĂ©tiseurs et de clappements Ă©lectroniques [10]. D’aprĂšs Mikael Wood du Los Angeles Times, il s’agit d’une des trois chansons R&B de l’album [11]. Sa signature rythmique est de quatre temps avec un tempo modĂ©rĂ© de 110 battements par minute. Elle se compose d’une tonalitĂ© en la mineur et suit une progression d'accords basĂ©e en la mineur, en sol, en fa et en la majeur pour les couplets et en sol, en fa, en rĂ© mineur et en la mineur pour le refrain .

La trame de GUY porte sur divers sujets tels que la soumission sexuelle, le dĂ©sir, l’amour et l’émancipation sexuelle, bien qu’elle soit liĂ©e Ă  la « troisiĂšme vague fĂ©ministe » et au mouvement gender bending (fait de se travestir) [12] - [6] - [10]. Gaga raconte qu’elle se « sent Ă  l’aise de se trouver en dessous parce qu’elle est assez forte pour savoir qu’il n'est pas nĂ©cessaire de se trouver au-dessus et que ça en vaut la peine » [13]. D’aprĂšs Annie Zaleski du The A.V. Club, il s’agit d’une des chansons les plus influentes incorporant le thĂšme du sexe dans Artpop, avec Sexxx Dreams [14].

Accueil critique

AprĂšs sa parution en novembre 2013, GUY a Ă©tĂ© acclamĂ© par les critiques de musique contemporains. Lipshutz de Billboard a dĂ©clarĂ© que « la production fournie par Zedd fourmille les commandes provocatrices de Gaga et que le coup bas du crochet martĂšle le message diffusĂ© pour crĂ©er le premier et vĂ©ritable succĂšs d’ARTPOP » [2]. Robert Copsey de Digital Spy a particuliĂšrement apprĂ©ciĂ© les « basses grinçantes et les synthĂ©s dardants » ainsi que le « refrain hypnotique » du titre [15]. Andy Gill de l’Independent a senti que le morceau contribue Ă  une certaine attraction sexuelle qui « semble ĂȘtre sinistrement dĂ©naturĂ©e » [16]. John Walker de MTV News a fait l'Ă©loge du contenu lyrique de la chanson, mais a cependant Ă©tĂ© moins convaincu par sa structure musicale [17]. Caryn Ganz de Rolling Stone a interprĂ©tĂ© GUY comme « la sensation d'entendre un broyeur sur des airs gothiques » [18]. Spin a jugĂ© que la piĂšce pourrait ĂȘtre « une ode Ă  la possession du rĂŽle de soumission dans une relation » [19]. Stacy-Ann Ellis de Vibe a qualifiĂ© la chanson de « presque astucieuse » [3].

Vidéoclip

« Les ailes [que je porte] ont Ă©tĂ© fabriquĂ©es par Jim Henson et son Ă©quipe. Pour les arcs et les flĂšches, ce sont les membres de la House of Gaga qui en sont les auteurs. C’est intĂ©ressant car dans ce vidĂ©oclip
 tout tourne autour de ma personne, de la mode et des genres psychotique et fantastique. C’est presque comme-ci que j’étais dans Alice au Pays des Merveilles, traversant mon propre “terrier de lapin” grĂące aux souvenirs contenus dans mon cerveau afin de revivre l’annĂ©e Ă©coulĂ©e. Chaque moment que nous filmions tous ensemble Ă©tait joyeux et amusants. Je connais une thĂ©orie qui dit que si nous pouvons capturer ces sentiments Ă  travers un tournage, ils vont alors durer Ă©ternellement et que si l’expĂ©rience de prise de vue est vraiment Ă©puisante, redoutable et stressante, on s’en rapproche donc de plus en plus. »

Gaga expliquant son expérience à travers la vidéo [Note 1] - [20].

DĂ©veloppement

Le morceau a Ă©tĂ© confirmĂ© en tant que troisiĂšme single en fĂ©vrier 2014, lorsque son vidĂ©o-clip Ă©tait en cours de production [21]. Alors qu'elle Ă©tait en train de le tourner au Hearst Castle, ancienne demeure de William Randolph Hearst, situĂ©e tout prĂšs de San Simeon en Californie, la chanteuse s'est fait mordre par un nycticebus [21] - [22]. Gaga a dĂ©voilĂ© une partie du vidĂ©o-clip le 21 mars 2014, lors d'une entrevue avec Savannah Guthrie pour l'Ă©mission amĂ©ricaine Today. La version Ă©ditĂ©e a fait son avant-premiĂšre sur Dateline NBC le lendemain [23], tandis que la version complĂšte, intitulĂ©e « GUY - An Artpop Film », a Ă©tĂ© publiĂ©e quelques minutes plus tard. Depuis sa parution, le vidĂ©oclip a Ă©tĂ© visionnĂ© plus de 146 000 000 de fois.

Scénario

Conjointement avec une piscine intérieure et des terrasses, la piscine de Neptune a fait partie des divers lieux de tournage.

D’une durĂ©e totale de prĂšs de douze minutes, la vidĂ©o incorpore quatre chansons issues d’ARTPOP, dont GUY pour la partie centrale. Celle-ci s’ouvre sur des plans montrant des hommes d'affaires, s’affrontant entre eux sous une pluie de billets de banque. À proximitĂ©, une Gaga dĂ©chue, grimĂ©e en une crĂ©ature ailĂ©e, gĂźt dans un cratĂšre avec une flĂšche plantĂ©e dans l'abdomen. Une Ă©dition instrumentale de la chanson-titre Artpop est alors jouĂ©e en arriĂšre-plan. Ensuite, les hommes s’en vont, ignorant totalement Gaga qui rampe afin de fuir tout en essayant de retirer la flĂšche de sa poitrine. Elle tente, tant bien que mal, d’utiliser ses jambes dĂ©fectueuses pour s’échapper et se rend jusqu’à l’entrĂ©e d’un palais. La chanteuse s’effondre de fatigue devant la porte et est raclĂ©e par deux gardes. Une prestation sur la chanson Venus dĂ©marre. Gaga est portĂ©e vers une grande piscine olympique oĂč des personnes la couvrent de fleurs et la font descendre dans l'eau, comme un processus de guĂ©rison. Venant tout juste d’ĂȘtre acceptĂ©e comme une reine par les habitants du chĂąteau, l'artiste ressuscite dans une robe blanche, renaissant en une sorte de dĂ©esse grecque pendant que le titre GUY dĂ©marre petit Ă  petit. Quelques plans de Gaga arborant un certain nombre de tenues diffĂ©rentes, dont une robe bleue et un bikini blanc sont observĂ©s, avec des sĂ©quences de danse. Le prĂ©sentateur de tĂ©lĂ©vision amĂ©ricaine Andy Cohen et les Real Housewives de Beverly Hills font alors leurs camĂ©os respectifs Ă  ce moment. Des scĂšnes mettant en vedette Gaga, se roulant sur un lit en forme de coquillage dans une tenue rouge, dansant dans un justaucorps dorĂ© avec des flĂšches et flottant sur un matelas dans une piscine intĂ©rieur sont montrĂ©es pendant le deuxiĂšme couplet et au moment du second passage du refrain. Avec l’aide d’un jeune homme dĂ©nommĂ© SkyDoesMinecraft, un Youtubeur qui fait aussi une apparition exceptionnelle, Michael Jackson, Mahatma Gandhi, JĂ©sus et John Lennon (l’acteur qui joue le rĂŽle de Lennon n’est en fait pas visible dans cette scĂšne, mĂȘme si son nom apparaĂźt dans le gĂ©nĂ©rique de fin) sont ressuscitĂ©s depuis leurs cercueils grĂące au jeu-vidĂ©o Minecraft et leur sang est prĂ©levĂ© dans des flacons pour crĂ©er le « code GUY », de maniĂšre Ă  façonner des clones qui seront utilisĂ©s pour remplacer les membres d’une entreprise liĂ©e Ă  l’industrie de la musique. Vient par la suite une sĂ©quence de danse prenant place dans une usine de clonage oĂč une Ă©norme boule bleue de Jeff Koons trĂŽne. Gaga, portant uniquement un jean tandis qu’elle et ses danseurs vĂȘtus de noir, exĂ©cutent une chorĂ©graphie sexuellement chargĂ©e. Pendant ce temps, l’interprĂšte, accompagnĂ©e de Lisa Vanderpump et de Kyle Richards sont montrĂ©es en train de sortir d’une voiture dans des tenues sombres, tirant des billets Ă  l'aide de canons et marchant dans le couloir d'une entreprise afin de tuer les dirigeants pour les remplacer par les « clones GUY ». Cette partie du vidĂ©o-clip pourrait faire rĂ©fĂ©rence Ă  la sĂ©rie American Horror Story et plus particuliĂšrement Ă  la fin de la troisiĂšme saison, intitulĂ©e Coven durant laquelle les protagonistes, Fiona Goode et Marie Laveau, effectuent les mĂȘmes actions. Une autre sĂ©quence de danse dans l'usine de clonage s'ensuit, montrant cette fois-ci Gaga arborant un soutien-gorge en plastique futuriste et une jupe. Le court-mĂ©trage se termine avec des milliers de clones marchant hors du chĂąteau. Le gĂ©nĂ©rique de fin dure quatre minutes pendant que la chanson Manicure est interprĂ©tĂ©e.

RĂ©ception

Selon Bradley Stern de MuuMuse, Gaga a rĂ©ussi Ă  transformer « l’hymne de la puissance passive en une adaptation Ă©pique de Citizen Kane et de Gatsby le Magnifique » [24]. Le rĂ©dacteur a ajoutĂ© qu’il s’agit de « sept minutes de plongĂ©e Ă©tonnante en profondeur, Ă  des niveaux inĂ©dits et incroyables d’auto-importance et de folie certifiable » et qu’il trouve que le vidĂ©oclip est « encore plus grandiose » que ceux rĂ©alisĂ©s pour les titres Bad Romance et Telephone [24]. Chiderah Monde, du quotidien new-yorkais Daily News, a dĂ©clarĂ© que le vidĂ©oclip est « un autre exemple de la recrudescence des clips et des courts mĂ©trages » et a notĂ© un « clin d’Ɠil prĂ©sent au style visuel de Michael Jackson » [25]. Pour Nick Barnes d’Unreality TV, celui-ci lui a rappelĂ© les vidĂ©oclips prĂ©cĂ©dents de la chanteuse et tout particuliĂšrement celui de la chanson Paparazzi et a indiquĂ© que c’était un des meilleurs clips de Gaga depuis trĂšs longtemps [26]. Il a conclu en Ă©crivant : « c'est spectaculaire et je vous suggĂšre d’aller le voir. Vous n’allez pas ĂȘtre déçus » [26]. Une critique Ă©ditĂ©e par TV Guide pour Daily Review Atlas a mentionnĂ© qu’il Ă©tait « aussi bizarre que prĂ©visible », tandis que Nidhi Tewari de l’International Business Times en ligne, a soulignĂ© Ă©vidente la sensualitĂ© de l'interprĂšte [27] - [28]. Harriet Gibsone du Guardian l’a qualifiĂ© de « chic et Ă©pique dans son aspect, louant des rĂ©fĂ©rences au capitalisme et au fĂ©minisme avec une parade de chapeaux ridicules et d’hommes torses nus ».

Interprétations en direct

Le jour de la sortie officielle du single en radiodiffusion en Europe, Gaga a interprĂ©tĂ© GUY pour la premiĂšre fois en direct du Roseland Ballroom de New York, dans le cadre d’une sĂ©rie de concerts promotionnels de sept jours dans la mĂȘme salle. Par consĂ©quent, elle a Ă©galement jouĂ© le titre les soirs des 30 et 31 mars ainsi que des 2, 4, 6 et 7 avril 2014. Le 2 avril, une performance de la chanson a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e et diffusĂ©e pour l’émission amĂ©ricaine Late Show with David Letterman, accompagnĂ©e d’une interprĂ©tation au piano du morceau Dope [29].

Formats et Ă©ditions

  • NumĂ©rique
  1. GUY – 3:52

Crédits

Crédits extraits du livret de l'album Artpop, Interscope Records.

Classements

Historique de sortie

Pays Date Format Label
Drapeau de l'Italie Italie 28 mars 2014 Radio [38] - [1] Streamline
Drapeau des États-Unis États-Unis 8 avril 2014 Interscope
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni [39] 12 mai 2014 Polydor

Notes et références

Notes

  1. La citation originale est Ă©crite comme suit : « The wings [I wear] were made by Jim Henson Studios, the arrow, the House of Gaga made it. It’s interesting because in this video
 the fashion and the psychotic sort of whimsy is all happening around me and it’s me almost like ‘Alice in Wonderland’ going through my own rabbit hole in my brain and re-experiencing the past year of my life. Every moment that we were filming together was really joyous and really fun. I have a theory that if you can capture that feeling on film it will last forever and if the shooting experience is really exhausting and terrible and stressful, it will come across, right. »

Références

  1. (en) « Top 40 Mainstream > Future Releases » [archive], All Access Ltd,
  2. (en) Jason Lipshutz, « Lady Gaga, 'ARTPOP': Track-By-Track Review », Billboard, Prometheus Global Media, (consulté le )
  3. Stacy-Ann Ellis, « Lady Gaga's Glitzy 'ArtPop' LP Is Mindless Fun », Vibe, Vibe Media, (consulté le )
  4. (en) Jason Lipshutz, « Lady Gaga, 'ARTPOP': Track-By-Track Review », Billboard, (consulté le )
  5. (en) Sal Cinquemani, « ALBUM REVIEW - Lady Gaga' Artpop », Slant Magazine, (consulté le )
  6. (en) Maura Johnston, « Lady Gaga's Half-Cocked, Half-Great 'ARTPOP' Is Never Less Than Lovable », Spin, (consulté le )
  7. (en) Joanna McGarry, « THE PASSION OF LADY GAGA », Stylist,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  8. https://littlemonsters.com/post/50913aafb11c7ab952001162
  9. (en) Andrew Barker, « Album Review: Lady Gaga, 'Artpop' », PMC (consulté le )
  10. (en) Greg Kot, « Gaga aims for 'Artpop' but falls short », Chicago Tribune Company, LLC et Chicago Tribune, (consulté le )
  11. (en) Mikael Wood, « Album review: Lady Gaga 'could mean anything' on 'Artpop' », Los Angeles Times, Tribune Company, (consulté le )
  12. (en) Kevin Ritchie, « Lady Gaga - Artpop (Universal) », NOW, (consulté le )
  13. (en) « Lady Gaga Explains Meaning Behind Every 'ARTPOP' Song [AUDIO] », Popcrush, PopCrush Network, (consulté le )
  14. (en) Annie Zaleski, « Lady Gaga: ARTPOP », The A.V. Club, Onion Inc, (consulté le )
  15. Robert Copsey, « Lady Gaga 'ARTPOP' review: What's the verdict? », Digital Spy, Hearst Corporation (consulté le )
  16. (en) Andy Gill, « Album review: Lady Gaga, ARTPOP – It's hard not to feel underwhelmed », The Independent, Londres, Royaume-Uni, Independent Print Limited,‎ (lire en ligne)
  17. John Walker, « Lady Gaga's 'ARTPOP': A Track-By-Track Review..... In Art! », MTV, (consulté le )
  18. (en) Caryn Ganz, « Lady Gaga 'Artpop' Review », Rolling Stone, Wenner Media LLC, (consulté le )
  19. (en) Maura Johnston, « Lady Gaga, 'ARTPOP' Review », Spin, Spin Media, (consulté le )
  20. (en) « Johnny Weir Gets 'GUY' Details From Lady Gaga (Exclusive) », Access Hollywood,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  21. (en) Nick Galvin, « Lady Gaga attacked by slow loris during GUY video clip filming », The Sydney Morning Herald et Fairfax Media,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  22. (en) « Lady Gaga at Hearst Castle filming music video », KSBW, (consulté le )
  23. (en) « Lady Gaga to Debut New Music Video GUY on Dateline NBC, 3/22 », BroadwayWorld.com, Wisdom Digital Media, (consulté le )
  24. (en) Bradley Stern, « The Video for Lady Gaga's "GUY" Looks Opulent As Fuck », MuuMuse (consulté le )
  25. (en) Chiderah Monde, « Lady Gaga debuts ‘GUY’ music video featuring ‘Real Housewives,’ Andy Cohen », NYDailyNews.com, Daily News, (consultĂ© le )
  26. (en) Nick Barnes, « REVIEW: Lady Gaga – GUY Music Video », Unreality TV, Unrealitytv.co.uk LLP (consultĂ© le )
  27. (en) TV Guide, « VIDEO: Is Lady Gaga's "GUY" Music Video Her Craziest Yet? », Daily Review Atlas, Gatehouse Media, Inc., (consulté le )
  28. (en) Nidhi Tewari, « Lady Gaga Drops Her Sexiest and Lengthiest Music Video Ever, Listen to 'GUY - An Artpop Film' [VIDÉO] », International Business Times, (consultĂ© le )
  29. (en) http://www.rap-up.com/2014/04/03/lady-gaga-performs-dope-and-guy-on-letterman/
  30. (ko-Hani) « Gaon International Download Chart », Korea Music Content Industry Association, Gaon International Chart, (consulté le )
  31. « Australian Singles Chart », ARIA Charts (consulté le )
  32. (nl) « LADY GAGA - GUY », Ultratop 50 (consulté le )
  33. « LADY GAGA - GUY », Ultratop 50 (consulté le )
  34. (en) « Lady Gaga Album & Song Chart History », Billboard, Prometheus Global Media (consulté le )
  35. (en) « 71 Charts », Billboard Hot 100 for Lady Gaga (consulté le )
  36. « Chart Log UK », Pure Charts (consulté le )
  37. (en) « Classement officiel des ventes de singles & titres en France », Zobbel.de. Tobias Zywietz. (consulté le )
  38. http://www.radioairplay.fm/RadioDate/PublicDetails/61964
  39. « Forthcoming U.K. Singles » [archive du ], BBC Radio 1, (consulté le )

Liens externes

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